par mael
le 08/10/18
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Nico, c'est nicole, mais elle déteste ce nom de gonzesse, c'est simple, depuis toute petite, elle déteste tout ce qui est féminin. Elle a toujours voulu s'habiller comme un garçon, jouer comme un garçon, se battre comme un garçon. Elle est taillée pour. Toute jeune, elle a voulu faire du rugby. Comme il n'y avait pas d'équipe de filles et comme elle était coupée en brosse, elle a joué avec les garçons. Et elle s'est vite révelée excellente. Sauf que, lorsque ses mamelles ont poussé, les garçons ne voulaient plus d'elle. Pour être formée, elle était formée. Un gros cul et de gros nichons. Heureusement il y avait dans son sud ouest un club féminin, pas trop loin. Cela lui a plus de suite. C'était même mieux qu'avec les garçons, plus amusant. Elle est devenue championne du coin. Une vraie panzer sur un stade, capable de tout défoncer devant. Son surnom "le sanglier". Humm, c'est vrai, elle schlingue un peu comme les phacochères en rut après un bon match.
Raison de plus pour filer sous la douche et la troisieme mi-temps. Elle s'est rendue compte qu'elle était 100% lesbienne dominatrice. Le sanglier des stades devenait le sanglier sous la douche, toujours à renifler des chattes à les labourer et à se les troncher profond. Nico opta pour le gode sans ceinture, un gros gode. Comme c'était la chapionne et la plus costaude, elle se les tapait toutes. Elle se tapait même l'entraineur, une petite bite sur pattes, un homme fluet et timide, mais très bon technicien. Nico lui avait foutu la honte de sa vie lorsqu'elle l'avait sodomisé devant toute l'équipe. Les filles s'étaient moquées de sa petite bite. Il était rouge, couvert de honte et ce con avait joui, bramé comme les filles. depuis, il s'appèle "la pie". Il a tendance à jacasser quand il jouit en se faisant mettre profond par nico, qui de fait montre à tout le monde que c'est elle qui commande.
Finalement nico a repéré la plus jolie des supportrices, une petite blonde hyper sexy, une pom pom girl très provoc sur les stades. Mais en dehors, une petite bourge bien rangée, bien comme il faut. Nico s'est mise en couple avec. Nico se comporte en macho et sa pom pom girl file droit. Elle adore lui donner la féssée, bien la rougir avant de lui enfoncer son groin de sanglier entre ses petites fentes intimes. Et l'autre qui hurle de plaisir à chaque fois.
Nico, avec ses 90 kg, ses épaules de déménageur, sa tronche patibulaire, son nez cassé, n'a rien des canons de beauté des magazine. On aurait pu croire qu'elle finisse seule, aigrie, moche pour la vie. Au contraire c'est elle qui se tape les femmes qu'elle veut. Aucune qui ne résiste à son groin. La sanglier des stades est aussi celle qui se tronche le plus de chattes. Et au besoin, elle encule aussi les mecs qui sont pas contents. Les soumis, sont trop nombreux, c'est pas du sport, elle les ignore. Non, ses extras c'est les bons gros machos de supporters adverses avec zéros neurones et bien du muscle.une fois bien enculés par son god, elle fait des selfies. Plus aucun n'ose se moquer d'elle après.
Posté dans: Techniques & Pratiques BDSM
Suggestion
Par : #
Je fus sorti de mes rêveries par un jet d'eau qui avait pour butte de me laver le corps du vin séché.
Sophie m’a dit d’aller débarrasser, faire la vaisselle et de revenir ensuite. Ses ordres donné, elle est partie s'installer sur le transate avec son bouquin.
Moi de mon côté, je suis allé vaquer à mes tâches, comme un esclave du temps de rome.
Une foi celle si terminées, je suis retourné sur la terrasse me positionner debout les mains dans le dos à côté du transate de sofie toujours nu comme un verre.
“Voila Maîtresse sophie les tâches que tu m'a demandées sont accomplies.” Dis je.
Elle lève alors les yeux de son livre pour les poser sur moi.
“C'est bien belle bite” dit 'elle. Par contre tu va cramer avec ta peau blanche au soleil sans protection. -” attend.”
Elle se lève ,prend de la crème solaire dans ses mains et me dit de lever les bras .
Ensuite elle commence à tendrement me mettre de la crème sur le corp, les épaules,les bras, le torse,le visage. Nos deux corps sont très proche, presque l'un contre l’autre.
Cette situation n'en finit pas de m'exciter et je me met à bander bien dur.
Elle le voit. En me regardant dans les yeux elle se met à m'enduire les testicules de crème solaire.
Mon visage se déforme de plaisir mon corp est parcouru par un soubresaut.
Ensuite elle saisit ma queue et commence à l’astiquer doucement pour l'enduire elle aussi.
Mon souffle se fait plus fort. Elle me regarde dans le syeux et me dit : -” Tu n'en peux plus hein ? cela t'excite grave! “
On se retrouve front contre front et je m'entend lui dire ,oui sophie.
“Tu es ma chose.”
Me dit 'elle, en prenant mon menton dans sa main libre avant de m'embrasser intensément.Toujours front à front, elle me dit d'une voix,plus douce de m'allonger sur le ventre les bras en croix .
Je m'exécute. Je sent qu'elle fait couler de la crème sur le haut de mon dos. Elle est positionnée au dessu de moi. je vois ensuite tomber à côté de ma tête son haut et son bas de bikini.
Mon dieu elle est nue au dessu de moi. Cette idée me fait encore bander plus fort si il est possible. Mon sex est écrasé sur le carrelage de la terrasse.
Je la sent s'asseoir sur mes fesses.Elle passe ses mains dans mon dos, ma nuqe, pour étaler la crème .humm c'est divin...
Ensuite elle descend sur le bas de mon dos, mes fesses, l'intérieur de mes cuisses pour descendre doucement et langoureusement jusqu'au bout de mes orteille.
Une foi cette étalage de crème hautement excitant,réalisé
. elle se positionne devant moi et reprend son ton autoritaire - “A genoux, jambes ouverte esclave.”
Je prend la position et lève enfin les yeux sur elle. Les mains sur les hanches jambes ouvertes, elle me regarde de haut avec des yeux autoritaires.
Elle est magnifique. Elle me voit la contempler et me dit: -” Au lieu de te rincer l'oeil enduit moi de crème solaire.”
“Oui sofie.”
Je m'entend lui répondre.
Je commence par prendre de la crème solaire au creux de mes mains et j'enduis ses petits pieds,je remonte sur ses mollet ses cuisses, je m’appliques.
L'instant est troublant. Je crois que c'est la première fois que je la touche.
j'arrive à ses fesses, ses hanches son sex que je masse avec plaisir.Je sent bien qu'elle est excitée elle aussi. Sa respiration s'accélère.
“n'en profite pas trop belle bite, continue.”
Je continue de parcourir son corps pour l’enduire de crème solaire; son dos, ses bras , ses épaules. J’arrive à son coup et son visage, l'instant est troublant.
Nos regards se croisent de nouveau. Son corp m'attire.
paff je suis sorti de ma rêverie par une gifle monumentale.
