sacherm
par le 09/07/15
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Je l'ai enfin trouvé !

Nous discutions ensemble depuis quelques temps, surtout le soir, lorsque la nuit est bien tombé.

Aujourd'hui, vers quatorze heures, nous devons nous rencontrer en tout bien tout honneur, un premier contact autre que virtuel, la seule chose quelle m’aie demandée, c'est de prendre ma ceinture de chasteté.

Je dois passer la prendre en voiture devant chez elle, et ensemble, nous allons faire du shopping, n'ayant pas de véhicule, je vais lui servir de chauffeur.

A l'heure dite, je suis devant chez elle, la voilà qui sort de son logement, je descends et lui ouvre galamment la porte arrière coté trottoir, la laisse s'installer et referme la porte précautionneusement, sans la claquer, puis, je m'installe au volant.

Avant que je puisse lui demander où, elle désirait se rendre, elle me pose cette question : « As tu pris ta ceinture ? »

Je lui réponds : « oui, Madame, elle se trouve dans le sac qui se trouve a vos coté sur le siège ».

Elle récupère le sac, l'ouvre : « Bien !, tu vas m'accompagner chez ma coiffeuse esthéticienne, c'est une amie, aujourd'hui, elle ouvre que pour moi, voici l'adresse ».

« Bien Madame », je démarre et tout en douceur me glisse dans le flot de la circulation, subrepticement, je jette de petits coup d’œil dans le rétroviseur intérieur, afin d'essayer de voir comme elle est vêtue, car la seule chose que j'ai pu voir, lorsque elle est sortie de chez elle, c'est, ses magnifique bottes noire verni, à talon vertigineux. Le reste de sa tenue étant caché par un magnifique manteau de fourrure, la seule chose que me reflète le miroir, c'est son visage, là aussi, je n'arrive pas a vraiment distinguer ses traits, une paire de lunette noire cache ses yeux et une longue chevelure ondulée, d'un noir jais, qui descendent jusque sur ses épaule, dont certaine boucle, reviennent sur son visage, je sais que c'est une adepte des perruques, dont très peu de chance que ce soit sa couleur naturelle.

Arrivé à destination, elle me guide, afin que je me gare à un emplacement réservé, une fois cela fait, je descends de la voiture, pour lui ouvrir la portière, afin quelle puisse descendre.

« Plutôt que de m'attendre dans la voiture, tu vas m'accompagner et tu patientera à l'intérieur, ainsi, je suis sure, que tu ne te tripotera pas en fantasmant sur moi ».

« Bien Madame », une fois descendu, je referme la porte de ma voiture et verrouille celle-ci, ceci fait, je lui emboîte le pas.

Nous arrivons devant un petit salon de beauté, dont les rideaux sont baissés, Madame tape à la porte et quelques instant plus tard, celle-ci s'ouvre, afin que nous puissions pénétrer à l'intérieur. La lumière dans cette pièce est faible, je distingue a peine l'endroit.

« Bonjour Nathalie, me voici comme prévue, toi, me dit elle, tu reste ici ! »

« Bien Madame »

Les deux femmes, se dirigent vers le fond du salon ou l'on distingue une lumière plus vive, me préparant, à une longue attente, je m'installe sur un des sièges qui sert afin que les clientes puissent attendre leur tour.

Je ne sais depuis combien de temps, je suis là, dans, cette semi pénombre, lorsque tout à coup, la lumière jaillit, un éclairage si vif, que j'en suis un instant ébloui. Un voix m'ordonne alors de me mettre à genoux, je tarde un peu, ne comprenant pas trop ce qu'il se passe, mais aussitôt, l'ordre est renouvelé « A genoux ».

Je m'exécute en levant les yeux, une magistrale gifle m'atteint, « Baisse les yeux chien », j’obéis, mais, j'ai eu le temps de l’entre-percevoir. Elle est divine dans sa tenue de cuir !, elle s 'avance vers moi et me passe une sorte de nœud coulant autour du cou.

« Suis moi, a quatre patte » dit elle en tirant sur la laisse improvisée. Elle me conduit vers la lumière, Nathalie est là, en blouse blanche.

« Debout, déshabille toi complètement, je te veut nu comme un ver  ! »

Je exécutante, me voilà dans le plus simple appareil, mon petit asticot, se redressant fièrement.

« Voilà, cela fait maintenant un certain temps que nous nous connaissons, au cours de nos discutions, j'ai appris à te connaître et aujourd'hui, j'ai décidé que tu devais franchir un cap, je connais pratiquement toutes tes envies, mais celle là, c'est la mienne ! Tu as donc le choix, accepter ce qui va arriver sans vraiment savoir ce qui va se passer, ou alors, te rhabiller, faire demi tour et partir sans te retourner, je te laisse quelques instant de réflexion » .

