par le Il y a 13 heure(s)
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Une nouvelle séance avec Béa, celle-ci est très disponible en ce moment, contrairement à nos séances habituelles qui sont plutôt mensuelle voire plus éloignées.

Celle-ci est en télétravail, et donc je suis là pour la faire bosser différemment.

Je sonne à sa porte, elle m'ouvre, elle est en tenue avec sa nouvelle combinaison en dentelle, son collier de chienne autour du cou.

Elle respecte les protocoles que je lui ai enseignés, elle s'agenouille au sol, bras tendus vers l'avant, la joue sur le sol, la croupe écartée et relevée, une bonne soumise heureuse de s'offrir à son Maître.

Je prends la laisse, fixe celle-ci à l'anneau du collier, lui donne l'ordre de me suivre à quatre pattes vers sa chambre avec des mots crus pour l'humilier. 

Une fois dans la chambre, je lui ordonne de mettre les bras dans le dos, commence par lui contraindre les bras avec mes cordes rouges.

Je continue à l'encorder, les poignets, les bras, les,épaules, la poitrine, en dessous, au-dessus des seins.

Fait en sorte qu'elle soit dans l'incapacité de bouger et que cela soit beau, esthétique et efficace, qu'elle se sente possédée, offerte, ma chose.

Je lui ordonne de s’asseoir, prends une corde et commence par lier celle-ci autour de sa taille, passe la corde entre ses cuisses pour bien resserrer celles-ci, bien les contraindre.

Fais de même avec ses cuisses au plus près de ses genoux et serre encore plus fortement.

Prendre une nouvelle corde, passe celle-ci autour du haut de ses mollets, sert fortement pour qu'elle puisse sentir cette contrainte, cet abandon, cette offrande.

Je reprends à nouveau une autre corde, lie, attache, contraint ses mollets, plus bas.

Prends une nouvelle corde et fais ce qui m'a toujours fait vibrer au point que je n'ai, à ce jour, toujours pas compris, je contrains ses chevilles, bien serrées, l'une contre l'autre, bien prisonnières de ma corde, entendent le bruit, le croisement des escarpins à talons aiguilles, frotter l'un contre l'autre.

Là, assise devant moi, entièrement encordée , dans l'impossibilité de bouger, offerte à son Maître, mais également à ses fantasmes, ses envies, elle est à moi.

Je retire ses cheveux pris dans le collier, caresse son visage, glisse mon doigt dans l'anneau de son collier de soumise, la regarde droit dans les yeux, lui dis, maintenant tu ne t’appartiens plus, tu es à moi, je peux t'utiliser comme bon me semble et faire de toi ma chienne, ma soumise, mon esclave.

 Elle lève les yeux, me regarde, me dit : 

Je suis à vous Maître, faites de moi ce que bon vous semble, je suis votre esclave sexuelle, abusez de moi, je ne suis qu'un objet, un objet de plaisirs que vous pouvez pour vos plaisirs prendre.

Je la regarde un instant ainsi offerte, elle est magnifique, ainsi en noir et rouge, les cordes qui la font mienne et la rendent belle d'être à ce point soumise, objet, instant magique.

Je déboutonne mon pantalon, sors mon pénis de mon caleçon, saisi avec mes deux mains sa tête, et d'un ton fort et autoritaire, ordonne à mon objet de me donner des plaisirs buccaux.

 

Sans se faire prier, entièrement encordée, elle avance sa tête et se débrouille pour mettre en bouche ce pénis qui manque de motivations, de douceurs entre les lèvres féminines, douces et chaudes.

 

Elle commence par des petits va et viens, mouille bien mon pénis pour que celui-ci glisse bien entre ses lèvres.

 

 

Elle engloutit mon pénis de plus en plus vigoureusement, celui-ci grandit, gonflant sous le zèle de cette soumise qui effectue ses devoirs, les plaisirs de son Maître.

 

Elle effectue des gorges profondes, elle gémit de plus en plus, excitée d'avoir le pénis de son Maître en bouche et d'être à son service.

 

Au bout d'un moment, je saisis ses cheveux, forme une queue de cheval, me serre de celle-ci pour commander rythme et profondeur de cette fellation gourmande.

 

 

Elle gémit encore plus fortement de se sentir à ce point utilisée, n'être qu'un objet, que j'utilise comme bon me semble, relayée au statut de videuse de couilles, heureuse de ce fait d'être humiliée et de se sentir à sa place, à son rang.

 

 

Je lâche ses cheveux, mets mes deux mains sur sa tête pour saisir celle-ci, commence par un geste viril et puissant à baiser sa bouche.

 

 Je fais des va-et-vient puissant, à un rythme soutenu, effectue des gorges profondes, me délecte du spectacle comme des sensations visuelles et sonores de cette soumise devenue un outil pour mes plaisirs, un réceptacle pour ma semence.

 

 

A ce propos, la voilà qui monte, la sentant arrivée, je fais en sorte que mon pénis soit bien orienté pour remplir la bouche de ma chienne.

 

J'éjacule copieusement, du sperme inonde sa bouche et la quantité est telle, qu'elle avale un peu de ma semence.

