par Abyme
		    le 07/03/16
        
	
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Disciple : Dis-moi la Vérité.
Maître : La vérité ? Quelle vérité ?
– La vérité sur les mystères, ceux qui nous interrogent, qui nous divisent, ceux qui nous font croire, espérer, ...
– ... et vivre ?
– Peut-être. Mais je sais que cette quête n'aura pas de fin, et que je risque de n'avoir jamais la réponse.
– Alors pourquoi me la demandes-tu ?
– Parce que je crois que toi tu la connais.
– Tu crois ? Tiens tiens...
– Je veux dire, je sais que tu en as une.
– Tu passes bien vite de "croire" à "savoir", donc de la foi à la connaissance.
– Trêve de rhétorique et d'atermoiements, donne-moi la réponse, la Vérité.
– Laquelle ? La mienne ?
– Celle que tu penses universelle.
– Crois-tu qu'il y ait une vérité unique ? Qui réponde à tout de façon universelle ?
– Oui, et j'ai besoin de cette réponse.
– Très bien, alors la voici : la réponse est dans ce point.
– Comment ? Quel point ?
– Ce point-ci, qui suit ce mot.
– Je ne comprends pas, c'est... ce n'est pas la réponse.
– Bien sûr que si. Tu veux une réponse précise, et je te l'ai donnée, très précise.
– Mais ta réponse est un nouveau mystère, un nouveau questionnement.
– Il en est toujours ainsi.
– Aide-moi au moins à comprendre, que dois-je voir dans le point qui suivait tout à l'heure le mot "mot" ?
– Non, la réponse est à présent ce point-ci.
– Je vois. Tu te moques de moi.
–Absolument pas, je suis très sérieux.
– Alors explique-moi !
– Le fait que ce ne soit plus le même point est pourtant clair.
– Pas pour moi.
–Le point représente l'instant, il laisse une trace dans l'espace, ici.
Mais le temps se déplace sans cesse (à moins que ce ne soit notre propre perception), et chaque maintenant peut-être marqué par un point.
Par exemple ici.
– Ici ?
– ...et maintenant. Et là. Et ici encore.
– Stop ! Et ce serait ça la réponse ? Ici et maintenant ? Ça ne répond pas aux grands mystères de l'univers, de la vie, de la vérité.
– Je t'assure que si. Ce point marquant le ici et maintenant peut, dans son individuelle particularité, se répéter à l'infini tout en n'étant jamais le même. En lui réside donc la vérité de l'univers tout entier.
– Je ne comprends toujours pas en quoi cela répond aux grandes questions, aux grands mystères.
– Peut-être parce que tu as trop besoin de tout définir et organiser, alors que tu pourrais comprendre sans la raison.
– C'est pourtant avec la raison que nous raisonnons en ce moment-même !
– En effet, et c'est bien dommage, mais je réponds à tes questions en m'efforçant de te faire prendre conscience de l'action, et non de l'outil.
– Les mots seraient donc l'outil ?
– Les mots sont les outils de la raison, et la raison est ton outil pour l'action. Mais l'action peut s'en passer, l'outil devient alors soi-même, et son harmonie avec tout le reste. Tu peux y arriver, mais il faut d'abord que tu te libères.
– Me libérer de quoi ?
– De ta façon de fonctionner, basée uniquement sur la raison, justement. Les enfants n'ont pas cette entrave. Il te faut désapprendre.
– Et redevenir comme un enfant ?
– Avec le bagage de ton expérience en plus, et de ton observation du monde.
– Mais les enfants ne comprendraient pas l'histoire du "point", par exemple, je me trompe ?
– Mais ils n'ont pas besoin de le comprendre ! ILS Y SONT DÉJÀ !
– Hum ! Et donc, à moi qui ai besoin de tout définir et organiser, et avec l'outil de la raison qui est le mien, comment définirais-tu ces fameuses "grandes questions" ?
– Soit. Toutes les questions sur l'inconnu peuvent trouver – ou trouveront un jour – des réponses, mais celles sur l'inconnaissable se réduisent à une trinité.
– Une trinité ? Comme dans le christianisme ? Le Père, le Fils et le Saint-Esprit ?
– Oui, et pas seulement d'ailleurs, en hindouisme on a la Trimurti : Brahma le créateur, Vishnou le protecteur et Shiva le destructeur.
– Les grandes questions résideraient dans la religion ?
– Je n'ai pas dit cela. Les religions ne sont que des palliatifs à leurs réponses qui sont inconnaissables. J'ai seulement dit que ces questions se réduisent à une trinité.
– Donc trois questions ? C'est ça ?
– En effet. Un ensemble de questions essentiellement incommensurables, réduites à l'état de trois paradigmes : la Création, l'Infini/Éternel, et le Chaos.
– L'infini et l'éternel sont associés en un concept ?
– Oui, l'espace et le temps ont la même portée et posent le même ordre de questionnements.
– Mais il y en a bien plus que trois, me semble-t-il ! Par exemple : y a-t-il un autre monde abritant la vie ?
– C'est une question relevant de l'inconnu, pas de l'inconnaissable.
– Hum, l'inconnaissable...
– Ce qui est définitivement hors de la portée de notre compréhension.
– Et la vie après la mort ? Hein ? Ça c'est de l'inconnaissable !
– ... qui entre dans le Chaos.
– Je vois. Et en quoi la religion est un palliatif ? Pourquoi pas la science ?
– La science s'intéresse à la recherche de l'inconnu et à l'application du connu ; pour l'inconnaissable, elle ne peut qu'extrapoler, mais c'est un horizon de référence qui lui permet tout de même d'avancer.
– La religion fait de même.
– La religion ramène l'inconnaissable au niveau de l'inconnu, en redéfinissant le connu... Elle crée tout un ensemble de mythes et de dogmes censés justifier l'anthropocentrisme de l'homme.
– L'anthropocentrisme ?
– Oui, le fait que l'homme serait le centre de l'univers, ou en tout cas sa finalité, en quelque sorte.
– Et si c'était le cas ?
– Ha... c'est une affaire de foi. Mais si c'est le cas, alors nous sommes tous des dieux, et si nous le sommes tous, aucun n'est au centre.
        Maître : La vérité ? Quelle vérité ?
– La vérité sur les mystères, ceux qui nous interrogent, qui nous divisent, ceux qui nous font croire, espérer, ...
– ... et vivre ?
– Peut-être. Mais je sais que cette quête n'aura pas de fin, et que je risque de n'avoir jamais la réponse.
– Alors pourquoi me la demandes-tu ?
– Parce que je crois que toi tu la connais.
– Tu crois ? Tiens tiens...
– Je veux dire, je sais que tu en as une.
– Tu passes bien vite de "croire" à "savoir", donc de la foi à la connaissance.
– Trêve de rhétorique et d'atermoiements, donne-moi la réponse, la Vérité.
– Laquelle ? La mienne ?
– Celle que tu penses universelle.
– Crois-tu qu'il y ait une vérité unique ? Qui réponde à tout de façon universelle ?
– Oui, et j'ai besoin de cette réponse.
– Très bien, alors la voici : la réponse est dans ce point.
– Comment ? Quel point ?
– Ce point-ci, qui suit ce mot.
– Je ne comprends pas, c'est... ce n'est pas la réponse.
– Bien sûr que si. Tu veux une réponse précise, et je te l'ai donnée, très précise.
– Mais ta réponse est un nouveau mystère, un nouveau questionnement.
– Il en est toujours ainsi.
– Aide-moi au moins à comprendre, que dois-je voir dans le point qui suivait tout à l'heure le mot "mot" ?
– Non, la réponse est à présent ce point-ci.
– Je vois. Tu te moques de moi.
–Absolument pas, je suis très sérieux.
– Alors explique-moi !
– Le fait que ce ne soit plus le même point est pourtant clair.
– Pas pour moi.
–Le point représente l'instant, il laisse une trace dans l'espace, ici.
Mais le temps se déplace sans cesse (à moins que ce ne soit notre propre perception), et chaque maintenant peut-être marqué par un point.
Par exemple ici.
– Ici ?
– ...et maintenant. Et là. Et ici encore.
– Stop ! Et ce serait ça la réponse ? Ici et maintenant ? Ça ne répond pas aux grands mystères de l'univers, de la vie, de la vérité.
– Je t'assure que si. Ce point marquant le ici et maintenant peut, dans son individuelle particularité, se répéter à l'infini tout en n'étant jamais le même. En lui réside donc la vérité de l'univers tout entier.
– Je ne comprends toujours pas en quoi cela répond aux grandes questions, aux grands mystères.
– Peut-être parce que tu as trop besoin de tout définir et organiser, alors que tu pourrais comprendre sans la raison.
– C'est pourtant avec la raison que nous raisonnons en ce moment-même !
– En effet, et c'est bien dommage, mais je réponds à tes questions en m'efforçant de te faire prendre conscience de l'action, et non de l'outil.
– Les mots seraient donc l'outil ?
– Les mots sont les outils de la raison, et la raison est ton outil pour l'action. Mais l'action peut s'en passer, l'outil devient alors soi-même, et son harmonie avec tout le reste. Tu peux y arriver, mais il faut d'abord que tu te libères.
– Me libérer de quoi ?
– De ta façon de fonctionner, basée uniquement sur la raison, justement. Les enfants n'ont pas cette entrave. Il te faut désapprendre.
– Et redevenir comme un enfant ?
– Avec le bagage de ton expérience en plus, et de ton observation du monde.
– Mais les enfants ne comprendraient pas l'histoire du "point", par exemple, je me trompe ?
– Mais ils n'ont pas besoin de le comprendre ! ILS Y SONT DÉJÀ !
– Hum ! Et donc, à moi qui ai besoin de tout définir et organiser, et avec l'outil de la raison qui est le mien, comment définirais-tu ces fameuses "grandes questions" ?
– Soit. Toutes les questions sur l'inconnu peuvent trouver – ou trouveront un jour – des réponses, mais celles sur l'inconnaissable se réduisent à une trinité.
– Une trinité ? Comme dans le christianisme ? Le Père, le Fils et le Saint-Esprit ?
– Oui, et pas seulement d'ailleurs, en hindouisme on a la Trimurti : Brahma le créateur, Vishnou le protecteur et Shiva le destructeur.
– Les grandes questions résideraient dans la religion ?
– Je n'ai pas dit cela. Les religions ne sont que des palliatifs à leurs réponses qui sont inconnaissables. J'ai seulement dit que ces questions se réduisent à une trinité.
– Donc trois questions ? C'est ça ?
– En effet. Un ensemble de questions essentiellement incommensurables, réduites à l'état de trois paradigmes : la Création, l'Infini/Éternel, et le Chaos.
– L'infini et l'éternel sont associés en un concept ?
– Oui, l'espace et le temps ont la même portée et posent le même ordre de questionnements.
– Mais il y en a bien plus que trois, me semble-t-il ! Par exemple : y a-t-il un autre monde abritant la vie ?
– C'est une question relevant de l'inconnu, pas de l'inconnaissable.
– Hum, l'inconnaissable...
– Ce qui est définitivement hors de la portée de notre compréhension.
– Et la vie après la mort ? Hein ? Ça c'est de l'inconnaissable !
– ... qui entre dans le Chaos.
– Je vois. Et en quoi la religion est un palliatif ? Pourquoi pas la science ?
– La science s'intéresse à la recherche de l'inconnu et à l'application du connu ; pour l'inconnaissable, elle ne peut qu'extrapoler, mais c'est un horizon de référence qui lui permet tout de même d'avancer.
– La religion fait de même.
– La religion ramène l'inconnaissable au niveau de l'inconnu, en redéfinissant le connu... Elle crée tout un ensemble de mythes et de dogmes censés justifier l'anthropocentrisme de l'homme.
– L'anthropocentrisme ?
– Oui, le fait que l'homme serait le centre de l'univers, ou en tout cas sa finalité, en quelque sorte.
– Et si c'était le cas ?
– Ha... c'est une affaire de foi. Mais si c'est le cas, alors nous sommes tous des dieux, et si nous le sommes tous, aucun n'est au centre.
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1 personne aime(nt) ça.        
                            Leather, je comprends ton questionnement, mais déterminer la différence entre l'inconnu et l'inconnaissable n'est pas si compliqué à mon avis. <br />Il y a des choses pour lesquelles nous n'aurons jamais de réponse, d'autres pour lesquelles il est PLAUSIBLE qu'on l'ait un jour. Je t'accorde que parfois on peut débattre sur quelques cas...
            L'inconnaissable est aussi inconnu ! Mais l'inconnu n'est pas forcément inconnaissable.<br />Par exemple : qu'y avait-il avant le bigbang ? Qu'y a-t-il après la mort ? Combien y a-t-il d'astres dans l'univers ? Quel est le cycle entre deux vies d'univers (s'il est cyclique) ? Le temps a-t-il commencé en même temps que l'espace, et combien de temps va-t-il durer ? Ces questions, à mon sens, font partie des choses que nous ne pourrons jamais appréhender, même avec une science très avancée, comme l'infini et l'éternel, car ces problématiques nous dépassent, et c'est la raison que j'ai utilisé le terme "incommensurable". Cela dépasserait justement  l'étendue des limites cognitives du cerveau humain que tu cites, Leather.<br />En revanche, l'existence de la vie ou d'autres êtres dans l'univers, l'explication des phénomènes paranormaux, la préexistence de la poule sur l'œuf ou de l'inverse, etc.. Ce sont des questions que je classe dans l'inconnu, car pour moi il est vraisemblable qu'un jour nous résolvions ces mystères.<br />Mais je vous accorde que ce texte et ce commentaire ne reflètent que mon avis personnel, ma façon de voir. Je ne les présente pas comme des faits référenciés et indiscutables.<br />Je suis d'ailleurs moi-même l'auteur du classement en trois paradigmes dans le texte, je ne l'ai pris nulle part.<br />Mais je suis comme d'habitude parfaitement ouvert au débat ; c'est passionnant et même émulatoire, ne trouvez-vous pas ?
            @Edoné : ce n'est pas parce que j'attribue la qualité d'inconnaissable à des questions que je rends leurs réponses connues (les questions oui, mais pas leur réponses, c'est extrêmement différent).<br />@ Leather : Non, pas l'espace et le temps, je parle de l'infini et l'éternel, ce qui est différent, ce qui constitue les limites de notre appréhension.
            Intéressant. En amont de la classification inconnu/inconnaissable, il faut aussi prendre en compte le fait que beaucoup de questions recèlent des pièges dans leur formulation et n'ont donc peut-être tout simplement aucun sens. Qu'y avait-il avant le big-bang? L'utilisation du mot "avant" n'a de sens que si l'on fait l'hypothèse que le temps a une réalité transcendante qui existe indépendamment de l'univers. Hypothèse hautement hasardeuse. Et qu'est ce que le temps? Le mot semble clair, sa signification évidente, mais si on commence à s'interroger sur ce qu'il désigne c'est de moins en moins clair, et l'évidence s'évapore. Les mots aident à penser, mais peuvent aussi nous piéger.
            
