par le 03/07/25
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Le début est très soft pour poser le cadre, faire naître petit à petit l'envie d'Élodie ;une jeune femme qui va se découvrir une envie, une passion pour les rapports D/s en tant que soumise 

 

 

Ils s’étaient retrouvés trois jours plus tôt, lors de la réunion de préparation du bal, dans la petite salle sans charme de la mairie. Les néons trop blancs, les chaises trop dures, tout semblait accentuer la chaleur inhabituelle de cette fin d’après-midi. Mais ce jour-là, Élodie avait eu la certitude que ce n’était pas la température qui la troublait.

Elle était arrivée en retard, volontairement. Elle voulait qu’il la voie entrer, qu’il la remarque avant même qu’elle ait prononcé un mot. Et il n’avait pas manqué de réagir.

— Tiens, toujours aussi ponctuelle, avait lancé Marc, un sourire ironique aux lèvres.

Elle avait haussé les épaules, faussement indifférente, et s’était installée à côté de lui. Trop près, sans doute. Mais c’était la seule place libre, du moins c’est ce qu’elle avait laissé croire.

Pendant que les autres débattaient de barnum, de playlist et de boissons, Élodie avait croisé les bras, un geste machinal qui, avec son haut un peu trop ajusté, soulignait sa poitrine. Elle avait surpris Marc détourner les yeux, puis revenir, malgré lui, vers elle.

— Alors, tu fais partie des bénévoles cette année ? avait-elle murmuré, complice.

— J’espère surtout faire partie des souvenirs, comme l’an dernier, avait-il répondu, sans la regarder.

Elle avait souri, piquée et amusée à la fois. L’été précédent, il y avait eu ce flirt, ces soirées à se frôler, à se chercher. Elle n’avait pas voulu aller plus loin. Elle n’avait accepté que de le masturber, timidement, parce qu’elle ne se sentait pas prête pour le reste. Il n’avait rien exigé, mais elle savait qu’il y pensait encore.

— Tu es incorrigible… Mais c’est peut-être ce que j’aime chez toi. Et puis, ce n’était qu’une main. Rien d’inoubliable.

— Justement. Ce qu’on n’a pas, on y pense plus longtemps, tu ne crois pas ?

Un silence s’était installé. Dans ce silence, elle avait senti son regard glisser vers elle. Pas vulgaire, pas pressant, mais chargé d’un désir maladroit. Elle avait perçu le frisson qui la parcourait, la conscience nouvelle de son corps, de ses formes qui s’étaient affirmées depuis l’été dernier. Elle n’était plus une adolescente. Elle était devenue femme, et il la regardait comme telle.

Un moment suspendu.

Marc lui avait tendu une feuille d’inscription. Leurs doigts s’étaient frôlés, et l’électricité avait été immédiate. Son cœur avait battu plus vite, mais elle n’en avait rien laissé paraître.

— Merci… Marc, avait-elle dit, en soutenant son regard un peu plus longtemps que nécessaire.

Ce soir-là, rentrée chez ses grands-parents, Élodie avait refermé la porte de sa chambre, ôté son haut lentement devant le miroir. Elle avait observé son reflet, ses courbes, sa poitrine qui semblait affirmer une vérité nouvelle. Elle avait su. Ce bal serait différent. Cette année, elle voulait aller un peu plus loin. Pas tout. Mais assez pour qu’il comprenne. Ce soir, elle lui offrirait ce qu’elle avait de plus beau : sa poitrine. Parce qu’elle en avait envie, et parce que ce regard sur elle, brûlant et maladroit à la fois, elle voulait le retrouver, le provoquer.

 

 

### Son soutien gorge, comme une offrande de ses seins ###

Dans sa chambre encore tiède de la chaleur du jour, Élodie avait disposé devant elle les vêtements qu’elle avait choisis. Ce soir, elle ne s’habillait pas. Elle se préparait. Ce n’était pas tout à fait la même chose.

Ses doigts effleuraient le demi-corset noir, entièrement en dentelle florale, sans rembourrage. Une pièce délicate, presque intimidante. Il ne remontait pas ses seins, il les enveloppait, les soulignait, les tenait avec une élégance douce, presque insolente. Il laissait ses épaules nues, sa peau offerte à l’air tiède.

Elle l’enfila lentement, sentit le tissu glisser sur sa poitrine, épouser chaque courbe. Elle ajusta les bonnets, les posa délicatement sur ses seins, et se contempla dans le miroir. Ils étaient là, pleins, présents, visibles sans être exposés. Un souffle aurait suffi à faire battre ce corset.

Jamais elle n’aurait porté cela dans la vie de tous les jours. Mais ce soir, elle voulait être regardée. Ou dévêtue lentement, selon ce que Marc choisirait.

Elle voulait lui offrir sa poitrine. Juste cela. Comme un cadeau précieux, limité mais brûlant. Parce qu’elle était attirée par ses mains, longues, précises, habiles. Elle les imaginait, jouant avec ses seins, les frôlant, les pesant, les effleurant du regard, sans même y toucher.

