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par le 02/11/16
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Dentelles noires, ajourées, je dors dans le tiroir de la commode quand sa main m'agrippe. Je jubile, frémissement de tissu sous ses doigts graciles. Mais que fait-elle ? Elle me pose sur le lit ! Elle hésite, on dirait... Comment peut-elle ? Ne suis-je donc pas la plus seyante, la plus agréable, celle qui la rend désirable, celle qui l'habille d'un rien, celle qui la déshabille aussi bien ? Ouf, elle me prend, me serre contre son ventre rond, fait glisser ses jambes, elle me remonte avec délicatesse, ajuste et lisse sur ses fesses, j'aime leur galbe, je me sens belle sur elles. Et comme j'aime le contact de sa vulve, tendre et renflée qui m'épouse si bien, lisse par en dessous, frisottant sur la partie bombée. Les effluves me parviennent, douces encore. Je soupire d'aise, je suis chez moi ici, je vais sentir le mouvement des jambes, le frottement doux, les courants d'air parfois qui me rafraîchissent... Enfin, presque. Elle décide d'enfiler un collant, me voilà enfermée !
La journée passe. Comme parfois, je descends sur ses genoux de temps en temps, avec le collant. Lui et moi, nous nous suivons dans un exercice répétitif. Que j'aimerais qu'il s'en aille celui-là ! A croire qu'elle m'a entendue... Valsent collants ! Elle décide de mettre des bas. Je les vois, on se regarde, on se salue. Ils s'arriment en haut des cuisses, élastiquées et qui laissent entrevoir une bande blanche et soyeuse. J'adore cet endroit, c'est si beau à voir. Mais, elle fixe quelque chose qui me déforme un peu, comme un joyau entre ses fesses. Pas très agréable mais joli. Elle ne porte pas très souvent ce bijou qui appuie sur mes dentelles. Est-ce le fait du bijou, des bas, je sens couler sur moi, cela embaume, je suis un peu tâchée mais j'aime cette ambiance tropicale, chaude et humide. Je me sens si bien, désormais...
Elle repart, en marchant, je sens le bijou derrière, l'humidité devant et l'air me frôler un peu partout, mais je n'ai pas froid. J'aime me promener ainsi, nez au vent...
Elle n'est plus seule maintenant, une voix mâle. Je crois qu'on l'embrasse, elle mouille un peu plus mais son vagin garde tout pour lui. Egoïste !
Elle marche avec lui. D'autres doigts me passent dessous, mais je ne les intéresse pas, j'ai l'habitude. Les doigts veulent juste s'enfoncer sous moi, dans cette chair douce et parfumée, moite, gonflée. Je patiente, j'attends qu'il en ait terminé. Mais, mais, que fait-elle ? Je glisse le long de ses jambes ! Je me retrouve dans l'atmosphère sombre et éclairée d'une gare. On me voit, n'est-ce pas ? Elle me tend à cette autre main, celle de l'homme qui m'empoche alors et m'oublie. Elle m'a abandonnée !
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Laurenzo
Splendide Lulla ! (Y)
J'aime 02/11/16