Athos
par le 07/03/14
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Je suis assis à mon bureau travaillant sur l’ordinateur, elle est dans la pièce d’à côté sur le canapé, les lumières sont éteintes et nos pièces séparé par une arche sans porte sont éclairé par les lumières blafarde venue de l’extérieure et par celle bleutée de nos écrans respectif.

Alors que je ne mis attendais pas je voie une forme ce déplacé a quatre patte dans ma direction.

Je tourne une tête distraite et j’aperçois ma petite chienne qui a quitté son canapé et qui se dirige vers moi d’un mouvement lancinant.

Sa magnifique chevelure brune légèrement bouclée encadre en cascade son visage éclairé par les lueurs blafardes, un sourire aux lèvres.

Ses mouvement sont félin, plutôt inhabituelle pour une chienne pensai je en souriant.

Elle me regarde et dit « n’y voie aucune malice » mets ses fines mains sur mon pantalon et le descend doucement, prend mon sexe et tout en me regardant me mets dans sa bouche.

Je sens mon sexe durcir dans sa bouche sous ses vas et viens, j’apprécie en silence.

Apres quelques coups de langue elle arrête et remet mon pantalon.

Je la regarde étonné, elle me dit « juste parce que j’en avais envie » et s’apprête à repartir un sourire aux lèvres.

Je la retiens par le bras et lui dit « tu crois t’en sortir comme ça ? »

elle me répond « oui ,en rigolant, mon film reprend »

je ne dis rien mais sourit , finis mon travail, laisse passer quelques minutes puis me lève à mon tour, me met devant elle, la regarde d’en haut. Elle lové sur le canapé, sourie.

Je passe une main amoureuse et tendre dans ses cheveux, appuis sur sa tête et la dirige doucement vers mon sexe

. Elle rigole mais ne se fait pas attendre.

Elle se met à genoux pour mieux me sucer et cela réveille mes envies de soumission.

Je lui demande si elle a envie d’une petite séance.

Elle me répond de son joueur et habituel « peut-être » un sourire sur le visage.

Resserrant ma prise dans ses cheveux je ne lui laisse pas le choix et lui donne le rythme.

je l’entend s’étouffé avec mon sexe, comme j’aime cela, puis je la laisse continuer, pendant que moi je la relève en position debout mais penché, elle sait que quand nos séance commence et quel me suce peu importe ce que je fais sa bouche ne doit en aucun cas quitter mon sexe sous peine de punition.

Je lui fais enlever son pantalon pendant qu’elle continue à s’occupé de moi puis la remet à genoux, a sa place.

Je la laisse la et vais chercher son collier, que je lui mets immédiatement.

Sa bouche se jetant sur mon sexe a peine suis-je revenue dans la pièce.

A partir de ce moment elle n’est plus rien, elle n’est plus humaine, elle est ma chose, ma chienne, ma larve, mon objet, mon dévidoir.

Je le lui rappel en lui faisant baiser mes pieds.

Pendant ce temps je lui passe un doigt sur son cul et descend vers son sexe qui dégouline comme je l’aime.

Bien.

Je l’oblige à me regarder puis lui met une gifles pendant qu’elle me suce, puis une autres, puis encore une autres, cela l’excite.

Elle me met dans sa bouche jusqu’à s’étouffer puis ressort, un long fil de bave et de sperme nous reliant.

Puis recommence jusqu’à l’étouffement.

Je me retire sans prévenir, part dans l’autre pièce et reviens avec des attaches.

Je lui attache les deux mains dans le dos et lui dit de continuer. Mais avant je lui retire son haut et lui met quelque baffes sur ses seins comme elle aime

. Au moment où je prends mon pied je m’aperçois que les rideaux ne sont pas tirés et que de dehors quelqu’un promène son chien dans le parc en bas de notre immeuble. Il a l’air de regarder dans notre direction.

A sa silhouette c’est une femme mais je ne sais pas si elle peut nous voir sans lumière.

Tant pis.

Je prends ma chienne la relève, pousse tout ce qu’il y a sur la table et lui met la tête dessus et tend sa croupe sensuelle vers moi.

Je l’oblige a me regarder pendant que je passe un bâillon dans sa bouche.

Et puis la pénètre d’un coup, elle crie dans son bâillon, cela m’excite encore plus et je continue, de plus en plus fort, de plus en plus vite, de plus en plus profond.

Elle hurle.

Comme j’aime cela.

Je la défonce comme elle aime, ses mains attachées dans son dos se tendant vers moi pour m’attraper ou me repousser suivant la lourdeur des coups.

Je me tourne encore vers le parc pour y voir cette silhouette toujours au même endroit.

Qui semble regarder vers nous, nous voit elle, ou regarde elle ailleurs, plus haut ou plus bas, peut être discute elle avec quelqu’un sur son balcon, nous observe-t-elle en train de faire l’amour violemment.

Le doute est encore permis.

Plus pour longtemps.

J’attrape ma chienne par les cheveux tout en me retirant puis la relève violement, la plaque contre la porte vitré du balcon.

Ses seins aplatis contre la vitre glacée, sa chaleur faisant déjà de la bué causé par le froid extérieur.