Le souvenir de son regard, trois jours plus tôt dans la salle de la mairie, lui revint. Lorsqu’il avait compris qu’elle avait changé. Qu’elle était devenue femme. À cette pensée, une chaleur furtive la traversa, sans honte, juste un frisson.

Mais ce serait tout. Ce soir, il n’aurait qu’eux. Et elle aimait cette idée : attiser sans céder, offrir sans s’abandonner.

Elle attrapa son string noir, en dentelle fine, le passa avec lenteur, leva une jambe, puis l’autre, remonta le tissu le long de ses cuisses, l’ajusta à ses hanches. Le tissu effleura sa peau nue, elle inspira plus fort.

Ses mains glissèrent sur ses flancs. Elle hésita à mettre des bas tout de suite… mais non. Ce serait trop, trop tôt.

Elle prit sa robe, d’un vert profond, sobre mais fendue, ajustée. Elle la laissa glisser jusqu’à sa taille, puis à ses hanches. Elle se regarda dans le miroir : une femme prête à être vue, mais pas possédée. Pas encore.

Puis vinrent les talons aiguilles. Elle les enfila lentement, se redressa. Le clic net contre le parquet la fit sourire. Il les entendrait. Il comprendrait.

Avant de partir, elle revint vers les bas. Ils étaient là, roulés, prêts. Elle ne put résister. Elle en prit un, le déroula lentement, glissa ses doigts sur son mollet, puis sur sa cuisse. Elle frissonna. Recommença pour l’autre jambe. Même frisson, même chaleur douce qui montait.Elle fixa les attaches, se redressa.

Une dernière fois, elle se contempla. Ce soir, elle n’était pas prête à lui donner tout son corps. Mais elle était prête à lui offrir ses seins.

Et elle savait déjà qu’il ne verrait qu’eux.