 

C'est à ce moment bien précis, que je fais en sorte de bien lui remplir la bouche et de lui donner l'ordre de ne plus avaler, de garder mon sperme en bouche pour, saisir le bâillon boule que j'ai dans la poche arrière de mon pantalon. 

 

 

D'un geste rapide et précis, j'introduis la boule dans sa bouche et verrouille le bâillon très fortement serré. 

 

Surprise par cette action, elle ne comprend pas mon idée, elle tente d'avaler ma semence dans sa bouche mais, ne pouvant déglutir, elle est obligée de garder ma semence en bouche.

 

Je lui bande les yeux, l'allonge sur le côté, la prends par une pénétration soudaine et non progressive.

 

Elle est tellement mouillée que je la pénètre entièrement sans difficulté.

 

Elle hurle de plaisir d’être prise ainsi virilement, contrainte, attachée, bâillonnée, les yeux bandés, sans pouvoir faire quoi que ce soit, et c’est bien là, la puissance érotique, sexuelle du bondage, des contraintes et du sexe, n’est-elle pas là pour cela, n’être qu’une chose utilisée, abusée pour nos plaisirs.

Elle bouge, sursaute, spasmes de plus en plus forts, ne pouvant bouger, s’exprimer, voire, un premier orgasme se fait entendre, étouffé par le bâillon.

Elle tente de crier ses plaisirs, bave, doux mélange de salive et de sperme.

Un autre orgasme se fait entendre à travers la boule du bâillon.

Elle est vidée, sa respiration est haletante, je sens son cœur qui bat très vite.

Une fois l’avoir bien prise, je prends une nouvelle corde, relie ses chevilles aux cordes situées au milieu de son dos, tends cette corde très fortement, obligeant mon objet à plier

les jambes et empêchant de ce fait tout mouvement.

Complètement contrainte, dans l'impossibilité de bouger, d'avaler, n'étant plus que chose, la laisse ainsi profiter de ce moment et de ma semence en bouche.

Je prends mon portable, filme la scène, elle est magnifique ainsi offerte, grognant dans son bâillon, la bouche pleine, devant attendre l'ordre, d'avaler et d'être libérée salon le bon vouloir du Maître, mais le veut-elle vraiment !

Je la laisse apprécier ce moment, qu'elle prenne conscience qu'il n'y a que moi, suivant mon bon plaisir, de lui donner l'autorisation d'avaler, comme de la libérer.

 

Après un bon moment, je retire le bâillon et lui donne l'ordre d'avaler, lui retire le bandeau pour voir un regard excité et souriant, les joues rouge des plaisirs reçus.

Je finis par la libérer.

 De tout son corps, de toute son âme de soumise, elle vient s'agenouiller entre mes jambes, entoure une de celles-ci avec ses bras, et me dit :

 Merci mon Maître de m'avoir offert votre semence, c'est pour moi un privilège.

 Merci mon Maître de vous occuper de moi, de m'utiliser, de faire de moi votre chose, votre objet, avec vous je ne me sens pas femme et je vous remercie pour cela.

J'espère que le récit  de cette séance vous a plu, toujours  heureux de partager avec vous mes avancées dans notre monde, de partager celles-ci  avec celles qui désirent vivres leurs véritables nature en toutes Libertés d'être elles tous simplement.

Belle journée, Me Bernard

2 personnes aiment ça.
superbe récit..... dont un belle part m'a rappelé des souvenirs de choses réalisées réellement.... le bondage soigné et complet , progressif, permettant à la "chienne soumise" de son maitre lui faisant sentir sa condition comme aussi ce qui l'attend ( ce qui est loin de lui déplaire, maso soumise en confiance qu'elle est )....ainsi servie ensuite de "trou à vite buccal", elle est contrainte ( avec plaisir) de servir son maitre jusqu'a l'éjaculation de celui qui décide....et la contraindre ensuite par le baillon à sentir longuement le plaisir de celui qu'elle respecte profondément...elle n'avale ainsi, qu'avec SON ACCORD, le fruit de sa joissance...elle sait alors que c'est un "CADEAU" fait par son Maitre.... sa "réponse idéale serait ensuite d'avouer a son maitre qu'elle ne souhaite en tant que trou à bite soumis qu'elle est, est de le servir avec dévotion et comme il l'entrendra de lui donner tout plaisir qu'il désirera avec ses 2 autres "trous" qui lui appartient totalement... j'ai adoré cette situation , l'ayant vécu moi-meme..... cela s'est terminé à la fin par une autorisation pour elle de se masturber une fois détachée pendant que je fouettais ses seins....1f60e.png
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Merci pour votre message chère collègue, c'est toujours un plaisir de partager nos passions. Bonne soirée.
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bien d'accord avec vous, mon cher collègue, cela devient de plus en plus rare , comme la "réalité des experiences" vécues, ou simplement la sincérité des vécus ou opinions profondes... l'important reste la sincérité de nos envies ou des nos réalités deja vécues1f60e.png
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Si vous aimez mon récit, je vous invite à visiter mon blog, lien disponible sur mon mur. Mon donjon en images et vidéos, des échantillons de quelques séances avec ces dames, en textes, images, vidéos. Bienvenue dans mon domaine.
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