ChatMOnYou
par le 05/10/15
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Je vous caresse les cheveux, vous regarde dans les yeux, et d'un sourire malicieux vous dévisage...

Vous ne savez que penser : "Ai-je fais quelque chose de mal ?", "Ai-je quelque chose sur celui-ci qui me défigure ?", "Que pense t'il de moi ?!..."

Je continue à passer mes doigts dans votre chevelure, et renifle ceux ci...
"Tu sens bon Ma Petite Chatte !" m'esclaffe ainsi.

Je prends fermement cette crinière que j'avais coiffé de mes mains, et entreprends de t'amener sur le sofa.
M'asseyant confortablement, je t'amène sur mes genoux, à la recherche de la meilleure pause pour épouser tes formes à mon corps.

Je sens la chaleur t'envahir d'être traité de la sorte ; Car oui, tu avais été très sage aujourd'hui.

Et tu ressentais l'envie qu'on te caresse ; Tu l'avais bien mérité.

L'instant d'après ma main caressait instinctivement ton corps bouillonnant voulant se libérer à travers tes vêtements.
Tu te lovais de plus en plus contre moi, et anticipait mes mouvements pour les ressentir plus vite.

Je te relevais la tête pour contempler ta jolie petite bouille en proie à l'ivresse d'un câlin ardemment désiré... et je caressais ainsi ta gorge d'un air satisfait.

Et là je te dis : "Huum... J'ai de la chance... tu es belle et soyeuse... à qui est cette petite chatte ?"

"Vous" me lui murmurais-je.

Rougissant de honte d'avoir autant de plaisir à prononcer ce simple mot... je voulu me cacher dans ses bras puissants et pourtant si doux au touché.
Je ne remarquais pas que mon bas ventre ondulait, tournoyait tel une chatte en chaleur.

Mon Maître le vit aussitôt.

Il entrepris de calmer mes ardeurs, voulant conserver cette sérénité de voluptueuses caresses.

N'écoutant que mon corps, je ne pouvais m'arrêter...
J'étais comme possédé par tant de plaisir !

Voulant que cela cesse, je sentis sa main devenir plus ferme et me maintenir ma crinière.
Je ne l'écoutais malheureusement plus, j'en voulais toujours plus... j'aimais tant être contre lui, sentir sa droiture et sa douceur qu'il m'accordait...
Je me surprenais à lécher son cou, sa main, tout ce qui me passait à porté... je voulais qu'il continue...

Ce désir me prenait au plus haut point, jamais auparavant je n'avais ressentit cela.

Son regard changea immédiatement au vue de mes yeux emprunt de luxure...
De son autre main, il m’asséna une violente claque sur mon cul.

Cette vive douleur me fit tressaillir ! Mais je ne m'arrêtais pas pour autant...

Il grommelait de me voir me trémousser comme la dernière des chattes venues.
Une deuxième, puis une troisième claque ne se fit point attendre !

A chaque coup je "jappais" de plaisir !

Les coups devenant plus réguliers, je sentais mon cul devenir de plus en plus chaud au travers de mon pantalon.

N'arrêtant pas pour autant, quelle ne fut pas ma surprise qu'il me prenne comme un fétu de paille...
Me jetant sur le sofa, mon cul en arrière bougeant encore frénétiquement de derniers soubresauts !

J'étais désarçonné de sentir mon pantalon voler aux 4 vents...
Une légère brise parcourait maintenant mes fesses fraichement ouverte à la nature....

Il pris mon cul à deux mains et stoppait mes mouvements....

Tant bien que mal, après un effort pour de nouveau avoir son attention ; Moi, Sa Petite Chatte désobéissante... je me figeais comme une statue attendant ma sentence.

"Miaou !" lui exprimait à son écoute.
"Miaou...."
"Mihaoooouu !"
"MIAAOOWW"
"Schtack !" ; Une violente claque cinglante me fit tomber de mon piédestal ! Une douleur d'une telle intensité que j'en avais la larme à l’œil !

"REMET TOI EN POSITION !" Me dis je celui que j'avais choisis comme Maitre.
Je le fit sans attendre.

/Schtack !

Huummm ! ... (Ne manquant pas de me pincer les lèvres.... N'étant pas habitué à mêler douleur et plaisir, je ne pouvais que m'y contraindre, et ça je savais le faire.)

De nombreux coups m'étaient assenés ; Moi, Sa petite Chatte.

J'étais fier de ne pas bouger.
Je voulais qu'il me garde pour ce que je suis, et pour ce qu'il me procure.
L'aimer en retour n'en était que plus simple pour moi... Bizarrement !

Quelle ne fut pas ma surprise de ressentir sa langue parcourir mes fesses et mon entrejambe, encore chaude de ma punition.
Je voulue miauler de plus belle, et ce fut très dur de me contenir.

S'arrêtant net, il se vautra prêt de moi sur le sofa... avec ni plus ni moins qu'un soupir de soulagement d'avoir œuvré pour son bien être. Me laissant moi et mon cul ouvert et chancelant.

N'écoutant que ma douceur, et ma nouvelle aspiration, je me lovais de nouveau sur ses genoux...

Voulant m'endormir par de tels soins envers moi.
ZZZzzzZZZ
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