3 personnes aiment ça.
Antoinette
Elodie, Elya, Ilyanna,....je suis un peu perdue avec tous ces noms. Bravo pour ce récit et votre plume fluide et agréable.
J'aime 04/07/25
Élodie et le nom de la jeune femme qui va devenir Elya, (prénom qui est un clin d'œil à Ilyana, un prénom qui pour des raisons personnelles me tiens à cœur et donc que j'ai mis comme "auteur".
J'aime 04/07/25
Une fois apprêtée elle va retrouver son amour de vacances La suite: Élodie avançait lentement vers la place, les talons aiguilles résonnant sur le pavé. Le village était en fête : les rires éclataient, les verres tintaient, la foule se pressait sous les lanternes. Mais elle, elle se sentait… trop. Trop de talons. Trop de fente. Trop de seins. Un doute la traversa. Avait-elle eu raison de choisir ce demi-corset en dentelle, sans rembourrage ? Cette robe fendue jusqu’à mi-cuisse ? Ces talons qui faisaient rouler ses hanches à chaque pas ? Elle baissa les yeux sur sa poitrine : le tissu dessinait deux courbes nettes, offertes sans être dévoilées. Elle n’était pas nue, non… mais presque exposée. Une pensée brève, acérée, la traversa : *Et s’il me trouvait vulgaire ? Si c’était trop ? Si je ressemblais juste à une fille qui veut se faire sauter ?* Elle inspira, chercha un coin d’ombre, mais il était trop tard pour reculer. Elle sentait les regards sur elle : pas insistants, mais bien réels. Hommes, femmes, tous se retournaient, l’espace d’un instant. Et malgré ses doutes, un frisson la parcourut. Parce qu’au fond, elle savait pourquoi elle avait choisi cette tenue, ce corset, ce string finalement adopté après hésitation. Elle voulait qu’il la voie. Marc. Elle voulait voir ce que cela lui ferait. Comme l’an dernier, mais en plus fort, en plus femme. Elle ne l’avait pas encore aperçu, mais elle sentait déjà sa présence, quelque part dans la foule. Et elle se demanda si, cette fois, ce serait elle qui aurait du mal à détourner les yeux. La foule s’épaississait, les rires et les voix se mêlaient au bruit des premières fusées du feu d’artifice. Mais pour Élodie, le monde s’effaçait. Son cœur battait plus fort, d’appréhension plus que de joie. Allait-il la juger ? Trouver sa tenue trop osée, trop aguicheuse ? Et puis, soudain, il était là. Marc, à quelques mètres, silencieux. Son regard, d’abord sombre, se fixa sur elle avec une intensité presque brûlante. Il ne cherchait pas seulement à voir, mais à dévorer. Elle sentit ce poids, cette caresse invisible, lourde de promesses. Une chaleur sourde lui parcourut la peau, embrasant chaque centimètre de son corps. Le trouble la traversa, mais elle soutint son regard. Elle sut, alors, qu’elle avait fait le bon choix. Qu’elle était exactement là où elle devait être. Car dans ses yeux, il n’y avait pas de déception, mais de l’envie. De l’ardeur. Un désir brut. Elle sentit presque physiquement ce regard glisser sur elle, de ses épaules à sa poitrine. Un frisson délicieux la parcourut. Elle se redressa, un sourire en coin naissant sur ses lèvres, sûre désormais d’avoir choisi la bonne arme pour ce jeu dangereux. Il s’approcha, dans le tumulte des rires et des fusées éclatant au-dessus de la place. Mais elle n’entendait déjà plus que sa voix. — J’espère que ce soir, tu n’es pas venue juste avec ta main, Élodie… Elle se tourna lentement, consciente de ce qu’il regardait, et l’assuma. Un sourire joueur effleura ses lèvres. — Non. Regarde… j’en ai pris deux, ce soir. Si tu veux. Du bout des doigts, elle effleura sa poitrine, lentement, presque innocemment. Elle vit le regard de Marc s’enfoncer dans son décolleté, s’y perdre. Il ne souriait plus. Il brûlait. Sa voix, plus grave, plus basse, vibra à son oreille : — Prépare-toi, Élodie… Ce soir, tu es à moi. Pas juste ta main. Toi. Toute entière. Cette phrase la traversa, jusqu’à la chair. *Toi. Toute entière.* Le ton, ce mélange d’autorité et de promesse, la fit frissonner. Mais ce n’était pas qu’un frisson de désir. Il y avait autre chose : une peur profonde, celle de devenir vraiment femme, de s’abandonner, de ne plus pouvoir reprendre ce qu’elle allait donner. Être à lui, pour de vrai. Et pourtant, à travers cette peur, une vague d’excitation monta en elle. Cette phrase avait réveillé une soumission qu’elle ne connaissait pas. Une envie d’être prise, dominée, guidée… par lui. Elle baissa les yeux, non par faiblesse, mais pour cacher ce qu’elle ressentait. Pour garder encore un peu le contrôle. Mais elle savait. Elle l’avait réveillé. Et il allait la prendre. Pas seulement son corps, mais ce qu’elle avait retenu depuis un an. La tension monta d’un coup. *Toi. Toute entière.