par #
le 06/09/16
J'aime
Loi n° 2016-444 du 13 avril 2016 sur la pénalisation des clients apporte son lot de nécessaires précisions et de nombreuses interrogations.
L’article 611-1 de la nouvelle loi dispose que «le fait de solliciter, d’accepter ou d’obtenir des relations de nature sexuelle d’une personne qui se livre à la prostitution, y compris de façon occasionnelle, en échange d’une rémunération, d’une promesse de rémunération, de la fourniture d’un avantage en nature ou de la promesse d’un tel avantage est puni de l’amende prévue pour les contraventions de la cinquième classe.»Des amendes de1500euros pour l’achat d’actes sexuels et de 3750euros pour récidive sont prévues.
On punit le fait de «solliciter, d'accepter ou d'obtenir». Cela signifie-t-il que dans les deux premiers cas, c'est la tentative (par exemple une promesse de rémunération suffit ) qui est visée, alors que dans le dernier, c'est l'infraction consommée. Dans le cas d'une sollicitation ou d'une acceptation, en pratique, l'intervention des forces de police agissant en flagrant délit est donc possible dès lors qu'il apparaît qu'un accord a été conclu entre le client et la Maitresse (vénale), sans qu'il soit nécessaire d'attendre le commencement d'un attouchement ou d'un rapprochement sexuel pour intervenir. (source justice.gouv.fr)
Puis se pose la question de «relations de nature sexuelle» Que cela signifie-t-il? Tout d'abord, il est étonnant que cela soit au pluriel. Une seule relation de nature sexuelle sollicitée, acceptée ou obtenue ne saurait donc être sanctionnée. Que signifie en droit «relation de nature sexuelle» ?
On peut, d'ors et déjà, affirmer qu'une exhibition n'est pas une relation sexuelle car l’article 227-22 du Code Pénal fait une distinction «...comportant des exhibitions ou relations sexuelle ...».
Cette loi ne sanctionne pas toute relation de nature sexuelle, seuls étant réprimés les comportements qui interviennent dans le cadre d'une relation de prostitution.
Mais qu'est-ce que la prostitution ou qu'est-ce qu'une personne prostituée? En droit, le régime de cette dernière avait été défini par le décret du 5 novembre 1947. Désormais, la seule définition juridique de la prostitution est jurisprudentielle : l’arrêt de la Cour de Cassation a considéré en 1996 que la prostitution consiste « à se prêter, moyennant rémunération, à des contacts physiques de quelques natures qu’ils soient, afin de satisfaire les besoins sexuels d’autrui ». C’est ainsi que l’arrêt de principe de la Chambre criminelle du 27 mars 1996 pourvoi n° 95-82016 donne de la prostitution une définition qui comporte deux éléments: d’une part, la vénalité du comportement, et d’autre part, des contacts physiques de «quelque nature qu’ils soient». Le terme de "rémunération" peut être pris au sens large: argent mais également objets à valeur marchande ou même services.
Les investigations
Les ordinateurs sont surveillés et les mobiles écoutés. Pas tous, bien entendu, les traces numériques seront des indicateurs. Cette cyberinvestigation se traduit par le fait que les mouvements sur Internet des clients présumés seront traqués sans qu’ils en sachent rien et ceci est d'autant plus aisé, à présent, avec l'utilisation IMSI-catcher(International Mobile Subscriber Identity) autorisé par la loi relative aux renseignements de 2015. Matériel pas plus gros qu'un attaché case qui intercepte tout trafic numérique et téléphonique
En DSM (Domination ou sado-masochisme)
Dès lors qu'il y a «contacts physiques de quelques natures qu’ils soient», c'est assimilé à de la prostitution s'il y a offrande ou autre échange ou même «promesse» d'un tel avantage, alors le client tombe sous les fourches caudines du code pénal .
Cependant, la CEDH, dans un arrêt très important, souvent cité, du 11septembre 2007, «Tremblay contre France», dans son considérant25, souligne, en des termes très forts et assez rares , que «la prostitution, en général, n'est incompatible avec la dignité de la personne humaine» - «que lorsqu'elle est contrainte» ou, comme elle l'indique dans l'arrêt du 17/02/2005 «K.A. et A.D. contre Belgique» allant jusqu'à des mutilations effrayantes
Nonobstant les cas de mutilations effrayantes, l'interdiction apparaît lorsqu'il y a contrainte, quand il n'y a plus acceptation, que le consentement s'est volatilisé sous la pression.
En définitif la jurisprudence de la CEDH, à laquelle nous sommes soumis: chacun est maître de disposer de son corps, pourvu qu'il soit adulte, dans le respect de l'intimité de la vie privée, et à condition qu'il n'y soit pas contraint. » (Badinter commission Sénat du 14 mai 2014)
Donc se pose, aussi avec acuité la question du consentement
Le consentement est au coeur de toutes relations: vanille, sm ou D/s .
La présomption de consentement des époux à l'acte sexuel ne vaut que jusqu'à preuve du contraire. La loi du 4 avril 2006 reconnaît le viol entre époux.
Le consentement peut être considéré comme vicié, tant au civil (par ex art 1109) qu’au pénal, par exemple lorsqu’une personne tait sa séropositivité, falsifie ses résultats de tests VIH ou allègue une allergie au latex, pour entretenir des relations sexuelles non protégées. L'auteur trompe la victime sur la réalité de la situation. Trompée, elle acceptera les relations sexuelles mais son consentement sera inopérant parce que non éclairé.
Le consentement est vicié dès lors qu’il est établi que la victime a accepté de participer à des relations par peur ou par quelque moyen ou subterfuge que ce soit, à obtenir le consentement de la victime qui l'aurait refusé si elle avait été mieux éclairée. C’est une atteinte à la liberté sexuelle.
L'indifférence du droit pénal au consentement de la victime est un principe établi. «La violence […] à caractère sadomasochiste ne pourrait être légitimée par le consentement de la victime» (Cass. crim., 2 déc. 2009, n° 09-82.447) Il en résulte que le consentement de la victime est écarté par le juge répressif et permet de condamner l’auteur, y compris dans le cadre de relation sadomasochiste.
La Cour européenne des droits de l’homme a une position contraire, d'autant qu'il y eut un revirement jurisprudentielle par son arrêt précité K.A et A.D c/ Belgique du 17 février 2005. Après avoir rappelé que la vie sexuelle est une composante de la vie privée, elle indique qu'un Etat ne peut porter atteinte au droit à la vie privée, que si « les juridictions nationales ont soulevé la question du « consentement de la victime ». Pour la CEDH, le sadomasochisme ne peut-être condamné que pour « des raisons particulièrement graves » et que si la victime n'est pas en mesure de faire cesser les actes (par un safeword par exemple) ou que sa volonté n'est pas respectée.
Il est résulte qu'il est de bon conseil, après avoir épuisé tous les recours de droit interne, de saisir la CEDH.
L’article 611-1 de la nouvelle loi dispose que «le fait de solliciter, d’accepter ou d’obtenir des relations de nature sexuelle d’une personne qui se livre à la prostitution, y compris de façon occasionnelle, en échange d’une rémunération, d’une promesse de rémunération, de la fourniture d’un avantage en nature ou de la promesse d’un tel avantage est puni de l’amende prévue pour les contraventions de la cinquième classe.»Des amendes de1500euros pour l’achat d’actes sexuels et de 3750euros pour récidive sont prévues.
On punit le fait de «solliciter, d'accepter ou d'obtenir». Cela signifie-t-il que dans les deux premiers cas, c'est la tentative (par exemple une promesse de rémunération suffit ) qui est visée, alors que dans le dernier, c'est l'infraction consommée. Dans le cas d'une sollicitation ou d'une acceptation, en pratique, l'intervention des forces de police agissant en flagrant délit est donc possible dès lors qu'il apparaît qu'un accord a été conclu entre le client et la Maitresse (vénale), sans qu'il soit nécessaire d'attendre le commencement d'un attouchement ou d'un rapprochement sexuel pour intervenir. (source justice.gouv.fr)
Puis se pose la question de «relations de nature sexuelle» Que cela signifie-t-il? Tout d'abord, il est étonnant que cela soit au pluriel. Une seule relation de nature sexuelle sollicitée, acceptée ou obtenue ne saurait donc être sanctionnée. Que signifie en droit «relation de nature sexuelle» ?
