"Le transfert a réussi ! The transfer was successful ! " (*)
Je hurle ma joie à destination de mon Maître et de Sonia, en espérant qu'ils m'entendent.
Je perçois la voix lointaine de mon Maître venant du canot en contrebas.
"Bravo! Qui est l'hôte ? "
"C'est moi ! It's me ! "
J'ai un sourire jusqu'aux oreilles - j'espère qu'il le voit sur l'écran de contrôle.
Le vent s'est levé et fait un bruit d'enfer à flanc de falaise. Les félicitations de nos propriétaires sont à peine audibles mais on les sent appuyées.
Le soumis, qui vient de retrouver les sensations dans sa bite, est très excité et me demande la permission de jouir dans mon cul.
Je ne sais pas - ce n'est ni à moi, ni à lui de décider.
Sa voix porte plus que la mienne. D'un commun accord, c'est lui qui pose la question à nos propriétaires, pour nous deux.
L'accord ne tarde pas à venir. J'en suis heureuse - il l'a bien mérité. Moi je n'ai plus aucune sensation dans le cul - deux paires de zébralyvox, c'est radical... - mais j'aime donner du plaisir.
La descente à flanc de falaise est presque plus angoissante que la montée - je ne ferai pas cela tous les jours! Le soumis descend après moi. Il n'est plus en érection. Sa bite pendante et ses couilles se balancent joliment pendant la descente. Je n'arrive pas à en détacher mon regard. Mon Maître l'a bien remarqué. "Salope...", me dit-il affectueusement à l'oreille.
De retour dans la crique, mon Maître me prend par la main. Le contraste entre nos couleurs de peau, sublimé par la lumière très particulière du Nord, me fait penser au Yin et au Yang. Noir et blanc entrelacés, complémentarité du Maître et de l'esclave, lien fusionnel. Le bonheur m'envahit.
Sonia et son soumis s'éloignent discrètement, nous laissant seuls. Sonia est intelligente - elle a compris qu'à ce moment-là nous avons besoin de nous retrouver à deux, seuls au monde.
Nous nous asseyons sur deux rochers qui semblent avoir été placés là à dessein et philosophons. Mon Maître me fait penser à un vieux sage africain. Je bois ses paroles. Il m'écoute attentivement aussi. Je ne me suis jamais sentie autant aimée et valorisée que depuis que je suis sa chienne. Aucun mot ne saurait exprimer le bonheur que je ressens à être là, nue, face à cet homme que j'admire.
Comment expliquer ce lien si subtil ? Comment expliquer le bonheur d'être esclave de l’homme que l’on aime ? C'est impossible je crois.
Il me met la laisse, pour rejoindre la cavité vaginale dans laquelle nous retrouvons Sonia et son soumis. Sur le trajet, je l'informe de la sollicitation du jeune homme sur le ferry. Il décide de ne pas me punir – il admet que matériellement il m'eût été difficile de le contacter.
"Il te reste trois jours sur l'île - Profites-en et donne-lui du plaisir"
"Je ne peux pas rester avec vous, Maître ? "
"Il y a certaines choses que je ne peux pas te dire. C'est mieux pour ta sécurité. Obéis et ne pose pas de questions ! "
Oui, bien sûr, j'obéirai. Sans discuter. Je l'ai toujours fait.
J'ai juste le temps de dire au revoir à Sonia et à son esclave. Mon Maître me rend le sac à dos contenant mes vêtements et m'ordonne de rejoindre mon hôtel.
De retour à l'hôtel, j'imprime le formulaire d'évaluation que j'avais sur mon PC et j'expédie un mail au jeune homme pour lui proposer de visiter l'île ensemble comme il le souhaitait.
Je me réveille brutalement au milieu de la nuit et j'ai l'illumination. Mon cerveau a travaillé pendant mon sommeil. Depuis le début j'étais intriguée par le ballet parfaitement synchronisé du zébralyvox gémellaire dans le flacon. Il scannait son environnement, c'est sûr! Le couple de zébralyvox agit comme un capteur différentiel, et en se déplaçant en parfaite synchronisation il se construit une image tridimensionnelle de l'activité électrique dans son voisinage. C'est comme cela qu'il détecte précisément les foyers de douleur. C'est aussi comme cela, sans doute, qu'il détecte la présence d'autres zébralyvox. C'est pour cela qu'il a une grosse tête - enfin, deux grosses têtes... Deux cerveaux intriqués, dédiés à la localisation fine des impulsions nerveuses.
La grande quantité d'images Sonar géolocalisées mais de mauvaise qualité dont Sonia dispose, ne pourrais-je pas les traiter selon le même principe pour, par corrélation, calculer des images plus précises ?
Le lendemain matin je trouve sur mon mail une réponse enthousiaste du jeune homme, qui me propose un lieu de rendez-vous où se retrouver pour visiter l'île ensemble.