* Les mots résonnaient en elle. Elle eut besoin d’air, de distance, d’échapper à la promesse de ce regard. Alors elle s’éloigna, doucement, sans un mot, jusqu’aux barrières en bois qui bordaient la place. Le feu d’artifice éclatait dans le ciel, mais elle n’avait plus les yeux levés. Elle avait les sens en vrac. Son ventre se contractait doucement. Elle avait chaud. Elle était mouillée, légèrement, et cela l’agaçait : elle voulait garder le contrôle. Mais elle savait. Marc la suivrait. Il ne la laisserait pas fuir. Et il ne la laissa pas. Il arriva dans son dos, se colla à elle, lentement, délicatement, mais sans appel. Elle sentit son sexe, dur, plein, prêt, contre elle. Ce n’était plus juste une érection. C’était une affirmation, une promesse silencieuse. Elle eut un vertige. Si elle avait été nue sous cette robe, il l’aurait prise là, contre le bois, sous les étoiles. Et elle ne savait même pas si elle aurait dit non. Sa main glissa sur sa cuisse. Trop bas. Trop vite. Elle la repoussa, fermement, sans brutalité. Pas ce soir. Pas là. Alors sa main remonta, plus sage, sur son ventre, puis plus haut. Sur son sein. Elle ne bougea plus. Elle le laissa faire. Parce que c’était tout ce qu’elle avait décidé de lui donner. Juste sa poitrine. Elle sentit ses doigts épouser la courbe, sa paume caresser la dentelle, son téton se durcir sous le tissu. Elle ferma les yeux, juste un instant. Elle avait envie de plus, mais tiendrait. Pas pour se refuser à lui, mais pour le faire brûler. Elle ne bougea pas. Sa main sur son sein avait suspendu le monde. Il s’approcha encore, son torse contre son dos, son souffle dans son cou, sa voix rauque : — Tu sais ce que je vais faire avec ce sein… Elle frissonna. — Je vais le goûter. Le savourer. Le caresser avec mes lèvres, lentement… Puis le lécher. Le sucer. Le garder dans ma bouche jusqu’à ce que tu t’agrippes à moi… et que tu me supplies. Elle déglutit, bouche entrouverte. Mais il n’avait pas fini. — Et tu sais quoi ? Je ne toucherai pas l’autre. Pas avant. Pas avant que tu me le demandes. Pas avant que tu me supplies de jouer avec les deux. Elle ferma les yeux, un vertige. Le mot “supplier” résonna dans son ventre, pas comme une menace, mais comme une promesse intime, troublante. Elle sentit un fourmillement entre ses cuisses, une chaleur lente, une envie muette. Elle voulait qu’il joue avec ses seins. Avec les deux. Mais pas tout de suite. Pas trop vite. Pas sans que ce frisson la dévore un peu plus. Et c’est là, dans cette attente tendue, qu’elle comprit ce qu’il faisait. Il ne la pressait pas. Il la dressait. En douceur. En silence. Par désir. Et elle… elle aimait ça. Le ciel s’embrasa. Des gerbes dorées éclatèrent en fleurs brûlantes, en vagues de lumière. La foule applaudissait, c’était le bouquet final. Mais pour Marc, le feu était ailleurs. Sous ses doigts, sur ce sein qui frémissait. Dans ce corps contre lui, qui tremblait sans fuir. Il pencha la tête, ses lèvres frôlèrent l’oreille d’Élodie, et dans un souffle grave : — Maintenant… Suis-moi. Une phrase simple. Une injonction. Et Élodie… elle obéit. Elle le suivit. Elle ne dit rien d’abord. Ses jambes se mirent en mouvement, presque d’elles-mêmes. Mais elle sentit le rouge lui monter aux joues. Dans le tumulte des applaudissements, elle murmura, à peine audible : — J’ai honte d’aimer t’obéir… Puis elle baissa les yeux, le cœur battant à ses tempes, entre ses cuisses. — … mais j’aime te suivre. Et j’ai… j’ai envie de te l’offrir. Ma poitrine. Elle n’est qu’à toi ce soir. Mais surtout… j’ai envie de te voir. De voir ce que ça te fait. De voir l’effet que j’ai sur toi. En le disant, un frisson immense la traversa. Parce qu’elle l’avait dit. Elle avait nommé ce qu’elle voulait : donner, mais voir. Obéir, mais troubler. Et Marc… lui, il sourit. Parce qu’il savait. Parce que c’était le début. Et elle venait de lui ouvrir la porte.
J'aime 04/07/25
Antoinette
Magnifique !
J'aime 04/07/25
3 ème "volet" après je devrais faire un pose je suis seulement dessus La grange se dressait là, un peu à l’écart, comme un décor de rêve éveillé. Les portes entrouvertes grinçaient sous la brise, le bois craquait sous leurs pas. La lune, haute et pleine, inondait l’intérieur d’une lumière pâle, presque bleutée. Ce n’était pas une lumière crue, ni impudique : juste… révélatrice. Élodie entra la première, hésitante. Elle avait suivi Marc sans protester, mais son cœur battait trop vite. Jamais elle n’avait été si près d’un moment qui n’était plus un jeu, ni une simple limite à tester. Il y avait eu des baisers, des attouchements. L’été dernier, elle l’avait même masturbé, dans la pénombre, dans un geste curieux et troublant. Mais c’était différent : presque mécanique, un cadeau offert à la hâte. Ce soir, elle se donnait un peu plus. Avec sa peau, sa bouche, son souffle. Marc vint à elle. Il la regarda longuement, cherchant dans ses yeux la certitude qu’elle était prête. Puis il sut. Ses mains trouvèrent sa taille, remontèrent sur son dos, la ramenant lentement contre lui. Le baiser fut doux, lent, profond. Elle y répondit d’abord avec timidité, puis avec un souffle nouveau. Jamais elle n’avait embrassé ainsi : avec le ventre, avec l’envie de se perdre. Sa langue caressa la sienne, sa main effleura sa nuque. Son corps se tendit, sa poitrine se gonfla contre lui, son sexe pulsa doucement sous la robe. Elle s’agrippa à lui, non par peur de tomber, mais parce que ce qu’elle ressentait la débordait. Un gémissement discret, vrai, lui échappa : son premier vrai