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Ce matin-lĂ , un Ćil curieux pouvait remarquer deux femmes chargĂ©es traverser, sous l'ombre bienvenue des arbres dans l'allĂ©e, le parc du Peyrou. Il les verrait passer prĂšs de l'Arc de Triomphe, murmurant peut-ĂȘtre dĂ©jĂ des insanitĂ©s complices. Il les verrait glisser sur les pavĂ©s du vieux Montpellier et progresser Ă petit pas dans la descente vers la cathĂ©drale Saint Pierre.
Le soleil cogne dĂ©jĂ impitoyablement, l'air est moite et promettrait presque un orage d'Ă©tĂ©, qui ne viendra pas...?S'il n'est pas allĂ© Ă leur rencontre, c'est qu'il se prĂ©pare Ă subir les assauts sodomites de la domina. Mais il est prĂȘt Ă leur arrivĂ©e.
Toutes deux retrouvent avec bien-ĂȘtre le domaine hĂ©tĂ©roclite de l'homme qui leur sourit, torse-nu, dans l'entrebaillement de la porte. Rien n'a vraiment changĂ© depuis un an. Les instruments de musique modernes et anciens, d'ici ou d'ailleurs n'ont pas quittĂ© leur place. Ni les livres et les objets d'art.?Cela sent plus l'encens que le stupre, mais mon Ćil avise d'emblĂ©e une autre collection : des godemichĂ©s tous plus gros les uns que les autres. Les voir Ă©talĂ©s ainsi Ă la vue dans un effet compact et dense nous laisse rĂȘveuses.
?Elle a apportĂ© ses fouets et son vibrateur, ainsi que deux ou trois autres jouets. J'ai mes cordes, ma boĂźte d'aquarelle, un livre Ă©rotique. Nous avons projetĂ©, les uns les autres, certains scĂ©narios mais il faut nous rĂ©apprivoiser tous les trois, ensemble.?Sonne l'Angelus. Grouillent les estomacs. Les premiers plaisirs sont de chĂšre : bonne charcuterie, bons fromages, bon pain, bon vin augurent des agapes de chair Ă venir. Une belle façon d'entamer cette journĂ©e. Nous la finirons de mĂȘme...?Il nous raconte, il nous enchante, en musique et en narrations. Nous sommes suspendues toutes deux Ă ses lĂšvres. Je la masse aussi, l'huile d'amande douce glisse sur ses Ă©paules et son dos, sa nuque, comme glisse la voix mĂąle et suave entre nos oreilles. PrĂ©liminaires...??PassĂ© l'instant de partage artistique et gastronomique, de sensualitĂ© douce, nous parlons de nos envies. J'Ă©voque un jeu d'Ă©tĂ©, une sodomie filmĂ©e, et diverses autres fantaisies. On ne dĂ©flore pas tout. On laisse l'appĂ©tit grandir, le dĂ©sir s'installer, palpable entre les murs ou sous la poutre oĂč sont fixĂ©es des chaĂźnes.
Ă ces chaĂźnes pendent deux anneaux. C'est son jeu Ă lui, son choix. Il m'enfile les anneaux aux bras puis scelle un carcan enserrant poignets et cou.
Me voilà captive, maintenue à la poutre, oscillante-battante entre quatre mains curieuses et avides. L'une claque sur mes fesses, main d'homme longue, large, un battoir sur ma peau qui chauffe, tandis qu'une main féminine apporte son lot de plaisirs, doigtage et caresses pour contrebalancer la rudesse de la fessée.
Lui pose des aspire-tétons sur mes seins. Ma bouche hésite entre les gémissements plaintifs et les cris de jouissance. La badine remplace la main de l'homme, impitoyable, sÚche, vive, mordante. Elle laissera son empreinte en hématomes violacés.
Lui se place contre mon dos. Sa queue raide prend mon cul sans ménagement. Je pousse un cri de surprise et de douleur, mais bientÎt le plaisir poind son nez inévitable, envahissant. Elle pose un vibrateur sur mon sexe brûlant, le plaisir grandit, prend son envol.
L'orgasme, le premier, violent. Lùcher prise, pleurs. Je ne porte pas de baßllon pour bloquer mes bruits de voix, je me sens baver, en longs filaments. Jusque sur son visage, qu'elle essuie, hallucinée. Puis elle essuie ma bouche suintante.