Je passe le prendre à l'endroit indiqué. Avec les contrôles aléatoires liés au fucking pass, il faut être très prudent. Je ne peux pas lui proposer de venir me baiser à l'hôtel. Un employé de la réception risquerait de nous dénoncer à la milice. Et puis, les échanges par mail sont peut-être surveillés. Il faut faire très attention à ce que l'on écrit.
Je m'habille en pute, un peu comme sur le ferry, mais en plus explicite - ordre du Maître. Sans culotte bien sûr. Collier d'esclave au cou. Autant qu'il n'ait aucun doute sur le fait que - certes nous nous retrouvons pour visiter l'île - mais aussi qu'il pourra visiter mes orifices sur simple demande. Je me lubrifie le cul avant de partir.
Dès qu'il monte dans ma voiture, il remarque les lacérations du fouet et des ronces sur mes jambes, et m'interroge. L'occasion pour moi de lui expliquer, en rougissant, que je suis esclave, propriété d'un Maître, et ici avec son accord. Ouf! Ce n'était pas facile à dire pour moi qui suis une grande timide, mais comme ça c'est fait, les choses sont claires.
Après avoir visité les ruines spectaculaires du château Hammershus, qui surplombe la Baltique, nous trouvons une table de pique-nique à proximité. Je meurs de faim, n'ayant rien mangé à l'hôtel ni la veille au soir, ni au petit déjeuner. Les insectes ça me dégoûte, mais malheureusement au sein de la Suprême Alliance Démocratique cela devient de plus en plus difficile de trouver de la nourriture traditionnelle.
Il a apporté un panier de pique-nique et pendant que nous déjeunons il finit de me raconter l'histoire millénaire et sanguinaire de ce château. Il est vraiment sympa. Je l'apprécie de plus en plus.
L'amélioration des images Sonar me trotte dans la tête. Après le pique-nique, je lui demande de m'accorder 30 minutes. Je sors mon PC portable pour tester une idée. Je suis comme ça. Quand une idée me trotte dans la tête, cela tourne vite à l’obsession. Il me pose des questions. Il s'intéresse. Je ne peux pas tout dire, mais juste un peu, ayant du mal à modérer mon enthousiasme. J'adore parler de ce qui me passionne - mais je ne dois pas être trop bavarde. Il me parle des études scientifiques qu'il envisage. Tiens donc! Les sciences n'intéressent plus les jeunes en Occident. Il me plaît vraiment ce gars.
Alors que je m'apprêtais à remonter dans la voiture, il me prend par la main et m'attire dans un coin un peu isolé, au milieu des ruines. Le site n'est pas fréquenté en cette saison, heureusement. Je sais ce qui va m'arriver, et j'en mouille déjà.
Il me retire lentement ma robe, tout en m'embrassant, découvrant les marques de fouet qui me strient tout le corps. Il a un petit mouvement de recul, certainement surpris par ces marques qui ne laissent aucun doute sur la sévérité avec laquelle je suis dressée. Puis il me complimente. Je ne sais pas si c'est pour mon physique ou pour la perverse beauté de mes marques.
Il m'avoue que je suis la première femelle qu'il va pénétrer et qu'il est un peu intimidé. Cela m'intimide aussi. Je vais essayer d'être à la hauteur et de ne pas le décevoir. Je lui dis de ne surtout pas s'embarrasser de préliminaires, de ne pas se soucier de mon plaisir. Mon Maître me baise ou m’encule toujours directement, sans ménagement, alors j'ai l'habitude, et j'adore être prise ainsi. Et puis, je suis déjà bien trempée. Je lui dis que mon cul est déjà lubrifié, s'il souhaite me prendre par là. Mais il préfère la chatte pour une première expérience. Tant mieux, moi aussi. Je lui demande dans quelle position il souhaite me prendre.
Il cherche un endroit confortable où je pourrai m'allonger sur le dos, cuisses écartées, pour recevoir la bite. Herbe et mousse. Mon Maître n'aimerait pas ça. Je lui explique que l'allée de graviers fera parfaitement l'affaire pour l'esclave sexuelle que je suis.
Il semble intimidé, lui qui était plein d'assurance sur le ferry. C'est sa première expérience. Je lui dis qu'il peut prendre le temps d'examiner comment je suis faite, si ça le rassure. Il ne se fait pas prier, écartant sans ménagement mes lèvres intimes pour bien exposer l'entrée de mon con à son regard perçant. J'ouvre les cuisses du mieux que je peux pour lui faciliter la tâche. C'est à mon tour de me sentir intimidée et gênée d'être ainsi examinée comme de la viande, et pourtant c'est moi qui le lui ai proposé. Tant pis, au point où on en est, un peu surprise par mon audace, je lui explique, en rougissant, que j'ai toujours un spéculum dans la boîte à gants de la voiture (ordre de mon Maitre) et qu'il peut aller le chercher s'il veut ouvrir mon con en grand pour voir comment je suis faite à l'intérieur. Je n'ai pas besoin de le lui répéter! "Il y a aussi des gants et genouillères dans mon coffre", ais-je ajouté - c'est moi qui doit morfler sur les graviers, pas lui.