-” A genoux.” Me crie telle.
Elle m'empoigne par les cheveux pour me traîner vers la table.
Bien que tous les deux nu, il n'y a aucun doute qu'en à la hiérarchie établi entre nous.
Pour commencer, je suis à quatre pattes, traîné par les cheveux d'une main ferme et mon cul est rougi par les fessées reçues alors que le sien est d'une perfection immaculée.
Ensuite à son attitude on voit qu'elle est à l'aise nue dans ce jardin, alors que moi j'ai la peur du débutant. La peur d'être surpris.
Sans lacher ma chevelure, elle atrape son telephone sur la table,et m'entraine vers le transate.
Elle s'installe confortablement me temps une de ses jambe de manière nonchalante.
” Allez. Leche mes pieds. Suce mes orteilles, masse moi.J'ai un coup de file à passer.”
M’ordonne t elle.
Me voila a ses pieds, à les lécher, les sucer, tendit qu'elle passe ses coups de fil. Elle appelle d'abord un ami, puis sa mère.
Elle était en grande conversation avec une amie quand à force de voir son sex nu devant moi,à quelques dizaines de centimètres de ma bouche, je ne pu résister à l'envie de la lecher.
Ma bouche remonte le long de sa jambe et arrive à l'entrée de son sex. Elle me jette un regard mais ne m'interrompe pas.
Je suis en trian de laicher son sex tandis qu'elle reprend la conversation.
Elle mouille abondamment, c'est un régal de la titiller alors qu'elle essaye de continuer ca conversation. Je sent sa respiration s'accélérer, son auditrice aussi.
Je l'entend lui demander.” sofie ca va? tu as laire essoufflée.” - “ oui ma chérie ca va je viens juste de descendre les escalier c'est pour ca.
jen profite pour accélérer mes coup de langue sur son sex.
je sent sofie s'emballer juste avant de dire à son amie d'une voix hésitante. - “ Je vais devoir te laisser. Je suis désolé mais je dois y aller, je suis déjà en retard.”
Elle lui raccroche précipitamment le téléphone au nez.
Elle m'atrappe par les cheveux,attire ma tête encore plus contre elle et pendant que je le lèche, frote son sex sur mon visage en gémissant.
Ca respiration se met à s'accélérer alors qu'elle écarte encore plus les jambes pour mieu me sentir. Encouragé par ses gémissements de plus en plus sonore je la lèche frénétiquement. Son corps se met à trembler de plus en plus fort jusqu'à son orgazme qu'elle acompagne d'un cri de plaisir. Totalement impudique, se moquant éperdument d'être entendue, alors que nous nous trouvons dans le jardin de la propriété.
En plein paroxysme de son plaisir, elle m'enserre avec ses jambes autour de ma tête,m'empêchant presque de respirer. Elle fini par me libérer au bord de l'asphyxie.
je suis a ses pieds en train de reprendre mon souffle.
Son regard se pose sur moi. Affalée dans son transate une jambe grande ouverte, elle me dit avec un regard coquin. - “ humm tu va être une bonne pute toi belle bite. Allez allonge toi sur le dos.”
Finit elle en me montrant le sol d'une main nonchalante.
Me voila nu sur le sol la queue raide comme un piquet.
Assise sur son transate, les coudes sur les genoux, la tête dans la paume des mains. Sophie apprécie le spectacle d'un regard félin
Elle se lève, vient se positionner au-dessus de moi les jambes écartées. Elle me sourit. descends doucement se mettre à genoux.
D'une main elle prend mon sexe bandé en l'attrapant par le gland entre un doigts et son pousse. Le Décalotte doucement avant de le faire entrer lentement en elle. Quand mon sexe rentre en contact avec le sien je sens un frisson de plaisir nous parcourir. Sa bouche s'ouvre doucement et elle enfonce lentement ma queue de toute sa longueur dans son sexe. Elle lâcher un petit souffle qui trahit son plaisir, avant de poser ses mains sur mon torse.
Elle commence à faire des va-et-vient sur ma queue. Je me fais littéralement chevaucher. Je sens notre excitation à tous les deux monter ses mouvements de rein accélèrent.
Quand j'essaye de poser mes mains sur son cul, une gifle monumentale me ramène à la réalité.
“ même pas en rêve belle bite. Me crie-t-elle d’une voie pleine d'excitation. Tu touchera mon cul quand je te le dirai.”
Elle continue à accélérer ses mouvements. Elle se met à gémir des gifles volent sur mes joues. En pleine frénésie, sans un mot elle attrape mes mains et les pose sur ses fesses. Je je les les Agrippent pleinement.
Cette action est comme un signal. Elle pose alors ses mains sur mon torse et accélère encore ses mouvements de hanches.
Je sent le plaisir monter en elle. Elle se met à respirer de plus en plus fort, à pousser des gémissement de plus en plus sonores.
Elle est au bord d'un nouvelle orgasme quand elle me dit hors d'haleine.-” Je t'interdis de jouir. Tu jouiras quand je te le dirai retient toi! ”
Je lui répond oui maîtresse sophie. Ces mots sont un déclencheur pour elle.Son corp est
parcouru de spasmes, ses ongles s'enfoncent dans la chère de mes pectoraux. Elle pousse un grand cri de jouissance,tout son corp se tend de nombreuses seconde et sa tête est tirée vers l'arrière.
Elle fini par s'effondrer sur mon torse. Je sens son soufle dans mon coup.Je lui caresse le dos doucement, ses mains caresse maintenant plus tendrement ma nuque.Ma queue est toujours en elle ,sensible sous l'exitation du moment.
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Par : Maxxence
Une envie qui hésites, des "jeu t'aime" qui déchirent, jouer juste.
Monter, fréquenter le ciel. Ne jamais regarder en bas, de peur de tomber plus haut, lier nos âmes de nos maux, casser le faux, s'ouvrir aux vérités, ne plus rien cacher, se réveler, s'approprier, pour ne plus rien posséder.
Laisser glisser les mots, pour n'avoir de raison que les sens exacerbés, l'essence de nos envies inspirées, créer, pour mieux s'apprivoiser, de nos jouissances, retrouver l'innocence.
Ployer devant tes abandons, perdre la raison, s'oublier, laisser parler l'animal trop caché.
Démissionner sa vie verticale, retrouver l'animal, abandon du moi, que d'émois, en toi, sur toi, près de toi, à quatre mains nous jouons nos à corps.
A coeurs joints, sauter, ne plus rien retenir, se laisser jouir, pourquoi pas mourir, abandonner tout.
Tu m'emportes, tu me fait chavirer, de nos indécences, je retrouve mes innocences, de nos jouissances, oublie de nos souffrances, retrouver nos sens.
Dans ton ventre, je rentre. J'entre chercher ton âme, la prendre à pleine main, la caresser, te laisser t'abandonner, ne plus raisonner, savourer, savourer ces moments comptés.
Laisse moi t'aimer, t'aimer dans mes différences, dans mes insouciances, dans mes déviances, laisse moi t'aimer, à ma manière, chasser l'austère et l'amère, ne plus vivre que de mystères.