Suggestion		
	
                Par : Ombre
            
            
            
50 vérités que MademoiselleLilith va payer.
1 ) – Je n’ai jamais voulu faire ce jeu, j’ai simplement liké les aveux d’une personne qui m’est chère parce que j’ai aimé son partage, je n’avais pas réfléchis au fait que cela impliquait que je devait y participer… j’en ai pris pour 50 réponses… Ma soumise est une sadique… 
2 ) – Je me suis fais bouffer ma carte bleue par un DAB il y a peu en tapant le code d’entrée de chez moi au lieu de celui de ma CB. Je ne l’avais pas oublié, je n’ai juste pas la tête sur les épaules depuis 10 jours… J’aime cet état.
3 ) – Il y a quelques années, j’ai passé une soirée dans un pub avec un ami, j’étais assis a coté de Claude Nougaro, au bout de deux heures de conversation passionnée, je lui ai demandé s’il s’y connaissait en musique… J’étais le seul, à la table, à ne l’avoir pas reconnu… Vous avez dit gaffeur ?
4 ) – Entre mes 20 et 21 ans j’ai été un homme battu, par une femme, quand je suis allé chercher de l’aide dans une association de « femmes battues » on m’a « gentiment » demandé de quitter les lieux, parce que ma présence, celle d’un homme, dans les locaux, indisposait les dames qui étaient là.
5 ) – A 22 ans, je suis tombé fou amoureux d’une femme de 1m50 qui devait peser 22 kilos, anorexique, elle a mit sa main dans la mienne pendant les 6 derniers mois de sa vie, une des plus belle âme que j’ai croisé.
6 ) – En 1990 j’ai découvert Thomas Harris avec 2 de ses romans « Dragon rouge » et « Le silence des agneaux », complètement subjugué par le personnage d’Hannibal Lecter, j’ai eu pendant des années le fantasme de goûter de la chair humaine… Fantasme assouvi un jour de manière spontanée et involontaire de ma part.
7 ) – Je n’ai jamais su aimer de manière conventionnelle, je verse toujours dans les extrêmes ou la passion… Malgré moi.
8 ) – En 2006 un abrutit m’a diagnostiqué bipolaire et m’a foutu sous traitement pendant 6 mois… Il s’averre que je ne l’ai jamais été, j’ai juste une hypersensibilité extrême qui me fait connaître des phases euphoriques et à l’inverse des phases mélancoliques extrêmes, proches et ressemblantes à des phases hystériques et dépressives que peuvent connaître les bipolaires.
9 ) – Je suis capable de basculer dans mes rêves ou pensées en une fraction de seconde en pleine journée, alors que je suis occupée, de manière si intense que je ne vois plus, ni n’entend plus ce qu’il se passe autour de moi.
10 ) – J’aime l’art sous toutes ses formes, pas forcément les oeuvres… Les artistes, ou ceux qui se prétendent l’être, beaucoup moins… Et leur discours sur l’art me répugne généralement.
11 ) – J’ai découvert le BDSM à l’âge de 17 ans, avec une femme de 30 ans… A vrai dire elle m’a tout apprit ou presque, le libertinage, l’amour, le lâché-prise, le triolisme, etc…
12 ) – A 23 ans, j’ai été confronté à un chien, type berger malinois, non dressé, agressif, babines retroussées, qui montrait les dents en grognant. Sur un claquement de doigts, un geste de la main et un « Ho » l’animal s’est couché au sol, oreilles rabattues. J’ai avancé dessus, il a roulé sur le dos. Son propriétaire m’a demandé comment j’avais fait… 22 ans plus tard je n,’ai toujours pas de réponse satisfaisante à cette question. C’est sans doute ce jour là que j’ai réalisé mon coté dominant.
13 ) – Un de mes plus grand regret est d’avoir hésité avant d’intervenir un jour où un homme a agressé une femme à quelques mètres de moi, je suis intervenu une seconde trop tard, ce n’est JAMAIS plus arrivé.
14 ) – Il y a quelques années une amie a perdu sa fille de 13 ans dans un accident, j’ai pris le train dans la nuit pour être présent à ses cotés dans cette épreuve… Il y a quelques mois elle ma avoué que cette gamine était peut-être bien la mienne… ET MERDE !!!
15 ) – J’ai vécu une très belle histoire d’amour vanille à 4, deux hommes, deux femmes, tous les 4 bisexuels, nous vivions ensemble, un superbe souvenir qui a durée un an.
16 ) - J’ai eu une peur panique de la mort jusqu’à la naissance de ma fille, au point de s’en réveiller la nuit. Depuis cette peur m’a quitté, mais j’aime ma vie,  je transcende tous les petits moments, mais ça me fait vraiment chier que cela doive s’arrêter un jour.
17 ) – Je suis exigeant envers les gens que j’aime et intransigeant envers moi-même… Conclusion je dois m’aimer encore plus…
18 ) -. Ma confiance et mon assurance en moi m’ont apporté beaucoup de plaisirs, mais aucun n’est au dessus de la confiance que m’ont accordé les gens que j’aime et de leurs confidences les plus intimes.
19 ) - Un jour en regardant une mappemonde je me suis aperçu que de frontières en frontières j’ai fais le tour du monde… Dans mon lit.
20 ) – Mon premier souvenir de masturbation date de l’âge de 6 ans. Je me disais qu’il n’était pas normal de ressentir un tel plaisir. Du coup je suis allé voir mon père, quequette toute raide, pour lui montrer que « ce geste » faisait beaucoup de bien, il a éclaté de rire en me disant que c’était normal mais de faire ça en privé… J’étais déçu, je me croyais exceptionnel.
21 ) – J’ai connu une vraie nymphomane, six fois par jour minimum, les premiers jours c’est normal, au bout de 6 mois ça l’est moins, au bout d’un an c’est usant, quand elle est partit j’avais perdu 10 kilos, je n’ai pas eu envie de sexe pendant presque un an. Comme dirait Serge Lama : « Quand je pense qu’il y a des cinglés qui paient pour voir ça au ciné… »
22 ) – Véritable sapiosexuel, je peux bander devant un homme ou une femme qui me toise intellectuellement, même si je les trouve repoussant physiquement. J’aime bien cela, mais c’est rare et ça n’arrive jamais devant ceux qui se veulent et/ou se réclament intellos, même et surtout dans le cadre d’aveux, l’intelligence va de pair avec la modestie et l’humilité.
23 ) – Je suis bisexuel à forte tendance hétérosexuel, comme disait William, un de mes amants homo.
24 ) – J’aime beaucoup la part de féminité qui est en moi. Je l’exprime, beaucoup d’hommes me prennent pour un homo et se moque de moi… Jusqu’à ce que je couche avec leurs femmes… Bizarrement ça les fait beaucoup moins rigoler… Moi, beaucoup plus.
25 ) – J’aime beaucoup les machos… Leurs femmes viennent se consoler dans mes bras.
26 ) – J’aime beaucoup le foot, la coupe du monde et tous les tournois possible… Les messieurs sont devant leur télés et leur femmes dehors, bien souvent seules.
27 ) – Le plus beau compliment qu’une femme m’ai fait est : « Je regrette de t’avoir connu car depuis tous les hommes me semble bien fades ». … C’était 15 ans après notre rupture.
29 ) – J’ai le loup dans la peau, un véritable totem, au propre comme au figuré.
30 ) – Vers mes 24 ans j’ai couché avec une prostitué sans le savoir. Au matin quand nous avons pris un café, elle m’a avoué sa profession, gêné, je ne savais pas si je devais ou pas lui proposer une rétribution. Elle a rigolé et m’a dit que « non », elle me voulait. Puis elle m’a dit qu’elle avait adoré la manière dont je l’avais sodomisée et m’a demandé si j’étais bi et si j’avais déjà subit une sodomie, je lui ai dis que « oui », elle a ajouté « ha… C’est pour ça alors. »
Depuis c’est une règle d’or, chaque fois que j’apprends ou me teste à une nouvelle « technique », je passe d’abord « à la casserole »… Merci Christine de m’avoir fait réaliser cela.
31 ) – J’ai « épousé » la pensée zététique il y a presque 20 ans.
32 ) – Le mensonge m’est insupportable, c’est la pire torture que l’on puisse m’infliger.
33 ) – J’ai perdu ma virginité à 13 ans avec une fille de mon âge qui était vierge aussi, c’était comique, catastrophique et pataud au possible. Lorsque cela fut « fait », elle s’est allongée à plat ventre sur le lit et a écarté ses fesses en disant « Autant tout faire d’un coup »… Ca par contre je ne m’y attendais pas.
34 ) – En 1993 une femme a appelé chez moi en pleur, suite à une erreur de numéro,elle cherchait à joindre son « amant » qui l’avait largué parce qu’elle était frigide. Nous avons passé la nuit à parler au téléphone, pour la rassurer et la calmer. Quelques jours plus tard nous avons fini dans le même lit, je ne sais pas si je suis un bon amant ou pas, mais une chose est certaine… Elle n’était pas frigide du tout…. Quand je vous dis que j’aime les machos. 
35 ) – J’ai plus d’amies que d’amis, j’ai couché avec toutes sauf une, je ne sais pas qui a dit que coucher avec un(e) ami(e) brisait l’amitié mais dans mon cas c’est absolument faux.
36 ) – J’ai pleuré il y a peu pour une des plus belles déclaration d’amour que l’ont m’ai faite. La dernière fois ce fut pour la naissance de ma fille.
37 ) – Une femme m’a fait une fellation dans un pub bourré de monde, une fois la chose faite, en essuyant ses lèvres, elle m’a dit : « Je m’appelle Stéphanie, ravie de faire ta connaissance »… Et moi donc !!!
38 ) – En 3eme j’ai obtenu le 2eme record d’heure de colle d’un lycée, 365 heures en une année, le recordman est mon meilleur ami, forcément on était toujours ensemble en colle, 366 heures… Je le surnomme « Bissextile ».
39 ) – Les blagues nulles me font rire aux éclats, car elles n’ont aucune prétention, même pas celle de faire rire.
40 ) – J’aime les gens humbles, ils ne peuvent que surprendre alors que les prétentieux ne peuvent que décevoir.
41 ) – J’aime me lever tôt, voir le soleil se lever au calme en silence en sirotant un thé, pendant de très longues minutes ou des heures.
42 ) – J’aime m’endormir extrêmement fatigué, éreinté, les sensations sur la peau sont merveilleuses et cela me provoque des secousses hypniques, sensations que j’adore.
43 ) – J’ai eu un serpent, un boa arc-en-ciel, j’ignorais que c’était une espèces protégée à l’époque, que j’avais baptisé « Saphir ». Un animal tout à fait fascinant quand on étudie son mode de vie.
44 ) – J’aime les livres, les films, les œuvres d’art qui soulèvent des questions, pas ceux qui apportent, ou tentent d’apporter, des réponses.
45 ) – La première fois que j’ai joué avec de vraies menottes, nous nous sommes endormis avec l’un attaché au poignet de l’autre. Au petit matin nous n’avons jamais retrouvé les clés. Nous étions nus et dans une chambre d’hôtel.
46 ) – J’ai touché à un peu toutes les drogues possibles, des plus douces au plus dure, la plus insidieuse de toute est réellement l’alcool.
47 ) – C’est la 8eme fois de la journée qu’elle m’appelle pour me faire entendre ses orgasmes, il n’est que 15h30… La journée va être longue.
48 ) –  Le dormeur du val.
49 ) – Smoke get in your eyes.
50 ) – J’aime une femme comme il y en a peu.
51 ) – J’ai triché il n’y a pas de N° 28…Donc ce 51 est le 50eme. 
RAPPEL DES REGLES DU JEU : 
Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife. 
Si vous cliquez sur "j'aime", je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors 
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné 
2) me dédicacer le titre de la manière suivante " x choses sur moi pour Ombre" 
3) le publier dans la section " articles" 
4) me le faire savoir 
Vous devez indiquer la même règle du jeu avec le texte et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur "j'aime" pour votre texte. À vos Liiiiike... Prêt... Feu... CliquezzZ!            
            
