Mademoiselle_Lane
par le 26/01/17
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Je suis allongée dans mon lit, la pluie joue de la musique contre la fenêtre de ma chambre. Je me prélasse telle une chatte sur mon lit. Je me dis souvent que dans une de mes vies antérieures j’ai dû être une chatte, indépendante mais dépendante à la fois.

Je ne peux bouger de mon lit, mon maître m’y retient, et je ne vais pas me plaindre, il sait parfaitement ce qui est bon pour moi. Mes jambes sont habillées de bas résille couture où sur mes chevilles, les cordes serrées m’obligent à avoir les jambes écartées. Mes mains elles sont attachées au lit par des menottes où le bruit métallique me rappelle que je suis sa captive. J’aime me sentir à lui, à sa disposition, à l’attendre, ne sachant quand il va venir.

Il s’est assurée de mon confort afin que je sois bien et que je ne meurs pas de froid. Il aime me savoir à sa merci, ouverte et à pouvoir abuser de chaque parcelle de mon corps. Il est si bon de se sentir ainsi, ne de plus avoir à penser, à ce que l’on s’occupe de moi. Ce moment de lâcher prise, où se mèle douceur, sensualité, caresse, fessée et jeux. Ces moments qui nous appartiennent, rien qu’à nous, ces moments où il me connaît intimement jusqu’à comprendre mes envies et mes désirs. Ce lien est si fort car pouvoir partager ce que l’on est est si précieux, si rare, si unique.

En femme totalement indépendante, il a réussi à me faire basculer dans ce monde, notre univers où juste un regard, un geste permet de comprendre si nous jouons ou non.

J’entend son pas dans les escaliers. Je suis presque endormie, je garde les yeux fermés. Je sens les battements dans ma poitrine s’accélérer, mon corps frissonne. Il se rapproche de moi, tel un félin, son parfum m’envoûte. Son pouce caresse ma lèvre inférieure avec une telle délicatesse. Naturellement j’ouvre ma bouche pour le prendre et le savourer. Il se retire et me dit : Chut, ne bouge pas, et ne fais rien.

Il passe sa main sur ma joue et naturellement je caresse mon visage contre sa main, comme la tête d'un chat cherchant la caresse de la main que vous tendez.

Je sens ensuite sa main descendre le long de ma jugulaire avec une certaine pression. J’adore sentir ce sentiment d’étranglement léger qui me fait sentir sienne. Puis en continuant sa route, il fait glisser le drap en satin sur ma peau jusqu’au sol. Je suis là, exposée à ses yeux, à ses mains. Il caresse une de mes chevilles, me masse le pied puis se met à resserrer l’étau et m’écarteler davantage, il faut de même avec l’autre jambe, Puis il continue sa route sur mes jambes, mes cuisses. Il prend soin de passer deux doigts sous mon bas pour le remettre en place. Il joue avec mes nerfs, je sens presque sa main sur mon entrecuisse sans presque me toucher. Je suis complètement frustrée.

Il se relève et revient avec mon éventail en plumes noires que j’avais laissé sur la commode, puis il commence à m’effleurer, le bas du ventre, puis il remonte et passe les plumes juste sur le bout de mes seins. Mes tétons se dressent et pointent avec une telle force. J’ouvre les yeux, et je souris tellement c’est agréable. Il joue ainsi en parcourant mon cou, mes aisselles, mon épaules. Il connaît chacune des mes zones où je suis chatouilleuse. Je ne peux m’empêcher de gesticuler. C’est tellement bon mais j’aimerai pouvoir aussi m'échapper car c’est presque intenable. Me voyant trop gesticuler, il se relève et m’écartèle, cette fois ci davantage les bras. Je suis ainsi au milieu du lit, les jambes écartés laissant libre accès à ma chatte et à mon cul.

Il s’empare de la bougie et à une certaine hauteur laisse couler la cire sur mon ventre. La sensation du chaud et du froid me saisit. Je sais qu’il a pris soin, comme c’est la première fois pour moi, à veiller à ne pas être trop proche. Puis il le fait sur mes seins, mes cuisses. Il a l’art à la fois d’être intransigeant tout en gardant ensuite cette douceur. Je me sens en confiance.

Il se relève et me regarde ensuite.
-Quelle belle petite chatte d’intérieur tu fais. Ainsi attachée, je ne risque pas d’être griffé, ni que tu puisses t’enfuir. Il est tellement bon de te voir docile, soumise et à ma merci.

J’ai envie de protester mais au vu de ma situation, je ne me peux que me soumettre pour son plaisir mais aussi le mien.