Les mains attaché dans le dos elle n’a pas de prise lorsque je la pénètre violement, je la prends fort, elle crie à chaque coup, je crois reconnaitre dans ses crie étouffé des je vous aime maitre ou des merci maitre.

Pendant ce temps je ne quitte pas des yeux la silhouette féminine sortie prendre l’air avec son chien.

Elle ne bouge pas, mais je ne voie pas ce qu’elle fait dans le noir.

Ma chienne me dit quelque chose, je ne comprends pas, alors j’enlève son bâillon elle me demande de la mordre à l’épaule.

Quelle impudence.

JE suis le maitre, JE décide.

Puis je réalise qu’elle le sait et qu’elle sait que je vais la punir pour cette outrecuidance.

Je souri, elle aurait pu me demander de la punir directement, je l’aurai fait avec plaisir mais c’est plus drôle ainsi.

Je lui détache les mains, elle s’appuient contre la vitre et se met sur la pointe des pieds pour mieux me recevoir, comme j’aime quand elle fait cela.

Je lui dis de me regarder, ce qu’elle fait et je lui crache a la figure.

Elle lâche un petit cri de plaisir suivit d’un sourire que je lui fais vite effacer par un grand coup de queue.

Je regarde par la vitre et n’aperçois plus la silhouette. Nous a-t-elle vues ? L’as ton choqué ?

Je n’en sais rien et m’en moque.

Je prends donc ma petite chienne par le collier, lui passe sa laisse et lui dit de me suivre a quatre patte dans la chambre afin de recevoir sa punition, ce qu’elle fait docilement.

D’elle-même elle se place à quatre pattes sur le lit m’offrant sa croupe délicieuse comme support à mes coups de punition, sachant ce que je veux après tout ce temps de relation.

Bien sûr en tant que dominant et pour bien lui signifier que JE décide, je refoule mon irrésistible envie de lui fouetter les fesses avec ma cravache qui traine au bord du lit et prend un de ses pieds que je soulève légèrement.

Puis lui fouette la plante des pieds.

Elle se mort les lèvres pour ne pas crier.

Un pied après l’autre subit mon courroux.

Puis vint le tour de ses fesses, qui deviennent vite rouge.

Mais j’arrête, la met sur le dos et attache ses mains au corde qui traine à chaque coin de notre lit, placer là il y a bien longtemps pour que cela soit disponible de suite lorsque l’on en a envie.

Puis lui attache les pieds, la voici donc écartelé, offerte à mes désir et mes envies, sans moyens de s’y soustraire.

Je m’assois sur son ventre, lui donne quelque coups sur ses seins, puis sur ses joues.

puis m’avance jusqu’à m’assoir sur ses seins et mettre mon sexe dans sa bouche. Elle me suce et me regarde droit dans les yeux pendant que moi je la doigte.

Au bout d’un moment, je m’allonge sur elle et la pénètre ainsi, léchant ses seins, l’embrassant, mordant son coup faiblement et ses épaules fortement laissant des traces qui je le sais dureront plusieurs jours.

J’alterne pénétration longue et douce, puis courte et puissante, de temps en temps crache dans sa bouche ouverte ou sur ses seins, ou l’étrangle de mes mains jusqu’à ce qu’elle me fasse un signe de tête pour que j’arrête.

Tout cela l’excite et elle se lâche, prenant parfois l’initiative d’un rythme, d’un mouvement.

Elle me fait monter, je sens que je vais jouir mais je n’en ai pas fini avec elle.

je me retire donc la laisse la, reprendre son souffle, son mascara ayant laissé des coulées au coins de ses yeux.

Ce qu’elle est belle.

Je la détache, la relève, et la plaque contre la vitre de notre chambre qui donne sur la rue passante.

Le store extérieur est fermé, personne ne peut nous voir, puis l’attache les bras écarté aux cordes installées à chaque mur, elle aussi a demeure.

Je lui mets son bâillon et la fouette avec ma cravache dans le dos.

A chaque coup je relève un peu plus le store afin qu’on puisse la voir depuis la rue en train d’être dressé.

Elle mouille énormément, cela lui plait je le voie bien.

Une fois à la vue de tous (il n’y a personne, il est vraiment tard, seule quelque voiture passe trop vite pour remarquer quoi que ce soit.) je la pénètre violement et lui fait payer son insolence par une relation physique brutale.

Elle hurle dans son bâillon et j’aime ça.

Je finis par redescendre le store électrique, la détaché pour mieux lui rattaché ses mains dans le dos, et la posé délicatement sur le côté dans le lit.

Je viens me placé en culière et la pénètre tout doucement.

Lui enlève son bâillon pendant que je la pénètre.

Elle me remercie à chaque coup, je la caresse en même temps, les seins, son sexe, ses cuisses.

Elle me dit qu’elle va jouir.

Moi aussi.

Nous finissons ensemble dans un moment de pure extase.

Je la détache, lui enlève son collier et la prend dans mes bras pour un câlin.

Elle m’embrasse et me dit merci.

C’est moi qui la remercie plutôt !

Merci d’être ce qu’elle est et de me laisser être ce que je suis.

Je lui dis que je l’aime elle me répond moi aussi puis rigole.

Je lui demande ce qu’il la fait rire.

Elle me dit que là c’est sur elle a loupé la fin du film.
Soyez la première personne à aimer.