                
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                Par : Sôleille
            
            
            
Voici le jeu du portrait Québécois qui commence à avoir du succès sur BDSM.fr ! En cliquant sur le bouton « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Sôleille », publier ce texte dans votre section « articles » et me le faire savoir. Il faudra indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Un commentaire de votre part n’entraînera aucune obligation de jeu et un "like" si vous avez déjà participé non plus. (Le texte original est de WonderSalope.) 
1. Ma plus grande frustration dans la vie, c'est la langue française. J'adore parler, j'adore écrire, j'adore les jeux de mots, les jolis mots... Mais je n'ai jamais réussi à écrire convenablement et je ne sais pas jouer avec les mots. 
Manier la langue française est une des choses qui me plairait le plus d'apprendre. 
2. Ma plus grande fierté c'est le fait d'avoir toujours tout surmonter seule, la tête haute en restant positive et en apprenant de mes erreurs. 
3. Je parle beaucoup trop souvent sans réfléchir, je suis impulsive et entière, ce qui m'a valut autant de belles amitiés que de petits soucis... 
4. J'écoute de la musique peut conventionnelle (du moins pour quelqu'un de mon âge).  
5. Lorsque je venais d'avoir 17 ans et que j'aurais du être avec mes copines à me préoccuper de problèmes d'ado avec toute l'insouciante que ça implique, je donnais naissance à ma première fille.  
6. L'endroit où je me sens le mieux, c'est en haute montagne, là où la trace de l'humain ne se voit pas. Je m'y rends aussi souvent que possible. 
7. J'aime les livres, tourner les pages, apprendre, découvrir, me divertir. Je tiens à chaque livre de ma bibliothèque, que je classe minutieusement. . 
8. J'ai un problème d'addiction. Je deviens addict à tout très facilement. Le sexe, le chocolat, la cigarette, les jeux, les sites BDSM... 
9. Dès que l'ambiance est tendue au travail, je vais me toucher dans les toilettes pour pas me laisser atteindre par les mauvaises énergies. 
10. Les énergies ont une grandes importances dans ma vie. Et je parle aux arbres, aux rochers et à tous ce qui est dans la nature. 
10. J'ai divorcé jeune.  
11. J'ai refait ma vie depuis 10 ans, mais je n'ai pas voulu me marier. 
11. Je suis bordélique et absolument nul en ménage. Du coup je ne le fait jamais. Heureusement que j'ai un homme et 3 enfants dévouées. 
12. Par contre je suis très maniaque avec le rangement de mes armoires et bibliothèque qui sont rangées et triées obsessionnellement. 
13. Je ne supporte pas de ne rien faire, même pas 2 minutes. J'ai un sac à main pleins de choses pour s'occuper au cas ou je serais bloquée quelque part. 
14. Mes instruments de musique préférés sont l'accordéon et le violon. 
15. Le premier objet que j'ai introduits dans mon vagin après mes doigts, c'était un Ken dans un préservatif. 
16. Je passe des heures à marcher, pour trouver des geocaches et pour me ressourcer. 
17. J'adore jouer au poker et être la seule femme autour de la table (surtout quand je gagne). 
18. Je vais au théâtre au moins une fois par mois avec mes enfants. c'est le loisir que je préfère faire en famille. 
19. J'emmène mes enfants individuellement dans les parcs d'attraction en prétextant que c'est pour qu'ils puissent plus profiter mais c'est juste pour que moi je puisse y aller 3 fois plus 
20. Je voudrais savoir à partir de quel stade la douleur n'est plus un plaisir. 
21. Je ne ment jamais (sauf en cas d'extrême nécessité). Je ne supporte pas de faire quelque chose de mal. Je m'applique à éviter de mettre des mauvaises énergies autour de moi. 
22. Je considère mes erreurs comme des bénédictions qui m'ont appris à devenir meilleure, à comprendre la vie, à devenir plus forte et à grandir, tout simplement. 
23. J'écris un roman érotique. Mais c'est long vu mes lacunes en Français (je passe des heures sur la correction). 
24. Mon humeur est dépendante de ma vie sexuelle. 
Mais également des saisons. En hiver je suis facilement déprimée alors que l'été je suis toujours en pleine forme. 
25. J'ai passé ma vie à me prouver à moi même que je suis quelqu'un de bien, j'ai réussi presque tout ce que j'ai entrepris, je suis vraiment fière de ce que j'ai accompli jusque là... pourtant je manque cruellement de confiance en moi et je me dévalorise en permanence. Je me trouve jamais assez bien. 
26. J'adore construire des cabanes dans la forêt avec mes enfants et courir dans les champs avec eux. 
27. J'ai des serpents et j'adore les araignées. 
28. Je ne mange presque pas de viande et quand j'en mange, je vais la chercher à la ferme. Je ne produis presque pas de déchets et je consomme quasiment que local. 
29. Dans le train, je regarde les gens et j'essaie de m'imaginer quelle vie sexuelle ils ont et depuis quand ils n'ont pas baisé. 
30. Je ne regarde la télé que pour regarder des reportages ou du porno. 
Rappel des règles : 
Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife. 
Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors 
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, 
2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Thutale », 
3) publier ce texte dans votre section « articles », 
4) me le faire savoir. 
Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. 
Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un cœur on fait < et 3 ). 
Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça.            
            