Après avoir pris tout son temps pour découvrir mon anatomie de femelle, il me met la bite sans préliminaire. Oh la vache! Si j'avais su que l'allée serait aussi inconfortable j'aurais fermé ma gueule. Mon dos racle les gravillons anguleux à chaque coup de bite. C'est pénible ! Un vrai supplice. Malgré l'inconfort je m'efforce de ne pas montrer le calvaire que j'endure, pour qu'il n'ait pas de scrupule à me baiser avec toute la vigueur de sa jeunesse. Je n'aurai pas d'orgasme, tant pis pour moi, mon dos me fait trop mal. L'essentiel est qu'il y prenne du plaisir et j'imagine déjà ma fierté quand je raconterai cela à mon Maître. Mes symbiotes n'ont rien fait pour atténuer la douleur. Sans doute sont-ils encore trop faibles pour migrer rapidement à l'intérieur de mon corps.
Trois jours de tourisme agréable, en bonne compagnie, et de baise dans la nature. On peut imaginer pire comme séjour! Cela m'aide à supporter l'absence de mon Maître. Il adore le sexe et m'a pénétrée plusieurs fois par jour. Quelle santé ! Lorsque les circonstances le permettaient, que ce soit en levrette, sur le ventre ou sur le dos, il prenait un malin plaisir à me faire endurer le martyre en me baisant sur les sols les plus inhospitaliers: graviers, rochers rugueux, algues dures et sèches, petits coquillages, dalle de béton, plantes épineuses, et même un nid de fourmis, ... Mon corps en porte les stigmates. A plusieurs reprises il a prétexté un oubli pour réviser son cours d'anatomie. Le spéculum a bien servi et mon con est passé plusieurs fois au contrôle technique.
Je l'aide à améliorer son Français - surtout du vocabulaire graveleux. Je lui raconte comment mon Maître m'a dressée à utiliser un vocabulaire conforme à ma nouvelle condition. Cela l'excite - rien de tel pour bien apprendre les langues étrangères. "Tu es une femelle à présent, une chienne, une pute gratuite" me disait mon Maître. "Tu ne diras plus mes seins, ma vulve, mon vagin. Tu diras mes mamelles, ma chatte, mon con. Et le plus souvent, tu préciseras mes mamelles de chienne, ma chatte de pute, mon con de salope, quand tu me parleras de ton corps. Si tu te trompes tu seras punie". Il me demande si cela a eu un impact sur mon comportement. Cela me semblait potache, mais, oui, je dois avouer que ça a eu beaucoup plus d'impact que je ne l'imaginais. Cela m'a aidée à bien m'imprégner de ma nouvelle condition d'esclave femelle.
Avant de se quitter, il me demande la permission de me photographier nue pour garder le souvenir de mon corps meurtri par tous les sols agressifs sur lesquels j'ai été saillie. Un sadique est né. Finalement, il fait des dizaines de photos, en terminant par une série de gros plans de ma "chatte de pute". Enhardi, il finit par me mettre le spéculum pour prendre quelques clichés de mon "con de salope", grand ouvert. Génial, il a bien retenu le vocabulaire. Quand la motivation est là, tout va !
"J'utiliserai ces photos pour réviser mon vocabulaire", ajoute-t-il. J'aime son sens de l'humour. Il me plaît beaucoup.
Il a eu l’occasion de visiter mes trois orifices avec sa bite. Je lui demande lequel il préfère. La chatte ! Dommage que ce ne soit pas l’avis de mon Maître, qui me la met presque toujours dans le cul… Avant de le quitter je lui tends le formulaire d'évaluation, en lui demandant s'il veut bien le compléter, le signer et le mettre sous enveloppe cachetée que je remettrai à mon Maître. Je sais que si mon évaluation est mauvaise, je serai sévèrement punie. Mais je suis confiante - je suis certaine qu'il a passé un bon moment. S'il est honnête - ce que je crois - il devrait bien me noter.
Réveil de bon matin. Ce sont mes dernière heures sur l’île. La veille au soir j'ai travaillé jusqu'à très tard pour écrire un programme de traitement des images Sonar. Je n'ai aucun moyen de joindre Sonia. Je me lève très tôt et j’emprunte le sentier côtier au pas de course, pour redescendre dans la crique, en espérant qu'elle y est encore.