gémissement de femme. Contre sa cuisse, elle sentit le sexe de Marc, dur, prêt. Cette sensation la fit rougir intérieurement, mais aussi sourire. Elle avait ce pouvoir : elle l’excitait, elle. Elle ne dit rien, n’osant pas briser la magie. Mais dans sa tête, tout tournait. Je suis vraiment en train de l’embrasser. Il me tient. Il me veut. Et je veux qu’il me touche… Juste là… Juste mes seins. Le baiser s’effila doucement, leurs souffles mêlés. Marc posa sa main sur sa cuisse, lentement, presque avec respect. Elle se tendit sous son toucher, mais ne recula pas. Sa main glissa, remonta le long de sa jambe, effleurant la lisière de la robe. Élodie ferma les yeux, un frisson la traversant. Puis, retrouvant un peu de maîtrise, elle murmura, douce mais ferme : — Tu m’avais dit que tu jouerais avec mes seins… Un sourire naquit sur les lèvres de Marc. Sa voix, profonde, presque un murmure, répondit : — C’est vrai. Alors… allonge-toi. Elle s’exécuta, sentant le bois frais sous elle. Marc resta debout, dominant la scène, promesse suspendue dans l’air épais de la grange. — Montre-moi, souffla-t-il, désignant son décolleté. Lequel veux-tu que je découvre en premier ? Le silence s’installa, chargé d’attente. Élodie, le souffle court, la peau frémissante sous la dentelle, leva lentement la main, désignant d’abord le sein gauche, puis, espiègle, le droit, comme pour tester sa patience. Marc la regarda, un éclat de feu dans les yeux. Tout était prêt. Le jeu pouvait commencer. La lumière de la lune glissait sur sa peau nue, dessinant des ombres délicates, caressant chaque courbe à peine cachée par la dentelle. Élodie, allongée là, sentait le bois sous elle, son souffle court dans le silence de la vieille grange. Elle avait imaginé ce moment mille fois : s’offrir, jouer, se livrer. Mais jamais elle n’avait pensé qu’il faudrait… choisir. Choisir. Le mot résonnait en elle comme un défi. Elle voulait lui offrir toute sa poitrine, comme un trésor. Mais devoir désigner, pointer du doigt, décider lequel de ses seins il caresserait en premier ? Elle n’y avait jamais songé. Son cœur battait la chamade, entre excitation et peur. Elle voulait qu’il la touche, la prenne, la dévore. Mais elle était troublée, presque déstabilisée par cette demande. Marc s’agenouilla à ses côtés, si proche qu’elle sentait la chaleur de son souffle. Ses yeux cherchaient la flamme, cette hésitation, ce feu prêt à embraser la nuit. — Élodie… commença-t-il, calme, posé, presque comme un ordre offert en cadeau. — Ne t’ai-je pas dit que tu devais me supplier ? Elle sentit une vague de chaleur monter à son visage. Supplier. Un mot qu’elle n’avait jamais vraiment osé prononcer. — Pas tout, pas tout de suite. Pas ce soir. Tu vas désigner… un seul sein. Sa main, ferme mais tendre, se posa sur la courbe qu’elle avait indiqué. Il caressa doucement, lentement, faisant naître un frisson d’anticipation qui la traversa tout entière. — Un seul. Pas les deux. Pas avant que tu ne me supplies vraiment. Sa voix était douce, mais chaque mot vibrait d’autorité. Élodie sentit la puissance tranquille de cet homme, ce pouvoir qu’elle désirait autant qu’elle le redoutait. Elle baissa les yeux, troublée. Elle voulait lui offrir plus, mais devait apprendre à céder, à se perdre dans ce jeu d’abandon. Son doigt trembla. Elle désigna timidement le sein droit, plus ferme, plus généreux. Un premier pas. Marc sourit, satisfait. Son regard s’adoucit, comme une récompense pour cette soumission naissante. — Bien. Tu apprends vite. Il approcha ses lèvres du bord de la dentelle, effleurant la peau avec une tendresse brûlante. Élodie sentit son souffle se suspendre, son corps répondre à cette promesse de plaisir. Elle se surprit à espérer qu’il ne s’arrête jamais. Mais aussi à vouloir qu’il lui ordonne davantage. Ce soir, elle voulait surtout être sienne. La grange baignait dans le silence complice de la nuit, seulement troublé par le feu d’artifice lointain. Marc resta immobile un instant, le regard fixé sur le sein qu’Élodie avait désigné. Sa main glissa sous le corset, soulevant lentement la dentelle, dévoilant la peau douce qui vibrait sous ses doigts. Un frisson parcourut Élodie. Son souffle se fit plus court, son ventre se contracta d’anticipation. Il était là, près d’elle, la faisant exister tout entière. Marc approcha ses lèvres, effleurant la peau avec une lenteur exquise. Il posa un baiser léger, puis un autre, jusqu’à ce que sa langue caresse délicatement le téton, le faisant durcir sous sa caresse experte. Un gémissement sourd lui échappa, presque involontaire, confirmation douce que ce contact lui faisait un bien fou. Son corps se cambra, cherchant à se rapprocher, mais elle garda la maîtrise, savourant chaque seconde. Marc ne cachait rien de son plaisir. Sa fermeté contre la cuisse d’Élodie témoignait de son désir. Mais ses mains exploraient, découvraient avec une tendresse possessive. Il reprit son baiser, plus profond, aspirant doucement le sein qu’il tenait avec révérence. Sa voix rauque murmura contre sa peau : — Tu sens comme tu es