Plus de détresses, tout est allégresse, j'aime tes soupirs qui m'enchaîne, tes cris sonnent comme des "je t'aime", je me fout de tout, comme du reste, je sais qu'en toi je suis, je sais qu'en toi, je reste.
Ne plus rien sentir, se laisser partir, ne plus être que jouissance, retrouver l'innocence.
Encore, encore, toucher cette petite mort.
Maxence Lascombe(c)
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Par : #
Je me lève d'humeur ronchonne. j'avale mon verre d'eau ,et ouvre le volet de la fenêtre de ma chambre.
Le ciel radieu de cette belle matinée de printemps,atténue un peu mon humeur. C'est donc avec un léger sourire au lèvre que je descend vêtu d'un unique boxer, pour prendre mon petit déjeuner sur la terrasse.
je descend les escaliers. Me sert un bolle de céréal et sort à l'extérieur pour aller m’installer.
Là quel n’est pas ma surprise de trouver ma coloc sophie étendue sur un transate, vêtue de son petit bikini à rayure blanche et rose.
Je ne vous aie pas encore décris ma coloc sophie. C'est une jeune fille de taille moyenne.
elle doit faire au alentour d'un mètre 65. ces cheveux sont blonds, sa silhouette est fine, et ses sein ont une jolie forme.
Elle possède aussi un joli sourire qui illumine un visage ou la joie de vivre se lit très souvent. Mais son atout majeur reste son postérieur.
Elle possède un cul magnifique. De belles petites fesses bien fermes.
La voyant se dorer au soleil les yeux fermé, je lui signale ma présence en l'interpelant.
-” Et bien alors tombée du lit!? qu'es que tu fais debout à cette heure ?”
Elle ouvre les yeux, me fait un petit sourire en voyant que c'est moi et me répond.
-“Les autres en partant mon réveillée et impossible de me rendormir.”
Elle jette un regard a mon bol de céréales: -” Ah c'est une bonne idée ça, va me chercher un verre de jus d'orange!”
je lui rétorque qu'elle est une grande fille et qu'elle peut se lever.
A cette instant, elle m'envoie d'un ton ferme - “ta gueule salope va me chercher un verre de jus d'orange!”
Je ne vous l’aie pas encore dit, mais sophie et moi sommes très complice.Je lui aie donc parlé de mes penchants pour la soumission.
Loin de trouver cela bizarre, elle s'est montrée très curieuses. Petit à petit au fil de nos conversations, je lui aie fait un peu découvrir cette univers nouveau pour elle. Elle y a vite pris goût.
De temps en temps comme ce matin, quand nous sommes seul tout les deux elle s'amuse à prendre un ton supérieur et à me donner des ordres. Elles les ponctue généralement d'un "salope". Sachant que cela me trouble énormément, et que je vais finir par céder en lui obéissant.
Ce matin n'étant qu'en pijama et sentant une érection naissante qui ne tarderai pas à faire gonfler mon boxer, je ne résiste pas longtemps.
je lui répond : -” oui sophie.”
Elle me fait un petit sourire complice et entendu avant que je file à la cuisine lui chercher son verre.
J'espérais que le temps de lui préparer mes pulsions se seraient calmées mais c'est plutôt l'inverse qui se produit. Ma queue ne fait que grossir dans mon boxer.
En revenant je ne pourrait pas nier que la situation m'excite.
C'est donc très gêné et le boxer prêt à exploser que je réapparaît devant elle.
J'essaye de ne pas me démonter et je rentre dans mon rôle. Je m'agenouille devant elle en lui tendant le verre. -“S'il te plait sofie.”
Elle prend le verre de mes mains, et me dit de me relever.
Je m'exécute. Elle regarde donc la bosse dans mon boxer et ensuite lève ses yeux sur moi.
“Ca t'excite vraiment de te faire traiter de salope?” me dit elle toujours l'aire amusée.
-”oui ça réveille la salope mâle qui est en moi lui répond je géné.”
prononcer ces mots me trouble, mais cela m'excite aussi énormément.
“Nous avons trois jours à passer tout les deux.” Dit elle.-”nos autres colocataires ne rentrent pas avant mardi, et je veux que tu sois mon soumis,cela te tente?
en la regardant dans les yeux, je lui répond -”oui.” D’une voix un peu timide.
Plusieur fois tu m'as dit que si je continuais de te chauffer, tu allais me supplier de te dominer comme une salôpe mâle déclare t'elle.
“J'ai envie de voir cela. Alors, fou toi à poil et offre moi ta soumission!”
Dit t elle d'un ton neutre toujours allongée sur son transate avec son verre de jus d'orange à la main.
Je la regarde. J'ai un peu peur, avant de m'exécuter, mais les mains tremblantes j'enlève mon boxer. à peine libérer ma queue bandée se dresse droite et dur, d'une de ses érections ou la queue est très sensible. Quand celui ci finit sur mes cheville, j'entend sophie avoir un petit gloussement et je vois son regard posé sur ma queue raide.
elle me dit - “Belle bite. Cela va être un plaisir d'en user et abuser.”
Son regard remonte sur le mien avant de déclarer. -”Cela te vas bien belle bite! Ce sera ton petit nom de soumis. Allez supplie moi maintenant belle bite !
Un peu gêné et le coeur battant, mais sous son emprise je me met a quatre pattes maintenant nu comme un verre sur la terrasse de la maison jambes écartées et face contre terre au pied du transate où sophie est affalée,elle vêtue de son petit bikini.
Je mes met à l'implorer t elle une déesse,
- “Je vous supplie sophie de me dominer.Je vous offre ma soumission. Je vous implore de faire de moi votre chose, je serai votre chien , votre esclave votre sex toy et votre petite pute mâle.Ma queue ma bouche et mon cul sont a vous! ”
ton cul et a moi s'esclaffe t elle. -” Alors pourquoi n'est il pas tourné vers moi “!?
Dans la seconde je me retourne face contre terre et derrière bien haut pour lui présenter mes fesses...
Quand j'y pense je devrai avoir honte. Mais au contraire sous l'excitation, j'y prend un plaisir perver.
Elle pousse un petit gloussement avant de déclarer-” Tu sais que je vais te le dépuceler ton cul n'est ce pas? Que je vais te baiser, que ca m'excite grave !dit le que tu le sait me crie t elle.”
Face contre terre, je lui dit oui sophie je le sais .-” Tu sais quoi? ” rétorque t elle. Je sais que tu va me baiser le cul...
-C'est bien belle bite. Maintenant met toi à genou jambes et bouche ouvertes ,mains derrière la tête...
Je m'exécute, totalement excité par la situation et bien décidé à essayer d'obéir à tous ses désirs...
-”Allez cambre toi un peu ma salope fait ressortir ton cul belle bite!!
Me voilà en train de bomber les fesses. Nu comme celà je sent le souffle de l'aire sur mes parties génital et le soleil sur des surfaces de ma peau qui n'en ont pas l'habitude. Cela me procure encore plus de plaisir...
Sofie daigne enfin se lever de son transate. Elle marche autour de moi fait le tour de mon corps en ricanant. Au passage elle me tapote les fesses. ce qui me surprend. je laisse échapper un petit cri de surprise.