On peut, d'ors et déjà, affirmer qu'une exhibition n'est pas une relation sexuelle car l’article 227-22 du Code Pénal fait une distinction «...comportant des exhibitions ou relations sexuelle ...».
Cette loi ne sanctionne pas toute relation de nature sexuelle, seuls étant réprimés les comportements qui interviennent dans le cadre d'une relation de prostitution.
Mais qu'est-ce que la prostitution ou qu'est-ce qu'une personne prostituée? En droit, le régime de cette dernière avait été défini par le décret du 5 novembre 1947. Désormais, la seule définition juridique de la prostitution est jurisprudentielle : l’arrêt de la Cour de Cassation a considéré en 1996 que la prostitution consiste « à se prêter, moyennant rémunération, à des contacts physiques de quelques natures qu’ils soient, afin de satisfaire les besoins sexuels d’autrui ». C’est ainsi que l’arrêt de principe de la Chambre criminelle du 27 mars 1996 pourvoi n° 95-82016 donne de la prostitution une définition qui comporte deux éléments: d’une part, la vénalité du comportement, et d’autre part, des contacts physiques de «quelque nature qu’ils soient». Le terme de "rémunération" peut être pris au sens large: argent mais également objets à valeur marchande ou même services.
Les investigations
Les ordinateurs sont surveillés et les mobiles écoutés. Pas tous, bien entendu, les traces numériques seront des indicateurs. Cette cyberinvestigation se traduit par le fait que les mouvements sur Internet des clients présumés seront traqués sans qu’ils en sachent rien et ceci est d'autant plus aisé, à présent, avec l'utilisation IMSI-catcher(International Mobile Subscriber Identity) autorisé par la loi relative aux renseignements de 2015. Matériel pas plus gros qu'un attaché case qui intercepte tout trafic numérique et téléphonique
En DSM (Domination ou sado-masochisme)
Dès lors qu'il y a «contacts physiques de quelques natures qu’ils soient», c'est assimilé à de la prostitution s'il y a offrande ou autre échange ou même «promesse» d'un tel avantage, alors le client tombe sous les fourches caudines du code pénal .
Cependant, la CEDH, dans un arrêt très important, souvent cité, du 11septembre 2007, «Tremblay contre France», dans son considérant25, souligne, en des termes très forts et assez rares , que «la prostitution, en général, n'est incompatible avec la dignité de la personne humaine» - «que lorsqu'elle est contrainte» ou, comme elle l'indique dans l'arrêt du 17/02/2005 «K.A. et A.D. contre Belgique» allant jusqu'à des mutilations effrayantes
Nonobstant les cas de mutilations effrayantes, l'interdiction apparaît lorsqu'il y a contrainte, quand il n'y a plus acceptation, que le consentement s'est volatilisé sous la pression.
En définitif la jurisprudence de la CEDH, à laquelle nous sommes soumis: chacun est maître de disposer de son corps, pourvu qu'il soit adulte, dans le respect de l'intimité de la vie privée, et à condition qu'il n'y soit pas contraint. » (Badinter commission Sénat du 14 mai 2014)
Donc se pose, aussi avec acuité la question du consentement
Le consentement est au coeur de toutes relations: vanille, sm ou D/s .
La présomption de consentement des époux à l'acte sexuel ne vaut que jusqu'à preuve du contraire. La loi du 4 avril 2006 reconnaît le viol entre époux.
Le consentement peut être considéré comme vicié, tant au civil (par ex art 1109) qu’au pénal, par exemple lorsqu’une personne tait sa séropositivité, falsifie ses résultats de tests VIH ou allègue une allergie au latex, pour entretenir des relations sexuelles non protégées. L'auteur trompe la victime sur la réalité de la situation. Trompée, elle acceptera les relations sexuelles mais son consentement sera inopérant parce que non éclairé.
Le consentement est vicié dès lors qu’il est établi que la victime a accepté de participer à des relations par peur ou par quelque moyen ou subterfuge que ce soit, à obtenir le consentement de la victime qui l'aurait refusé si elle avait été mieux éclairée. C’est une atteinte à la liberté sexuelle.
L'indifférence du droit pénal au consentement de la victime est un principe établi. «La violence […] à caractère sadomasochiste ne pourrait être légitimée par le consentement de la victime» (Cass. crim., 2 déc. 2009, n° 09-82.447) Il en résulte que le consentement de la victime est écarté par le juge répressif et permet de condamner l’auteur, y compris dans le cadre de relation sadomasochiste.
La Cour européenne des droits de l’homme a une position contraire, d'autant qu'il y eut un revirement jurisprudentielle par son arrêt précité K.A et A.D c/ Belgique du 17 février 2005. Après avoir rappelé que la vie sexuelle est une composante de la vie privée, elle indique qu'un Etat ne peut porter atteinte au droit à la vie privée, que si « les juridictions nationales ont soulevé la question du « consentement de la victime ». Pour la CEDH, le sadomasochisme ne peut-être condamné que pour « des raisons particulièrement graves » et que si la victime n'est pas en mesure de faire cesser les actes (par un safeword par exemple) ou que sa volonté n'est pas respectée.
Il est résulte qu'il est de bon conseil, après avoir épuisé tous les recours de droit interne, de saisir la CEDH.
Posté dans: Autres
Suggestion
Par : Lady Dae
C’est l’histoire d’une rencontre.
Quelques mots griffonnés sans destinataires.
Une justesse d’esprit, une finesse et une maturité dans les propos.
Le rêve de celle qui saurait saisir son essence, de désillusions en désillusions à rester dans son antre, loin de tous.
La perte de celui qu’elle croyait sien à en perdre un temps son âme, à voir son sourire disparaitre, repliée loin du monde et de tous ceux qui auraient pu la réconforter.
Qui aurait pu parier sur une telle rencontre ? Aucun des deux… sans nul doute.
Isolée, les pulsions grandissant de nouveau sans pouvoir les satisfaire, elle s’est simplement jetée dans la lecture de ces histoires différentes en guise de pis-aller. Elle découvrit bien davantage, un quelque chose de différent, une réelle envie de vivre, partager, de se rencontrer. Elle décida de poser ses valises et de se dévoiler un peu. Ses premiers mots tirés du passé comme pour l’en exorciser séduisirent. Elle en perdit son anonymat. Lui qui la vit arriver, resta en retrait, poli et prudent.
Le temps passa, quelques mots griffonnés échangés la rendirent curieuse.
Elle lut et lut encore ses mots. Il buvait déjà ses écrits sans oser trop lui avouer.
La sincérité de ses mots lui plut ainsi que sa sensibilité. Elle aimait tellement les textes qui offraient les émotions de celui qui prenait la plume.
Finalement, ils se rencontrèrent. L’observant, elle vit un être empli d’espoir de pouvoir s’offrir, conscient de ce qui aurait pu le faire renvoyer. Son émotion palpable, il n’osait émettre le moindre son de crainte de provoquer son déplaisir et le retour chez lui. Elle fut touchée de son émotion, elle le garda. Elle le testa évidemment et prit plaisir à le faire. Elle le malmena doucement. Pourtant, il ne se départit pas de son sourire et de cette lumière dans les yeux. Il la regardait comme elle aimait qu’il le fasse, lançant quelques petites phrases dans l’espoir de la faire rire de quelques taquineries. Elle gardait encore ses pensées pour elle, encore confuses. Pouvait-il être celui qu’elle cherchait ? Elle ne le savait pas encore. Il saisit pourtant son regard rieur et son expression joueuse. Ils s’apprivoisaient simplement, se découvraient.