                
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Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife. 
Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors :
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, 
2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Oplum », 
3) publier ce texte dans votre section « articles » 
4) me le faire savoir. 
Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. 
Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un cœur on fait < et 3 ).
Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça. Si vous vous êtes plié à l’exercice sur Fetlife, soyez sympa, publiez votre portrait sur bdsm et prévenez ici en commentaire,
 Et sinon, WonderSalope, c’est celle qui m’a donné le nombre 42 parce que j’ai cliqué « love » sur son portait Quebecois sur BDSM.FR. 
1 - On commence donc ce Plaisir narcissique décidément de se décrire ainsi. Mon coté joueur susciter, je le fais de bon coeur!
2 - Mon ours en peluche me suis encore (quasiment) partout à 25 ans! Me demander pas son nom, c est un ours en peluche!!!
3 - Ma première addiction (dont je me souviens) est forcément quelle que chose qui se "manipule" et sera mon premier amour… Qui dure encore aujourd'hui.... la Moto :D
4 - Niquer une moto est plutôt chaud, a ce titre, j'ai plus envie de vous dire avec Joey Star dans https://www.youtube.com/watch?v=qCraSAtm8OQ
5 - L'addiction au Sexe date également depuis mon jeune age! Des pornos avant les films d horeurs!!! Ca fait moins peurs?!?!?
P.S. : Mes cauchemards d'enfance sont sur E.T. et pas Sylvia Saint !!!
6 - Mon premier taf, est vendeur :D Vive le numérique et la vente des pornos téléchargé...
Qui dit demande, une offre peut s'installer, le bus scolaire fut très plaisant!
7 - Ma première expérience dura 5 ans et j ai choisi cette Belle aussi pour son coté nympho woman!
8 - Malgré cela, la branlette rend sourd (ou presque) - J'admet depuis peu êtrre totalement accro au sexe!!!
9 - Une Fascination pour le cul et horreur de certains trou du cul!
10 - L humour pour relativiser la vie. 
11 - D'ailleur, toi le lecteur (lectrice), Oui toi! Banane! Normalement prend un "N" … Et pourtant, ca prend bien un "P"…
12 - Enfant ordinaire relativement sage, la Bac de Marseille ne sont pas très tendre, les Baumettes n'est en rien un hôtel de luxe pour le coup
13 - Mon gros problème avec l autorité vient surement de l'absence de privation de mes parents! Je suis fier d'eux, de ce qu'ils m'ont offert et m'offrent encore!
14 - 14 séances de psychanalyses, c'est ce qu'il m'a fallu pour finalement se rendre compte que payer pour parler c est bien con - C est maintenant une amie qui vient boire le café (je dois y faire payer ???)
15 - Une horreur des hôpitaux, sauf abandonné. Une coup de coeur pour tous les lieux abandonnés,  vie d un temp - vie d antan!?
16 - Ma connerie n'a que peu de limites et elle n'est pas toujours facile a assumer derrière.
M'a t on dit que tant que cela ne nuit pas trop à autrui,  rien de grave... Toute façon, aucun remède n'existe!
17 - Malgré beaucoup de volonté et la rigueur que j ai pu m imposer, le bordel dans ma tête m a jamais permis d'aller au delà de la moyenne en français. J'ai fantasmé sur ma prof tout le lycée!
18 - Les mathématiques m'ont fasciné jusqu'à ce que l on me prouve une logique qui ne l'était plus... Mon prof de math m inscrit en terminal " Capable du pire comme du meilleur"
19 - Malgré un environnement très catholique, je suis sans la moindre croyance et mes certitudes évoluent toujours!
20 - Les cris dans une église ont un certain charmes mais a la différence des infirmières, les nones ne sont pas un fantasme!
21 - Vestige de ce "catholicisme", je raffole de tout bon repas et bon vin! Ne partage plus tout pour autant!
22 - La Vision du monde BDSM est pour moi l'apogé des Plaisirs! Monde ouvert sans limite sur grand nombre de pratique!
L'ouverture d'esprit pour y parvenir offre des possibilités de rencontres sur des gens que je trouve nettement plus intéressant qu'une moyenne dans la population "vanille"
23 - Je suis une tête de nœud mais qui finalement s emmêle de trop quand je veux faire un jolie nœud… Même celui de la cravate! 
C est mon pere qui me les fait (et j'essaye de l enlever sans le défaire... Compliqué quand je suis alcoolisé) :D
24 - Uniquement des Boxers, et même la nuit!!! 
Le rappel de blottir mes couilles dans des lieux étroits?  Aucun plaisir masochiste a avoir le sexe écrasé pour autant!!! 
P.S. : Parfois "Chlostro-Froc"... Mais les jeans sont parfois pas les seules causes!!!
25 - Effet de l attraction/Gravité, tout ce qui monte redescend, attention à la chute!
Encore jamais eu besoin de viagra... Je touche du bois!
26 - Le sommeil est pour moi une perte de temps et pourtant qu'elle plaisir de rester sous la couette au petit matin!!!
27 - Carmen Electra fut mon premier fantasme féminin, Kate Beckinsale est celle qui poursuit encore ce jour!!!
28 - Dexter est une série qui ma de suite plus! Atypique avec une passion pour les armes! Mon passager noir est connu que deux personnes !
29 - Etrange comme la destruction peut être une solution. Cela peut se discuter aux vues des conséquences qui s en suivrait
30 - J ai jamais foutu le feu plus que raison et j essaye de pas attiser mon instinct pyroman 
P.S. : Un canadair est difficilement visible après développement des pellicules...
31 - J ai toujours raison, même quand j ai tord! J'essaye alors de partager ma vision, j'aime débattre de tout et de rien. Le tord d avoir MA vérité qui n'est en rien unique
32 - Je râle après le chat quand il vient pas et reste dans son coin... Je râle aussi quand il est trop avec moi!!!!
33 - Plus tard, M en suis voulu d avoir tapé mon frère avec une batte de baseball! Mes premiers supplices sur lui ont débuté à 6ans!
34 - Je ne supporte plus que certains whisky (Cardhu ou Talisker). Malgré tout ce que j ai pu boire, la vodka est donc mon alcool "favoris". Vient ensuite du Limoncelo Maison!
35 - Pur produit de consommation, je consomme sans préoccupation, absolument pas écologique pour le coup (une tendance vers le Marxisme optimiste alternative)
P.S. : J'essaye de me mettre au tri sélectif (Tout dans la même poubelle!!!  )
36 - J adore boire un verre et regardais la foule passer, aucune critique, juste de l observation!
37 - Les W.C. sont pour moi le refuge de l intimité! Je m y plais qu'en certains lieux!
Faire Chier son monde mais pas chier n'importe ou!!!
38 - La seule blonde que j ai aimé, était tatoué et percé, tout ce qui ne m attire pas chez une femme. Content qu'elle soit redevenu brune! C est déjà ca!
39 - Ma dernière larme fut sur un quai de Gare. Je n'avais rien versé depuis 10 ans pourtant!
40 - Absolument pas narcissique et pourtant en train de prouver le contraire ici… Toi lecteur qui a eu le courage de me lire, je t en remerci!!!
41 - La liste de mes défauts n'est pas exhaustive… Mais voila 40 facettes qui font que je suis ce que je suis. Une simple imperfection "bref je suis comme tout le monde" ou presque!
http://www.tuxboard.com/bref-je-suis-comme-tout-le-monde/
42 - Enfin 42! Wonder tu es Maso et soumise… Vraiment!? en tout cas avec cette pointe de sadisme… Je t'adore 
            
            
                
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                Par : Heartbeat
            
            
            
Article original de Gaëlle-Marie Zimmermann : http://www.hellocoton.fr/to/16J4g#http://autourdusujet.free.fr/index.php/2013/11/21/le-romantique-de-la-bite-un-vrai-prince-charmant-pour-les-sentimentales-de-la-chatte
"Aujourd’hui, Ô Lectrice à la fesse rieuse (donc les culs tristes peuvent aller jouer ailleurs),  j’ai envie de te parler de romantisme… Car le romantisme, c’est un peu une valeur phare, sur ZoneZeroGene.
(Un ange passe)
J’aimerais par conséquent rendre hommage à une catégorie d’hommes particulièrement chère à notre chatte notre coeur… Ces hommes qui, tout en délicatesse et en subtiles attentions, savent nous combler,  nous les femmes.  Nous gratifier, nous émouvoir jusqu’au plus profond de nous-même (c’est-à-dire loin derrière le clitoris et juste avant les amygdales).
Ces hommes, plus nombreux qu’on ne le croit et tout entiers dévoués, ce sont les romantiques.
De la bite.
Oui.
Parce que le romantisme classique (restau feutré, porte de la bagnole tenue ouverte, regards languissants et déclarations enflammées), c’est adorable et on ne va cracher dans la soupe, hein, mais à côté du romantisme de la bite, c’est un peu le hard-discount du dévouement amoureux.
Et je vais même aller plus loin et te donner un bon conseil, chérie : si tu as la chance de croiser le chemin d’un romantique de la bite, SURTOUT ne le laisse pas filer. Accroche-le sans scrupules à la touffe de ton ticket de métro, suspends-le à ta bouche grande ouverte, adore-le de tous tes nichons et savoure ta chance. Parce que ces mecs-là, ce sont des joyaux.
Alors attention, le romantique de la bite n’est ni un goujat, ni un rustre, ni un ours des bois handicapé de la communication. Non, c’est juste un mec logique, qui s’évite bien des malentendus relationnels.
Saint-Exupéry a écrit :  « On ne voit bien qu’avec le coeur. L’essentiel est invisible pour les yeux« . Et il avait raison. Mais je peux t’affirmer une chose : si on ne voit bien qu’avec le coeur, et que les émotions se cachent au-delà du visible, on ne ressent bien qu’avec son corps ; car les sensations ne mentent jamais. Sauf quand on leur enjoint de fermer leur gueule ou qu’on refuse de les écouter, auquel cas le sentiment amoureux peut sublimer de la baise très médiocre et te rendre aveugle du cul : tu te retrouves alors à te mentir avec adresse, te racontant des histoires comme quoi tu es merveilleusement heureuse, que ce sentiment magique embellit tout le reste et que l’orgasme n’est pas tout dans la vie, que ce que tu éprouves va bien au-delà. Ouais, c’est ça. Seulement j’ai envie de te dire que pour aller bien au-delà de quelque chose, il faut déjà l’avoir atteint, sans vouloir faire ma chieuse.
Alors le romantique de la bite, ton corps, il l’apprécie à mort. Il aime tellement te baiser qu’il prend soin de toi comme si tu étais le plus précieux des diamants ; et son dévouement va bien au-delà de sa dextérité (dextérité incontestable, au demeurant, mais ce n’est même pas ça qui compte le plus). Grâce à lui,  le romantisme devient tout à coup une notion… revisitée.
Tout d’abord, le romantique de la bite est un généreux du cul. Un vrai gourmand, à l’avidité voluptueuse. Et sa gourmandise se nourrit de ton propre plaisir. Ton désir l’émerveille, et chacun de tes frémissements le mène au bord de l’extase. Tout ça sans aucune lourdeur : il ne te fera pas de grands discours, ne se répandra pas  en compliments fleuris (donc pour celles qui ont besoin de s’entendre psalmodier qu’elles sont des déesses vivantes, faudra repasser) et ne fondra pas en larmes de gratitude devant ton orgasme.
Non, le romantique de la bite, il sait que le sexe, c’est une fête charnelle, une réjouissance de tout le corps. Il t’appréciera parce que tu ne penses pas nécessaire de lui faire mériter sa première pipe au prix de trois dîners aux chandelles ; car si tu as envie de sa queue dans ta bouche, tu fonces, et dans le cas contraire, tu t’abstiens ; mais tu ne te demandes pas si une fille qui suce d’emblée peut être respectée, et tu ne fais pas du sexe une monnaie d’échange relationnelle. Et il t’adorera parce que tu auras cédé sans chichis à tes propres désirs (en gros, tu as pigé qu’ouvrir grand tes cuisses pour y attirer sa tête n’est pas une faveur que tu lui fais mais un orgasme que tu t’offres). Il savourera que tu t’en paies une bonne tranche en tortillant tes fesses sous ses coups de langue, sans te préoccuper de l’impression que tu donnes à ce moment-là : oui, tu as l’air d’une chaudasse en combustion spontanée et pas d’une lady. C’est comme ça).
Il te fera jouir avec délectation, non pas pour te montrer à quel point il est le meilleur, mais parce que contempler ton orgasme le met en joie. Une joie totale, pure, sans arrière-pensée, aussi débridée que celle de la première gorgée de bière fraîche.
Le romantique de la bite sait que Clitoris n’est pas un nom de divinité antique, mais le point d’ancrage très actuel d’un plaisir à ramifications multiples. Du coup, il a très bien compris qu’une fête sans lui n’est jamais vraiment réussie, et qu’une partie de cul sans le clito, ce serait un peu comme une boum sans la boule à facettes (qui te donne une mine scintillante et sublime ta jupe en lycra), ou une soirée chez l’ambassadeur sans Ferrero Rocher (inutile de te rappeler comment c’est bon quand ta langue touche enfin la noisette).
Le romantique de la bite tutoie également tes nichons avec une infaillible élégance. Leur prodiguant des soins soutenus sans jamais se lasser, il peut même, dans un élan d’enthousiasme, constater avec un scepticisme ravi que ses mains, pourtant king size, ne parviennent pas à les contenir totalement. [A ce stade, je sais bien que la Lectrice à petits nichons est à deux doigts de s’agacer (je ne vous jette pas la pierre, Pierre), et je la comprends mais ne peux rien pour elle (enfin je rigole, mais je dis pas de mal, promis).]
Par ailleurs, le romantique de la bite voue un culte à ton cul, et lui rend hommage avec passion. Mais ton dos, tes hanches, ta bouche, donc grosso modo l’ensemble de ton corps, bas-morceaux et abats compris, sont autant de motifs de palper, caresser, étreindre, tout ça en s’en mettant plein les mirettes. Ah oui, parce qu’il ne faut pas escompter que tes complexes merdiques vont empêcher le romantique de se rincer l’oeil. Tu n’es plus de première fraîcheur (ou tu ne fais pas du 36 / tes cuisses t’évoquent un flan pâtissier / ton ventre n’est pas concave) et tu crains les spotlights ? Prends sur toi si tu y arrives : tu ne voudrais pas le priver, non ? De toute façon, il ne voit rien, il a la gaule (= cerveau vachement moins irrigué, les quelques gouttes de sang encore accrochées à son hémisphère gauche n’étant là que pour lui assurer une parfaite coordination motrice). Et puis mets-toi bien ça dans le crâne : quand cet homme-là te regarde, il te rend belle.
Le romantique de la bite n’est pas forcément un grand bavard. Ce n’est pas qu’il n’en veut qu’à ton cul, loin de là : ce que tu as dans le crâne l’intéresse également (dans le cas, évidemment, où tu aurais quelque chose dans le crâne) ! Mais il n’éprouve pas le besoin de mettre un mot sur chaque chose, et c’est dans l’intimité érotique qu’il va construire avec toi que tu décèleras les preuves tangibles de son attachement. A cet homme-là, tu finis par te donner totalement, sans jamais le regretter d’ailleurs.  Et comme il ne considère pas tes faveurs comme acquises, il se trouvera bien veinard de faire du sexe avec toi. Si tu lui dis que c’est toi qui as de la chance, il s’en défendra avec conviction, pour finir par décréter avec le sourire que vous êtes tous deux exceptionnels et uniques (il a raison). Et au final, il se donnera également, en toute confiance, et se remettra entre tes mains avec une ferveur bien plus authentique que celle des déclarations enflammées.
Donc, le romantique de la bite te baise et te choie, ce qui peut être fatiguant  (les orgasmes, comme ça, tout plein d’orgasmes en quelques heures, ça crève). Il voudra te requinquer, du coup, et cuisinera pour toi. Non, laisse, ça lui fait super plaisir. Et si après une partie de cul échevelée tu traînes au pieu comme une feignasse, il t’apportera un plateau chargé de clapiotes et te mettra un verre dans la main. Te lever en protestant ? N’y pense même pas, princesse : c’est pas plus cool de prendre l’apéro au pieu ? Euh, si, mais… Mais rien, te rétorquera-t-il. Profite, pendant qu’il prépare le repas.
Il sera également à l’écoute de tes moindres envies, dans le cas (plutôt rare) où il ne les aurait pas devancées : que tu souhaites, là tout de suite, un cunni, une petite levrette en vitesse, un long et tendre missionnaire avec galochage intensif ou encore un câlin la tête dans son cou et ses mains qui te frottent le dos, tu n’as qu’une phrase à prononcer et en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, tu te retrouveras les cuisses autour de ses épaules / à quatre pattes / sur le dos / dans ses bras.
Il n’aura pas forcément l’idée de t’offrir des fleurs ni de te décorer de trucs brillants comme un sapin de Noël, mais si après une journée passer à cavaler tu lâches que tu as les jambes en compote, il s’abstiendra du vomitif  « ôôôôô ma pauvre chérie », et optera pour l’efficacité. Il t’apportera donc à boire, des coussins pour caler confortablement tes reins, prendra en main les poteaux qui te servent de guiboles, et te les massera longuement en t’écoutant bavarder. Pendant plus d’une heure. Jusqu’à ce que tu sois parfaitement détendue.
Si tu passes la nuit entière avec le romantique de la bite, sache que tu seras éventuellement réveillée par un délicat massage. Massage qui se conclura par ton embrochage en règle, à moins que l’embrochage ne soit simultané, option très probable également, vu que le romantique de la bite est sexuellement multifonctions, comme un four à chaleur tournante. D’ailleur, c’EST un four à chaleur tournante. Ou alors, il te caressera avec une charmante inventivité, assortie de fervents pétrissages. Mais c’est toi qui vois en fait… Ce sont tes envies qui comptent avant tout… Et si ton envie du moment c’est juste un café bien sucré, c’est faisable aussi.
Le romantique de la bite est avare de mots sirupeux, et c’est bien. Comme il sait ce qu’aimer veut dire, il ne galvaudera pas dans n’importe quel oreille des phrases sucrées et vides de sens. Mais pendant qu’il te baise, il est entièrement là, présent, impliqué. Et quand il ne te baise pas, il est présent aussi : tu sais toujours où le trouver et seule une indisponibilité peut l’empêcher de t’accorder du temps. En cas de pépin, de moral en berne ou d’états d’âme (si tu as une âme, bien sûr, supposition audacieuse contredisant les doutes de Desproges à ce sujet), il est là, toujours. Attentionné et à l’écoute.
Le romantique de la bite est le genre de mec qui ne s’abandonne qu’une fois apprivoisé, sans pour autant faire son mystérieux ni sa pétasse. Et pour apprivoiser le bestiau, la paire de bas, le porte-jaja et le croupion joyeux ne suffiront pas, même si c’est une bonne base de discussion. Non, pour l’apprivoiser, ce qu’il faut, c’est de la simplicité et du temps. Le temps que l’intimité et la confiance s’installent. Le temps qu’il constate que ses sens et son flair lui envoient de très bons signaux, et que tu es exactement ce qu’il désire : une femme à la fesse chaleureuse, à l’esprit sain, et qui n’a précisément pas pour objectif de l’apprivoiser.
En gros, avec lui, tout est simple : tu peux lui faire confiance, et tu ne t’en prives pas. C’est comme si le sexe cimentait tout le reste. De son côté, il te fait confiance également, et t’affirme sans emphase que vraiment, tu le cernes bien. Comme ce n’est pas le genre de type à faire des déclarations d’intentions juste pour la beauté du geste, tu le crois.
Parfois, tu as de tendres échanges verbaux avec le romantique de la bite. Tu lui dis des mots doux, des phrases touchantes, comme « Ta queue, c’est une pure merveille », ou « Quand je pense à ta langue, la moquette de mon salon prend feu ». C’est beau comme du Ronsard.
Un jour, le romantique de la bite te dit tranquillement, en sirotant son café : « Personne ne m’a jamais baisé comme toi » . Bon Dieu de merde. Tu en es toute émue dis-donc, d’autant plus que tu sais que ce n’est pas ton ego qu’il vise. Il l’a juste dit parce qu’il le pense (sinon, il n’aurait rien dit).
Mais toujours est-il que là, tu sens bien que tu es en face d’un prince charmant, un vrai."            
            