Je me déshabille entièrement avant d'entrer dans la cavité vaginale. J'ignore quelles sont les idées de Sonia, mais visiblement son esclave est toujours nu en sa présence, alors je ne voudrais pas commettre d'impair. Nous sommes complices, mais cela n'autorise pas les comportements déplacés. Même si je ne lui appartiens pas, elle est Dominatrice, je suis esclave. Me présenter habillée devant elle me semblerait impoli.
Je n'entends aucun bruit. Probablement qu'elle est déjà partie. Ah non! J’aperçois la lumière.
"Hello Ysideulte ! What are you doing here ? "
Son soumis, nu, me salue également. Sa bite est emprisonnée dans une minuscule cage métallique, dont l'intérieur est hérissé de longs pics acérés destinés à dissuader l'érection. Le pauvre... C'est inhumain de traiter un homme de cette manière, me dis-je.
Le temps d'expliquer mon idée à Sonia et de lui transférer les programmes que j'ai écrits, je dois déjà repartir si je ne veux pas rater le ferry.
Je n'ai pas le temps d’attendre les résultats du traitement, qui va nécessiter plusieurs heures de calcul. Espérons que ce sera concluant et que Sonia pourra en tirer quelque chose.
En guise d'au-revoir, elle m'embrasse tendrement tout en glissant ses doigts dans ma fente. Elle sait y faire... Je ne tarde pas à jouir. Décidément, moi qui me croyais 100% hétéro, mes convictions sont fortement ébranlées.
Elle me félicite chaleureusement de m'être présentée nue. "You behave in a manner that honours your Owner !". Visiblement elle ne me tient pas rigueur de l'écart de comportement que j'ai eu. Emportée par mon enthousiasme quand je lui expliquais comment utiliser mon programme je me suis adressée à elle comme à une amie... "Lower your eyes, slavegirl ! No sustained eye contact without permission" m'interrompit-elle sèchement au milieu de mes explications.
Je reprends la route. Traversée sur le ferry, puis direction la Bretagne ! 20 heures de route ! Je fais une étape en Allemagne - J'ai trop peur de m'endormir.
Sur la route, les friches industrielles témoignent de l'effondrement de l'économie Allemande, autrefois florissante. Depuis le sabotage de 2022, commandité par les yankees, la rupture irréversible de l'approvisionnement en énergie bon marché au profit du coûteux gaz de schiste américain a sonné le glas des industries qui faisaient autrefois la fierté du pays.
L'hôtel est de bon standing et je peux profiter d'un petit déjeuner classique. Cela fait du bien avant de reprendre la route.
En France, sur l’autoroute, les panneaux lumineux disposés à intervalles réguliers répètent jusqu’à l’écœurement le message du moment "Tous zébralysés - Tous protégés".
La campagne politico-médiatique en faveur de l'injection du zébralyvox génétiquement modifié vendu par la filiale pharmaceutique de la BAFC (Bill & Alvértos Fucking Corporation) bat son plein. L’injection fut d'abord réservée aux personnes âgées ou souffrantes. C'est maintenant la totalité de la population qui est incitée à se faire injecter le coûteux symbiote. Quelques complotistes, promptement censurés et conduits illico-presto en hôpital psychiatrique, ont prétendu que sans tarder des mesures plus coercitives seront mises en places. Mais ce sont des élucubrations sans fondements, assurent les fact-checkers, qui ont interrogé le Ministère de la Vérité.
Si mon hypothèse est la bonne, le zébralyvox OGM, stérile, cloné, privé de son jumeau, est incapable de localiser correctement les sources de douleur, incapable de scanner son environnement. Aveugle, privé d'énergie électrique, une mort rapide l'attend. Déjà, des messages commencent à circuler comme quoi la zébralysation devra être renouvelée fréquemment. Pour remplacer les symbiotes morts, sans doute... Et pour remplir par la même occasion les caisses de la BAFC.
Près de chez moi, un centre de zébralysation vient d'ouvrir, comme partout dans le pays.
C'est presque en larmes et désespérée par l'avenir qui nous attend que je sors la clé de ma maison. Mais la porte s'ouvre devant moi.
" Maître ! "
Enfin un rayon de soleil dans cette déprimante société démocratique.
à suivre
(*) Contexte
L’histoire se situe dans un futur proche, la France étant à présent membre de la Suprême Alliance Démocratique, une puissante fédération de démocraties modernes et progressistes. Pour en savoir plus sur le contexte social, humain, et technologique, la liste de mes articles précédents se trouve ici : https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication).
Dans mes articles, les quelques paroles laissées en langue étrangère (anglais, danois) ne sont pas indispensables à la compréhension de l'histoire. C'est un choix volontaire pour mieux coller à la réalité. Si vous souhaitez une traduction de certaines paroles n'hésitez pas à me le demander dans le champ de commentaires (un traducteur automatique peut aussi faire le job).
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