Et puis, il y eut une étincelle, visible aux yeux de ceux qui les entouraient ce week-end là, l’impatience de se voir, de se toucher, de s’entendre. Elle ne pouvait nier avoir désiré son arrivée. Il ne put s’empêcher de se poser tout prêt d’elle. Une complicité s’était déjà installée. Profitant de chaque conversation, chaque petit jeu de ses compagnons, elle sentit une sérénité s’installer. Elle était bien, se sentait revivre au milieu de tous. L’envie de se joindre aux réjouissances la gagna. Sa proie toute trouvée n’attendait que cela. Elle en profita et sentit le plaisir la gagner. Elle s’amusa des compliments que l’on fit sur lui. Elle constatait que tous espéraient le début d’une belle histoire. Elle sentait le désir de le prendre sien grandir. Elle le voulait. C’était enfin là dans son esprit. Pouvoir le posséder entièrement, lui infliger ses délicieux tourments et le laisser lui rendre ce sourire perdu. Le moment n’était pas encore venu. Elle attendit, ressentant son emprise se renforcer.
Ils se retrouvèrent. Là, il était de nouveau à ses pieds, heureux de l’être. Il attendait son bon vouloir. Elle lui caressa la joue. Lui faisant ouvrir un tiroir, il sortit le paquet qu’elle lui avait indiqué et lui présenta. Elle l’ouvrit et il découvrit le contenu. Surpris, il lui dit incrédule : « si tôt ?». Elle lui répondit : « Je n’ai pas envie d’attendre ». Elle le para du collier et finit simplement par : « Maintenant, tu peux m’appeler Maitresse »
564 vues
Par : Dame Sweet Sadi'Perverse
01 une enfance entre le France et l’Espagne, pendant longtemps je ne me suis senti ni d’ici ni de la bas
02 J’aime la corrida et j’y trouve souvent une corrélation avec le SM
03 L’adolescence en France, décalée pas la même culture
04 Les vins de France notamment les bordeaux restent pour moi un vrai choc de bon gout.
05 Perdre ma virginité étais pour moi un « détail « j’ai donc fait comme un casting pour choisir le bon
06 Premier émois SM, une révélation mêlée d’un fort sentiment de honte
07 J’ai aimé le sexe fort dès le début, par ici les mecs en mode « connard » de préférence
08 Je me suis marié avec après réflexion mon meilleur ami, par gout de la fête alcool musique et 2/3 trucs pas légal
09 Des années de fêtes, insouciance, nous avons la jeunesse, les moyens et les envies
10 Du sexe, du SM, des orgies, des voyages, une époque sympa …mais l’envie de se poser arrive et elle n’est pas partager
11 Un divorce compliqué plein de rancœur
12 Une période bizarre, ou j’accumule les hommes, les soumis, je découvre aussi les femmes …
13 Et LUI …un homme mystérieux, lumineux …on s’installe, on construit, on monte une entreprise
14 Découverte du sm adultère et honteux
15 Son mauvais caractère ….ses cris…sa violence contenue …je suis forte, il va changer
16 Mon FILS, ma bouture mon amour ma vie ….
17 Une gifle …une bousculade …un coup de poing …il va changer
18 Test de grossesse positif, une fille, il change se calme
19 Explosion de haine de violence, ma fille arrive. Beaucoup trop tôt elle rejoint les anges ….
20 Descente aux enfers j’essaye de me noyer d’oublier je coule volontairement
21 Ma mère présente pour mon fils arrive à me faire reprendre pied
22 On survie, on re vie, on réapprend à vivre à avoir envie de rire
23 Je découvre la légèreté dans les relations, ne jamais s’attacher.
24 Je découvre les amitiés sm , et elle me donnent un sentiment de liberté , pour être vrai …
25 Le sm sans entrave, je teste la soumission, pour le laisser aller, sexuellement kiffant mais cerebralement bof
26 Pas d’amis, pas d’amoureux, pas d amoureuse, juste ma bulle avec mon fils
27 Au détour d'un check up, diagnostic, cancer et la …au lieu de sombrer la rage …je laisse la porte ouverte
28 Des amitiés, du soutien, les mêmes combats, on se comprend. On rit, on vomi, on compte nos cheveux
29 Une panne informatique, une amie m’envoie un de ses copains ….le coup de foudre .un détail 15 ans de moins que moi
30 On s’aime, c’est indéniable, pas simple a accepter, mais un jour c’est juste une évidence, je prends, on verra bien
31 Nos premières séances ensemble, il n’adhère pas, mais adore me voir faire (voire ca l’excite)
32 Une relation pleine de joie, ma fripouille qui lui demande un soir pourquoi tu pars, reste avec nous
33 J’aime les weekends entre amis avec des enfants partout, du bon vin, des tapas, et un peu de « chill out »
34 Je hais ses kilos en trop que je n’arrive pas à perdre,
35 J’essaye d’être quelqu’un de facile à vivre, d’humain.
36 J’ai perdu mon père l’été dernier, c’est dur parfois, souvent en fait
37 J’ai pleurée en écrivant ses lignes
38 J’aime pas me plaindre, je n’aime pas que l’on me plaigne
39 J’aime le soleil, pas la pluie et le froid
40 J’aime dominer les dominants …oui ! C’est une annonce déguisé !
1 de + pour remercier roifaune et vous donner un lien de chill-out que j’aime
RAPPEL DES REGLES DU JEU :
Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife.
Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné,
2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Maestria »,
3) publier ce texte dans votre section « articles »
4) me le faire savoir.
Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte.
785 vues
Par : rex82
Après avoir constaté quelques erreurs, je poste de nouveau mon portrait québécois pour Amroth60. Portait qui permet de parler un peu de soi, d'en savoir plus. J'évoque un peu de moi et mon goût pour le BDSM.
1- Un pays où j’ai vécu : le Chili.
2- Mon livre préfére : Confieso que he vivido-Pablo Neruda.
3- Ma première vraie histoire d’amour : à l’âge de 18 ans
4- Mon signe du zodiaque : Lion.
5- Mon sport préféré : la natation
6-Matière préférée à l’école : l’espagnol
7- Je suis pacsé
8- Ce que j’aime le plus : nager nu dans la mer
9- Je suis dans une relation vanille
10- J’ai avoué mon goût pour la soumission récemment à mon compagnon. C’est un sujet assez tabou que j’évoque facilement en virtuel mais peu en réel.
11- Je sens que mon compagnon a un potentiel pour être dominateur, mais j’ai l’impression qu’il s’ignore. Je ne sais pas si c’est réel où si je projette en lui ce que j’aimerais qu’il soit.
12- J’aime être dirigé. Mon compagnon me reproche parfois de ne pas être suffisamment force de proposition dans le couple. Mais j’ai un mental de suiveur et non de meneur.
13- A l’âge de 6 ans, le fils de ma nourrice a reçu le martinet sous mes yeux, j’avais mal et en avais les larmes aux yeux.
14- A 7 ans, j’ai à mon tour été puni au martinet.
15- Inconsciemment, ces expériences m’ont sans doute donner le goût de la fessée à l’âge adulte. Ces deux souvenirs sont restés gravés et je suis devenu un réel fétichiste du martinet.
16- Je possède 3 martinets. Mon préféré : celui avec un manche en bois, lanières carrées. J’ai aussi un faible pour les martinets aux lanières en cuir tressées.
17-La première fois que j’ai été puni adulte : à l’âge de 23 ans.
18-Punition où j’ai eu le plus peur : attaché, j’avais peur qu’il ne s’arrête plus car j’avais utilisé le safeword, la douleur/plaisir s’est rapidement transformé en pure douleur. J’ai détesté sur le moment, adoré après. Expérience qui m’a permis de me dépasser.
19-Au sein de mon couple, j’adorerais être puni
20-Mon idéal de vie de couple : servir, obéir, partager des moments de complicité, être puni si besoin.
