Mademoiselle_Lane
par le 05/02/17
528 vues
Je vous invite pour cette nouvelle à écouter cette musique en lien joint

Je me balade au son de la cacophonie de la rue, le bruit des voitures se mélant aux charrues tirées par ces pauvres petits ânes. La chaleur est pesante. Je sens quelques gouttes de transpiration perlées de mon front. Nous sommes partis le temps d'un week end en Turquie. Mon maître s'est absenté quelques heures et me laisser des moments de liberté que toute femme aime.. découverte, shopping... Voir tous ces étals avec ces couleurs, ces épices qui narguent mes narines, tous ces costumes, ces bijoux orientaux. Je dehambulai de ruelles en ruelles. J'aime m'y perdre, mais je dois me rappeler qu'en femme seule, je dois être prudente. J'ai déjà eu quelques mésaventures dans le passé.
Je cherchais un havre de paix, une sorte de jardin, des fontaines pour me couper de tout cela. Mon maître m'envoya un SMS pour que je me rende à une adresse de la villz. J'étais assez surprise. J'arrêtais le premier taxi arrivant et lui donnait l'adresse où je devais me rendre. C'était un peu à l'écart de la ville, je m'inquiétais un peu. C'était la fin d'après midi. La climatisation de la voiture était un pur bonheur. Au bout d'une demi heure, il s'arrêta face à une immense villa, ressemblant à un petit palais. Il y avait des grilles mais on devinait à la hauteur des arbres et à leur beauté qu'il se cachait un somptueux jardins.


Je ne puis qu'oberver le détail de cette magnifique porte orientale, tout en bois sculpté. Mes doigts passèrent sur les détails comme pour en deviner toute l'histoire. Puis d'un seul coup, je vis des caméras, la porte s'ouvrit. Là, une jeune femme ouvra la porte avec un magnifique sourire, vêtue, selon moi de costume traditionnel, avec tant de bijoux, du henné. Elles avaient des yeux d'un noir profond, une peau de miel et ses cheveux longs, épais que je la jalousais. Elle me prit la main, et me parlait en anglais. Elle me dit, tu dois être S.... on nous a informé de te visite. Nous allons prendre soin de toi.
Nous marchions dans une magnifique allée où des fleurs dont je ne pouvais connaître le nom, le chant des oiseaux me faisait penser à un eden perdu. Dans cette partie de paradis, nous entrèrent dans la villa. Les mosaïques dans les couleurs d'un bleu, et où les fenêtes était des moucharabieh laissant la lumière jouer à travers les petits trous, et me laissant deviner qu'une partie du tableau de ce jardin. Je voulu m'en rapprocher, mais elle me tenait par la main. J'entendis plusieurs femmes parler dernière cette grande porte face à laquelle nous nous trouvions.
Je la regarde intriguer : mais que fais je ici? qu'est ce que c'est que tout ça?
- Elle me regarda avec ses grands yeux, sont grand sourire. Elle me dit, ce soir est une soirée spéciale. Nous devons êtres les plus belles pour nos maîtres.
-Viens suis moi, me dit elle, nous allons nous occuper de toi.

J'avais l'impression de me retrouver dans ces atmosphères d'antan où j'entendais la musique traditionnelle turque. j'adorai le son du saz. Et là je me retrouvais avec une quinzaine d'autres jeunes femmes, toute vêtues avec des tenues plus ou moins légères mais aussi traditionnelles.
Nous étions dans une partie réservée uniquement aux femmes avec de nombreux bancs, des méridiennes, et un bassin avec de n pétales de fleurs, des voilages.. il y régnait une de ces atmosphères. J'étais hypnotisée. Qu'avait bien pu préparer mon maître. En tout cas je me sentais comme une princesse du passé.

Puis, elle me dit, allez profite et viens dans l'eau. Elle se déshabilla, je fis de même. La nudité ne posait aucun problème autours de toutes ces femmes. Je glissais un premier pied sur les marches descendantes du bassin. Mes rondeurs ne me gênaient pas plus que cela, je prie un pétale de rose et je m'amusai à jouer avec sa douceur sur mes lèvres. C'était si bon. Je regarde chaque recoin de ce lieu majestueux. Je ressortis du bain.
- Mais où sont passés mes affaires. J'étais en panique, plus aucun vêtement, ni mon sac, ni mon téléphone. Une panique m'envahissa.