Il se saisit d’un fouet, dont il passe les lanières sur mon corps tout en me donnant quelques coups, il continue de titiller mon sexe, cela m’excite encore plus. Je le regarde en réclamant, en quémandant. Mais rien n’y fait.
Il me regarde et me dit que je ne suis bonne qu’à miauler pour me faire prendre. Il se saisit alors du baîllon avec l’anneau qu’il m’avait offert (voir ma nouvelle sur un plateau d’argent). Il me force la bouche.

- Voila, plus de miaulement, une vraie chatte en chaleur ma parole, se félicite t il.
- Je vais apprendre à te contenir.

Il ôta son pantalon, son boxer et en sorta son sexe en erection. Il se positionna debout au dessus de moi, chaque pied à coté de ma tête, puis il s’agenouilla.

Il plongea directement son gland dans ma bouche.

-Hum qu’il faut chaud là dedans, me dit il.

Il posa ses mains sur ma tête pour ne me laisser aucune liberté juste celle de sentir sa queue au fond de ma gorge et de me faire baiser. Il se stoppa brutalement :

- Mais c’est qu’elle est gourmande ma petite chatte, suffit maintenant. Rentre ta langue, m'ordonna t-il.

Il se releva et se dirigea vers mon intimité. Il y passe sa main sans aucune douceur. Ma mouille recouvre ses doigts…


- Tu es trempée, tu es vraiment en chaleur, en même temps tu es juste faite pour ça quand je te vois ainsi. Ne t’inquiète pas je vais m’occuper de toi.


Il me détacha et me retourna. Il mis sur mon ventre un cousin spécialement étudié et destiné à surélever mon fessier pour mieux lui donner accès à mes orifices. Il mis une barre d’écartement entre mes chevilles, me joignit mes mains pour les attacher vers l’avant. Il serra autours de ma taille une corde afin de m’immobiliser pour que je ne puisse pas bouger. Il partit, sans que je vois ce qu’il se passe. Il revient, se mit face à moi.

- Voila une belle position de soumise, agenouiller, le cul en l’air, prête à utilisation.

Il me prît à nouveau par la bouche et me baisa sans ménagement en me tenant toujours pas la tête. Puis il releva mes cheveux et les attacha en une queue de cheval. Puis il pris en main ce qu’il avait placé sur le lit sans que je puisse le voir : un crochet anal. Il le mit devant mes yeux. Il me vit frémi. Il ôta mon baîllon et me demanda de la sucer comme si c’était sa queue.

Il se place derrière moi et pénètre ma chatte avec trois doigts. Un filet de mouille s’échappe, Puis il la pénètre avec la boule du crochet, crache sur mon anus. Il y met un doigt puis deux… Il adore ça.

Il me tire la queue de cheval, me redresse :

- Si j’entends un seul cri quand je te l’enfonce sans ménagement dans ton cul de salope, je vais te punir très très sévèrement. As-tu compris?

- Oui Maître.

Il commence à introduire la boule dans mon cul, puis force le passage de mon petit trou étroit jusqu’à ce qu’il cède. J’ai mal mais je me retiens de ne pas crier. C’est très difficile et douloureux.

Il me dit, voila ce qui se passe pour les chattes qui se pavanent le cul à l’air.

Puis il attache le crochet à ma queue de cheval. Il me bande les yeux et me laisse ainsi, en me couvrant, pour ne pas que j’ai froid Je suis complètement frustrée sans savoir quand il va revenir

Je n’arrive pas à savoir qu’elle heure il est. Il revient, mais je sens qu’il n’est pas seul.

Il m’ordonne d’ouvrir la bouche, il me donne à boire. Il retire le drap qu’il a mis sur moi.

J’ai un cadeau pour toi ma petite chatte. Ta patience va être récompensée.

J’entend une voix d’homme à coté de lui, qui donne des ordres, à une autre soumise, à qui il a dit :

" Au pied, pas bougé".


Je sens que sa voix est rude et me fait presque frémir. Il présente mon cul et ma chatte à ce maître. Il en profite pour vérifier par lui-même mes orifices. Il joue avec le crochets dans mon cul et introduit quelques doigts pour vérifier que je sois humide comme il se doit. Puis il me claque les fesses avec une force que j’ai un cri qui s’échappe.

" Une belle chatte d’intérieur que vous avez là Monsieur" dit - il.

Mon maitre me redonne une autre fessée au même endroit. Je le sens furieux.

- " Alors on ne remercie pas Monsieur de vous complimenter ?"

- Je.. pardon Monsieur, je vous remercie de votre remarque à mon sujet, remerciai-je.

Monsieur demande à sa soumise de monter sur le lit et de me lécher la chatte.

Je ne suis pas bisexuelle, je n’ai jamais eu aucun rapport avec une femme, bien que cela m’attire. Mon maître le sait. Elle me lèche, aspire mon clitoris, me pénètre avec sa langue. Monsieur la force à maintenir sa tête dans ma chatte.