douce… Comme tu m’appartiens déjà, même quand tu ne me laisses qu’un seul sein. Élodie, le souffle suspendu, se surprit à espérer que la nuit ne finisse jamais. Le désir de Marc contre elle, mais surtout le sien, s’étirait, s’épanouissait. Chaque caresse était un cadeau, reçu avec gratitude et excitation. Marc continuait ses baisers, lentement, inlassablement, explorant le sein d’Élodie avec une maîtrise déchirante. Sa langue le taquinait, l’effleurait, le savourait. Sa main libre glissait sur la peau nue de sa cuisse, remontant à la recherche de la fente de la robe, instinctivement. Élodie ferma les yeux, son souffle s’accéléra. Elle sentit les doigts s’approcher de l’interdit, de cette chaleur secrète déjà palpitante… Et c’est là qu’elle le dit, dans un souffle, mais ferme : — Non… Marc… Juste mes seins. Ses mots tombèrent doucement, comme une frontière posée avec pudeur mais conviction. Elle ouvrit les yeux, croisa son regard, et ajouta, plus doucement : — Je… je ne suis pas prête pour le reste. Pas encore. Et ce que tu me fais là… C’est déjà si fort… si bon… Je ne veux rien d’autre, juste ça. Marc la regarda longuement, tension et respect mêlés dans les yeux. Il aurait pu insister. Mais il ne dit rien. Il sourit. Un sourire qui disait : Tu m’excites encore plus quand tu te respectes. Alors il reposa sa main sur son ventre, reprenant sa caresse sur son sein avec une tendresse renouvelée, plus lente, plus profonde. — D’accord… murmura-t-il contre son téton durci. Tes seins. Rien d’autre. Mais entièrement. Jusqu’à ce que tu me supplies de les prendre tous les deux. Sous cette phrase, sous ses gestes, Élodie s’abandonna encore un peu plus. Elle n’était pas pénétrée. Mais elle était possédée. La grange semblait s’être refermée sur eux. La lune, complice silencieuse, éclairait la scène d’une tendresse pudique. Marc poursuivait ses caresses, sa bouche chaude et avide ne quittant plus le sein offert. Il le goûtait, l’embrassait, le suçait doucement, longuement. Sa langue tournait en cercles lents, taquinant le téton devenu douloureusement sensible. Ses doigts le pressaient, puis relâchaient, l’effleurant du plat de la main, jusqu’à ce qu’il devienne le centre de tout le corps d’Élodie. Elle s’y perdait. Tout son être se concentrait là, dans ce sein adoré. Elle avait l’impression de ne plus respirer, et pourtant jamais son souffle n’avait été aussi vivant. Sa robe la brûlait, sa peau était en feu, ses hanches frémissaient, comme si son sexe cherchait malgré elle ce qu’elle avait refusé. Mais non. Ce soir, elle l’avait décidé : ce seraient ses seins. Et elle voulait qu’il les prenne tous les deux. Qu’il la dévore de plaisir… là, seulement là. Ses doigts s’accrochaient à la paille, ses jambes bougeaient doucement, son ventre se tendait sous la main immobile de Marc. Et puis… ce fut plus fort qu’elle. D’une voix tremblante, chargée de désir, elle murmura : — Marc… S’il te plaît… J’en peux plus… Prends… prends les deux. Occupe-toi des deux… s’il te plaît… Fais-moi vibrer partout… là. Fais-moi tienne. Juste par mes seins… Ses mots la brûlaient. Mais ils étaient vrais. Jamais elle n’avait supplié ainsi. Marc sourit. Il s’était redressé un instant, pour mieux la regarder. Son regard était noir de désir, ses lèvres brillantes, sa respiration rauque. Mais il ne répondit pas tout de suite. Il la regardait fondre, savourant ce pouvoir. Puis enfin, sa voix tomba, calme et tranchante : — D’accord… Je vais t’offrir ce plaisir. Mais offre-moi quelque chose en échange. Élodie entrouvrit les lèvres, surprise. Sa poitrine se soulevait à chaque inspiration, offerte, presque douloureuse de désir. — Tu… tu veux quoi ? Il pencha la tête, un sourire en coin, et sa réponse, murmurée, fut sans appel : — Ton string. Elle eut un mouvement de recul, imperceptible. Un doute, une résistance. Elle n’était pas prête pour plus. Mais il ne demandait pas "plus". Juste… lui enlever cette dernière barrière. Ce bout de tissu, ce rempart à sa pudeur. Il la fixa. Et cette fois, sans tendresse : — Maintenant. Élodie inspira. Ses joues rosirent. Mais elle ne voulait pas reculer. Pas après avoir supplié. Alors, lentement, elle glissa ses mains sous sa robe. Ses doigts tremblaient. Elle attrapa la fine lanière de dentelle noire, la fit glisser le long de ses hanches. Le tissu effleura sa peau, descendit le long de ses cuisses… et, en soulevant légèrement le bassin, la robe s’ouvrit un peu plus. Elle sentit son sexe, nu, exposé à la lumière de la lune. Et plus encore — au regard brûlant de Marc. Elle détourna les yeux, submergée de honte et d’excitation. Elle venait de lui céder son ultime barrière, pas sa virginité… Mais la clef de son intimité. Elle lui tendit le string, les mains tremblantes, sans oser croiser son regard. Marc le prit, sans un mot, le glissa dans sa poche, comme un trophée, une promesse. Puis il revint à elle. Cette fois, ses deux mains se posèrent sur ses seins. Ses lèvres reprirent leur danse, plus voraces, plus profondes. Il les malaxait doucement, les suçait alternativement, les adorait. Élodie se