mael
par le 28/06/25
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Ginette a réussi dans les affaires. Elle dirige une entreprise de transports avec son mari, mais c'est elle qui commande et sait se faire obéir de ses chauffeurs. Son mari la laisse tout gérer car il a compris qu'elle était bien plus compétente que lui. Mais question baise dans le couple, ce n'est plus le pied. Une baisouille le samedi soir et encore, quand le sexe de l'époux veut bien bander un peu.

Lorsque Ginette a entendu parler du bordel réservé aux femmes de Rina, elle a été curieuse, elle est allé voir, un soir que son époux était sur la route. Cela lui a plu de suite. Une cadre paisible et sécurisé,  confortable. Des putes mâles superbes. Ginette a craqué pour le beau Kassim, un eurasien massif avec une bite énorme. Elle a lâché prise et s'est laissé faire. Kassim l'a soulevée comme de rien, a coincé ses cuisses dans des bras et l'a empale d'un coup. Ginette a hurle. Elle a cru que ce colosse venait de l'éventrer. Mais non, juste un gland énorme qui lui remplissait complètement la chatte. Elle s'est mise à ruisseller. Kassim a donné la cadence en la soulevant et en la laissant retomber d'un coup sur sa bite. Ginette était perforée,  empalee, ecartelee.  Trop bon. Elle a enchaîné les orgasmes, toujours plus violents. Elle s'est mise à hurler de bonheur. 

Elle a voulu une bonne giclee de sperme. Elle a payé le supplément. Kassim à ôté son préservatif spécial triple xl et à mis Ginette à genoux . Il a présenté son gland devant sa bouche. A peine les lèvres de la femelle sur son gland que des puissantes giclee de sperme ont rempli sa gorge. Un sperme epais de mâle puissant. Ginette s'est delectee de ce nectar qui sentait fort et bon. 

Elle aurait voulu de plus, de sentiments, mais Kassim à dit que le temps était écoulé.  Un pro de la baise n'est pas un amant. Peu importe, Genette était satisfaite. Qu'une envie, revenir le plus tôt possible. 

A la sortie Pilou, le flic l'attendait. Rina l'avait prévenu. Un bon flic ce Pilou. Avec lui aucun problème. Le lendemain Ginette est allé payer son amende sexuelle. Rina lui avait dit de bien lubrifier son anus. Pilou n'aimait pas les préliminaire. Ginette s'est fait prendre par le cul. Son mari n'avait jamais osé faire cela. Quel con. Un si beau cul. Pilou lui a su comment en profiter. En plus il adorait utiliser des mots crus.

-Alors ma salope, on viole la loi, on se paye des putes mâles. Coupable, salope et coupable. Il faut payer. 

Ginette a jouit très fort, son premier orgasme anal.  