Elle me tire alors les cheveux en arrière et me gifle la joue.
Ce n'est pa encore le moment de couiner belle bite s'exclame t elle.
Elle revient devant moi, regarde mes parties génitales et me dit: - “Il va falloir dépoiler tout cela mon cochon!”
Elle se dirige ensuite vers la table de la terrasse où ce trouve une grande boite que je n'avais pas encore remarquée.
Je me demande bien toute les choses qu'elle contient.
Elle en sort un rasoir et de la mousse à raser... elle me les jettes devant moi et elle me dit : - “Allez dépoile toi, je ne veux plus un poil sur tes couilles et ta queu dépeche toi.”
Et elle se rassoit sur le bord du transate, m'observent me raser les parties génitals avec précaution.
Quand je fini elle me dit de me remettre en position, les mains derrière la tête et m'asperge au jet d'eau pour me rincer. L'eau froide me coupe la respiration mais je tien la position. Elle rigole
“C'est bien belle bite allez maintenant remet toi en position face contre terre et cul en bombe comme tout à l'heure quand tu me l'as offert.
je m'exécute.Elle trouve que mes jambe ne sont pas assez ouvertes, et m'ordonne de les ouvrir plus :- “allez petite pute écarte tes jambes…”
Je ne la voit pas mais je l'entend se lever. J'ai un peu peur mais je l'entend le bruit de la bombe de mousse à raser. Puis ensuite en sent sur mon anus et le creux de mes fesses...
Elle pose une main sur l'une de mes fesses et je sent le rasoir commencer à passer sur ma peau.
-”Chut n'aie pas peur belle bite, je ne vais pas te faire mal.” Me chuchote t elle tendrement en me rasant.
- “je te prépare juste le cul pour son dépucelage n'aie pas peur.”
Tout en finissant de me raser elle me caresse les couilles doucement: “ Ca te plait tout ça hein ma petite pute? tu aimes être ma chose...
humm oui dis je en gémissant, j'adore cela sofie.
tu adores quoi mon soumis ?
-J'adore être ta petite pute ta chose sofie.
Elle rigole et me dit que je suis complètement givré.
“Mais moi aussi je commence à kiffer cela belle bite.” M'avoue t elle.
Quand elle finit par être satisfaite de mon “dépoilage” elle se redresse en me donnant une petite tape sur le cul.
Ne bouge pas belle bite...
La voilà qui se remet à me nettoyer au jet d'eau.
Ensuite elle me laisse comme cela et va se réalonger dans le transate.
- “Retourne toi” belle bite me dit elle.
elle me lance alor un flacon de gel douche au visage...
-” Allez lave toi! Fait mousser le savon et fait la salope. J'ai envie de me divertir.” M'annonce t'elle.
A ce moment la je n'aie plus aucune gène ou inhibition, me voilà faisant mousser le savon sur ma peau,
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Par : Zuip
Alors qu’elle est à genoux, devant lui debout, accroupie à ses pieds…
A moitié nue : c’est-à-dire troussée, dépoitraillée (ses seins pendent) :
– Je vais te dresser, dit-il.
Il y a confrontation des regards.
Elle va morfler. Elle le sait. Elle l’a compris.
Il n’est pas de ces Maîtres qui ordonnent de baisser les yeux.
Pourquoi se priver ?... Pourquoi se priver de sa beauté… Pourquoi se priver de la beauté, de l’éclat de ses yeux clairs. Et lire la crainte dans son regard. Ça le fait bander.
Il le lui dit :
– Ma queue est dure … J’aime te voir comme ça…
Cette envie de sortir sa queue ! Et de la lui foutre dans la bouche ! Au fond d’la gorge !...
Les deux mains sur la crâne de la fille, sa soumise, la maintenir, la contraindre… L’empêcher de déglutir, de respirer…
Qu’elle morfle ! Qu’elle morve ! Qu’elle bave ! Qu’elle chiale ! Qu’elle en pleure !
Qu’elle morfle et qu’elle en coule !
Qu’elle n’en puisse plus !
Mais non.
Il n’est pas encore temps.
Pour l’heure, c’est la cravache qu’il agite… Dans l’air… Qu’il fait siffler…
– Creuse les reins… Tends la croupe…
Il aime la voir ainsi : vulnérable… en attente… en attente de ses coups.
Elle aime ça. Etre ainsi… Corrigée, battue…
Et pourtant elle a mal, elle souffre.
Il ne fait pas semblant. Ne retient pas sa main.
Il frappe.
Fort.
Elle déguste.
Elle déguste. Glapit. Crie. Encaisse.
Chaque coup la saisit. L’envahit. L’habite. La brûle. Lui coupe la respiration. C’est trop fort… trop fort… insupportablement trop fort…
Et pourtant, à chaque fois, après chaque coup, elle reprend la position. Elle sait qu’elle le doit.
Les mains bien à plat sur le sol, les reins creusés, la croupe haute et offerte…
Et cela dure… Selon son bon plaisir… Son excitation, son désir…
La cravache tombe, cingle, frappe…
Les coups pleuvent, rapides ou espacés…
Il la frappe plusieurs fois, lui coupe le souffle… Ou au contraire lui laisse le temps de se reprendre, lui faisant croire, espérer : que c’est fini…
Mais non !... Il reprend, il continue.
Ses fesses brûlent… Son cul n’est plus que souffrance et douleur…
Elle se tord… bascule… hurle… revient…
Elle reprend la position. La cravache sur les reins, qui l’accompagne, la redresse , l’encourage…
Elle revient offrir son cul.
Doucement il frôle sa croupe de la cravache avant de frapper…
Il se déplace, bouge, la contourne… Pour que la claquette tombe : de chaque côté…
Vicieux, il glisse la cravache entre ses fesses… ouvre son con… lui dit dans quel état elle est…
Il constate :
– Ton cul est bien rouge… Tu es bien marquée… On pourra compter les coups…
Il constate :
– Mais tu en mouilles ?!... Tu aimes ça ?!...
– Oui, Monsieur…
Elle sait qu’elle doit répondre : dans ses larmes, sa morve…
Il l’enfonce dans sa honte… Caresse ses seins avec la cravache… Qu’il glisse soudain en travers de sa bouche, entre ses dents. Elle sait qu’elle doit la tenir.
Est-ce pour se saisir de son verre ? Allumer une cigarette ?... Aller chercher quelqu’autre instrument ? La badine ? Le martinet ? La canne ? Le fouet ?...
Ou venir s’agenouiller derrière elle pour la foutre… la baiser rudement… se réjouir de sa chatte trempée… l’utiliser pour son plaisir à lui… peut-être même l’enculer ?...
Ou promener la lame du cutter sur ses reins…
(...)
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Par : Lady Gabrielle
Tragédie . . . grecque bien sur .
Ulysse vivait seul depuis ce funeste jour de décembre 200 . . . . Sa femme était morte d'une longue maladie . Quel euphémisme idiot pour ne pas prononcer le mot cancer . Que l'on meurt d'un cancer ou d'une autre maladie , le résultat est le même . On est mort ! Non? Prévenez moi si ce n'est pas le cas . Je ne voudrais pas mourir complètement idiot .