Il s'est retiré. Un leurre. Il y revient plus tard, aprÚs m'avoir doigtée avec fougue. Il m'encule à nouveau énergiquement et elle me stimule. Combien ai-je eu d'orgasmes ? Trois, quatre ? ?Il me détache enfin et je retombe tout molle, inerte et repue sur le lit. Anéantie, ailleurs et ici pourtant, le corps démis, dégoncé, abandonné entre les bras de l'amant et sous le regard bienveillant de la domina. Instant de calme, de tendresse pour tous les trois. Nous sommes en sueur, lui surtout, d'avoir tant donné de sa personne.??La suite s'enchaßne sur des plaisirs buccaux en tout genre, avec beaucoup de sensualité. Et sur un godage en rÚgle de celui qui goûte tant le plaisir anal. Doigté, godé, puis fisté par elle, trÚs concentrée, les yeux agrandis par le désir, une lueur de gourmandise tellement palpable dans son regard. Il est à quatre pattes, offert et gémissant. J'écris le début d'un texte érotique sur son dos mais il transpire tellement que les lettres se brouillent dans la foulée. Je lis puis il doit prendre le relais tout en étant fisté, ardemment. Je me délecte des mots et de la vue. Il y est question de cunnilingus, entre autres. Je me place devant lui, ma vulve face à son visage. Comme il est troublant de le voir me lécher et se faire fister, et la voir, elle, son visage empreint d'une jouissance toute cérébrale. Délices de voyeuses démultipliés, agrandis par les sensations tactiles, les sons, les claquements de langue et les gémissements.
Les cunnilingus se suivront sur l'une ou l'autre au cours de la journĂ©e, des jeux d'exhibition et voyeurisme, des jeux uro, c'est un festival de chair et de peau, de regards et de mots, de cris et de feulements. Voir une femme jouir est si beau, regarder un homme lui apporter cette jouissance est si voluptueux. Je ne m'en lasse pas...??Puis, elle s'empare de ses trois serpents qui s'apprĂȘtent Ă siffler sur nos peaux enlacĂ©es. Fouetteuse Ă©mĂ©rite, son geste est sĂ»r, net et en mĂȘme temps sensuel, quand parfois j'ose un regard vers elle. C'est une danse. Lui et moi serrĂ©s l'un contre l'autre d'un cĂŽtĂ©, tournant devant elle. Ses serpents et elle, qui tournoient avant de s'abattre. Cela claque, cela single. StoĂŻque face Ă la douleur, lui ne bronche pas, quand je pousse des cris aigus et formule des protestations. Mais aĂŻeuuuu ! J'assume ce cĂŽtĂ© chochotte annoncĂ© bien avant le dĂ©but de la journĂ©e. RevendiquĂ© mĂȘme.
Il m'agace, cet impassible au sourire tranquille ! Sa maßtrise est parfaite et mes bavardages stériles contrastent de façon ridicule avec sa zénitude. Il m'entoure de ses bras protecteurs et sourit. La séance ne dure pas trÚs longtemps, juste une découverte de ses talents. Merci Lady Spencer.
Et merci Abyme pour nous avoir accueillies chez toi pour cette journée mémorable. L'atterrissage a été long aprÚs une telle intensité.
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Je ferme les yeux et je me laisse remonter le temps : mercredi dernier, une journée chaude, trÚs chaude ....
Un problÚme de voiture et Lullaby vient me récupérer : elle dort chez moi, ce qui nous offre cette complicité perverse de prévoir nos jeux : pourrons-nous tous les réaliser ?
Pas certaine, mais aucune importance : nous partons le lendemain chez Abyme, à deux pour jouer avec lui, sur lui et en lui : en nous aussi bien sûr
Je redis à Lullaby que je ne suis toujours pas bi mais mon voyeurisme est tel que j'apprécierai toutes scÚnes érotico-porno-orgasmo- et plus si affinités ....
Je veux voir, sentir, ressentir, je suis excitée mais je masque sans trop savoir pourquoi : mes désirs se font intenses, je me caresse sur le canapé alors que Lulla dort au 1er : je tais ma jouissance
Chez Abyme, la chaleur est lourde, il ferme les fenĂȘtres pour Ă©viter que les cris de plaisirs ne glissent vers la cathĂ©drale : il aura raison .
