Zuip
par le 11/11/25
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A genoux ! A genoux !

Dans cette position d’humilité… d’abnégation…

 

je sais

que tu le fais

pour me satisfaire

obéir à mes désirs

ça te fait mouiller

et plus je t’humilie

te rabaisse

te rejette au sol

et plus tu mouilles

prête à en jouir

(il n’est pas encore temps)

 

A genoux… au sol… mains sur la tête… les reins cambrés… cuisses écartées… tu fais saillir ta croupe…

A chaque ordre, tu obéis… tu rectifies la position…

Tu sais ainsi que tu es : accessible : tes trous, tes orifices, ta bouche, ta chatte, ton cul… je vais les investir… les remplir… les fouiller…

Tu es accessible, mais surtout : vulnérable…

Dans cette position d’infamie… je vais te corriger…

A la cravache et au fouet… chacun dans une main… tu vas subir… je vais te corriger, te cravacher, te fouetter… pauvre chose…

 

Pauvre chose dont je fouille la bouche de mes doigts… pour vérifier ta docilité… parce que tu n’aimes pas ça… mais sentir sous mes doigts ta langue douce, chaude, humide… vaincre tes réticences… vaincre tes haut-le-cœur quand mes doigts s’enfoncent… te gifler pour bien te faire comprendre qui est le Maître… te gifler pour bien te faire comprendre que tu n’as pas le choix… te gifler parce que ça me fait bander…

Avant de t’embrasser peut-être… en me penchant sur toi… être sur ton dos pour empoigner tes seins… me réjouir et les faire souffrir en les pressant, les écrasant, en pinçant les pointes… je veux te faire couiner… te travailler au corps en empoignant tes courbes… doigter ta chatte pour vérifier que tu en mouilles… faire mon salaud en te faisant monter… non, tu ne jouiras pas !... pas tout de suite… pas maintenant… finir entre tes fesses… les écarter… pour mater ton ignominie… ouvrir ton trou parce que je sais que aimes ça… être enculée… et peu importe ce que j’enfile dans ton cul… alors deux doigts… ça suffira… pour te mettre dans cet état de désir…

Maintenant tu es bonne… maintenant tu es prête… je vais te corriger…

 

Que les coups pleuvent ! Et te cinglent !

Le fouet d’abord… sur ton dos et sur tes reins… Le fouet !... cette lanière de cuir qui vient te saisir… la douleur aiguë, cuisante qui irradie… se propage… inonde… Il va te falloir l’accepter… la dompter… l’apprivoiser… jusqu’à la désirer…

Le fouet… puis la cravache… sur tes seins… les envoyer valser… oh ! ce plaisir !

Non ! tu ne dois pas baisser les bras ! tenter de te protéger ! Malheureuse !... j’ai fait exprès de ne pas t’attacher… pour que tu subisses… volontairement…

Alors vite : la cagoule !

Cette cagoule que j’ai fabriquée… un simple morceau de cuir très souple qui enveloppe ta tête… attachée sur la nuque par des ficelles… et puisque que c’est comme ça : y attacher aussi tes poignets…

La cagoule : comme une délivrance… parce que tu aimes ça : ne pas voir, ne pas savoir… ça aussi ça te fait mouiller…

Alors tout recommencer… le fouet… la cravache… le fouet… l’un après l’autre… ou en même temps… sur ton dos, tes reins, tes seins… le fouet qui claque et tes seins qui valsent… te travailler au corps… pauvre chose…

Jusqu’à ce que…

 

C’est l’heure de jouir !

De te foutre… de te remplir…

Brutalement te pencher… la tête au sol… les cuisses bien ouvertes… je vais me faire tes trous… te niquer, te tirer, te baiser, t’enculer… te foutre par la chatte et par le cul… te remplir et te fourrer… avec ma bite, mes doigts, des godes… te faire jouir… et te faire jouir encore… jusqu’à ce que tu sois au bout… que tu n’en puisses plus… pantelante… liquéfiée… essorée…

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