21- Ma punition la plus longue et la plus ennuyeuse : Un Master me demandait après chaque coup si j’avais mal, et me disait que les coups pouvaient être moins fort si je le souhaitais. C’est à ce moment là que j’ai regretté mon expérience évoquée en 18.
22- J’ai vécu pendant 4 mois dans une relation BDSM.
23- Une relation, BDSM se fonde sur la confiance et la complicité. L’expérience évoquée en 22 a échoué sans doute parce qu’il manquait des moments de tendresse.
24- Je peux aussi bien être en couple avec une femme qu’avec un homme
25-J’ai longtemps cherché une femme dominatrice, en vain. J’ai souvent été déçu par des femmes virtuelles et vénales.
26- J’admire les couples qui ont des relations D/s sur du long terme et qui en font un mode de vie.
27- J’admire et envie les hommes dominateur car ils sont le contraire de moi. J’aimerais être à leur place, leur ressembler. J’admire aussi les mecs machos que je croise dans la salle de sport, car je ne suis pas du tout comme eux et me sens vraiment inférieur quand je suis en leur présence.
28- Pour moi le BDSM n’est pas qu’un jeu. Être soumis fait réellement partie de ma personnalité.
29- Un moment gênant : j’ai croisé des collègues alors que j’étais sous cage de chasteté. J’étais habillé, mais j’avais peur que ça se voit.
30-Certaines personnes que j’ai croisées sur ce site m’ont vraiment donné l’impression d’être super. Dommage que je ne puisse pas vous connaître en vrai ou qu’une rencontre soit compliquée.
31- J’apprécie ce site mais je n’aime pas le fait de devoir ajouter une personne en ami pour pouvoir échanger avec.
32- J’ai parfois peur de passer pour un fake ou un fantasmeur. Non je suis bien réel, sauf que je suis en couple, aussi bizarre que cela puisse paraître je suis fidèle et n’ai pas l’intention de tromper mon partenaire pour un moment bdsm peut-être sans lendemain. Je suis resté pendant 3 ans seul, à la recherche de ce qui m’a paru impossible. J’ai peiné à me reconstruire après une histoire d’amour douloureuse. Je n’ai pas envie de tout gâcher.
33- Un regret parfois : ne pas être en couple avec une dominatrice. Une vie à deux au service de ma Domina et avec enfants m’aurait aussi comblé.
692 vues
Par : BDSM
On vous parlait il y a quelques mois de ce livre-phénomène qui a explosé les ventes aux Etats-Unis et en Angleterre sous le titre Fifty shades of Grey. Bien qu'étant matiné de BDSM, le bouquin a conquis bien des lecteurs (et surtout des lectrices) bien au delà de ce qu'on pouvait considerer être son coeur de cible : les adeptes de la Domination/soumission et du Sado-Masochisme. Nombreuses sont celles (et ceux) qui sont sortis tout emoustillées de ce sulfureux ouvrages (pour ce qui n'ont jamais entendu parlé des pratiques BDSM du moins).
Nous avions évoqué l'adaptation française de Fifty shades of Grey dans cet article.
Le livre bien d'être adapté en français, comme prévus, chez Lattès, sous le titre :
Cinquante nuances de Grey
Cliquez ici pour commander 50 nuances de Grey
(à noter que BDSM.FR touchera un petit quelquechose si vous achetez 50 nuances de Grey par le lien ci dessus, petit quelquechose qui sera apprécié pour payer les infrastructures du site ! Merci d'avance ).
Reste à savoir si les adeptes du BDSM, bien au fait des pratiques de cet univers si particulier se reconnaitrons un peu, beaucoup, passionnement, ou pas du tout, dans cet ouvrage.
On peut penser qu'un tel succès de librairie va en tout cas décider certains lecteurs et certaines lectrices à pousser la porte du Grand Donjon des pratiques BDSM. Quel accueil va-t-il leur être réservé ? Sauront-ils passer du fantasme littéraire aux parfois âpres pratiques de l'exercice ?50 nuances de Grey risque-t-il de dénaturer l'esprit du BDSM tel que l'envisagent les adeptes coûtumiers ?
Les questions sont posées. Vos commentaires sur Cinquante nuances de Grey sont les bienvenus (et sont même attendus !).
...
2.4000 vues
Par : M.Gabriel de Corvus
1)J’ai été pendant plusieurs années photo-reporter, spécialisation chambre noire/chambre blanche et une spécialisation en milieux hostile (conflit armée,BNC) et J’ai beaucoup travailler a l’étranger, .
2)J’ai un félin que J’ai élever au biberon qui ressemble a une panthère noire,elle s’appelle «Khally» et partage ma vie depuis 10 ans.
3)Je vis dans un corps de ferme que je répare petit a petit. d’ailleurs a ce propos je ne vis pas a Avignon, même si ma résidence reste assez proche de ce lieux.
4)J’exerce depuis bientôt 9 ans une activité professionnelle atypique. qui au début fut en doublon de mon premier métier. Je m’épanouis pleinement dans ce métier, il Me correspond parfaitement.
5)étant jeune J’ai vécu a Paris quelques mois a quelque pas du «divans du monde» et de la bute Montmartre.
6)J’ai trois piercings et un tatoo ne bois jamais d’alcool, cafeinomane inconditionnel, Je suis fumeur et adore faire la cuisines
7)Je n’est pas de télévision et ne dispose pas de ligne téléphonique fixe, je me connecte a internet via mon téléphone cellulaire.
8)Curieux de tas de choses, J’aime apprendre dans la mesure ou Je n’est pas pu suivre une scolarité normale eux égard a un problème d’addiction.
9)Je suis actuellement en train de mettre a jour Mon site internet. J’apprend le html5 et le css3 ainsi que les bases du php et des notions de mysql. (des lignes de codes a la Matrix).
10)Il n’est pas rare de Me voir en kilt ou en hakama chez Moi.
11)La sexualité a une place importante dans Ma vie, J'aime cela et Je ne M' en cache pas.
12)Je n'ai aucun regrés ni remord et assume tout ce que Je fait et ce, en toute occasion. Le mot honte ne fait pas plus parti de Mon vocabulaire. Pour autant Je reconnais facilement Mes éventuelles erreurs.
13)J’ai la chance d’être libre,et ceci n’est pas un euphémisme. J’ai choisis d’organiser Ma vie pour avoir le moins de contrainte possible.
14)En tant que Maitre, Je suis hold School. J’apporte de l’importance au Vous, et au respect du collier.
15)J’aime les bas couture et les porte jarretelle, Je voue une forme de fétichisme au jambière, au talon haut, et au jupe plisser.Allez comprendre…
16)Je ne supporte pas le rap et la techno, mais Je suis ouvert a tout les autres style musicaux.Je suis admirateur des «Sister’s of Mercy».
17)Mon parfum est «le 3 eme Homme» de Caron.
18)Mon style vestimentaire va du «Slim, avec brettelle qui pendouille, basquet,chemise de grand couturier négligemment porter sous une veste col colonel et chapeau de cuir viser sur la tête» au «costume cravate» ou plus simplement «kilt et news rock» un vrai caméléon.
19)Je ne m’ennuis jamais et suis très indépendant. Je sais que cela et pénible quelques fois mais J’ai besoin de solitude pour vivre.
20)Pour finir, Mon niveau en orthographes et passablement mauvais, j’espère que cela ne V/vous auras pas trop «piquer les yeux»
Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife.
Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors :
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné,
2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour ......»,
3) publier ce texte dans votre section « articles »
4) me le faire savoir.
Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte.
Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-nous juste un commentaire (pour faire un cœur on fait < et 3 ).
Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-nous en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça. Si vous vous êtes plié à l’exercice sur Fetlife, soyez sympa, publiez votre portrait sur bdsm et prévenez ici en commentaire.
689 vues
Par : SaraKajiraPanthère
Analyse d'un échange afin que vous appreniez à reconnaître et à déjouer les pièges ...