Fin de matinée : nous arrivons déjà trempées par la chaleur mais Abyme nous rafraichit rapidement : il est fatigué de ses jeux de la veille, avec une femme rencontrée peu avant, son accueil s'en ressent .
Sans doute n'est-il pas simple non plus de naviguer entre une switch, Lullaby, et une domina, moi : qui veut quoi dans tout ça ?
Et toi, Abyme : tes désirs te portent vers quoi et vers qui ?
Lullaby joue Ă le provoquer : hmmm, est-ce bien prudent ?
Mes désirs sont clairs : je veux revivre "une fontaine" et je veux le cul d'Abyme : je veux le baiser et le fister : j'adore !
Lulla laisse couler une petite phrase : "oui, je vais prendre ton cul aussi, Abyme" .....
Déjeuner de belles et bonnes choses ouvrant nos appétits, je goûte un Gigondas délicieux, moi qui ne bois pas ....
Lullaby explique qu'elle a un gage ou plutÎt, un "devoir" à remplir pour son parisien dominateur : avant la fin de l'été, elle devra comptabiliser 12 sodomies avec 12 hommes différents (tiens : une question ce soir : et aucune avec une femme ?), tout cela photographié ou filmé : je sens Abyme intéressé ....
Tenue maintenant appropriĂ©e et nous montons dans la chambre : Lulla sait qu'elle va ĂȘtre sodomisĂ©e, je ressens son excitation mais elle ne s'attend pas Ă ĂȘtre prise aussi vite et fort : elle aime les prĂ©paratifs, les caresses...
Abyme en a décidé autrement
Au-dessus du lit, une poutre oĂč sont fixĂ©es des attaches : Abyme ordonne Ă Lulla de prendre place sous les attaches : il la bloque, place un carcan, je l'aide et cette situation est loin de me laisser indiffĂ©rente entre les cuisses
Ses ordres tombent, secs, impétueux : il sait qu'un autre de mes désirs étaient de le voir DOMINER une femme : il va me donner satisfaction, oh combien !
En quelques instants, Lulla est bloquée, offerte, sa chatte et son cul à disposition, cette image est trÚs troublante
Je ne saisis pas son émotion à ce moment mais je vois son expression lorsque Abyme écarte ses fesses, vivement
Il branle sa queue déjà raide et se frotte sur ce cul tremblant : d'un seul coup de reins, il la pénÚtre et elle crie sous l'assaut : elle geint, et demande déjà plus de douceur : "je ne suis pas comme tes amies aussi facilement enculables " ....
Abyme redouble de vigueur et baise ce cul à grands coups de bassin : ce cul ouvert et dilaté qui fait couiner Lullaby de ce plaisir douloureux qui monte dans ses reins
Il sort son dard pour le rentrer de nouveau, sans dĂ©licatesse, enculant plus fort encore le cul palpitant : il la lime, la baise, la viole presque, exige qu'elle dise aimer cela, et de sa voix entrecoupĂ©e de sanglots de plaisir, elle murmure aimer ĂȘtre prise ainsi
Je vois Abyme en MaĂźtre absolu de cette baise Ă©chevelĂ©e, sa queue dure amenant Lullaby Ă cette jouissance si puissante qu'elle en pleure, en bave comme sa chatte bave : je ne rĂ©siste pas au plaisir de la visiter, sa chatte, je la pĂ©nĂštre de deux doigts et je caresse le membre mĂąle contre la paroi tendue : je suis excitĂ©e, terriblement et en mĂȘme temps, Ă©tonnĂ©e de vivre cela
Mon regard en sera témoin lorsque nous regarderons la vidéo plus tard : un étonnement de tant de plaisirs partagés sur ce cul sodomisé violemment
Abyme ne cesse ses va-et-vient, il redouble de force : elle jouit sous ses coups de butoir, lui se retient bien-sûr ...
Il reprendra son cul plus tard dans la journĂ©e, pour la faire gĂ©mir et hurler de plaisir, je branlerai sa chatte de nouveau, en pĂ©nĂ©trant en mĂȘme temps son cul : mes doigts pinceront la fine paroi, je masturberai aussi son clitoris, dur et sensible
Elle s'effondrera, tremblante, les bras marqués par les attaches, les cuisses pleines de mouille et de sueur, les cheveux collés sur son visage, les lÚvres rouges de désir et de plaisir : ce plaisir brutal qu'elle a tant aimé !
