Antoinette
par le 27/07/25
158 vues

-A genoux, petit impertinent. Je commande et tu obéis.  

Auguste, l'empereur qui règne sur les mondes n'est plus que l'esclave de sa femme, la très belle Livie. Il a besoin de cela pour son bien, pour oublier sa lourde charge, ses soucis et se vider la tête.  

Livie prend une  dure et souple  baguette en olivier, une qui fait bien mal. Une qui siffle bien quand elle frappe. 

-Tu n'es plus mon empereur, juste mon esclave et je dois te punir. 

Elle lui demande de se mettre nu et de s'allonger sur le ventre sur le carrelage froid. Auguste s'exécute. Il reçoit une sévère correction. Ses fesses sont rouges. Livie frappe très fort et fait très mal. Il gemit  il lâche prise. 

Livie prend un fouet de lanières de cuir tressées. Elle passe un collier d'esclave au tour de cou de son époux et l'attache contre une colonne de marbre. 

- La baguette c'était juste pour te chauffer le cul. Maintenant tu vas recevoir ta punition et tu devrais supplier longtemps pour que je cesse. Le fouet vole et claque. Auguste subi la dure loi de sa femme. Son dos est en feu. Une douleur terrible. Il supplié. Livie ne l'écoute pas et le claque encore plus fort. C'est leur pacte d'amour. Elle brise toute résistance, toute fierté chez son Auguste qui souffre et qui l'aime pour cela. 

Puis elle le détache, s'assoie sur son fauteuil d'imperatrice. C'est elle le César maintenant. Elle remonte sa longue tunique sur ses jambes superbes. Écarte les cuisses et dévoile son intimité devant Auguste à genoux. 

-Viens honorer de ta langue ta Maîtresse petit vermisseau.  Et fais cela bien car sinon je brûlera ton dos avec une bougie. 

Auguste s'exécute encore.  Il dévore le sexe de son épouse. Dégage son délicat clitoris et le suce. Livie tremble et jouit plusieurs fois dans sa bouche. Son intimité moite sent si bon. Auguste bande fort. Livie s'en aperçoit. 

- Comment oses tu  ! Le fouet ne suffit pas. Je vais te jetter aux lions. Auguste tremble. Il sait combien Livie peut être impitoyable et s'affranchir de toutes les règles des jeux. Il sait combien parfois elle semble n'avoir plus de limites. Il a peur tout à coup. Il voit son regard humide, ses yeux brillants et si durs. 

-Non, pas les lions. Qui dirigerait Rome ? 

-Moi bien sûr. Et je commencerai par faire fouetter tous les sénateurs.  Le peuple m'aimera pour cela. Les lions vont faire un bon repas ce soir. Ce n'est pas tous les jours qu'ils ont un empereur au menu. 

- Non pas les lions, tu sais combien je t'aime. 

- bander sans permission ne saurait rester sans punition. Que proposes tu en échange de ta vie ? 

 

Thèmes: auguste, livie, bdsm, rome
4 personnes aiment ça.
mael
Auguste à genoux repond: l'amour !
J'aime 27/07/25 Edité
Antoinette
Je vois que tu as su trouver la seule réponse acceptable pour Livie. Elle prend Auguste par la main et le mène vers le lit conjugal. -prend moi par les fesses. Tu sais combien j'aime cela et honore moi bien jusqu'à ce que je morde les coussins. Ils vécurent heureux longtemps et n'eurent pas d'enfants....une contraception efficace.
J'aime 27/07/25
Antoinette
Anthony Everitt est l’un des biographes contemporains les plus lus d’Auguste, et sa thèse est nuancée, rigoureuse, mais aussi pleine d’intuitions sur les dynamiques psychologiques et politiques du couple impérial. Voici ce qu’on peut dire de sa position concernant la relation entre Auguste et Livie, notamment dans “Augustus: The Life of Rome’s First Emperor” (2006). 🔹 Ce que dit Anthony Everitt sur Livie et Auguste Livie est le pilier invisible du régime Everitt décrit Livie comme intelligente, froide, stratège, et extrêmement influente dans les décisions politiques. Elle n’était pas une épouse de second plan mais une co-régente officieuse, bien que toujours dans les limites acceptables de la morale romaine. Elle maîtrisait l’art de conseiller sans jamais imposer directement, ce qui, dans la Rome patriarcale, était une forme subtile de domination. Un couple uni, mais pas romantique Leur mariage était plus politique qu’érotique. Everitt pense que leur union reposait sur la loyauté, la stabilité, le contrôle. Ils n’ont pas eu d’enfants ensemble, ce qui pourrait indiquer une vie sexuelle peu active, ou transformée avec le temps en une relation de pouvoir, d’esprit et de stratégie. Auguste respectait profondément Livie, et lui faisait une confiance rare. Il suivait souvent ses avis, parfois contre ses instincts. Livie, impératrice du privé Everitt suggère que dans la sphère privée, Livie pouvait dominer Auguste moralement et émotionnellement. Il ne parle jamais de sexualité sadomasochiste ou de domination physique, mais on sent, entre les lignes, qu’Auguste se reposait sur elle comme sur une autorité supérieure en matière de jugement. C’est une forme de domination douce mais constante, que certains pourraient transposer aujourd’hui dans un registre de domination psychologique ou relationnelle (le "power exchange"). Leur dynamique comme fondement de l’Empire Everitt fait une lecture quasi psychanalytique : Auguste avait besoin d’un contrepoids à sa toute-puissance, et Livie remplissait ce rôle avec brio. Elle était la discipline, la retenue, l’ordre — le miroir de son propre projet politique. Il est donc possible qu’Auguste ait éprouvé un désir d’être "tenu", symboliquement, par une autorité morale comme Livie. 🔹 En résumé (en prose, sans tableau) Anthony Everitt ne parle jamais de BDSM ou de pratiques sexuelles déviantes dans leur couple. Mais il insiste fortement sur l’influence mentale, morale et politique de Livie sur Auguste. Elle est décrite comme la figure d’une Domina invisible, exerçant une forme de contrôle subtil mais total sur l’homme le plus puissant du monde. Il ne s’agit pas de cuir, de fouets ou de rites secrets, mais plutôt d’un jeu de pouvoir profond, intérieur, implicite. Une forme de "soumission consentie" de l’Empereur à sa Reine de glace. IA et la thèse d'Anthony Everitt sur ce sujet
J'aime 27/07/25
mael
Je préfère ta version à celle plus soft et littéraire d'Anthony Everitt. Et c'est Livie qui se faisait enculer au final. Le rôle passif était très mal vu chez les citoyens romains et totalement inacceptable chez les patriciens. Les gods ceinture, en bois, ivoire, marbre, cuir,...existaient deja chez les romains. Je crois que Livie avait l'intelligence de préserver la virilité de son Auguste. Une forme très moderne de pratiques bdsm dans un couplé très uni et complice, tout en haut d'une pyramide de pouvoir impitoyable. Antoine et Cleopatre s'en sont vite rendu compte.
J'aime 27/07/25
mael
Livie, superbe imperatrice romaine et dominatrice de talent, au petit matin. Toute souriante après s'être bien fait enculer par son auguste époux.
J'aime 27/07/25
mael
Pour le dimanche en blanc....
J'aime 27/07/25