Il est clair qu'ici je fais part de mon interprétation quant-aux propos du maître XY, et que donc cela implique le fait que je puisse me tromper... c'est pourquoi je suis toute prête à entendre vos interprétations... alors n'hésitez pas...
maîtreXY: bonjour sara soumise
(le maître fait un rappel, en douceur, des statuts de chacun)
Moi: bonsoir Monsieur
maîtreXY: comment vas-tu ?
(le « tu » implique une emprise)
Moi: je vais fort bien et vous même ?
maîtreXY: très bien merci soumise
(le maître renforce son statut... statut que j'accepterais si il était mon maître, ce qui n'est pas le cas)
Moi: Monsieur je me nomme Sara... le mot soumise est et sera réservé à celui qui sera mon maître.
(compte tenu que le maître n'est pas MON maître, je me permets de remettre les choses au clair)
maîtreXY: ok ok sara si cela te fait plaisir
(le maître souligne qu'il accepte ma demande pour me faire plaisir, et il en attend donc un remerciement.)
Moi: ce n'est pas par plaisir Monsieur
(sauf que je fais remarquer au maître que c'est un état de fait et non un plaisir)
maîtreXY: tu mérites d'être cravachée sara
(réaction normale du maître devant le fait que j'aie omis de le remercier)
Moi: oui c'est fort possible Monsieur
(je lui fait comprendre que mon omission est des plus volontaire)
maîtreXY: sûr, c'est cela qui te manque un bon dressage
(le maître me fait comprendre qu'il sait que mon omission est volontaire et il me donne sa solution au problème)
Moi: si vous le dites Monsieur
(j'essaie de lui faire remarquer que ceux sont là ses paroles et non les miennes)
maîtreXY: tu es habillée comment sara ?
(le maître prend de l'assurance, un peu trop à mon goût)
Moi: et pourquoi devrais-je vous le dire Monsieur ?
(je lui fait comprendre qu'il a été présomptueux)
maîtreXY: tu dois obéir sara
(le maître se place en tant que tel tout en me faisant comprendre où est ma place)
Moi: non je ne dois obéissance qu'à mon maître quand j'en aurais un !!!
(je recadre les choses et je reprends le pouvoir)
maîtreXY: tu dois apprendre à obéir et à respecter les maîtres
(rappel à l'ordre des statuts, le maître exige mon obéissance)
Moi: je respecte les Maîtres mais je ne suis pas tenue à leur donner obéissance. Je ne confonds pas le "LES Maître" avec le "MON Maître"; Monsieur.
(je reprends le pouvoir en lui disant ma façon de penser)
maîtreXY: tu as la langue trop bien pendue sara
(le maître sous entend que je serais une « mauvaise » soumise et que j'ai besoin d'être dressée, et ce bien entendu, dressage donné par ses soins)
Moi: Non du tout Monsieur, je ne suis pas votre soumise et de ce fait, oui je vous dois le respect du à votre titre de la même façon que je le dois à tous les autres Maîtres, mais en aucun cas je vous dois obéissance; Monsieur.
(je fais comprendre au maître que je l'ai entendu, mais que je refuse sa proposition)
maîtreXY: je comprends pourquoi tu n'oses pas les rencontres, tu as trop peur d’être punie
(le maître essaie de me culpabiliser... )
Moi: Peur d'être punie Monsieur ?
Moi: Au cours d'une rencontre ?
maîtreXY: et de devoir te soumettre
Moi: Non pas du tout, au risque de me répéter... vous n'êtes pas MON Maître Monsieur, de ce fait je ne me soumettrais pas à vous et de même je n'accepterais pas d'être punie par vous.
(je refuse cette pseudo culpabilité et je le lui fait savoir)
maîtreXY: si tu ne veux pas être ma soumise alors salut
(le maître semble avoir compris qu'il ne sera pas Mon Maître)
Moi: je vous souhaite donc bonne chance Monsieur ainsi qu'une bonne soirée
(là je me permets une moquerie tout en finesse... )
maîtreXY: bonne nuit sara fait de beaux rêves
Moi: Merci Monsieur
maîtreXY: salut
Moi: Au revoir Monsieur
À ce moment je me dis que le maître a compris et que de ce fait l'échange s'arrête là... mais non...
maîtreXY: ton skype sara
(le maître voudrait reprendre la main sur et dans un autre « lieu » )
Moi: pourquoi faire Monsieur ?
(je lui en demande la raison, bien que je la connaisse déjà)
maîtreXY: pour te voir sara
(le maître me donne en effet la seule réponse possible)
Moi: me voir Monsieur ?
Moi: et dans quel but ?
(je demande au maître un complément d'information)
maîtreXY: faire mieux connaissance et voir qui est sara
(le maître m'explique le pourquoi de sa demande tout en me faisant comprendre qu'il aimerait aller plus loin avec moi)
Moi: Je me permets Monsieur de vous remettre en mémoire le fait que vous m'avez congédiée il y a peu et ce pour le fait que je me refuse d'être votre soumise. Ce qui est vrai. Du coup je ne vois pas l'utilité que nous allions sur skype pour faire plus ample connaissance, d'autant plus que vous m'aviez déjà fait cette demande en m'ordonnant de m'y montrer nue.
(je remets certaines choses passées au clair et je reprends le pouvoir)
maîtreXY: et bien tu veux ou tu veux pas me donner ton skype sara
(le maître sent que je lui échappe et cela ne lui plaît pas)
Moi: Monsieur, je vous l'avais déjà donné et vu la conversation que nous avions eu je pense que vous m'avez, par la suite, aussi congédiée de votre skype.
(Je lui rappelle à nouveau des mots dits il y a peu ainsi que la finalité de l'échange qui eu lieu entre nous sur skype)
maîtreXY: votre skype ne discuter pas
(le maître perd de son statut car il me donne du vous... de ce fait c'est comme si il me considérait comme son égal)
Moi: Vous n'êtes pas MON Maître Monsieur ! Je n'accepte donc pas vos ordres.
(j'ai le pouvoir et je lui confirme le fait que je suis en pôle position)
maîtreXY: ok donnes
(le maître tente une ultime fois tout en me passant de la pommade pour m'amadouer)
Moi: Non Monsieur. Je ne vous le redonnerais pas.
(je lui fais comprendre que la pommade ne sert à rien... )
et là a-t-il enfin compris ?...
à priori oui...
ACT II avec maîtreXY...
maîtreXY: bonjour sara
Moi: bonjour monsieur
maîtreXY: comment allez vous
Moi: je vais bien merci
maîtreXY: toujours rebelle
(le maître prend la température... )
Moi: en voilà une drôle de question Monsieur
(je lui faire part de mon étonnement...)
maîtreXY: et pourquoi çà
(le maître ne comprend pas...)
Moi: car cela sous-entends que je l'ai été il y a peu Monsieur
(... d'où mon complément d'explications)
maîtreXY: pour moi tu mérites d'être traitée très sévèrement et dresser sans ménagement
(le maître se souvient fort bien de mon côté rebelle... et par la même occasion il me redonne sa vision des chose)
Moi: ha oui? et pourquoi Monsieur ?
(je demande un complément d'information)
maîtreXY: pour que tu deviennes une très bonne soumise et faire la fierté de ton maître quand il t'offre
(le maître tente de me culpabiliser et de me faire douter des mes capacités à être une bonne soumise)
Moi: oui mais cela incombera à MON Maître, Monsieur; si tel sera son désir.
(je refuse cette pseudo culpabilité et je lui donne par la même occasion MA vision des choses)
maîtreXY: oui si vous voulez vraiment un maître?
(le maître essaie d'insinuer en moi le doute quand à mes envies et désirs)
Moi: oui je veux un Maître mais je veux MON Maître.