                
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                Par : MaxDrault
            
            
            
1 - J'ai bientôt 44 ans et un ami de bientôt 40 ans.
2 - Mon grand-père paternel était mineur et paysan.
3 - Ma maman est née à Sidi-bel-Abbes en Algérie, elle a dû quitter son pays à l'âge de 16 ans, valise plutôt que cercueil, mais s'est toujours sentie et se sent toujours Africaine.
Elle n'en a jamais parlé mais j'ai toujours su qu'elle a vu des atrocités.
4 - J'ai été conçu en missionnaire, entre deux matelas pneumatiques vaguement dégonflés, sous une tente canadienne plantée avec des clous dans le grenier d'une maison de campagne.
Tout le monde ne peut pas en dire autant.
Et surtout, tout le monde ne peut pas dire comment il a été conçu.
5- Je suis naturiste depuis l'âge de 2 ans. La première fois que j'ai vu des gens en maillot de bain sur une plage, j'avais 14 ans.
Ça m'a choqué.
6 - je souffre d'apnée du sommeil et ronfle abominablement. Rares sont mes partenaires qui ne doivent pas faire chambre à part.
7 - Je suis lecteur rapide, une technique que j'ai appris enfant, seul.
Toutefois, je peux rester des années sans lire.
Mais quand ça me prend, cela dure des mois, et il me FAUT trois ou quatre bouquins par jour.
8 - Mon cousin gay a été prénommé Philippe en hommage au maréchal Pétain.
9 - Je sais faire la meilleure mayonnaise de la galaxie.
10 - Plus simplement, j'aime cuisiner et faire à manger pour mes soumises, mes ami(e)s, ma famille.
11 - J'ai vu en concert C.Jérome, Annie Cordy, Dalida (elle chantait en play-back, la salope !), et d'autres, à la foire aux vins de Saint-Eloy-les-Mines.
12 - Lycéen, j'ai fait la 1ère partie de Ludwig Von 88 avec mon groupe de punk, dans la salle des fêtes d'Ennezat .
13 - Je me suis fait percer le nez en 1990, à l'époque, très rares étaient les filles qui avaient une puce discrète, alors un mec avec un anneau dans le pif, et une crête...
14 - J'ai conduit une voiture immatriculée Corps Diplomatique sous acide.
15 - Je sais chanter "Ta Katie t'a quitté" sans bafouiller, et je l'ai fait dans la cuisine de la salle des fêtes de Vitry-en-Charollais.
16 - Rentré bourré chez une mère célibataire au sortir d'un bar pour s'envoyer en l'air, je me suis vu réveillé au matin par le contrôleur de la CAF.
17 - Mon oncle était commissaire-divisionnaire à Marseille, patron de la police, époque où les flics et les truands se respectaient, il s 'est fait des bouffes avec les Zampa.
18 - Je suis ballistophobe, d'où mon objection de conscience.
19 - Je déteste les listes.
Spécial bonus :
19.1 - Ma photo d'avatar a été prise en 2012 lors du NH Poker Open, record de France du plus grand tournoi de poker live amateur, 1040 joueurs,
j'ai fini 2ème après un marathon éreintant de 30h sur 2 jours, je n'aime pas montrer ces images car même si c'est une performance énorme et brillantissime, on y voit quand même mon visage dans la défaite...
(à partir de 17'38'')
https://www.youtube.com/watch?v=O_Qw-C7DnmQ
Je me suis qualifié pour l'édition 2014 (c'est biennal), il y aura 2000 joueurs sur 4 jours !
Oui, je joue au poker, un vice de plus...            
            
                
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                Par : Abyme
            
            
            