Sa femme bien aimée . Cinquante ans de vie commune heureuse . Ils s'était connus en 1960 . A la sortie d'un bal de conscrits . Hélène de son petit nom , s'était rendue au bal accompagnée de sa cadette mais elles ne faisaient pas le poids face aux trois malfaisants imbibés de mauvais vin blanc . Leur cerveau d'abrutis leur commandait de ne pas rentrer bredouille . Leur """ rustrerie agraire """leur intimait l'ordre de vider
leur c. . . Ces deux jeunes filles feraient l'affaire .
C'était compter sans Ulysse qui rentrait tranquille du bal , lui aussi . Il cheminait , serein , son petit bonhomme , l' étui avec son accordéon bien calé sur le dos . Il était accordéoniste dans un petit orchestre de campagne . Il écumait les petits bals du samedi soir dans les villages environnants avec trois copains .
Les quatre amis n'avaient pas leur pareille pour faire danser vos grand parents sur les tangos , paso doble et autre valse musette de l'époque . Dans mon cas , ce sont mes parents qu'ils faisaient danser .
Ulysse allait son petit bonhomme de chemin , pensant au pot au feu de sa mère qu'il dégusterait le lendemain
en famille . Qu'il dégusterait tout à l'heure plutôt , la nuit était bien avancée. Quand soudain et tout par un coup il entendit les cris de celle qui allait devenir sa femme . Deux des trois malfaisants molestaient Hélène
alors que le troisième retenait sa petite soeur .
Ulysse avait des mains larges comme des batoires de lavandière , forcies dans le maniement du rabot et du marteau . Il était menuisier ébéniste quand il n'était pas accordéoniste . Il fabriquait moult armoires bressanes sous les ordres de son patron qui était aussi son père. Il accourut sur les lieux du viol en préparation . Le vaurien qui eu le fâcheux hasard de se trouver en première position sous la vindicte de notre tragédien reçut un coup de pied au cul si formidable que pendant quelques instants on eu pu croire qu'il s'envolait tant il se mit à battre des bras pour tenter de garder un semblant d'équilibre .
Le deuxième reçut une telle claque sur la joue gauche assénée par le batoire droit d'Ulysse qu'il dût porter une minerve durant les deux mois suivants . Le troisième larron jugea précipitamment qu'il était urgent de ne pas demander son reste . Il s'enfuit avec un empressement que n'aurait pas déjugé les turfistes du dimanche s'il avait été un cheval .
Il faut vous dire que Ulysse est un gars bâti comme les armoires bressanes qu 'il fabrique . Vous ne connaissez pas les armoires bressanes ? Vous avez déjà entendu parler des armoires normandes ?
Les bressanes n'ont rien à leur envier . C'est ainsi que nos trois imbibés rentrèrent chez eux
""" le cerveau en déroute et la bitte sous le bras """ Jacques Brel .
les trois vauriens avaient déchiré la robe d'Hélène laissant apercevoir par les déchirures des choses tout à fait agréables à contempler , Ulysse en parfait gentleman , sans connaître ce mot , lui passa sa canadienne.
Enfin . . . tout ça pour vous dire que au midi de ce jour Hélène dégustait le pot au feu de la maman de notre Ulysse et que un an , quatre mois et six jours plus tard ils étaient mariés .
Vous dire que ces deux là n'eurent jamais d'engueulade dans leur couple serait faux mais ils filèrent un amour que beaucoup de couples pourraient leur envier . Ils eurent des hauts et des bas comme tout le monde . Il faut vous dire que Hélène était née pourvue du nombre de connexions neuronales souhaité et même un peu plus . C'est bien pour ça que quand Hélène remplaça la mère d'Ulysse à la tête de l'entreprise
celle ci se développa considérablement . Mais je ne suis pas là pour vous parler de leur situation économique .
Notre patronne s'était rendu compte que son grand escogriffe lui mangeait dans la main . Et qu'il aimait ça . Elle aussi . Mais cet homme était un homme colérique et Hélène une femme à qui on ne la faisait pas.
Elle ne supporta pas la première colère de son atrabilaire ( vous n'avez toujours pas consulté vos dictionnaires ? je ne peux plus rien pour vous !!!!!! ) """"" Tu te calmes tout de suite ou je te donne des coups de trique """ La réponse du grand fusa sans détour . """ Et bien donnes les , ces coups de trique """
Hélène ne se fit pas prier . """ D'accord alors baisse ton pantalon """ .
Ce qu'il fit par défit . Il reçut les vingt premiers coups de trique de son existence . Qui furent suivis par bien d'autres au cours de leur vie . En attendant ,ils s'étaient révélés à eux même . Les mots Dominatrice , masochiste , soumis étaient peu usités à l'époque mais c'est bien ce qu'ils étaient . les sex shops n'existaient pas . Un certain général et une certaine Yvonne ne l'auraient pas permis . Toujours est il qu'ils avaient découvert une facette encore inconnue de leur personnalité . Hélène était bien une Dominatrice et Ulysse un soumis .
Les mauvaises langues disaient , dans leur dos , que c'étaient Hélène qui portait la culotte , chez eux . Les langues étaient mauvaises mais elles avaient raison . Pour leur plus grand plaisir de toute façon .
Voici la suite des aventures d'Ulysse et Hélène non pas surgis d'une quelconque guerre mais de notre belle province de Bresse ou le poulet est roi . Surtout pour nos portes monnaie .
Durant toutes ces années , ils ne furent pas rares , les moments où Ulysse vit sa femme débarquer dans son atelier , à peine vêtue d'une blouse largement déboutonnée sur ses jambes et sans rien dessous . Elle lui intimait l'ordre de se mettre en position . Il se dévêtait rapidement et se penchait sur son étau en bois .
Hélène lui pinçait les seins dans celui ci et les fesses cambrées il recevait un nombre considérable de coups de badine généreusement distribués . Il y avait beau temps que le nombre 20 avait été dépassé .
Leurs petits jeux les mettaient dans un état d'excitation tel qu' Hélène se retrouvait invariablement assise sur l'établi au milieu des copeaux de bois . Je vous laisse deviner la suite .
Tant et si bien que naquirent trois garçons de cette heureuse union . Rassurez vous aucun ne fut prénommé Télémaque . Une fille naquit en dernier . A six ans , on pressentait chez elle , le même caractère que celui de sa mère , elle menait ses trois grands frères à la baguette .
Ulysse repensait à ses 50 années de pure plaisir , sans beaucoup de bas . Il savait qu'il n'aurait pas pu être plus heureux . Ainsi c'était ça la rançon du bonheur avec Hélène ? Un chagrin incommensurable dans le veuvage . Bon Dieu : tu sais bien que le doux , le timide , le soumis se retrouve en enfer à la mort du sévère.
Souvant durant son veuvage , il revînt dans son atelier . Il revivait les séances de domination . Hélène était la seule femme qui savait et aimait le faire bondir jusqu'au 27 ème ciel sans passer par le 7 ème .