(je coupe cette tentative en lui mettant clairement par écrit ce que je cherche)
maîtreXY: vous êtes surtout une esclave devant être la propriété d'un maître, pour l'instant une chose, un meuble, qui bien dressé fera de vous une bonne soumise
(le maître essaie de reprendre le pouvoir en accentuant les positions de chacun.... tout en me laissant entrevoir que je pourrais, entre ses mains, devenir une bonne soumise)
Moi: et tout ceci pour dire quoi Monsieur ?
(j'oblige le maître à abattre son jeu)
maîtreXY: que j'aimerai bien vous voir pour vous testez et vous punir
(le maître me fait comprendre que pour pouvoir être sa soumise je dois accepter une mise à l'épreuve, sauf que ce faisant il a « oublié » que je ne suis et que je n'ai jamais été intéressée par son offre)
Moi: pour me tester Monsieur?
Moi: Ben voyons... c'est clair... quoi qu'il en soit je suis désolée, je me permets de refuser votre offre.
(ce que je lui fait comprendre de suite...)
maîtreXY: je le savais
(le maître abdique... ou presque..)
Moi: nos visions sont opposées ce qui fait que nous ne serions jamais d'accord Monsieur
(je lui donne un complément d'information pour expliquer mon refus)
maîtreXY: vos visions sur quoi ????
(le maître ne fait comprendre qu'en fait il n'en a que faire de ma façon de concevoir une relation D/s)
Moi: sur la relation Maître/soumise Monsieur
(simple rappel de ma part... )
maîtreXY: je ne sais pour quelle raison vous avez disparu de mon skype
(le maître s'étant rendu compte de son impair tente de passer à un autre sujet)
Moi: je n'en sais pas plus que vous Monsieur
maîtreXY: c'est quand même bizarre
(le maître met en doute ma parole)
Moi: je ne sais pas Monsieur... c'est ainsi... parfois le hasard s'en mêle...
maîtreXY: tu en fais une belle de hasard, tu aurais pu me prévenir
(le maître fait une accusation en bonne et due forme)
Moi: pardon Monsieur ?
Moi: vous prévenir de quoi Monsieur ?
(étant accusée je lui demande un complément d'information...)
maîtreXY: de m'avoir retiré de tes amis sur skype
Moi: non Monsieur... vous y êtes toujours sur mon skype... le retrait ne vient pas de mon côté.
(je lui fait comprendre que l'erreur vient de sa part...)
maîtreXY: bon ok, j'ai du faire une fausse manœuvre. mais vous n'êtes plus là
(le maître avoue qu'il a fait « une fausse manœuvre »...)
Moi: et donc ? que suis-je sensée faire ?
maîtreXY: remettre les chose en l'état
Moi: c'est à dire Monsieur ?
maîtreXY: que vous me contactiez sara
Moi: et pourquoi le ferais-je Monsieur ?
maîtreXY: parce que je pense que vous n'êtes pas une pétasse.
(le maître me passe la pommade « flatterie » ... )
Moi: et bien c'est gentil pour toutes les autres soumises Monsieur
Moi: donc si je vous comprends bien, toutes les soumises qui vous ont dit non sont des pétasses... et pour ne pas l'être je me dois donc de vous dire oui... est-ce cela Monsieur ?
(je fais comprendre au maître que la flatterie ne fonctionne pas sur moi... bien au contraire.)
maîtreXY: vous avez des ondes vraiment très négatives, soyez ce que vous voulez sara
(et rebelote le maître essaie à nouveau de me culpabiliser tout en voulant me faire douter de ma capacité à être une soumise... )
Moi: non Monsieur je n'ai aucune onde négative
(je refuse, à nouveau, cette pseudo-culpabilité)
maîtreXY: vous l'êtes tellement que vous n'arrivez plus à vous situez dans votre vie
(le maître tente encore de me déstabiliser... )
Moi: et je suppose que vous seriez tout prêt à m'aider à reprendre pied... n'est-ce pas Monsieur ?
Moi: sauf que, Monsieur, pour votre information... je me situe très bien dans ma vie et dans mes envies.
(je lui fait donc comprendre que cela ne fonctionne pas... )
maîtreXY: je le voulais oui, mais maintenant je pense que je ne peux pas grand chose pour vous rendre heureuse
(le maître avoue qu'il avait des vues sur moi, mais il avoue aussi son incapacité...)
Moi: et bien vous vous y êtes pris comme un manche avec moi Monsieur... vous avez juste oublié que derrière toute soumise il y a d'abord une femme et que pour avoir la soumise il faut avant charmer la femme.
Moi: sur ce Monsieur je vous souhaite bonne chance dans votre recherche.
maîtreXY: je ne cherchais pas à être ton amant mais ton maître, mais là vous avez un blocage qui prouve que vous n'êtes pas encore une soumise
(le maître se sent attaquer dans son statut...et comme il ne peut reconnaître sa propre incapacité, il voudrait me la mettre sur le dos en essayant de me culpabiliser)
Moi: les amants, comme vous dites Monsieur, je peux en avoir quand je veux... mais cela ne change en rien qu'une soumise est aussi et avant tout une femme... si vous n'avez pas compris ça vous n'avez rien compris...
Moi: de plus vouloir me culpabiliser ou vouloir me faire douter de ma soumission est indigne d'un Maître.
(je suis fatiguée de ce dialogue de sourd, du coup je lui fais savoir que je ne suis pas dupe quant-à ses tentatives de culpabilisation et autre, tout en lui faisant comprendre que cela accentue le fait qu'il ne soit pas digne de son statut)
maîtreXY: ouh ouh ouh on arrête là si vous voulez bien, une seule chose à dire " dommage"
(le maître a fort bien compris, du coup il prend la sortie de secours...)
Moi: oui Monsieur, il me semble que c'est le mieux à faire faute de quoi mes mots pourraient dépasser ma pensée.
maîtreXY: et des pensées vous en avez
Moi: bien sûr Monsieur, autant si ce n'est plus que vous.
maîtreXY: oui, mais moi je suis simple
Moi: moi aussi Monsieur je le suis
maîtreXY: alors tout est bien sara, et tout le monde a sa place.
Moi: oui Monsieur
maîtreXY: CQFD
Moi: CQFD Monsieur
maîtreXY: bises
Moi: bonne continuation Monsieur
maîtreXY: merci, au plaisir
Cela dit je me permets de dire à toutes les soumises... "Ne laissez JAMAIS un maître vous faire douter de votre soumission et/ou de votre capacité à être une bonne soumise... et refusez toutes tentatives de culpabilisation de sa part... sur ce prenez soin de vous mes toutes belles... (PS... cela s'adresse aussi aux soumis!!!)"
589 vues
Par : #
Je suis decorateur d intérieur
J ai été marié 30a
Je suis soumi obéissant
Aime decouvrir mes limite
Aimerai avoir un collier pour les découvrir
J aime prendre soin de moi
J aime entretenir mon corp
J aimerai être votre chien
J aime etre agenoux pour lecher vos pieds
J aime sentir les coup
J aime etre pris comme une chienne
J ai beaucoup de charisme
J aime etre promener en laisse
J adore les xhemise blanche
Je cour tout les matin,
Je suis un homme heureux
J ai un tatouage
J ai beaucouo d erection,
J adore kes arbrs fruitier
J ai une femme de ménage
Je suis bi
Je ne supporte pas l injuste
J aime aimer et etre aimé
J ai changé de voiture
Je ne suporte pas les médiocre
Je suis en manque
J ai un jolie corp , un beau sex
J ai un petit cu rond a prendre
J ai un cote feminin
J ai aussi de belle main
J aime le chocolat
J adore cuisiner
Je suis ambitieux
Je dirige une equipes de 7 personnes
Je porte que des veste de costume
J aodore les belle chaussure s
844 vues
Par : BDSM
C'est la marque Mango qui a décidé de proposer à ses clients par le biais de son site internet français des bijoux style "esclave" (dixit). Ces bijoux "esclave" ont en effet intégré la collection printemps-été. Intitulés "bracelet esclave tressé", "touch-bracelet esclave pierres" ou encore "collier style esclave", ces accessoires de mode n'ont pas manqué de faire des vagues.