Puisque Thutale me le demande, je me plie à ce jeu consistant à parler de moi, de ma vie et de mes secrets...
1. Je suis né par accident, de deux parents adolescents hippies et naturistes, obligés de se marier. Si l’avortement avait été déjà légal je ne serais pas là. J’ai un quart de sang corse.
2. Le jour du premier pas sur la lune, mes parents et moi y avons assisté en direct, c’était un dimanche soir. Je leur ai dit « C’est mal fait, je préfère Les Envahisseurs ».
3. La même année, j’ai vécu ma première humiliation publique : le maître d’école avait refusé de me laisser sortir faire pipi alors que je me tordais d’envie, car il ne restait que 10 minutes de classe. J’ai fait dans ma culotte et ai subi la risée de toute la classe et ai dû nettoyer pendant la récréation.
4. J’ai appris à lire pratiquement seul avec Tintin et Le Petit Prince. Je savais déjà lire et écrire en entrant au CP.
5. Tout petit j’avais déjà une bonne oreille musicale. Ma mère me montrait en spectacle à ses copines : je devais reproduire des génériques télévisés en chantant, ou n’importe quelle chanson de la radio, et je ne me trompais jamais.
6. Enfant, j’ai appris à sculpter sur des bouts de gruyère à la fin des repas. Mon premier succès fut le buste du Général de Gaulle de 6 cm de haut. Ma mère a essayé de le garder, mais un jour il fallu le jeter.
7. Ma mère était libertine nymphomane. Mais à l’époque on n’utilisait pas ce terme, on préférait dire « salope » ou « traînée ».
8. À 10 ans et demi, mon frère m’a demandé de l’enculer, ce que j’ai fait.
9. À l’école j’ai toujours été premier en dictée, orthographe et français, alors que je n’ai jamais appris mes leçons.
10. Mon dépucelage, à 15 ans, était une grande blonde du même âge, notre histoire a duré plus d’un an. Plus tard elle est devenue mannequin aux USA.
11. À 16 ans j’ai eu la chance de voir mes BD publiées dans un journal régional. Mon personnage était un oiseau sur sa branche, qui dispensait des pensées subversives.
12. La même année (1978) j’ai fondé mon premier groupe. C’était du hard rock, notre nom était Cyanürr. J’étais chanteur-bassiste.
13. Mes parents ont divorcé lorsque j’avais 11 ans, ce fut la guerre entre eux, et mon frère et moi avons été pris en otages, puis séparés : lui chez ma mère et moi chez mon père. Je n’ai retrouvé ma mère qu’à l’âge de 17 ans et demi, âge où j’ai quitté mon père pour entamer 3 ans d’errance en stop & SDF.
14. Je n’ai pas mon bac ni fait d’études (à part 2 ans de psycho, à 30 ans, j’avais fait croire que j’avais mon bac). J’ai toujours eu la moyenne sans travailler. Je n’ai jamais appris mes leçons, j’en étais incapable. Je suis autodidacte pour la plupart de ce que je fais.
15. Un jour, j’ai rencontré mon double parfait : sosie exact, même prénom et même date de naissance. Mon premier roman évoque cette rencontre hors du commun.
16. J’ai toujours été si étonné par le besoin de croire des humains que j’ai fait mes propres études autodidactes de théologie. Fasciné par le mysticisme et l’astro-physique à la fois, j’ai toujours considéré que la croyance religieuse était une espèce de tare, une béquille bénéfique pour les crédules qui en avait besoin. J’ai découvert pourtant que même des gens intelligents pouvaient être croyants, voire fanatiques, ce que je ne me suis jamais expliqué.
17. L’authenticité a toujours été mon crédo : l’honnêteté et la transparence, le fait de ne jamais mentir, me permettent d’être spontané, crédible et totalement libre. J’ai toujours résisté aux influences (y compris l’enseignement), qu’elles soient artistiques, politiques, spirituelles, etc.
18. J’ai découvert la vraie puissance de l’amour lorsque ma fille est née. Ce fut une renaissance.
19. Je suis à la fois un misanthrope cynique et un philanthrope ébahi. Un solitaire sauvage qui s’accorde une multitude de rencontres et d’échanges.
20. Je suis convaincu que la Poésie est le substrat de toute forme d’art.
21. Le fait de vivre en Inde a accentué ma circonspection rebelle envers le système sociétal dans lequel nous sommes coincés en occident.
22. Mon atelier était le QG local des Indignés sous Sarkozy. En parallèle, j’étais rédacteur en chef d’un journal dissident intitulé « Le Dazibao du Chaos », dont la particulartié était de s’afficher dans la rue, et dont la diffusion s’est interrompue en 2012.
23. J’ai pratiqué le judo pendant 9 ans et le kung fu pendant 13 ans. Et l’escalade libre (sans sécurité) toute ma vie, jusqu’à ce que mon handicap du dos me force à arrêter le sport.
24. Cela fait dix ans que je devrais porter un corset pour soutenir ma colonne vertébrale, mais j’ai toujours refusé, par crainte d’en être dépendant. Et je suis toujours debout.
25. J’ai créé une personne virtuelle que je fais vivre depuis huit ans. Elle a participé à plusieurs forums du net, et elle a sa page FB.
26. Cela fait 15 ans que ma fille devrait être morte. Grâce au succès d’une opération du cœur, son espérance de vie est devenue normale.
27. Ma boisson préférée est le jus de fruits. Je bois un peu d’alcool parfois mais je n’accepte pas d’alcooliques chez moi. Mon atelier-loft est un salon de thé.
28. Plus jeune, j’étais un grand timide. Je n’ai pratiquement jamais dragué de ma vie. En général j’ai toujours préféré qu’on vienne à moi plutôt que de solliciter.
29. Depuis ma rupture en 2006 avec la femme que j’aimais, je cultive l’indépendance (opposé de dépendance) et évite l’engagement exclusif. Je me suis rendu compte, comme un cap d’évolution, de maturité, que ce fonctionnement solitude/diversité/liberté me convient parfaitement, et me permet d’expérimenter, d’explorer, de vivre libre, d’être parfaitement bien dans ma peau.
30. Un jour je me suis retrouvé en tête à tête avec Serge Gainsbourg et nous avons discuté pendant trois quarts d’heure.
31. Un jour j’ai dû poignarder un homme (dans son bras, avec son propre couteau) pour sauver ma vie.
32. Lorsque j’avais 19 ans, la maison Barclay m’a proposé un contrat pour un album, mais j’ai refusé (ils voulaient que je traduise mes chansons en français alors que je les avais composées en anglais).
33. Dans le même style : Actes Sud ont accepté le manuscrit de mon premier roman, en 2002, mais comme j’ai refusé d’en changer la fin, le contrat ne s’est jamais fait.
34. Il existe en France 4 femmes qui ne veulent plus faire l’amour avec d’autres hommes après m’avoir connu (dont une depuis 8 ans et une autre depuis 7 ans).
35. Peu après ma séparation avec la mère de mes enfants, je me suis retrouvé un jour sur la plage avec une amante, à une fête en plein air où se trouvaient par hasard mon ex et ma maîtresse, qui venaient de faire connaissance. Elles sont venues me gifler toutes les deux à la suite sans explication, et celle qui m’accompagnait, après leur avoir demandé des éclaircissements, est venue faire de même ensuite. J’ai estimé que je le méritais et ai accepté la sentence sans réagir. J’ai fini la soirée seul.
36. J’ai déjà fait une semaine de prison.
37. Les trois femmes que je fréquente en ce moment le plus régulièrement portent toutes les trois le même prénom, par coïncidence.
38. J’ai dormi des centaines de nuit dans des cimetières de campagne.
39. J’ai inventé des petites choses qui, si j’en avais déposé les droits, auraient pu me rendre riche (le pin’s, le Yalta jeu d’échec à trois joueurs, la poche A4 dans le dos d’une veste, le soundtrack de roman…)
40. J’ai été en froid avec mon père pendant 30 ans. Juste avant de le retrouver, j’avais en tête l’image d’un homme plus jeune que celui que j’étais devenu.
41. Avant de passer derrière l’objectif et de devenir photographe, j’étais modèle, mannequin et comédien. Plusieurs photographes, publicistes et cinéastes ont exploité mon image.
42. J’ai rencontré 9 femmes de ce site, dont 7 avec qui j’ai eu des relations sexuelles, et dont 4 avec qui ça s’est reproduit plusieurs fois.
43. Lorsqu’on me lit (ici notamment), on peut croire que je suis prétentieux, égocentriste, vantard ou même mythomane. Mais lorsqu’on me rencontre on s’aperçoit que non, au contraire : je suis quelqu’un de généreux, attentionné, humble et vrai.  
44. J’ai atteint un stade de ma vie où je me sens heureux et libre, en phase avec mes convictions. Je vis hors-système, en toute marginalité (et pauvreté par choix). Il ne se passe pas un jour sans que je crée. L’art, la création et l’expérimentation sont mon moteur de vie principal. Le sexe y est inclus mais est loin d’en être l’élément principal.
Règles du jeu : 
Ceci est le jeu du portrait québécois. 
Si vous cliquez sur "j’aime", je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors :
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, 
2) me dédicacer le titre de la manière suivante "x choses sur moi pour Abyme", 
3) publier ce texte dans la section Articles, 
4) me le faire savoir. 
Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui likeront votre texte. 
Si vous voulez me faire savoir que vous likez sans être obligé de faire des devoirs, laissez juste un commentaire. 
Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez le refaire.
Jeu & règles établis ici par Wondersalope.            
            
                
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                Par : John_Dildoe
            
            
            