En lui pinçant les seins . Combien d'après midi avait il passé , nu, attaché à son établi , les fesses rougies sous la badine ou les orties cueillies dans le fond du jardin . Combien de fois avait elle joué avec son corps suspendu au palan , ses pieds touchant à peine le sol .
Il revivait ces moments délicieux en pleurant sachant que jamais plus il ne connaîtrait un tel bonheur . Jamais plus il ne reverrait Hélène , la seule femme qu'il avait jamais aimée , qu'il avait TANT AIMEE .
La femme qui était le sujet et le verbe et dont il était le complément .
Les enfants d'Ulysse et sa famille le voyaient décliner tous les jours un peu plus . Il tombait progressivement en dépression . Le goût de la vie le quittait plus surement que l'inéluctabilité du temps qui passe .
Une nuit , alors qu'il cherchait le sommeil et appelait avec une ferveur qu'il ne se connaissait pas , la mort qui le délivrerait de cet enfer , couché dans ce lit trop grand et trop vide il senti une douleur envahir sa poitrine , intense . . . . Cette douleur augmentait en un crescendo insupportable tandis qu'une lumière blanche éclairait sa chambre .
Une ombre floue apparut dans le halo éblouissant , marchant vers lui . La forme se précisait . Une femme , nue , belle , les seins lourds de quatre maternités mais qui avaient gardé toute leur douceur et leur majestuosité , un sexe aux lèvres tellement douces , tellement soyeuses , onctueuses : un corps de Déesse grecque . Une sensualité tellement généreuse . Le visage d'Hélène lui apparut .
Elle tenait une corde dans ses mains qu' elle nouât autour du buste d'Ulysse qui souriait , la douleur se changea en une impression oppressante . Enfin sa femme rejouait avec son corps , comme avant . Enfin il avait retrouvé sa bien aimée . Il était à nouveau heureux .Il riait presque quand soudain , dans un éclair éblouissant , Hélène et Ulysse furent projetés hors de la chambre et disparurent à jamais .
C'est ainsi que , quand on découvrit son corps le lendemain , son visage était emprunt d'un sourire absolument radieux .
Oui effectivement le mot tragédie ne convient pas . Il est vrai que la fin est un "" happy end "" malgré la mort .
En écrivant j'ai décidé de donner le prénom de mon père (véridique ) à mon héros et je n'ai pas osé appeler mon héroïne "" Pénélope "" Alors je lui ai donné le prénom d'Hélène pour rester dans la mythologie grecque . C'est à ce moment que j'ai pensé au mot """ tragédie""" car il y a la mort dans ce récit .
berny
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Fondée fin 2010, l’Ecole des Cordes est la première école Française de pratique du Kinbaku, communément appelé Shibari. Gérée par Alex DirtyVonP, enseignant principal, l’Ecole des Cordes vous propose des cours, des workshops et des performances, parfois avec des attacheurs internationaux spécialement invités, dans plusieurs lieux Parisiens - 1 dimanche/ mois: workshop de niveau débutant à intermédiaire - 2 dimanches/mois: atelier d'initiation suivi d'un cours débutant pour apprendre à donner des sensations à son partenaire et découvrir les figures de base du bondage traditionnel Japonaise + une soirée d'échange et de pratique libre - cours privés adaptés à votre niveau et votre pratique (en fonction de vos objectifs, un axe progressif est défini) - sessions privées ou en couple possibles (+ photos à la demande)
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Par : Switcher
"Lèves toi je veux te sucer". je me levais et elle se mit à genou devant moi, avalant ma bite et commençant une pipe tout en passant ses mains sur mes fesses, ce qui m'excitait encore plus. elle me suçait tout en douceur.
Ses caresses se rapprochaient de mon anus et je la soupçonnais de vouloir y glisser quelques doigts. Elle joua ainsi un peu et bien sur je sentis qu'elle commençait à tourner ses doigts tout autour de mon cul. Elle profitait du moment où ma bite était entièrement dans sa bouche pour passer ses doigts sur mon petit trou. Je les sentais appuyer doucement, n'osant pas encore se glisser en moi. Ses caresses se faisaient plus pressentes, elle avait ralenti sa pipe pour observer mes réactions.
C'est moi qui capitula en disant dans un souffle, " Mets tes doigts dans mon cul". Elle sortit ma bite de sa bouche et me regarda "Redis-moi ça petite salope! " " j'ai envie de tes doigts dans mon cul". Elle savait qu'elle avait gagné et son sourire moqueur près de ma bite le montrait bien. "Tournes toi et mets toi à genoux, tu mouilles pas du cul, je vais devoir te lubrifier avec ma langue."
Bien que trouvant très humiliant de me placer ainsi devant elle, je me positionnais, bras croisés , serrant même un peu les fesses, honteux de lui montrer mon cul. Elle colla son bassin contre mes fesses et je sentis ses seins dans mon dos, chose qui m'excitait.. "Écartes tes fesses avec tes mains, je veux voir ton trou du cul bien exposé, petite salope".
J'hésitais encore à le faire mais je plaçais mes mains sur mes fesses. "Tu a l'air d'aimer ça. Allez écartes tes fesses que je te bouffe le cul avant d'y fourrer mes doigts."
Aussi gêné qu'excité, la queue bien dure, j'écartais lentement mes fesses, courbant le dos pour mieux les montrer. "C'est bien petite salope, je vais m'occuper de toi".
je sentis quelques instants plus tard sa bouche se poser entre mes fesses et sa langue commencer à parcourir mon sillon anal. N'ayant connu qu'une fois ce plaisir, je dois dire que ma honte fit rapidement place à un plaisir incroyable. La sensation de cette langue tournant sur mon trou et s'y glissant de temps en temps était électrisante.
Elle s'occupa ainsi de moi pendant un petit moment, enfonçant toujours plus loin sa langue qui fut rejointe par quelques doigts qui pénétrèrent sans mal dans mon cul.
Son autre main saisit ma bite et commença un mouvement de va et vient. Elle voulait me faire jouir et ça n'allait pas être long. Elle recula sa tête et glissa 3 doigts dans mes fesses. Elle me baisait littéralement le cul, ses mouvements synchronisés avec ceux de sa main tenant ma queue. Je ne pouvais m'empêcher de gémir maintenant et elle me le fit remarquer "Tu couines comme une trainée avide de sexe...Tu aimes que je te défonce le cul avec mes doigts n'est ce pas". Entre 2 gémissements je ne pu que dire "oui j'aime trop ça que tu m'encules avec tes doigts".
Elle accéléra ses mouvements et ne pouvant plus me retenir je laissais le plaisir couler de ma bite dans sa main. Sans retirer ses doigts de mon cul, elle plaqua sa main pleine de sperme sur ma bouche en disant "Lèches ton jus petite salope, je veux que tu avales tout. Et dépêches toi, j'en ai pas finis avec toi..."
Dans un instant, je vais me faire enculer par une femme et vivre un fantasme que je rêve d'assouvir depuis longtemps. Je cambre et remue mon cul devant ma Maitresse. Je sens alors le gode forcer l'entrée de mon cul.