cambra. Elle ne contrôlait plus rien. Son corps était un feu. Ses hanches cherchaient un contact, ses cuisses se frottaient, son ventre se contractait par vagues. Sa respiration s’emballa, ses doigts s’accrochèrent à la paille, un gémissement lui échappa, long, brisé, proche du plaisir… si proche. Mais il lui manquait quelque chose. Elle n’osait pas se caresser. Elle en avait envie, désespérément, mais ne voulait pas le faire devant lui. Et pourtant… elle n’en pouvait plus. Marc leva la tête. Il avait senti ses tremblements, sa tension, ses soupirs courts, ses mouvements de bassin. Son regard remonta vers elle, lucide, troublant. — Tu es si belle quand tu retiens ton plaisir… Elle le regarda, les yeux brillants, sur le fil. Il se pencha vers son oreille. Sa voix fut un souffle chaud : — Et si je t’offrais ma bouche… ailleurs que sur tes seins ? Il n’en dit pas plus. Juste cette phrase, cette proposition. Elle sentit son sexe pulser à cette idée. Elle voulut dire non. Mais rien ne sortit. Et puis, d’un souffle étranglé, elle murmura : — Oui… Elle n’avait pas dit "je veux". Pas dit "vas-y". Elle avait juste cédé. Un oui arraché à la frustration, à l’envie, à la folie du plaisir qu’elle ne pouvait plus contenir. Marc sourit. Il descendit lentement, comme une prière silencieuse, la caressant du regard avant même de la toucher. Ses mains glissèrent sous ses fesses, soulevant légèrement son bassin, l’installant contre sa bouche avec une délicatesse qui contrastait avec la tension brûlante de son désir. Élodie bascula la tête en arrière, surprise par la tendresse ferme de son emprise, et par la chaleur immédiate de ce contact : la bouche de son amant sur elle. La première caresse fut lente, profondément lente. Sa langue effleura sa féminité nue, comme s’il goûtait au tout premier fruit d’un été trop long. Un gémissement rauque, son dos se cambra, son corps entier se souleva pour aller à sa rencontre. Ses mains, crispées dans la paille, montèrent à sa poitrine, ses doigts tremblants se posant sur ses seins offerts. Ses propres caresses complétaient les siennes. Elle se pinçait doucement les tétons, les malaxait avec la même lenteur, comme pour guider ses gestes, amplifier les sensations. Marc ne s’arrêtait pas. Sa langue traçait des arabesques, des mouvements circulaires, des va-et-vient appuyés, guidé par ses soupirs, ses frémissements, le langage secret de son corps. Elle ondulait. Ses hanches bougeaient d’elles-mêmes, cherchant à l’enfoncer plus profondément dans son plaisir, comme si elle voulait qu’il la pénètre de sa bouche, la posséder sans briser son vœu. Et lui… il répondait. Il tenait bon. Il la goûtait, la buvait, comme s’il voulait se nourrir de son plaisir. Puis soudain… Le souffle d’Élodie se brisa. Ses doigts s’agrippèrent à sa poitrine. Elle sentit le pic venir, une vague haute, violente, irrépressible. — Maaarc… Un souffle d’extase. Son prénom. Et elle jouit. Longuement. Profondément. Entièrement. Son corps se tendit, puis se relâcha lentement dans la chaleur moite de la paille, le cœur battant au rythme de cette libération brûlante. Elle n’était plus qu’un souffle. Un frisson vibrant. Une femme comblée. Le silence retomba. Juste leurs souffles. Marc remonta lentement vers elle, s’allongea un instant, caressant sa joue du dos des doigts. Puis, calmement, il se redressa, s’agenouilla près de son visage, et dit d’une voix douce, mais ferme : — Fais-moi la même chose, Élodie. Elle ouvrit les yeux, encore tremblante. Elle ne s’y attendait pas. Elle avait reçu… et voilà qu’il lui demandait. Non, qu’il attendait. Elle hésita, mais quelque chose en elle vibrait. Pas dans son corps, ailleurs. Dans ce souffle, dans cette chaleur… dans cette obéissance étrange qui la fit frissonner de plus belle. Élodie avait toujours cru qu’elle serait gênée, incapable, maladroite. Mais là, dans l’intimité moite du foin, avec encore les frissons de l’orgasme, c’était différent. Le monde s’était réduit à eux deux, à cette chaleur, à cette phrase qu’il venait de souffler : — Fais-moi la même chose, Élodie. Il ne l’avait pas dit méchamment. Il n’avait pas levé la voix. Et pourtant, c’était un ordre. Un doux ordre. Et elle sentit son ventre se contracter à cette idée : lui obéir. Elle le regarda, haletante, ses yeux cherchant une échappatoire dans la pénombre. Mais il restait là, calme, sûr, assis près d’elle, sa virilité dressée contre sa cuisse, imposante mais offerte, comme une invitation silencieuse. Il ne forçait rien, il attendait. Il lui avait donné… maintenant il voulait recevoir. Elle se redressa lentement, sur les coudes d’abord, ses seins nus frémissant dans la nuit. Puis elle se tourna vers lui, et ses mains tremblèrent un peu en s’approchant. C’était nouveau. Inconnu. Mais pas sale. Elle voulait essayer. Pour lui, pour elle, pour ce frisson brûlant entre les cuisses qui ne s’éteignait pas. Elle effleura sa peau d’abord, curieuse, presque timide. Il était chaud, vivant, palpitant. Son souffle à lui aussi s’accéléra. Et ce souffle… la porta. Elle se pencha, posa un premier baiser