Les associations antiracistes françaises (SOS Racisme et CRAN), se sont même emparés du sujet ce lundi : "Il s'agit soit d'un manque de culture coupable, soit d'une démarche indigne et perverse réduisant à une appellation design et mode ce qui relève d'un crime contre l'humanité, reconnu depuis 2001 en France par la loi," déclarait ce matin SOS Racisme.
Quant au CRAN il a fait par de son "indignation face à cette série de bijoux, qui vise à donner une vision élégante et colonialiste à un phénomène qui a fait le malheur de dizaines de millions d'êtres humains pendant près de quatre siècles".
Beaucoup de bruit pour rien, disent les hispanophones : le nom vient du mot "esclava" qui dans le contexte veut dire "bracelet" ou "gourmette". Le site anglais de la marque parle lui de "woven bracelet", c'est à dire de "bracelet tissé".
Il semble d'ailleurs que le terme "esclave" eut dans notre langue le même double sens qu'en espagnol, même si le terme serait tomber en désuétude pour la bijouterie.
1.2000 vues
Par : Abyme
Puisque Thutale me le demande, je me plie à ce jeu consistant à parler de moi, de ma vie et de mes secrets...
1. Je suis né par accident, de deux parents adolescents hippies et naturistes, obligés de se marier. Si l’avortement avait été déjà légal je ne serais pas là. J’ai un quart de sang corse.
2. Le jour du premier pas sur la lune, mes parents et moi y avons assisté en direct, c’était un dimanche soir. Je leur ai dit « C’est mal fait, je préfère Les Envahisseurs ».
3. La même année, j’ai vécu ma première humiliation publique : le maître d’école avait refusé de me laisser sortir faire pipi alors que je me tordais d’envie, car il ne restait que 10 minutes de classe. J’ai fait dans ma culotte et ai subi la risée de toute la classe et ai dû nettoyer pendant la récréation.
4. J’ai appris à lire pratiquement seul avec Tintin et Le Petit Prince. Je savais déjà lire et écrire en entrant au CP.
5. Tout petit j’avais déjà une bonne oreille musicale. Ma mère me montrait en spectacle à ses copines : je devais reproduire des génériques télévisés en chantant, ou n’importe quelle chanson de la radio, et je ne me trompais jamais.
6. Enfant, j’ai appris à sculpter sur des bouts de gruyère à la fin des repas. Mon premier succès fut le buste du Général de Gaulle de 6 cm de haut. Ma mère a essayé de le garder, mais un jour il fallu le jeter.
7. Ma mère était libertine nymphomane. Mais à l’époque on n’utilisait pas ce terme, on préférait dire « salope » ou « traînée ».
8. À 10 ans et demi, mon frère m’a demandé de l’enculer, ce que j’ai fait.
9. À l’école j’ai toujours été premier en dictée, orthographe et français, alors que je n’ai jamais appris mes leçons.
10. Mon dépucelage, à 15 ans, était une grande blonde du même âge, notre histoire a duré plus d’un an. Plus tard elle est devenue mannequin aux USA.
11. À 16 ans j’ai eu la chance de voir mes BD publiées dans un journal régional. Mon personnage était un oiseau sur sa branche, qui dispensait des pensées subversives.
12. La même année (1978) j’ai fondé mon premier groupe. C’était du hard rock, notre nom était Cyanürr. J’étais chanteur-bassiste.
13. Mes parents ont divorcé lorsque j’avais 11 ans, ce fut la guerre entre eux, et mon frère et moi avons été pris en otages, puis séparés : lui chez ma mère et moi chez mon père. Je n’ai retrouvé ma mère qu’à l’âge de 17 ans et demi, âge où j’ai quitté mon père pour entamer 3 ans d’errance en stop & SDF.
14. Je n’ai pas mon bac ni fait d’études (à part 2 ans de psycho, à 30 ans, j’avais fait croire que j’avais mon bac). J’ai toujours eu la moyenne sans travailler. Je n’ai jamais appris mes leçons, j’en étais incapable. Je suis autodidacte pour la plupart de ce que je fais.
15. Un jour, j’ai rencontré mon double parfait : sosie exact, même prénom et même date de naissance. Mon premier roman évoque cette rencontre hors du commun.
16. J’ai toujours été si étonné par le besoin de croire des humains que j’ai fait mes propres études autodidactes de théologie. Fasciné par le mysticisme et l’astro-physique à la fois, j’ai toujours considéré que la croyance religieuse était une espèce de tare, une béquille bénéfique pour les crédules qui en avait besoin. J’ai découvert pourtant que même des gens intelligents pouvaient être croyants, voire fanatiques, ce que je ne me suis jamais expliqué.
17. L’authenticité a toujours été mon crédo : l’honnêteté et la transparence, le fait de ne jamais mentir, me permettent d’être spontané, crédible et totalement libre. J’ai toujours résisté aux influences (y compris l’enseignement), qu’elles soient artistiques, politiques, spirituelles, etc.
18. J’ai découvert la vraie puissance de l’amour lorsque ma fille est née. Ce fut une renaissance.
19. Je suis à la fois un misanthrope cynique et un philanthrope ébahi. Un solitaire sauvage qui s’accorde une multitude de rencontres et d’échanges.
20. Je suis convaincu que la Poésie est le substrat de toute forme d’art.
21. Le fait de vivre en Inde a accentué ma circonspection rebelle envers le système sociétal dans lequel nous sommes coincés en occident.
22. Mon atelier était le QG local des Indignés sous Sarkozy. En parallèle, j’étais rédacteur en chef d’un journal dissident intitulé « Le Dazibao du Chaos », dont la particulartié était de s’afficher dans la rue, et dont la diffusion s’est interrompue en 2012.
23. J’ai pratiqué le judo pendant 9 ans et le kung fu pendant 13 ans. Et l’escalade libre (sans sécurité) toute ma vie, jusqu’à ce que mon handicap du dos me force à arrêter le sport.
24. Cela fait dix ans que je devrais porter un corset pour soutenir ma colonne vertébrale, mais j’ai toujours refusé, par crainte d’en être dépendant. Et je suis toujours debout.
25. J’ai créé une personne virtuelle que je fais vivre depuis huit ans. Elle a participé à plusieurs forums du net, et elle a sa page FB.
26. Cela fait 15 ans que ma fille devrait être morte. Grâce au succès d’une opération du cœur, son espérance de vie est devenue normale.
27. Ma boisson préférée est le jus de fruits. Je bois un peu d’alcool parfois mais je n’accepte pas d’alcooliques chez moi. Mon atelier-loft est un salon de thé.
28. Plus jeune, j’étais un grand timide. Je n’ai pratiquement jamais dragué de ma vie. En général j’ai toujours préféré qu’on vienne à moi plutôt que de solliciter.
29. Depuis ma rupture en 2006 avec la femme que j’aimais, je cultive l’indépendance (opposé de dépendance) et évite l’engagement exclusif. Je me suis rendu compte, comme un cap d’évolution, de maturité, que ce fonctionnement solitude/diversité/liberté me convient parfaitement, et me permet d’expérimenter, d’explorer, de vivre libre, d’être parfaitement bien dans ma peau.
30. Un jour je me suis retrouvé en tête à tête avec Serge Gainsbourg et nous avons discuté pendant trois quarts d’heure.
31. Un jour j’ai dû poignarder un homme (dans son bras, avec son propre couteau) pour sauver ma vie.
32. Lorsque j’avais 19 ans, la maison Barclay m’a proposé un contrat pour un album, mais j’ai refusé (ils voulaient que je traduise mes chansons en français alors que je les avais composées en anglais).
33. Dans le même style : Actes Sud ont accepté le manuscrit de mon premier roman, en 2002, mais comme j’ai refusé d’en changer la fin, le contrat ne s’est jamais fait.