Lorsquâil la dĂ©tache, elle s'effondre sur les draps trempĂ©s : tout se mĂ©lange : les liquides d'orgasmes, la sueur, les larmes, les bouches aussi .
Elle est secouée de spasmes et ses larmes donnent à son visage ce teint rosé la rendant belle en sa jouissance : Abyme lui dit ces mots là , la cùline, la protÚge, la serre dans ses bras
Elle retient ma main qu'elle garde dans la sienne et murmure un "merci" pour cette complicité
Elle dira mĂȘme en me regardant tendrement : "toi qui te dis non bi ...." et Ă©clate de rire ....
La chaleur est presque insupportable, nos trois corps suent de plus en plus mais nous ne sommes pas rassasiés d'expériences et de sensations
Plus tard, Abyme, de nouveau dur, raide, avide de nous donner encore du plaisir, avide de m'offrir son cul également, rebaisera la chatte de Lullaby : une complicité charnelle entre eux qui les attire, les aimante dans ce se besoin de donner et de prendre .
Je sens ce besoin de fusion entre leur corps, je me mets en retrait mais je continue à jouer les voyeuses excitées : mon sexe est tendu, ouvert et plein de mouille chaude
Cette sensation de se sentir ouverte est prodigieuse : un appel à la queue véritable, ou aux doigts, ou un gode, qu'importe ...
Il ouvre ses lÚvres et branle son clitoris, délicatement puis par des mouvements circulaires rapides : elle crie encore, se tord sous ses doigts qui la pénÚtrent puis ressortent : il la veut encore, il le sent car elle veut aussi sa bite en elle
Son ventre de femelle l'appelle, il la retourne sur le ventre et la sodomise de nouveau : elle le reçoit sans protester mais couine sans cesse.
Il veut la voir jouir encore et encore, moi je le veux aussi : je n'interviens pas entre eux mais avec eux, je glisse mes doigts dans chaque orifice à ma portée
En Lulla, je plonge 2 doigts dans son sexe et je la harponne de mes doigts recourbés dans sa chatte : ses cris de plaisir me font couler et excitent Abyme : il est dos à moi, je le veux à 4 pattes, j'appuie sur son dos pour qu'il m'offre généreusement son cul tendu
Mes doigts l'ouvrent et le dilatent : quel accueil dans ce cul !
C'est mou, c'est chaud et trempé : il mouille du cul, cette salope !
Il se contracte sur mes doigts, j'en glisse un 4Úme puis le pouce : je me sens attirée dans cette antre, je veux le fister, je veux le posséder, je veux lui remplir le ventre , alors je force et je rentre en lui , je prends enfin son cul
Mon poing baise son cul, sans ménagement, je sais combien il aime sentir son cul baisé ainsi alors, je ne me retiens plus, ma main va et vient dans ce ventre affolé ...
Je veux me sentir prisonniĂšre de son cul, que je pense ne plus jamais pouvoir en ressortir ......
Je mets encore et encore du lubrifiant m'autorisant tous les mouvements au fond de lui : je veux le faire jouir ainsi mais je le sens crispé et pas en phase avec mon envie
Je sors de ce cul que j'aime tant pour le reprendre plus tard
Les mains d'Abyme trouvent nos chattes et les masturbent , sa queue reprend sa place contre le vagin et tape le fond pour la replonger en jouissance: les cris de Lulla reprennent , elle ne peut plus se contrÎler, elle jouit encore : pas forcément d'orgasme mais de plaisir orgasmique qui ne s'arrÚte plus ....
Une des plus belles images qui restera longtemps gravée en moi, sera de voir et d'entendre Abyme se lover contre Lulla et la cùjoler pour la faire redescendre doucement, avec des mots tendres, il la calme, la rassure, l'aime à sa maniÚre....
Plus tard en soirée, d'autres désirs nouent encore nos tripes : la pratique uro et la flagellation
Abyme installe tout le matériel au rdc : draps, couvertures... Questions techniques rapidement résolues : nous installons, nous nous préparons à vivre d'autres sensations, d'autres plaisirs
Abyme a un désir puissant : que nous urinions en lui et ce désir fait écho en moi : j'aime terriblement les jeux d'urolagnie : je les trouve indécents et j'aime ça !