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Douxreveur
Je crois que cela devrait être remboursé par la sécu ! Voilà un bon concept !
J'aime 29/06/25
mael
Pénaliser un client ou une cliente d'une amende de 1500 euros pour avoir recours à des pratiques sexuelles tarifées, c'est ce qu'ont réussi à faire passer dans la loi ces connes de féministes ayatollesques.
J'aime 29/06/25
Antoinette
La secu croule sous les dettes. Taxer lourdement les clients de la prostitution. Peut être que d'autres solutions sont possibles. Certains pays ont choisi de légaliser la prostitution avec des statuts de travail indépendant. Le choix français est intéressant, dissuader la prostitution. Je ne suis pas certaine du résultat, c'est même assez glauque. Je demande l'avis de I A pour voir.
J'aime 29/06/25
Antoinette
Bien sûr, voici un descriptif clair des principales politiques sur la prostitution en Europe, ainsi que leurs résultats observés. 1. Modèle de légalisation et réglementation (Pays-Bas, Allemagne, Suisse, Autriche, Grèce...) Description : La prostitution est légale et reconnue comme une activité économique. Les travailleurs et travailleuses du sexe peuvent être enregistrés, payer des impôts, cotiser pour la retraite, bénéficier de la sécurité sociale et avoir un statut professionnel. Des règles sanitaires, fiscales et parfois urbanistiques encadrent l'activité (zones spécifiques, contrôle médical, licences...). Résultats : Meilleure protection sociale pour les travailleurs du sexe qui choisissent la légalité. Amélioration de l’accès aux soins, aux droits et à la sécurité dans certains cas. Toutefois, beaucoup restent dans l'illégalité, soit par peur de l'enregistrement (stigmatisation), soit parce que certaines conditions légales sont jugées trop contraignantes. La traite des êtres humains reste présente, parfois facilitée par la légalité du secteur qui peut masquer des réseaux criminels. L’image de la prostitution comme "travail comme un autre" reste très controversée, même dans ces pays. 2. Modèle de prohibition totale (Croatie, Roumanie, Bosnie, Russie, Ukraine...) Description : La prostitution, sous toutes ses formes (vente de services sexuels, achat, proxénétisme, tenue de bordels), est interdite. Les personnes prostituées, leurs clients et les tiers (proxénètes, propriétaires de lieux) sont pénalement sanctionnés. Résultats : Forte clandestinité, rendant la prostitution plus dangereuse. Accroissement de la précarité pour les personnes prostituées, qui sont criminalisées. Plus de risques de violences, de maladies, moins d’accès aux soins ou aux protections. Cette politique ne fait pas disparaître la prostitution, mais la rend moins visible. 3. Modèle abolitionniste (France, Belgique depuis peu, Irlande, Suède, Norvège, Islande, Canada) Description : La prostitution n’est pas interdite en soi : la personne prostituée n’est pas pénalisée. En revanche, l’achat de services sexuels est puni (pénalisation des clients). Toute forme de proxénétisme est sévèrement réprimée. Accompagnement proposé aux personnes souhaitant sortir de la prostitution (aides sociales, réinsertion). Résultats : Réduction visible de la prostitution de rue. Les clients deviennent plus rares ou se cachent davantage. Déplacement vers des espaces plus cachés (internet, appartements, clubs privés). Les travailleuses et travailleurs du sexe dénoncent souvent une plus grande insécurité : négociations plus rapides, clients plus méfiants, travail plus isolé. Les résultats sur la réduction de la traite humaine sont mitigés et très débattus. 4. Modèle de dépénalisation sans réglementation (Espagne dans la pratique, Italie partiellement) Description : La prostitution entre adultes est tolérée et non réglementée. Ce n’est ni illégal, ni reconnu comme un travail ordinaire. Ce sont surtout le proxénétisme, la traite et l’exploitation qui sont pénalisés. Il n’y a pas de cadre légal spécifique pour exercer, ni de reconnaissance officielle de "travailleur du sexe". Résultats : Secteur très fluctuant, parfois organisé de manière autonome (indépendantes), parfois sous contrôle de réseaux criminels. Absence de droits sociaux spécifiques pour les personnes prostituées. Des zones grises juridiques : ni protégées, ni poursuivies tant qu’il n’y a pas de tiers exploitant. L'Espagne est devenue l’un des plus grands marchés de la prostitution en Europe, ce qui génère beaucoup de critiques sur l’absence de régulation. Synthèse des tendances et résultats en Europe : Aucun modèle ne supprime totalement la prostitution. La légalisation améliore les conditions de celles et ceux qui peuvent entrer dans le cadre légal, mais n’élimine pas la traite. La pénalisation des clients déplace la prostitution vers des zones plus cachées, avec des effets ambivalents sur la sécurité des personnes prostituées. La prohibition totale aggrave les risques sanitaires, sociaux et sécuritaires pour les personnes concernées. La dépénalisation sans cadre (comme en Espagne) conduit à un marché très développé, souvent peu contrôlé. Si tu veux, je peux te faire un comparatif orienté spécifiquement sur la sécurité, la santé, ou l’impact sur la traite selon ces modèles. Veux-tu ? Merci pour ce descriptif par IA
J'aime 29/06/25