1. J'ai eu une enfance très heureuse, sans aucun soucis, complètement ignorant de ce que pouvait signifier 'avoir des problèmes'. Par exemple, je n'ai réalisé que très tard que mon père n'était pas celui de ma demi-sœur (qui est pour moi ma sœur-tout-court), et combien cela pouvait l'avoir affecté (ma sœur !).
2. Précoce, curieux et très attentif, j'ai été brillant - comprendre, premier de la classe - tout au long de ma scolarité, sans jamais travailler. Je me souviens avoir fait le tour des classes de maternelles, poussé par mon institutrice, pour chanter 'Les Lilas' de Brassens, que je connaissais par cœur du début à la fin. Mon père l'avait en cassette. J'avais quatre ans. Et je suis sorti major de mon Lycée, bac scientifique. Maman était drôlement fière ! ;)
3. En conséquence, je n'ai pas appris ce que c'était que 'travailler', et il m'est encore très difficile de faire des efforts pour les choses que je juge ennuyeuses et secondaires (ranger, typiquement).
4. Faire du sport (ou pire, en regarder !) m'ennuie profondément dès lors qu'il n'y a pas de côté ludique, ou 'sensation'. J'aime les sports de glisse et d'eau vive, et la plongée en apnée.
5. J'ai fait du foot, pour faire plaisir à papa (qui en faisait). Je restais à l'écart, attendant désespérément que mes imbéciles de co-équipiers arrêtent de se jeter sur le ballon et me fassent une passe, moi qui n'avait personne pour m'arrêter en face de moi. En vain. J'ai tenu deux ans.
6. Je suis ostensiblement intelligent, au sens QI du terme. Pour autant, cela ne m'a pas aidé à mûrir, émotionnellement parlant, au contraire.
7. Adolescent, je suis toujours sorti avec des gens plus âgés que moi. Les conversations avec les gens de mon âge n'étaient pas assez enrichissantes, trop... bêtes, trop puériles.
8. Longtemps persuadé de détenir la Vérité, j'ai mis beaucoup de temps à être compréhensif, ouvert d'esprit et tolérant envers les opinions d'autrui. En fait, j'ai appris trop tôt et interprété trop littéralement la maxime 'les gens sont tous égaux'.
9. Je n'ai jamais eu la télévision chez moi. Je regarde des séries et des films - merci internet - mais je suis très, très réfractaire à ce meuble qui absorbe l'attention et réduit le cerveau en bouillie uniforme. Je force le trait, et oui, je me doute qu'il y a parfois des choses bien, mais c'est mon opinion profonde.
10. Je déteste perdre aux jeux compétitifs. A tel point que je ne joue jamais.
11. J'ai une très haute opinion de moi même. Je sais parfaitement que c'est exécrable, que cela me rend parfois arrogant et pédant, et je travaille là-dessus. Mais c'est difficile à corriger. Aussi... cela pourrait expliquer mon désir d'être soumis, dans un cadre intime, y compris jusqu'à l'humiliation. Je veux dire... il faut une sacrée dose de patience, de fermeté, de douceur et d'intelligence pour me remettre à ma place. Mais au fond, c'est ce que je cherche.
12. Du primaire, au Lycée, j'ai toujours aimé interagir avec, et plaire aux enseignant(e)s. En CE2, ma maîtresse était une vieille peau acariâtre, encroûtée dans des méthodes archaïques. Mes notes sont passées de 'excellentes' à juste 'bonnes'. Quand ma mère et ma maîtresse précédente m'ont gentiment confronté, je me souviens encore de la réponse que j'ai donné : 'Je n'ai pas envie de lui faire plaisir'.
13. Quand j'avais 9 ans, je me suis fait prendre en train de chiper des billes, en garderie après les cours. Par la maîtresse (de garde, pas la mienne, dieu merci !), devant tout le monde. La honte de ma vie. J'ai compris la leçon. Sans que personne ne lui dise, rien qu'à ma tête, ma mère a compris qu'il s'était passé quelque chose quand elle est venue me chercher. Elle m'a asticoté toute la soirée jusqu'à ce que je craque, avant de dormir. Double peine.
14. J'ai un respect automatique envers les gens plus âgés que moi. Les femmes en particulier. Et je suis facilement condescendant envers les plus jeunes que moi. Je n'ai jamais eu de conjointe plus jeune que moi.
15. J'ai fait 12 ans de solfège au conservatoire. Et 10 ans de saxophone. Les professeurs, ravis de mon travail et me citant en exemple alors que je n'en foutais pas une ramée.
16. Mon père est photographe. Avant de prendre sa retraite, il avait un labo de développement en banlieue parisienne, quand les appareils numériques n'existaient pas encore. J'allais très fréquemment l'aider le samedi, pour accueillir les clients, développer les pellicules et tirer leurs photos. J'y réparais également magnétoscopes et magnétocassettes, allait chez les gens pour régler paraboles et canaux télé. J'entrais à peine au collège, ça me faisait de l'argent de poche. Il y avait également un studio de prise de vue à l'étage, mais peu fréquenté. Comme j'ai eu un accès gratuit à beaucoup de matériel, vu beaucoup de photos, j'ai appris la technique sur le tas, que je maîtrise parfaitement. Pas de grandes velléité artistiques, en revanche, je trouve ça intellectuelo-masturbatoire (sans jugement pour ceux qui aiment, hein). J'aime faire des portraits, des photos 'sur le vif', naïves. Des gens, ou des scènes vraies. Des fleurs, des animaux. Mais pas de mise en scène. Ou alors des nus, mais juste pour l'esthétique, les corps, la lumière. Pas d'essayer de faire du sens caché, ou de prendre un verre dans une galerie en discutant sans fin de telle ou telle ombre et bla bla bla. Pour moi, une photo est belle, éventuellement directement symbolique, mais cela ne va pas plus loin.
17. Je suis plutôt hermétique à l'art contemporain. Ma période préférée, ce sont les impressionnistes. Monet !
18. Mon père ne parle jamais, JAMAIS de ses sentiments. Je ne me souviens pas l'avoir entendu me dire qu'il m'aimait. J'ai vu sa fierté, parfois. J'ai entendu de seconde main qu'il parlait de moi. Mais directement, jamais. Encore aujourd'hui, par exemple, il invoque des prétextes secondaires pour que je reste un peu plus longtemps quand je vois mes parents : 'oh tiens, j'ai installé tel nouveau logiciel', 'oh, ma connection marche mal'. Je ne suis pas dupe, mais j'aimerais qu'un jour il me dise tout simplement qu'il a envie de me voir. Comme il pense que c'est évident, il se tait.
19. J'adore la musique rock, blues, reggae, hard, et le classique. J'en ai une écoute attentive et me 'baigne' dedans. Comprenez, écouter inlassablement avec minutie pour saisir de quoi elle est faite, jusqu'à être capable de la ré-écrire de mémoire. FIP est de très loin ma station de radio préférée.
20. Je suis parti de chez mes parents à 18 ans, pour faire une école d'ingénieur publique avec admission post-bac, une des deux meilleures de France. Durant 5 ans, j'y ai passé parmi les meilleures années de ma vie. Je me suis senti sur un pied d'égalité avec les autres étudiants. J'ai rencontré dès la première semaines des amis que je vois encore régulièrement aujourd'hui. Toujours sans trop faire d'effort, et avec une assiduité modéré. Ce qui m'a donné beaucoup de temps pour socialiser et participer à la vie associative étudiante.
21. J'y ai passé mon permis en secret, en ayant économisé durant deux ans l'argent que mes parents me donnaient. Juste pour voir la tête de mon père quand je lui ai pris les clés de sa voiture, tendant la feuille rose, en lui demandant si c'était moi qui le reconduisait à la maison ce week-end. J'aime beaucoup faire ce genre de surprise.
22. Je m'y suis pris une quantité significative de râteaux. Ma première fois, j'avais 23 ans, et ce sont deux femmes, superbes au demeurant, qui me sont tombées dessus sans que je m'y attende, à une semaine d'intervalle. Une histoire folle et incroyable (pour moi), qui a pas mal chamboulé ma façon de voir le monde jusqu'alors, d'autant qu'il m'a bien évidemment fallu faire rapidement un choix bien cruel. Depuis le temps que j'en rêvais, il a fallu que je rompe. En quelques semaines ! Je me suis même retrouvé un soir au théâtre avec une de chaque côté... J'étais embarrassé à un point inimaginable.
23. J'ai vécu 2 ans au Mexique, pour ma première embauche, avec un autre ami de l'école. Expérience très enrichissante, qui m'a appris à quel point les gens pensent et vivent subtilement différemment de par le monde. Très bon pour l'ouverture d'esprit. J'ai également appris de cette expérience qu'il m'était très difficile de m'y adapter pleinement, et que je ne souhaitais pas faire ma vie à l'étranger.
24. J'y ai appris la guitare, en autodidacte. Mon ami était un peu exaspéré du temps que j'y passais, alors qu'il souhaitait plutôt aller courir ce nouveau monde.
25. Je suis plutôt casanier. Je n'ai aucun soucis à rester tout un week-end chez moi, quand bien même il fait beau dehors, du moment que j'ai un sujet intéressant à approfondir, un bouquin, un jeu, un morceau à apprendre.
26. J'ai vécu 8 ans avec une hongroise, nous deux sous le même toit, à Paris (proche banlieue). Quand nous nous sommes rencontrés, elle ne parlait pas français, ni moi hongrois. Encore aujourd'hui, quand la conversation devient subtile et le sujet important, nous nous exprimons en anglais. Nous avons eu un enfant - un fils - laborieusement. Nous nous sommes séparés 4 mois après sa naissance. Elle est repartie vivre en Hongrie.
27. Jusqu'à présent, cette séparation - qui mêle à la fois celle de mon fils et de la plus significative de mes relations - est la plus dure des choses qu'il me soit arrivé dans l'existence. J'ai vécu deux années atroces. Réalisant progressivement l'irréversibilité, la distance culturelle et affective qui se creuse, la honte d'être convoqué au tribunal à Budapest et d'être contraint à s'y rendre, l'impossibilité d'obtenir un quelconque gain de cause. L'absurdité du calendrier de visites fixé jusqu'à 2031.
28. Je travaille comme ingénieur dans une grande entreprise française, secteur industriel. J'aime beaucoup ce que je fais, et l'enjeu stratégique de l'activité concernée.
29. J'ai une affinité avec les machines et les logiciels, et une compréhension extensive de cet environnement technologique. Même dans mon travail où le niveau intellectuel général est élevé - tous cadres - je suis une référence en ce qui concerne la technique. J'adore y faire le malin et éprouver, et démontrer, mes capacités. J'aime les challenge qui mettent en oeuvre mes talents et les poussent aux limites.
30. J'ai beaucoup de mal à trouver le bon équilibre entre arrogance et fausse modestie.
31. Plutôt fougueux, espiègle, curieux et impulsif, je dévore et consume tout nouvel attrait comme un ogre. Quand j'entame un livre qui me plait, je le finis en quelques jours, quitte à ne pas dormir. La patience... n'est malheureusement pas mon fort. Là encore, je travaille dessus, mais c'est dur. Ca s'améliore un peu, mais lentement, avec le temps.
32. Je déteste la foule (sans que ce soit une phobie), les boites de nuit (où l'on ne s'entend pas parler), les repas à plus de 8 personnes. Trop de choses à capter en même temps me submerge et m'épuise.
33. Je suis bavard. J'adore argumenter et approfondir. Je suis incapable de parler de la pluie et du beau temps, ou de sujets bateau façon 'café du commerce'. En tout cas, pas plus de cinq minutes.
34. Je déteste les quiproquos, et j'ai du mal à correctement interpréter le niveau de connaissance de mon interlocuteur, qui crois parfois - à tord - que je le prends pour un imbécile. J'aime être précis.
35. J'ai du mal à 'simplement' écouter, quand il ne s'agit pas d'apprendre. Dans un dialogue, je pense plus vite que la parole ne permet de transmettre, je sais - ou crois savoir - ce que va dire mon interlocuteur avant qu'il ait fini sa phrase, et l'interrompt fréquemment. Selon les personnes, cela peut donner un résultat tout à fait intéressant. En général, avec les femmes, c'est la catastrophe... Là encore, je m'améliore avec le temps.
36. J'aime beaucoup la relaxation et l'hypnose, j'y suis très sensible car je me concentre très facilement en faisant fi des stimuli extérieurs. Comme pour la lecture, qui m'absorbe entièrement dans l'histoire. J'ai découvert la version 'érotique' de l'hypnose il y a quelques années. Cela m'a tellement plus que j'en ai fait quelques enregistrements, y compris en anglais, pour mon ex qui avait quelques problèmes de 'lâcher prise'.
37. Je suis sensible - comprenez tactile - et sensuel. Le toucher est un sens très important chez moi. J'aime faire des massages, par exemple, bien plus qu'en recevoir d'ailleurs.
38. Je fais partie de deux groupes de musique amateur. Je chante, fais de la guitare, de la basse et du saxophone (pas en même temps !). Pour m’entraîner, je fais de temps à autre des enregistrements, soit de guitare, soit chant (ou les deux). J'en publie parfois des vidéos sur YouTube, pour partager avec mon fils.
39. J'accorde une trop grande importance à la façon dont je suis perçu par mes proches. Le corollaire, c'est que je déteste les décevoir, que j'ai beaucoup de mal à dire non, et que je me retrouve parfois coincé à devoir faire plaisir à tout le monde.
40. Je prends tout très au sérieux, y compris le divertissements. Je m'attache à faire les choses bien, jusqu'au bout, ou je ne les fais pas. "Toute chose qui vaut la peine d'être faite vaut la peine d'être bien faite".
41. J'ai du mal à prendre des décisions irréversibles et qui engagent pour la vie, quand je suis dans l'incertitude, quand il me manque des informations. Je suis plutôt prudent et réfléchi, pour ce genre de choses. Mais une fois pris, je ne prends jamais mes engagements à la légère.
42. Je n'aime pas particulièrement manger, ni faire la cuisine et tout ce qui s'ensuit. Que de temps perdu que je pourrais consacrer à faire des choses plus intéressantes ! En revanche, je sais - et j'aime - faire des cocktails.
43. J'adore la science-fiction. J'en ai beaucoup, beaucoup lu. La littérature ou les nouvelles contemporaines sont moins ma tasse de thé.
44. Mon livre de chevet est "Le Petit Prince". Je m'y reconnais de bien, bien des façons. Un livre qui est une leçon de savoir vivre, qui vaut pour moi tous les textes religieux du monde.
45. Je suis indéfectiblement athée et cartésien. Si vous me parlez ésotérisme, je décroche très vite. Ca peut être très intéressant culturellement parlant, mais va très vite tomber dans un mysticisme qui n'est pas moi et auquel je suis imperméable.            
            