Lullaby observe attentivement, n'ayant pas encore pratiqué : son regard brille tant elle veut offrir ce plaisir là à Abyme
Elle me suit dans mes envies également
L'installation demande quelques précisions : Abyme a besoin d'une excitation particuliÚre : une caresse lui procurant cette érection est de lécher Lulla, assise les cuisses écartées
J'adore entendre Lulla gĂ©mir sous la langue dâAbyme : il l'aspire, il la mord, il Ă©carte ses grandes lĂšvres, il tĂšte son clitoris et la fait couler : le plaisir monte entre les reins de Lullaby, elle feule, elle couine, elle crie de nouveau ...
Abyme me demande d'ouvrir son cul d'homme excité : je place le speculum, délicatement, je l'installe au fond de son cul et j'ouvre.
Je le dilate doucement mais implacablement : de le voir ainsi ouvert fait mouiller mon sexe, mon jus d'excitation coule sur mes cuisses
Abyme s'allonge sur le dos et remonte son bassin pour nous offrir son orifice béant : nous venons à tour de rÎle Lulla et moi tenter de vider notre vessie mais pour nous, ce n'est pas simple : se lùcher ainsi, ouvrir les vannes demande une capacité que nous ne trouvons pas : ce sera pour la prochaine fois : quel dommage !
Mais je veux redevenir fontaine et lui seul peut me procurer ce plaisir
Je m'allonge sur le dos, les cuisses largement Ă©cartĂ©es, je me sens enfin juste Femelle au bord de son prochain orgasme : je veux vivre de nouveau cette fontaine : Abyme se place face Ă moi, Lulla de cĂŽtĂ© et les doigts dâAbyme me pĂ©nĂštrent
Tout va vite, trop vite... je ne comprends toujours pas, je me contracte, une crainte de me laisser trop aller ..... Il me branle tellement fort que mon liquide sort et trempe son bras : je suis lĂ et trĂšs loin Ă la fois, je me sens trembler, je suis prise par un orgasme trĂšs bref mais tellement puissant !
J'expliquerai le lendemain à Abyme pourquoi je n'ai pas tout lùché : cette jouissance est tellement nouvelle pour moi que je cherche encore à maßtriser et à garder le contrÎle : il l'a ressenti au bout des doigts : la prochaine fois, Abyme, la prochaine fois, je lùcherai vraiment ....
Je reste allongée pour récupérer : suis-je Dominatrice à cet instant ? Oui, non, peu importe, je suis une femme pleine de désirs encore, pétrie de jouissance, je me moque de savoir si je suis dans une case comme je l'ai déjà lu ou entendu et ce qui va suivre m'excitera au plus haut point
Filo se place au-dessus de moi, embrasse Lulla, la doigte, puis il plonge sa queue dans ma bouche : je le suce et j'aime ça
Il se retire de ma bouche pour un autre jeu : il sait naturellement que j'aime ce qu'il va faire : il vise ma bouche et pisse dedans, par jets chauds et forts
Je le goûte, j'avale un peu, en laisse couler sur moi et j'adore cette sensation
Mais ce que je vais aimer plus encore, c'est cette urine chaude dont Filo remplit ma fente : il gicle en moi de longs jets ....j'adore !
Il pisse au fond de mon ventre, il me remplit , il me marque de ses phéromones urinaires ....et j'ai failli en jouir !
Et ça, Abyme ne le savait pas jusqu'à lire mes mots ce soir
J'imagine combien de femmes dominatrices réagiraient violemment en lisant ce récit : quoi ? de quelle espÚce de domina, LS fait partie ???
Je n'en sais fichtre rien et je m'en fiche : je veux clÎturer ce récit en remerciant Lullaby et Abyme pour la liberté de plaisirs vécus ensemble, pour ces éclats de rire, et pour cette perverse complicité d'homme et de femmes
Merci pour ces tremblements au plus profond de mon ventre en vous regardant tous les deux
Merci pour nos fous-rires avec Lulla
Merci pour cette fontaine si bien cachée au fond de moi : libÚre moi encore Abyme .....
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Pour rappel, quelques images de la séance sodo en carcan :
https://www.bdsm.fr/photo/394184/lullaby-seance/userid_14770
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