Je rejoignis Samia, celle qui m'avait accueillit. Et elle brandissait un magnifique sourire.
- Ne t'inquiète pas, nous avons une tenue pour toi pour ce soir.
Elle voyait que je commençais à ne pas être à l'aise, et son sourire disparu et elle m'ordonna de me calmer.
Son ton froid me surprit d'un seul coup.

Elle me pris à nouveau par la main et me désigna une tenue pour la soirée. Je mis dans un premier temps une sorte de robe d'un vert émeraude avec de longues manches tombantes, puis rajouta par dessus comme un corset formant un rectangle juste au dessus de ma poitrine, et la remontant. Il faut dire que c'était magnifique. Puis on me coiffa avec des bijoux de tête, j'étais beaucoup fardée, puis on me voila le visage. Nous étions toutes les femmes habillées dans ce style traditionnel.

Puis la porte s'ouvrit, on nous demanda de nous mettre en file indienne et de ne plus parler. Tout mot sortant de notre bouche sera sévèrement punie. J'étais inquiète. Je n'avais pas vu mon maître depuis la fin de matinée, je n'avais plus de sac, plus rien. Quand je voulu parler pour poser une question, cet homme me regarda et en sortie un fouet. Le corset me comprimait un peu la poitrine, je me calmais doucement.

On nous confina dans un coin d'une grande pièce octogonal où sur des gradins se tenaient une trentaine d'hommes.
Nous entendions que le rire des hommes, les femmes avaient le regard baissés. je devinais en un seul instant ce que mon maître avait manigancé dans mon dos.. une vente.

Je le cherchais du regard, j'avais besoin de ressentir sa protection, sa présence. Je savais qu'il était là. Une première fut avancer au milieu de cette pièce. Elle fut présenter, déshabillée avec force. Des hommes descendaient des gradins pour venir tâter leur future esclave. Nous n'étions que des objets destinés à satisfaire leur plaisir.

Mon tour arriva. j'étais stressée, je ne voyais pas mon maître. Là deux hommes me menèrent de force au centre. Je ne me lassait pas faire. Je n'étais pas rassurée. Ils m'attachèrent les mains au dessus de la tête, et je sentie un coup de fouet s'abattre sur mon fessier. Je me débattais tellement cela me faisait mal. Puis un second.
- Alors calmée ma belle? et là je reconnus sa voix, c'était celle de mon maître. Instantanément je fus calmée et prête à écouter, à lui faire honneur, plaisir.

Il se rapprocha de moi, me tira ma tête voilée en arrière et me dit, je veux que tu sois la meilleure des esclaves.
On me retira le voile de mon visage, puis je sentie le regard des hommes sur moi.
Un homme assez grand s'approcha, ouvrit ma bouche pour regarder ma dentition. Parfait, une vraie bouche de suceuse.
En même temps un autre avait dégraffé mon corset pour mettre à nu mes seins. Je n'arrivais pas à savoir combien d'hommes m'avaient touchés. j'avais fermé les yeux.
Puis des enchères commencèrent. Je regardais mon maître avec un regard de défiance, en lui faisant comprendre que je ne me laissera pas faire si facilement. Il le savait, il connaissait mon témpérament un peu sauvage. Quoi que sa rudesse faisait que j'obtemperai facilement car il n'était pas tendre avec moi et les marques laissées sur mon corps.

Je n'ai meme pas vu qui avait gagner les enchères, on m'emmena de forces dans une chambres et on me demanda d'attendre à genou à l'entrée, mon maître pour la soirée.

Si mon maître pense une seule seconde que je vais me laisser faire, il se trompe bel et bien. J'attendrais ce nouveau maître assise sur cette chaise. La chambre était faite avec un lit à baldaquin et de longues tentures ornaient la pièce.
Le temps se faisaient attendre. Je voulus ouvrir la porte mais elle était fermée à clef. je devinai une terrasse, et je m'y rendit. Et là un moment de liberté à observer ce jardin que la pleine lune éclairait.