                
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                Par : Heartbeat
            
            
            
1. IRL Très peu de gens savent que je suis bisexuelle. 
2. En terminale, mon prof de philo, en parlant du masochisme mental, a fait une petite parenthèse sur le masochisme sexuel. 
Pour illustrer ses paroles il a affirmé qu'il fallait vraiment être taré pour dire "oh ouiiii, mets des clous sur ton fouet et frappe plus fooort"... Je me suis dit qu'il avait quand même l'air de bien maîtriser le sujet !! 
3. Ca va faire mégalo mais j'aime mon prénom. 
4. J'adore mes jobs d'été et de vacances, je m'éclate dans ce que je fais, j'ai parfois l'impression que c'est une chance... 
5. Je déteste partir de chez moi le matin quand il fait nuit. Ca ne me booste pas du tout ! 
6. Une exception : quand il fait super froid, les grillages sont givrés, ils scintillent, c'est tellement joli... De quoi me donner le sourire dès le matin ! 
7. D'ailleurs tous les matins je cours après mon bus en mode Usain Bolt, je me tape des crises d'asthme, je fais tomber des trucs en chemin (le nombre de fois où j'ai retrouvé mon étui à tabac posé dans le hall d'entrée, haha!), mes nunga nunga se balancent dans tous les sens comme si ils étaient au niveau max de l'échelle de Richter, mais au moins j'ai (presque) toujours mon bus ! 
8. Je vous raconte pas la déception quand j'ai pas mon bus. Tout ça... pour rien... Je broie du noir toute la matinée après. 
9. Je suis fan des chaussures à talon 
10. ...Mais je n'en mets presque pas, ça fait tellement mal aux pieds ! 
11. Mardi-gras est mon jour préféré de l’année ! 
12. Dans mon ancienne fac, il y avait des moutons qui se baladaient dans le parc avec leur berger, c'était bien marrant! 
13. Une fois, j'avais un oral blanc qui tombait un mardi gras. Pas de bol pour moi, il pleuvait. J'avais mis des pantoufles roses (ne mettez jamais de pantoufles quand il peut) très neuneu (assorties à mon pyjama à coeurs rose) et je me suis méchamment rétamée dans une pente boueuse et glissante (sûrement à cause de mes pantoufles). Je me suis présentée à l'oral en retard, pleine de boue et en panique. La classe totale, première impression réussie et tout et tout. 
14. Je suis fétichiste des robes Elie Saab, les dentelles, la finesse, la transparence... Rhâââaaaan ! 
15. Je suis aussi (un peu) fétichiste des dos masculins et féminins. Les petits creux, les sillons, les lignes, c'est super beau. Mais je ne suis pas sectaire, le verso me plait beaucoup aussi ! 
16. Je ne supporte pas les aigri(e)s, les gens qui comparent et qui systématiquement regardent dans l'assiette des autres (façon de parler), les fouinasses qui guettent dans l'ombre les gens tomber et qui leur sautent dessus une fois qu'ils sont à terre. Je constate (IRL et ici aussi) que parfois, des gens que je connais de vue (donc pas du tout en fait, avec qui je n'ai jamais eu l'occasion d'échanger) manifestent une certaine animosité, je sais pas trop comment l'expliquer, mais un truc bien lourd et négatif à mon égard. A ces gens : allez vous faire cuire un oeuf, pour rester polie. 
17. Avant, je n'étais pas comme ça, on me disait que j'étais trop gentille. Mais ça c'était avant ! On se permet souvent des choses, des mots, des avis sans aucune délicatesse parce que j'ai l'air d'être une bonne poire (on doit se dire "oh allez elle va pas le prendre mal" ), que je fais des blagues et que je "rigole tout le temps" (sic) mais je ne me laisse plus faire. 
18. Je suis rancunière. Quand on me fait chier, qu'on se comporte mal avec moi, qu'on se permet des choses que je ne me permettrais jamais, je m'en souviens bien. 
19. Ca marche aussi dans l'autre sens. Je marche vachement à l'affect... Quand quelqu'un vient vers moi, m'aide, m'écoute ou me fait du bien je m'attelle à lui rendre la pareille et à le soutenir quoiqu'il fasse. 
20. C'est le nombre d'étés que j'aurai bientôt vécu. Brace yourselves, HB is coming !! 
21. Ce que je préfère dans le BDSM, c'est l'humiliation et la discipline. J'aime obéir et lâcher prise. 
22. J'adore passer mes vacances dans mon lit, mais j'aime encore plus les passer "ailleurs"... J'aime les voyages, on en revient bien souvent avec des découvertes, des rencontres et des expériences plein la tête... 
23. J'aimerais bien me débarrasser de mes complexes... 
24. J'sais pas trop comment m'y prendre, mais un jour, j'y arriverai ! 
25. J'ai toujours eu un peu de mal avec les gens obséquieux et maniérés qui prennent 10 000 détours pour dire un truc.
26. C'est la fin !            
            
                
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                Par : Lisa
            
            
            
1 - Je m'y colle que pour toi.
2- Je trouve Bruce Willis des années 80-90, super sex avec son Marcel blanc dans Piège de Cristal, une journée en enfer.... 
3 - J'adore Charlie Sheen et notamment dans Platoon, bref, j'adore les bad boy.
4 - J'aime mater des films d'horreur ou bien gore, seule et tard la nuit. Même pas peur !!!
5 - Je suis au lit avec mon doudou (cf. Ma première peluche refaite).
6 - J'ai fêter mes 30 ans à NYC, et mon fantasme est de coucher avec un américain. Je sais pas pourquoi, sûrement le côté bad boy....
7 - J'ai presque tous les péchés sauf l'avarice, l'orgueil, l'envie, la paresse.... Bon ben en fait non, juste le pêché d'être génial et formidable.
8 - Ma plus grande douleur avoir perdu un bébé, 48 h seulement après avoir appris que j'étais enceinte.
9 - J'ai déjà fait une opération de chirurgie esthétique.....remboursée par la sécu.
10 - J'ai adoré donner des lignes à des dominants pour qu'ils les fassent juste pour moi.
11 - J'adore les animaux, ils me déçoivent jamais et me rendent au centuple mon amour
12 - J'ai mal au doigt
13 - J'aime pas l'humour "cour de recrée"
14 - Je suis fan d'un chanteur qui fait pas l'unanimité.
15 - Je donne souvent un petit truc à un SDF que je croise avant d'aller au boulot. Il a 2 chiens, dont une âgée et il fait toujours attention à elle. Il me touche, il est très gentil.
Rappel des règles : 
Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife. 
Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors 
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, 
2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour JolieRose», 
3) publier ce texte dans votre section « articles » 
4) me le faire savoir. 
Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. 
Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un coeur on fait < et 3 ). 
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                Par : ptitju
            
            
            
Voici le jeu du portrait Québécois qui commence à avoir du succès sur BDSM.fr! En cliquant sur le bouton « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour ptitju », publier ce texte dans votre section « articles » et me le faire savoir. Il faudra indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Un commentaire de votre part n’entraînera aucune obligation de jeu et un "like" si vous avez déjà participé non plus. (le texte original est de WonderSalope) 
1. Je suis con et très fier de l'être, Coluche disait "Être con, c'est tout un art", ça fait 33 ans que je cultive cet art.
2. J'ai un grand frère que j'aime beaucoup, mais j'aurais bien aimé avoir en plus une petite sœur, je l'aurais grave fait chier. Vu que j'en avais pas, je me suis "vengé" sur mes animaux (jusqu'à 3 chats et une chienne).
3. Mes grands-parents étant agriculteur, on passait souvent nos vacances d'été à la ferme, on tirait la queue des vaches, montait sur le tracteur, faisait des cabanes avec des ballots de pailles, se perdre dans les immenses champs de mais et garder un fil sur soi relié au départ pour faire le retour sans se perdre.
4. Mes grands-parents sauf ma grand-mère côté paternel sont morts jeune. Étant jugé trop jeune par mes parents, je n'ai pas pu assisté aux funérailles. Pourtant j'aurais bien aimé leur dire au-revoir.
5. J'ai vécu une enfance plutôt heureuse.
6. Je suis fan de séries, et en particulier 2. Je ne compte plus le nombre de fois où j'ai regardé Breaking Bad et Friends. Je vais aussi souvent au cinéma, j'ai une carte de fidélité Gaumont. J'aime bien lire (bds, mangas, romans principalement)
7. J'ai une toute petite tv mais je ne la regarde jamais, sauf pour Roland Garros ou un événement sportif important.
8. J'ai arrêté de fumer pour la 2ème fois il y a environ 6 mois. La 1ere fois, j'ai tenu presque 2 ans, j'espère que c'est la bonne cette fois-ci
9. J'aime bien discuter autour d'un verre (une pinte en générale) de tout et de rien, refaire le monde, ne plus savoir pourquoi on discute de tel sujet, s'engueuler, se réconcilier, rigoler, râler, bref, je suis français 
10. J'ai quelques origines lointaines italiennes voir peut être turc, j'en ai hérité la peau mat. On me prend souvent pour un arabe. Parfois même plus qu'un "vrai" arabe.
Par exemple, mon meilleur ami d'enfance était arabe et on trainait tout le temps ensemble, tout le monde croyait que c'était moins l'arabe.
Une fois, en buvant une bière dans un bistro, un mec me demande si je suis arabe, je lui réponds que non. Il me dit: Mais pourquoi t'as honte d'être arabe?
11. Je suis très mauvais perdant, je suis prêt à tout (à part tricher) pour gagner, je m'énerve et je suis de mauvaise humeur si je perds. Au final, les gens s'en amusent et se lie contre moi pour me faire perdre.
12. J'aime bien énerver et me moquer des personnes que j'aime (Domina incluse, hi hi hi hi), provoquer aussi.
13. Je suis plutôt scientifique, cartésien, très terre à terre.
14. J'étais super timide et réservé quand j'étais plus jeune. Maintenant, je me suis un peu guéri. je drague super mal, je dis souvent THE truc à ne pas dire.
14. La 1ère fille que j'ai embrassé vers l'age de 8 ou 9 ans, je l'ai recroisé par hasard il y a quelques années dans un bar parisien. On en a profité par "terminer" notre histoire comme des "grands" et on s'est dit rendez-vous dans 10 ans ^^
15. J'adore l'eau, je me sens tout zen dès que je rentre dans l'eau, je fais de la plongée et de l'apnée. j'ai nagé avec des dauphins à l'Ile Maurice. Pour une fois, j'étais content car l'entrainement à la piscine servait enfin à quelque chose, j'ai nagé jusqu'à ce que je sois complètement essoufflé, c'était magnifique, à un moment, ils étaient à à peine 2 mètres de moi.
16. J'accorde beaucoup d'importance à la politique et j'aime bien en discuter, j'ai presque jamais raté une élection (2 fois de mémoire). Mais pourtant je continue de voter, élection après élection, pour le parti le plus pourri qui existe en France... Mais malheureusement pour moi, ce parti représente le mieux mes idéaux.
17. Au lycée et au début de la fac, je fumais énormément. Mais une fois, en partant, je suis tombé dans les pommes en me relevant. j'ai eu de la chance, j'ai juste eu une grosse bosse sur la tête. Depuis ce jour, l'odeur me répugne et je ne fume plus.
18. Une des plus grosse honte de ma vie s'est passé dans un bar où j'étais un habitué. je savais que la porte des toilettes fermait mal et j'ai eu une grosse envie. je laisse imaginer la suite...
19. J'ai découvert que j'aimais être soumis en voyant une photo sur internet. j'ai été un fantasmeur pendant quelques années, j'ai probablement raté quelques bonne occasions. je faisais du virtuel mais je n'osais pas passer au réel.
20. Je n'aime pas les discussions sur le vrai et avec les dogmatiques du bdsm
21. Je trouve que les soumis(e)s ont plus de caractère que les Dominant(e)s et que c'est plus jouissif d'être soumis
22. Je me soumets avant tout pour moi, j'ai du mal à comprendre ceux qui proclament le faire uniquement par plaisir de son partenaire
23. Je ne suis ni dominant ni soumis dans la vie de tous les jours, plutôt du genre insoumis, je suis un poil têtu et j'en fait un peu qu'à ma tête.
24. Je n'aime pas parler de moi, je préfère parler des autres, j'ai fait un effort pour ce "jeu".
25. Une fois mort, j'aimerais me réincarner en chat, ça a l'air cool d'être un chat, ça fout rien, ça fait ce que ça veut et on le caresse, et en plus il peut se blottir comme il veut sur les poitrines des femmes. Mais bon, je ne crois pas en la réincarnation.
Rappel des règles :
Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife.
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1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné,
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