Pour moi, le choix est vite fait, « j'accepte ! »

« Bien, alors, Nathalie va s’occuper de toi ! Elle va t'épiler complètement, je n'aime pas les poils, ensuite, tu passera dans la partie esthétique, puis coiffure. »

Sur les ordres de Nathalie, je m'installe sur la table et la séance d'épilation à la cire commence, un vrai supplice, lorsque celle-ci est retiré d'un coup sec, mais en bonne professionnelle Nathalie use de crème à l'Aloévera, pour atténuer l'inflammation, la séance dura je ne sais combien de temps, puis on me conduit dans une petite salle de bain attenante et on me fit prendre un bain parfumé, pendant que Nathalie, terminé de me sécher.

Madame est alors arrivé, avec ma ceinture de chasteté, que je croyais dans ma voiture, et avec l'aide de Nathalie me l'a ceint à la taille, puis la cadenassa. « voilà une chose de faite, ton oiseau est enfermé, seul mon bon vouloir, pourra le libérer ».

Elles me conduisirent ensuite dans la partie esthétique du salon, où Nathalie entrepris mon visage, épilation des sourcils, fond de teint, maquillage de mes yeux, rouge à lèvre, au fur et à mesure, je ne me reconnaissais pas dans la glace qui se trouvais en face de moi, un essaye de perruque termina la séance, jusqu'à que la plus approprié me coiffe.

Madame et Nathalie contemplèrent le chef d’œuvre, Madame s’avança vers moi et referma sur mon cou, un collier, un genre de jonc métallique fermant à clé, auquel elle attacha une laisse, elle me fit mettre debout et m'ordonna de mettre les mains dans le dos, sur lesquelles se refermèrent une paire de menottes.

Madame remercia Nathalie pour son excellent travail et me tenant pas la laisse, me fit sortir du salon, et me conduisit jusqu'à une petite voiture, dans laquelle, elle me fit asseoir, avant de prendre le volant.
« Ta journée, n'est pas fini ma belle, nous avons encore quelques emplettes à faire ».

Le trajet dura bien deux bonne heure, car elle nous fit quitter la ville où nous vivions pour une autre, je me taisais tout le long du trajet, réfléchissant à ce que Madame, pouvait bien encore avoir prévue.

Une fois arrivé, elle gara la voiture, détacha ma ceinture de sécurité et prenant la laisse, me tira hors de la voiture, referma la porte et m’entraîna dans un centre commercial, les gens que nous croisions, nous regardait, drôle de couple que cette magnifique femme, tenant en laisse une femme habillé en homme, j'entendais dans mon dos le ricanement ou les commentaires de certains, la honte le gagné.

Madame me conduisit chez une corsetière, et expliqua à la vendeuse ce quelle désirait pour moi, je fus débarrasser de mes menottes et je dus me déshabiller devant la vendeuse, qui fut très intéressée par ma ceinture de chasteté, disant à Madame, que cela serait bien pratique pour son copain coureur de jupon.

La vendeuse me prit certaine mesure, s'absenta un moment et revient avec une pile de carton, l'essaye commença, madame, lui avait demandé, de me trouver un corset, afin d'enserrer ma taille, pour faire disparaître mon ventre, après plusieurs essai, une pièce lui convient, un corset porte-jarretelle de satin blanc, un string, et une paire de bas blanc vinrent compléter cela, une fois cela mis, je du me rhabiller et les menottes reprirent leur place sur mes poignets, après que j’eus régler mes achats.

Madame, tenant toujours ma laisse, m’entraîna dans un autre magasin, ou là aussi, je continuais à consommer ma honte, ce fut un magasin de vêtement féminin, où, là aussi, ce fut maint essayage, jusqu'à ce que Madame me trouva à son goût, elle opta pour une petite robe, coupe trapèze, haut en maille unie noir, jupe portefeuille, en maille jacquard, finition façon peau, que je dus garder et bien entendu payer, avant d'à nouveau me retrouver les mains entravé dans le dos, pour être à nouveau tiré vers un autre magasin.

Ce fut ce coup-ci un magasin de chaussure, normal, la femme que j'étais devenue, ne pouvais se promener en chaussure d'homme, ce fut aussi maint essayage, faisant une pointure quarante deux, il n'est pas si facile que cela de trouver chaussure à son pied, le choix de Madame fut une paire d'escarpin de couleur rouge à pointe vernis, avec une hauteur de talon de dix centimètres de haut.

Une fois chaussée, Madame, m'a demandée de déambuler dans le magasin, comme pour un défilé de mode, afin de juger de ma complète transformation.

Je ne suis pas habituer à marcher avec des talons haut, mais afin de plaire à Madame, j'essaye de marcher, comme je l'ai vu faire les mannequins à la télévision, et ce qui devait arriver arriva, je me pris les pieds et chuta lourdement sur le sol, m'assommant un peu.

Je me relevais et là, je m’aperçus que je venais de tomber de mon lit, ce n'étais qu'un rêve.
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M des Sens
quel...chute...<br />sachem, voilà des mots qui nous emportent sur vos maux...<br />merci de ce pas-sage moment livré à merveille
J'aime 10/07/15
Donna
Un délice de te lire. Je te souhaite de trouver un jour la Domina de tes rêves
J'aime 10/07/15
sacherm
Merci beaucoup, mais j'ai eu la chance de la rencontrer et je suis son soumis depuis.
J'aime 10/07/15
sacherm
non, pas encore, un jour peut être
J'aime 11/07/15