Elle le pousse doucement entre mes fesses qui s'élargissent un temps pour le laisser rentrer. Mais le gode est très gros, 25cm sur 6.5cm me dira-t'elle plus tard, et mon cul résiste à cette pénétration. J'ai mal, mon visage se crispe. Je dois être un peu maso, car j'aime cette douleur quand je suis pénétré, c'est à ce moment qu'elle pose ses mains sur mes hanches.
Ses ongles se plantent sur mes hanches et elle commence à pousser le gode en moi, sans s'arrêter. Je sens l'action du lubrifiant en moi et j'ai l'impression que le gode déchire quand même mon conduit anal.
Lorsqu'elle marque un arrêt, j'ai l'impression de devenir une vraie salope. Pourtant je ne sens rien contre mes fesses, donc elle n'a pas tout entré. Elle passe alors ses mains sur mon dos et mes fesses, me caressant doucement. "On fait une petite pause pour que ton cul de salope s'habitue à la taille du gode".
La gêne et la douleur du gode se mêlent avec le plaisir et l'excitation que je ressens, et c'est presque inconsciemment que je me met à reculer mes fesses.
Elle sent le mouvement et replace ses mains sur mes hanches. "Regarde moi cette petite pute qui en veux plus. Elle replante alors ses ongles et je sens le gode reculer presque entièrement puis replonger encore plus en moi, m'arrachant un râle de douleur/plaisir. Elle me pilonne le cul pendant plusieurs minutes, par des mouvements amples mais peu rapides, faisant toujours un peu plus rentrer le gode.
La douleur se mêle a plaisir , sachant manier le gode et ne manquant pas de temps en temps à bien le frotter contre ma prostate. Je me sens vraiment salope et je veux qu'elle me défonce encore plus. Entre deux gémissements je lui réclame "Maitresse, s'il vous plait enculez moi plus fort, je veux sentir tout le gode en moi".
Elle n'attendait que ça et accélère ses va et vient, alternant profondeur et vitesse. Je commence à gémir comme une truie, ma bite laisse couler son jus, je perds pied et je réclame d'autres bites "Oh Maitresse c'est trop bon, baisez moi jusqu'au fond", "Maitresse je veux d'autres bites dans mon cul et dans ma bouche", "Maitresse je suis votre putain".
Le gode rentre alors entièrement en moi, je sens ses cuisses contre moi. "maintenant je vais te finir petite pute" me dis-t-elle en me relevant vers elle. Et là elle se déchaine, sortant et rentrant presque tout le gode ou me pilonnant les entrailles. Elle me traite de salope, de trainée, de lopette.
Chaque coup de gode me fais couiner, puis gémir et enfin râler. Je sens un plaisir inconnu monter en moi, je ferme les yeux et j'arrive à prononcer "je jouis...". Elle me donne l'estocade en me plantant le gode au plus profond de mon cul, lâchant ma tête et me laissant ainsi m'écrouler de plaisir sur le lit, l'entrainant avec moi.
Je crois que pendant quelques minutes je suis resté presque inconscient sur le lit. Je ne me souviens pas d'elle retirant le gode ou du fait de me mettre sur le dos.
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Par : Abyme
Les sites vanilles de rencontres sexuelles foisonnent, et comme j'avais réalisé une petite enquête sur ce sujet précis, allons-y…
Les sites de rencontre ont un succès phénoménal depuis pratiquement les débuts d'internet au milieu des années 90. Il faut dire qu'avant c'était les petites annonces, les magazines spécialisés, ou les appels téléphoniques sur réseaux payants (passons sur la période minitel avec son "minitel rose" comme le fameux et emblématique 3615 ULLA).
Internet, en inaugurant l'ère cyber en même temps que le passage au 21e siècle et au 3e millénaire, a ouvert une boîte de Pandore inespérée pour l'industrie du sexe et ses usagers.
Comme pour l'homosexualité, le fetish, les sextoys, et plus récemment la bisexualité, les cyber-rencontres sont en train de passer du tabou à une reconnaissance avérée, voire à un certain prestige.
Meetic est le site de rencontre pour adultes le plus célèbre, mais parce qu'il joue la carte de l'amour, passant hypocritement en arrière-plan le côté sexuel, qui pourtant fait une grande partie de son gagne-pain.
Une jeune fille tout à fait respectable pourra dire sans honte qu'elle y est inscrite. Mais comme tout le monde le sait, ce site abrite une grande partie cachée de l'iceberg de gens cherchant des plans cul sans lendemain, des rencontres purement sexuelles, NSA comme disent les américains (Not Strings Attached : sans engagement).
Cette hypocrisie est d'autant plus fâcheuse qu'elle implique aussi malgré eux la minorité de ceux qui innocemment recherchent vraiment le grand amour (surtout des femmes), et tombent de haut en recevant des tonnes de messages de queutards assoiffés de stupre, qui sont en fait la majorité des inscrits.
Il y a une multitude de sites de ce genre, et c'est toujours pareil. Même si moi aussi je connais des couples formés sur des rencontres virtuelles, et même si je ne m'y suis jamais inscrit, j’ai toujours eu une réaction personnelle de rejet envers Meetic.
Les sites annonçant clairement la couleur rencontre sexuelle, en revanche, ne s'encombrent pas du politiquement correct et vont à l'essentiel directement : "inscrivez-vous dès maintenant et (commu)niquez avec une foule de partenaires sexuels potentiels dans votre région."
De plus en plus ils proposent également un tchat et la possibilité de diffuser son image par webcam, encourageant donc le cyber-sex, ainsi que la possibilité (en plus de présenter une page profil classique), d'éditer son propre blog sexuel, avec galerie de photos, vidéos et entrées de texte illimitées. Les autres membres peuvent laisser des commentaires ou témoignages lisibles par tous, et on peut faire une requête d'amitié, comme sur Facebook.
Il existe une multitude de salons de tchat, et chaque membre peut créer son propre salon. Les plus fréquentés sont bien entendu ceux visités par des femmes.
Évidemment, pour avoir toutes les options, il faut payer. L'inscription est gratuite, mais, selon les sites, au bout de quelques consultations de profils et de quelques messages, on a atteint un quota où le membre standard se retrouve dans l'impossibilité de donner suite à quoi que ce soit s'il ne paye pas un minimum.
Une tactique classique de teasing qui fonctionne bien.
Sur le plus fréquenté au monde de ces sites (entre 30 et 40 millions de membres), Adult Friend Finder, comme sur d'autres sites qui y ressemblent (plusieurs rien qu’en France, assez connus, affichent un autre titre mais sont des dérivés de AFF qui ont ainsi étendu un monopole mondial en terme de record d'inscriptions), on peut rester membre standard et donc ne faire que recevoir des messages, en ne pouvant répondre qu'à quelques-uns par semaine ; beaucoup de femmes le font car le mode opératoire est toujours le même : une femme sera sollicitée par des centaines d'hommes (ou des couples ou des femmes bi ou homo), et les hommes ne le sont pratiquement jamais, ce sont donc eux qui ont le plus intérêt à payer, et à proposer... Les femmes disposent toujours.
