mael
par le 28/08/25
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Profession de foi de Super Macho, candidat à la présidence de la République française

Mesdames, Messieurs, attachez vos ceintures, ou plutôt vos menottes, parce que Super Macho arrive avec une tronçonneuse dans une main et un fouet dans l’autre pour remettre la France dans le droit chemin ! Ma campagne, c’est du cuir, du chrome et du pragmatisme bien huilé, inspiré par le chaos jouissif de Java le libertarisme galactique d’Elo et la poigne de fer dans un gant de velours de Gioa. Prêt(e)s à plonger dans mon programme ? Accrochez-vous, ça va piquer !

1. La tronçonneuse de la liberté 

On va tailler dans le gras de l’État, et croyez-moi, y’a de quoi faire un barbecue géant ! Fini les bureaucrates qui se la coulent douce en empilant des formulaires comme des briques de Lego. Je propose de découper 50 % des dépenses publiques inutiles : adieu subventions aux associations qui tricotent des écharpes pour pigeons, exit les comités Théodule qui pondent des rapports que même ma grand-mère ne lirait pas ! Avec ma tronçonneuse, je libère l’économie : flat tax à 15 %, suppression des taxes sur les entrepreneurs et baisse des charges pour que les PME arrêtent de se faire fouetter par l’URSSAF. La France doit rugir comme un V8, pas gémir comme un vieux diesel !

2. Libertarisme : chacun sa laisse, mais longue !

Chez Super Macho, on croit en la liberté individuelle, mais pas celle des pleurnichards qui veulent tout gratis. Inspiré par le grand Elo, je veux une France où tu peux lancer ta startup, coloniser Mars ou ouvrir un donjon BDSM sans que l’État vienne te mettre des bâillons administratifs. Dérégulation massive : fini les normes qui obligent à mesurer la courbure des bananes ou la taille des cages à poules. Tu veux construire une fusée dans ton garage ? Vas-y, mais assume si ça explose ! Et pour les woke qui veulent censurer ton humour ou ton X, je dis : liberté d’expression totale, pas de safeword ici ! On privatise aussi les médias publics : plus de France Télévisions qui endort tout le monde, place à des chaînes privées qui se battent pour ton attention.

3. Pragmatisme à l’italienne :  mais avec plus de cuir

Gioa, c’est la patronne qui sait tenir la barre sans perdre son style. Moi, Super Macho, je prends son pragmatisme et j’y ajoute une touche de panache. On sécurise les frontières, pas pour jouer les méchants, mais parce qu’un pays, c’est comme un donjon : faut savoir qui entre et qui sort. Immigration contrôlée : on accueille ceux qui veulent bosser et vibrer à la française, pas ceux qui viennent pour casser la baraque. Et sur l’énergie, on arrête les délires écolos qui nous font brûler des bougies : nucléaire à fond, gaz de schiste si besoin, et si les éoliennes veulent tourner, qu’elles le fassent loin des paysages qu’on aime !

4. Un État musclé, mais pas trop collant

L’État, c’est comme un bon dominateur : il doit protéger, guider, mais pas t’étouffer. Je veux un État minimal mais costaud : police et justice qui cognent fort contre les voyous, armée prête à faire trembler les ennemis, et écoles qui apprennent aux gamins à penser par eux-mêmes, pas à réciter des mantras. Exit les 35 heures, place au mérite : tu bosses, tu gagnes ; tu glandes, tu pleures. Et pour la santé, on privatise tout ce qui peut l’être, mais on garde un filet de sécurité pour que personne ne finisse à la rue sans collier.

5. Un président qui claque comme un fouet

Moi, Super Macho, je ne suis pas là pour caresser dans le sens du poil. Je veux une France qui retrouve sa testostérone, qui ose, qui innove, qui rigole fort et qui envoie balader les grincheux. Mon programme, c’est du concret, pas des promesses en latex qui se déchirent au premier frottement. Avec moi, pas de compromis mous : on coupe, on libère, on avance. Et si ça râle, je sortirai mon mégaphone pour rappeler qui est le patron !

Alors, citoyens, citoyennes, prêt(e)s à voter pour un président qui manie la tronçonneuse avec amour et la liberté avec fermeté ? Super Macho 2027, c’est maintenant, et ça va claquer !

Votez Super Macho, ou je vous mets au coin avec une fessée administrative ! 😜

 

Thèmes: humour, satyre, caricature
3 personnes aiment ça.
mael
Cool avec les personnages totalement imaginaires des fictions.
J'aime 28/08/25
mael
Une caricature qui prend volontairement un point de vue à contre-courant de la pensée dominante peut jouer un rôle très précieux pour stimuler la réflexion. Voici pourquoi : Effet de contraste : en bousculant les certitudes, la caricature met en lumière ce qu’on considère comme "normal". C’est en voyant l’absurde ou l’exagéré que l’on prend conscience de nos propres évidences. Miroir inversé : la caricature montre souvent "l’autre côté du miroir". Même si ce point de vue choque ou fait sourire, il oblige le spectateur à se demander : pourquoi est-ce que je rejette immédiatement cette idée ? Dévoilement des angles morts : la pensée dominante crée des zones d’ombre, des tabous ou des sujets sur lesquels on ne s’interroge plus. Une caricature peut pointer ces angles morts, parfois avec une seule image ou une exagération. Liberté d’esprit : accepter de rire d’une idée contraire à la majorité, même si on ne l’adopte pas, c’est un exercice de liberté intérieure. Cela ouvre l’espace du doute, et le doute est une condition de la réflexion. Déstabilisation créative : là où un discours argumenté peut sembler froid, une caricature touche par le choc visuel ou l’humour. Cette déstabilisation émotionnelle pousse à réagir et donc à penser. En résumé : une caricature contre la pensée dominante n’est pas forcément une vérité, mais un outil de friction intellectuelle. Elle ne dit pas "voilà la solution", elle dit plutôt : regarde autrement, même si c’est déplaisant, et demande-toi pourquoi tu penses ce que tu penses. Vive la liberté dans les fictions !
J'aime 28/08/25
mael
Continuonscle jeux avec analyse IA, dom ou soumis
J'aime 28/08/25
mael
Mitterrand était un Dom dissimulé, caressant et manipulateur : il avançait masqué, séduisait, contrôlait par le secret et l’ambiguïté. Un Dom joueur d’échecs, qui aimait que l’autre se sente libre tout en étant déjà piégé dans sa toile. Pas mal en qqs mots
J'aime 28/08/25
mael
Staline était un soumis paranoïaque devenu Dom monstrueux : humilié et brisé dans sa jeunesse, il a retourné cette douleur en un besoin absolu de dominer et d’écraser. Sa domination n’était pas jouissive mais compulsive, celle d’un soumis terrifié qui tue pour ne pas être à genoux. Effrayant
J'aime 28/08/25
mael
Mao était un Dom charismatique mais pervers, qui séduisait les masses comme un maître de cérémonie. Pourtant, derrière cette aura de chef absolu, il se comportait souvent en soumis hédoniste, se laissant servir, flatter et entourer de jeunes femmes : un mélange de Dom public et de soumis intime. Cela semble juste
J'aime 28/08/25