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par le 03/09/14
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La révélation.


Christine.
Ha Christine... Après avoir joué avec Rita à des jeux de gosses et de découvertes style « touche pipi » qui m’ont fait découvrir les premiers halètement d’aise d’une fille dès que je touchais à certains endroits, je me suis vite aperçu que quand mon "pissou" devenait tout dur, elle avait peur, ce que je comprends bien, non pas par la taille du bâton (susdit), mais parce que je devenais trop entreprenant pour mes 13 ans. Avec Rita nous avons joué souvent aux cow-boys et aux indiens et je pense qu’elle aimait être attachée, peut être a-t-elle eue plus tard une vocation, je ne le saurai jamais, car je ne l’ai plus revue...A 15 ans je mesurais déjà 1 m80.
Ma mère avait une amie, Christine, belle brune aux yeux verts, grande, classieuse et âgée de 39 ans. J’avais déjà remarqué certaines œillades, mais ne pensais pas une seconde à ce qui allait se passer. C’est lors d’un déménagement que tout c’est précipité. Nous étions seuls dans son nouvel appart, son mari au doux nom de Léon était au taf. Comment s’est elle retrouvée dans mes bras ? je ne sais pas, mais j’étais plus dans ses bras qu’elle dans les miens…C’est la première fois que j’embrassais une femme avec sa langue qui me fouillait les amygdales. J’aimais vraiment, et ça dura une éternité. Puis le fifi fut extrait de mon jean et pour la première fois de ma vie je fus aspiré littéralement, j’explosais dans sa bouche au bout d une minute…Relevé, je me confondais en excuses, et elle me remit sa serpillière dans la bouche mais le goût n’était plus le même et je compris que je léchais mon propre jus au travers de sa bouche. La nouille dégoulinante se répandait sur mon futal, elle me reprit en main en me parlant doucement, « qu’elle avait eu envie de moi, de ne pas m’en faire pour Léon, ni pour ma mère, qu’elle allait m’apprendre des jeux que je ne soupçonnais pas ». Ça, c’était clair, en deux minutes j’avais fait plus qu’en 15 ans de pensées masturbatoires.
Ce n’est pas ce jour là que je découvris mon premier corps de femme. Mais la relation allait perdurer, pendant deux ans je fus son amant, elle m’apprit tout ce qu’un jeune puceau avait à apprendre au niveau sexe, sodo, cunni, de n’avoir aucun tabou, mais surtout le respect que tout homme devrait avoir pour les femmes, l’écoute de leurs plaisirs, de leurs corps, les « apprendre » les goûter, les aimer…les boire aussi...
Puis un jour elle me demanda ce que j’aimerai lui faire… « T’attacher » C’était sorti comme ça, de je ne sais où. Je savais qu’elle était « ouverte » à tout, je savais ne pas être jugé pour quoique ce soit. Je revois ces yeux malicieux s’allumer. Ce fut la révélation ! J’aimais ça, et quand elle me dit de la fesser et devant mon désarroi, elle m’expliqua que je ne lui ferai pas de mal mais au contraire beaucoup de plaisirs. Ma première fessée fut sûrement maladroite, mais au plus son cul rougissait plus elle jouissait et plus j’étais bien. Avec Christine j’appris tout ce que j’aurai du apprendre en 5 ans voire plus. Deux ans…Puis elle est partie, ailleurs, avec son Léon vivre loin. Les adieux furent pénibles, mais je ne demandais aucunes explications, chacun avait le droit au choix, et le sien était son mari. Avait-elle eu conscience de la différence d’âge ? Peut être. Jamais je ne la revis, mais ce que je sais c’est qu’elle a mis en moi une drogue plus forte que toutes les gitanes inhalées dans ma vie. De puceau j’étais passé dominant, je ne savais pas encore ce que c’était, mais bon dieu j’aimais ça, j’en étais parfaitement conscient, ça coulait dans mes veines, j’avais presque 18 ans…

A suivre…
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