34. Il existe en France 4 femmes qui ne veulent plus faire l’amour avec d’autres hommes après m’avoir connu (dont une depuis 8 ans et une autre depuis 7 ans).
35. Peu après ma séparation avec la mère de mes enfants, je me suis retrouvé un jour sur la plage avec une amante, à une fête en plein air où se trouvaient par hasard mon ex et ma maîtresse, qui venaient de faire connaissance. Elles sont venues me gifler toutes les deux à la suite sans explication, et celle qui m’accompagnait, après leur avoir demandé des éclaircissements, est venue faire de même ensuite. J’ai estimé que je le méritais et ai accepté la sentence sans réagir. J’ai fini la soirée seul.
36. J’ai déjà fait une semaine de prison.
37. Les trois femmes que je fréquente en ce moment le plus régulièrement portent toutes les trois le même prénom, par coïncidence.
38. J’ai dormi des centaines de nuit dans des cimetières de campagne.
39. J’ai inventé des petites choses qui, si j’en avais déposé les droits, auraient pu me rendre riche (le pin’s, le Yalta jeu d’échec à trois joueurs, la poche A4 dans le dos d’une veste, le soundtrack de roman…)
40. J’ai été en froid avec mon père pendant 30 ans. Juste avant de le retrouver, j’avais en tête l’image d’un homme plus jeune que celui que j’étais devenu.
41. Avant de passer derrière l’objectif et de devenir photographe, j’étais modèle, mannequin et comédien. Plusieurs photographes, publicistes et cinéastes ont exploité mon image.
42. J’ai rencontré 9 femmes de ce site, dont 7 avec qui j’ai eu des relations sexuelles, et dont 4 avec qui ça s’est reproduit plusieurs fois.
43. Lorsqu’on me lit (ici notamment), on peut croire que je suis prétentieux, égocentriste, vantard ou même mythomane. Mais lorsqu’on me rencontre on s’aperçoit que non, au contraire : je suis quelqu’un de généreux, attentionné, humble et vrai.
44. J’ai atteint un stade de ma vie où je me sens heureux et libre, en phase avec mes convictions. Je vis hors-système, en toute marginalité (et pauvreté par choix). Il ne se passe pas un jour sans que je crée. L’art, la création et l’expérimentation sont mon moteur de vie principal. Le sexe y est inclus mais est loin d’en être l’élément principal.
Règles du jeu :
Ceci est le jeu du portrait québécois.
Si vous cliquez sur "j’aime", je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors :
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné,
2) me dédicacer le titre de la manière suivante "x choses sur moi pour Abyme",
3) publier ce texte dans la section Articles,
4) me le faire savoir.
Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui likeront votre texte.
Si vous voulez me faire savoir que vous likez sans être obligé de faire des devoirs, laissez juste un commentaire.
Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez le refaire.
Jeu & règles établis ici par Wondersalope.
913 vues
Par : #
1 Mon pseudo vient d’une traduction de traduction moyenne du nom d’un personnage de 2001, l’odyssée de l’espace qui n’est nommé que dans le générique de fin.
2 Je me présente comme switch, mais c’est surtout parce que bdsm.fr ne prévoit pas de catégorie “adepte de la soumination généralisée aimant à provoquer les innocentes oies blanches”.
3 On m’a souvent dit que j’étais un peu geek, mais je ne l’ai accepté que lorsque j’ai essayé de hacker la machine à café de mon école pour gagner des pièces de 5 centimes.
4 Je suis un littéraire refoulé, cf. point 21. Si je n’étais informaticien, je voudrais être historien.
5 J’aime chanter en breton parce que c’est la seule langue dans laquelle des chansons paillardes ont été en tête des ventes de disques en France, c’était en 1972 (“avec une fille j’ai couché / la petite vérole j’ai attrapé / à l’hopital on m’a emmené / ma queue on a coupé / par la fenêtre on l’a jetée / un chien l’a mangée / il est mort”).
6 J’aime les zeugmas, cf. point 17.
7 Ma langue préférée est l’allemand, au désespoir de la plupart de mes amis.
8 J’ai déjà utilisé un dictionnaire de rimes en allemand. Ce fut ardu, cf. point 7.
9 Quand j’étais petit j’étais fan des Nouvelles aventures de Robin des Bois, mais j’ai longtemps oublié que l’héroïne portait une tunique aussi rouge que courte et se battait à coups de fouet (et qu’il y a un méchant qui pratique le lancer de mouton...).
10 Je prie tous les jours pour que le CIO fasse passer la soumination comme discipline olympique, cf. point 2.
11 La première scène érotique qui m’ait marqué dans un film est la scène de Sacré Graal où l’on demande à Galaad le Pur de fesser tout un couvent de jouvencelles âgées entre 16 ans et 19 ans et demi parce qu’elles n’ont pas été sages.
12 Lorsqu’on m’a demandé de présenter une oeuvre littéraire anglaise célèbre à l’école, j’ai choisi La Geste de Beren et Lúthien.
13 J’aime chanter en langue régionale, cf. point 5.
14 Quand on me dit que je suis geek parce que je fais de l’informatique, je demande le rapport avec le lambda calcul en logique linéaire, cf. point 3.
15 Lorsque je suis en société, j’invente plein de raisons pour prétendre que Nantes ne se trouve pas en Bretagne dans le secret espoir de me faire frapper, cf. point 2.
16 Je n’ai jamais autant pleuré que devant les Parapluies de Cherbourg.
17 J’ai chanté des chants religieux dans une église. En public et en latin.
18 J’aime les jeux de plateau traditionnels méconnus. Surtout s’ils sont népalais ou tibétains.
19 Comme mes amis actuels savent que je suis un pervers, ils m’ont offert pour noël une encyclopédie illustrée montrant des centaines de façons de souffrir de la main d’une ceinture noire d’arts martiaux.
20 Je regarde quasiment autant de nanars que de bons films, cf. point 9. Mon nanar préféré étant Star Crash (“Oh mon Dieu ! Un neutron interstellaire !”).
21 J’aime les langues qui ont une grammaire constituée principalement d’exceptions ; je traine sur la rubrique Questions de langue de l’Académie Française.
22 Mon film préféré est 2001, l’odyssée de l’espace, cf. point 1.
23 Pour une présentation en anglais dans le supérieur, j’ai réussi à me faire féliciter en ayant expliqué d’entrée que mes transparents étaient des copiés-collés de Wikipédia (et j’ai eu une bonne note).
24 Je rêve de pouvoir déclarer un jour “Je vais dormir tranquille, car je sais qu’une domina sadique et perverse me voulant du mal veille sur moi”.
25 Pour les gens que je connais du collège et du lycée, j’ai la réputation d’être l’incarnation de l’innocence et de la pureté, cf. point 17.
26 La première fois que j’ai vu Lolita (la version de Stanley Kubrick), je n’ai remarqué aucun sous-entendu sexuel, cf. point 25.
27 Malgré mes racines, cf. point 5 et point 15, j’ai grandi à Annecy et son lac me manque.
28 J’aime obliger mes lecteurs à se balader en avant et en arrière pour suivre tous les cf. .
29 Une collègue argentine m'a un jour demandé de lui apprendre à prononcer convenablement le français. Je lui ai fait chanter "Ta Katie t'a quitté" de Boby Lapointe. (imaginez : "tout à coté des catins décaties taquinaient un cocker coquin" chanté par une non-francophone ).
Je lui ai aussi fait écouter "Pelot d'Hennebont" (chanté par Tri Yann entre autres) pour lui apprendre la grammaire française ("Que je sommes déjà caporal / Et serons bientôt général / A la bataille je combattions / Les ennemis de la nation / Et tous ceux qui se présentiont / A grand coup d'sabre les émondions")
30 Je ne fais rien comme tout le monde. Par exemple je joue un peu aux échecs, mais je pratique pas mal l'analyse rétrograde ("dans cette position, les règles autorisent-elles à roquer ?" )
35 vues