Quand soudain, j'entendis une voix sombre derrière moi.
- Est ce ainsi que tu as été éduqué, chère esclave?
L'homme faisait 1m95, assez imposant. A coté du haut de mon 1m70 je ne faisais pas la fière. Je me retrouvais un peu stupide.

- Non.. je.. enfin.. le temps était long et j'avais chaud... J'ai essayé de me dédouaner comme je le pouvais.
- Approche toi, m'ordonna t il.

J'allais vers lui. arrivée à quelques centimètres de lui, il me demanda de relever les yeux et de le regarder.
- Premièrement, tu vas être punie pour cet écart et tu le sais
- Deuxièmement, je veux que tu te deshabilles avec elégance et que tu me montres tout tes avantages.
- Troisièrement, je t'interdis de parler, de répondre. Est bien clair?
- Oui monsieur.

J'entrepris de m'effeuiller doucement en jouant à faire tomber sur le sol, une première partie de ma robe, puis je me cachait derrière les voilage en otant une partie de mon corset.
- Alors on veut se rendre intéressante?
- A genoux et viens à mes pieds.

J'étais nue, uniquement parés de tous ces bijoux, dont des chaines chacune rattachées à mes tétons. Je m'agenouillais, et m'avancait vers lui.
- Ne bouge plus, assied toi en ayant les jambes ecartés et redresse bien ton buste.
- Quelle belle poitrine, tu as. Ils sont si fièrement dressés. Il s'avanca et me pris chacun de mes tétons et les tira si fort que je ne pue m'empêcher de crier. Eh oui, figure toi que je connais tes limites, ton maître m'en a fait part. N'ai aucune inquiétude. Je sais que tu es très sensible des seins mais je devais te punir. A toi de t'assurer d'être une très bonne esclave digne d'un maître.

- Lève toi.
- Ecarte tes cuisses et cambre toi.
- Montre moi tes trous que je vais prendre plaisir à baiser.

Il revient avec une grande badine, et commença à me battre. Je voulus me défaire de ces coups là, mais je pensai à la fierté de mon maître. Mes fesses furent douloureuses, mais de temps à autre il passait sa main douce pour m'apaiser.
Puis il me banda les yeux, me guida et me jeter comme un objet sur le lit.
- Mets toi sur tes genoux
- Donne moi ton bras droit. Là il me serra une chaine autours très fortement que je ne pouvais pas trop le bouger et la rattacher aux crochet du lit.
Il fit de même avec l'autre.

J'étais ainsi, exposée, offerte sans vue et attachée à son bon vouloir.
Ainsi les bras en croix, jétais des plus vulnérables. Je sentais son excitation à me voir essayer de me débattre, à ne pas me laisser faire. Puis sa main me saisit par les cheveux, l'autre me saisit la gorge et la serra. Puis il m'embrassa avec une telle violence, et son étreinte se tranforma en une caresse. IL me caressa la peau, le visage, l'intérieur de mes cuisses. Je sentais son parfum gagner mes narines. C'était assez envoûtant.
Il me fit m'asseoir sur le rebord du lit. et attacha mes genoux également au lit de part et d'autres.
Et là il me pris par la chatte tout en serra ma gorge et en me pinca ma lèvre. Il me morda dans le cou. j'étais sa captive, son esclave, son objet.

Une fois qu'il eut jouis, il me laissa attachée ainsi et alla se coucher. Il me dit que c'était agréable d'avoir mon cul face à lui pour s'endormir. Cette position n'étaient si inconfortable. Il me pris encore deux fois, puis me détacha d'avoir les jambes, puis les poignets du lit. IL m'attacha les poignets ensembles, tout comme mes pieds.
Puis, Il me mis cette chaine autours de cou, qu'il attacha à sa taille et me serra ainsi toute la nuit.
Pièces jointes
3 personnes aiment ça.