sur le bas de son ventre, comme il avait fait. Puis un autre, plus bas. Et enfin, ses lèvres frôlèrent ce membre dressé, qu’elle accueillit d’abord entre ses doigts Un instant, elle hésita. Puis elle se souvint de sa langue sur elle, du plaisir qu’il lui avait donné. Alors, elle ouvrit doucement les lèvres… et le prit en bouche. Ce n’était pas facile. Ce n’était pas instinctif. Mais ce qui la submergea à ce moment-là, ce fut l’intensité de sa réaction à lui. Il gémit. Il soupira son prénom. Et soudain, elle comprit. Ce n’était pas qu’un geste. C’était un don. Un pouvoir. Elle le suçait avec précaution, apprenant les mouvements, la pression, le rythme. Et plus elle s’appliquait, plus son excitation à elle renaissait. Pas physique cette fois, mais mentale, émotionnelle. Il lui avait dit : « Fais-moi la même chose »… et elle le faisait. Elle le faisait bien. Elle se donnait à lui. Et il aimait ça. Elle le sentait, dans ses gémissements, dans sa main posée sur ses cheveux, dans sa façon de se retenir un peu, pour ne pas jouir trop vite. Et ça, pour elle, c’était une forme de jouissance différente : le plaisir de donner, d’obéir… et de faire naître le désir. Élodie le sentait. Entre ses lèvres, le plaisir de Marc montait, pulsait, devenait plus vif. Il peinait à se retenir, sa main dans ses cheveux devenait un peu plus ferme, ses gémissements plus profonds. Elle ne savait pas vraiment si elle devait continuer… ou ralentir. Elle n’eut pas à choisir. D’un murmure rauque, il dit : — Attends… Elle leva les yeux, surprise, les joues rougies, les lèvres encore entrouvertes. Il se retira doucement d’elle, puis se pencha au-dessus de sa poitrine dénudée et, dans un souffle court, tendu… il jouit. Son plaisir jaillit en plusieurs giclées chaudes, épaisses, atterrissant sur la douceur laiteuse de ses seins. Elle sursauta légèrement, plus par surprise que par gêne. Elle n’avait jamais imaginé ce genre de chose. Et pourtant, elle ne bougea pas. Elle le regardait, haletante, fière et tremblante, alors que sa semence s’étalait sur sa peau nue. Puis, dans un geste inattendu, il posa ses mains sur sa poitrine, l’étala lentement, massant ses seins doucement, presque tendrement. Un frisson la traversa de haut en bas. Ce n’était pas sale. C’était étrangement intime. Comme s’il la marquait, la liait à lui. Elle le laissa faire, les yeux mi-clos, sentant la chaleur glisser sur sa peau, le parfum de l’acte encore suspendu dans l’air. Lorsqu’il eut terminé, il lui embrassa le front, puis l’aida à remettre sa robe légère, sans soutien-gorge. Elle sentait le tissu fin se coller légèrement à ses seins encore humides, ce qui la fit frissonner de nouveau. Il sourit doucement, en rangeant son pantalon : — Tu peux retourner au bal si tu veux… mais j’ai une condition. Elle le regarda, intriguée. — Ta culotte. Je te la rendrai… une autre fois. Elle ouvrit la bouche, sans savoir quoi répondre. Il ne plaisantait pas. Et quelque chose en elle… adorait ça. Il la sortit de sa poche, la serra entre ses doigts, la porta même à son nez dans un geste presque trop intime. Puis il la remit dans sa poche. — Tu peux y aller, Élodie. Mais je saurai que tu n’as rien sous ta robe - - - (Je pense rajouter un petit paragraphe pour montrer ce que ressent Élodie en arrivant sur le bal) - - -
J'aime 04/07/25
Antoinette
C'est de la littérature erotique. C'est très vanille. De quoi faire un livre ?
J'aime 04/07/25
J'aimerais bien j'avoue (faire un livre), la suite imaginée et, dans un premier temps, la même relation mais vue par Marc . Puis j'hésite mais je pense qu'elle va se marier avec un autre homme pour le coup vraiment vanille. Ayant très peu goûté mais goûté quant même au plaisir de l'abandon et de dire "oui" elle va s'ennuyer dans son couple et chercher un amant qui aime dominer et trouver un vrai maître qui va la faire évoluer dans le milieu D/s Si tu as "audible" j'ai adoré "l'éveil de l'ange" et c'est ce titre qui m'a donné envie de mettre mes envies sur papier. Si tu n'as pas audible, le premier titre est gratuit un conseil (si tu aimes écouter des histoires) prends le
J'aime 04/07/25 Edité
Antoinette
Nous n'avons pas les mêmes goûts littéraires. En tout cas on ressent mieux votre univers mental.
J'aime 05/07/25
Vous préférez quel genre ? Je viens de regarder votre profil je comprends mieux que pour vous ce soit très - trop vanille. J'ai beaucoup moins d'expérience que vous (ma femme n'est pas du tout attirée par ces "relations" (ce terme ne colle pas mais je suis pressé). D'où ma recherche après avoir perdu ma première soumise (déménagement en région parisienne pour elle qui a son regard lors de notre dernière rencontre en voulait surment plus que ce que j'étais prêt à lui offrir)
J'aime 05/07/25 Edité
Antoinette
Tu vas trouver, tu as le sens des mots. Et puis fait un peu de sorcellerie. Crée une amulette de ta future soumise et amuse toi à lui faire subir des choses. C'est ta soumise....tu penses qu'elle est là. J'adore les actes magiques.
J'aime 06/07/25 Edité
Je vais essayer de suivre des conseils.
J'aime 07/07/25