Mon maître ordonne à cette soumise de jouer avec la corde pour que je gesticule mon cul de salope. Je sens qu’elle prend plaisir à me violenter de la sorte.

Monsieur lui se met face à moi pendant que la soumise me redresse la tête et s’empare de mes seins, qu’il prend de pleine main.

Il demande à mon maître s’il peut me baiser par la bouche.

- Oui bien sur Monsieur, elle est faîte pour ça. Vous verrez comme sa gorge est profonde et chaude.

Je sens sa queue grandir sous ma langue. Puis il immobilise son gland dans ma bouche.

- Tout doux , quelle bonne suceuse tu es.Monsieur, que diriez vous d’écarteler la chatte de ma putain ?

-Ma chienne est tout à votre disposition pour cela rétorque t il.


Il demande alors à la soumise d’enfiler un gant et de me fister. Elle se met face à moi et introduit sa main gantée dans ma bouche. On voit qu’elle semble savoir y faire. Sa main est toute petite. Elle commence tout doucement par un doigt, puis un second avec des va et des vient, tout en me tenant le cul. Puis elle rentre un troisième doigt. Cela rentre comme dans du beurre. Un quatrième : ça rentre ça sort, ça rentre ça sort avec une certaine vitesse que je risque de gicler à tout moment. Puis elle met le cinquième. C'est beaucoup plus difficile. Puis je sens ma chatte lacher, elle est entrain de me fister. Mon maître s’amuse avec le crochet anal. Mon maitre me caresse la croupe, Monsieur tire sur mes cheveux pour que je me cambre et me dit:
-Sois sage et docile, sois la fierté de ton Maître.

Puis Elle s’immobilisa le temps que je me calme.
Monsieur lui ordonna de me défoncer la chatte. Elle commenca des va et des vient pour me défoncer. Mes jambes tremblent, je me sens défaillir. Je n’ai plus aucune force. Je ressens des émotions jamais ressentis jusqu’à présent entre douleurs et plaisirs. Je mouille tellement que j’ai peur d’être irritée.

Puis Monsieur ordonna à sa soumise de se stopper et de le sucer.
- Je vais te remplir de mes doigts et tu vas glicler, tu as la permission.
Je me mis à hurler, n'arrivant plus à me retenir. Je me sens honteuse, c'est tout nouveau pour moi.
Epuisée, mon maître ota le crochet de mon petit fion et dit à Monsieur : prêt à utilisation immédiate.

Il me détacha complètement les pieds, les mains et la taille. Je suis plus docile que jamais.

Nos maitres respectifs nous ordonne de nous mettre en positions 69 afin de profiter de la vue de leur queue en train de prendre l’autre soumise et d’être prêt également à être baiser par la bouche.

C’est ainsi que je me retrouvai sur le dos, une femme sur moi, ses lèvres sur mon sexe. De mon coté j’étais bien plus réservée et certainement pas prête à vivre cela. Je n’étais vraiment pas à l’aise. Il m’ordonna de sortir ma langue de chatte, et de lécher comme il se doit cette chienne.

Je m’exécuta, je sentie Monsieur me besogner comme un putain et mon maître en profiter pour enculer l’autre soumise sans aucune préparation. Elle semblait avoir bien plus d’expérience que moi. Un sentiment presque de jalousie s’empara de moi.

- Vous n’êtes bonnes qu’à baiser, dit Monsieur et mon Maitre. De sacrées putains, regardez- vous.

Elle s’était relevé à la demande de mon maitre afin que nous changions de position.

Son maitre lui mis un gode ceinture et il lui demanda de me baiser le fion et de parfaire un peu mon éducation anale. Soumise à une soumise. Je ne savais comment réagir.

Elle me tira par les cheveux sans aucun ménagement et me gifla.

- Ouvre ta bouche salope et suce.

J’étais complètement interdite. Voyant que je résistai mon maitre me cravacha jusqu’à coopération et soumission totale.

Elle me baiser par le bouche, puis me releva et pinca les tétons, puis malaxa mes seins.

- Retourne toi que je t’élargisse ton fion, prend une belle position de salope.


Je relevais mon cul, et placa mon visage au sol, comme une vraie chatte en chaleur montrant son cul pour être prise.

Puis elle me pilonna sans ménagement, me fessa. Je rougis honteusement. Puis mon maitre me releva et me baisa à nouveau la bouche. Quand à elle, Monsieur la cravacha pendant qu’elle me prenais par le cul.

Mon maitre éjaculera sur mes seins, quand à Monsieur, dans la bouche de sa soumise.

Nous finirons la soirée elle au pied de son maitre et moi sur les genoux de mon maitre comme la chatte d’intérieur que je suis
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