Dans le cadre de ce genre de site, il est évidemment interdit de donner ses coordonnées téléphoniques, adresse, mail ou Skype, en tout cas pas avant d'avoir échangé au moins deux messages chacun, sous peine de censure systématique et d'annulation du compte. Sinon évidemment le site perdrait vite de l'intérêt et des consultations.
Il existe aussi le fameux (beaucoup de pub) Adopte-un-mec qui propose une formule originale faisant son succès : les hommes s'inscrivent, et les femmes choisissent de leur ouvrir la possibilité de communiquer ou non. Les hommes ne peuvent qu'envoyer un signal par un clik (mais s'ils ne payent pas ils ne pourront rien faire, même pas lire un message). Ce site a eu l'intelligence de laisser l'utilisation gratuite pendant une période bêta de deux ans, le paiement n'étant obligatoire que depuis 2012.
La vogue de l'échangisme et de la bi-sexualité
Dans les sites libertins & échangistes, les femmes croulent également sous les messages de couples qui cherchent une femme pour un trio. Et là, l'offre et la demande est assez équilibrée. En effet, la bi-sexualité n'étant plus du tout taboue mais au contraire un plus depuis une ou deux générations, les femmes n'hésitent plus à se laisser convaincre par leur mec de s'inscrire sur ce genre de site, parfois pour essayer de réaliser ce fantasme, plus souvent pour l'assumer totalement. Parmi les femmes, seules ou en couple, les bi-sexuelles sont d'ailleurs aujourd'hui majoritaires sur les hétéros ou les lesbiennes.
Les couples cherchant des couples sont aussi très nombreux et font énormément fonctionner ce genre de site, dont certains ont été gratuits quelques temps mais désormais payants (comme Place libertine). Net Echangisme est celui qui a le plus de succès.
Les fakes
Les faux profils ne sont pas légions, mais il y en a, forcément. Le plus souvent ce sont des hommes seuls qui s'inscrivent en tant que couple, pour solliciter ou être sollicités par des femmes. Ils pourront toujours prétendre au moment fatidique que leur compagne s'est désistée, ou qu'elle va arriver ; ou alors ils s'en tiennent à une cam to cam, c'est à dire au cyber-sex par webcam & tchat.
Il y a aussi des faux profils accrocheurs qui incitent certains inscrits gratuits à devenir membres payeurs (pour pouvoir répondre, ou au moins consulter un profil). Il y a enfin les professionnelles des visio-tchats payants qui ratissent sur les sites de rencontres et se débrouillent pour renvoyer ceux qui mordent à l'hameçon sur leur propre adresse de cyber-sex.
Le BDSM
Cet article ne concerne que l’univers vanille, mais un petit paragraphe sur le BDSM quand même…
Avant qu’il ne devienne un peu à la mode avec la montée de prestige du fetish dans la photo et la pub, puis le succès de 50 nuances de Grey et consorts, le BDSM était déjà inclus mine de rien dans ce genre de sites vanille. Hitoire d’O n’avait pas autant réussi à lancer une vogue, et cela restait relativement confidentiel et marginal, voire secret.
Mais depuis, sur les sites libertins j’ai vu passer des profils hallucinants (dans le sens où ils choquent des vanilles) de couples SM ou de sub ou de dom cherchant leur alter-ego, ou juste à jouer sur le plan sexuel, y compris des prestataires à peine déguisés (car interdits évidemment). Je crois que l’atout de Fetlife ou du présent BDSM.fr et d’autres moins connus, c’est une gratuité et une spécificité respectées par des passionnés.
Le danger réside dans le galvaudage et assimilation aux sites libertins, amenés par le public attiré par l’effet mode et ne connaissant rien à cet univers qui débarque comme sur un autre site de rencontres, alors que la plupart des utilisateurs ne sont pas là forcément tous pour consulter une série d’annonces à fins de rencontre, mais aussi et surtout pour partager un esprit, via des débats et des échanges qui débouchent parfois sur des amitiés autres que sexuelles, ce qui sort totalement du créneau des sites vanille suscités, puisque non-spécifiques.
Alors une question se pose à présent : est-ce que ça marche ?
Je rappelle que parle ici des sites de rencontres sexuelles, pas de la recherche d'amour.
Pour une femme, un site de rencontres marchera presque dans tous les cas. Une femme, même sans photo, même avec une photo très très moche, et quel que soit ce qu’elle propose ou recherche, recevra des dizaines de messages par jour, donc du choix, et aurait la possibilité de se faire des mecs à n'en plus pouvoir (après il faut voir lesquels…).
Et pour les hommes ? Je dirais : oui et non, ça dépend. La plupart des hommes sont assez bourrins, mettent fièrement en avatar la photo de leurs organes génitaux en gros plan (sur sites libertins, où c’est permis), sans réaliser à quel point c'est à l'antipode du fonctionnement féminin en général, et rédigent un message qu'ils copient/collent et envoient à toutes les femmes de leur secteur, du genre »Sava ? T tro bonne sa te diré que je viene bourez ta chate et ton trou2bal avec ma grosse queu?" ; d'autres, à l'opposé, jouent la carte du poète en envoyant quelques vers, maladroits ou plagiés quelque part, en vouvoyant et flattant leur correspondante ; d'autres encore, très pragmatiques, exposent leur performances et possibilités, multiplient les propositions et s'empêtrent dans une gamme de choix quelque peu mythomane et technique. Beaucoup envoient systématiquement des requêtes d'amitié à un maximum de femmes, pour se faire déjà un "score" et attirer l'attention. Quelques-uns, plus subtils, tirent leur épingle du jeu en évitant ces écueils avec une fiche plus simple et efficace, ou par le biais de l’humour, avec photo plus mystérieuse ou artistique.
Les femmes en général préfèrent un message personnalisé, qui montre que leur profil a été lu et compris, et que l'homme est à l'aise, sûr de lui mais surtout pas trop, et naturel. Lorsqu'elles consultent le profil d'un homme, certaines privilégient les atouts physiques (le haut du panier étant le fameux cliché du "black bien monté" ), d'autres le niveau intellectuel et le potentiel de sensibilité et de sensualité.
L'humour et l'originalité est toujours un plus évidemment. Par exemple il faut éviter le fameux "sans prise de tête", ou le ringard "prêt à tout pour vous mesdames".
En effet, il est préférable de toujours garder une fraîcheur, une spontanéité et un goût pour la découverte, pour la rencontre dans toute l'acception du terme, au lieu d'enchaîner les coups comme au marché aux bestiaux.
La saturation ou à l'inverse l'addiction s'atteignent très facilement. À mon avis, il faut donc rester très très sélectif et vivre chaque expérience pleinement, sans se priver de conversation, d'humour et de tendresse, le tout entre personnes consentantes et adultes. Chaque rencontre est comme la découverte d’une nouvelle contrée, chacune est particulière et ne saurait se placer comme un nombre dans une liste ou série. C’est une des conditions (avec l’honnêteté par exemple) qui font que le libertinage peut rester une façon cool et libre de vivre sa sexualité, et non un enjeu routinier de performance et de collectionnite.
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J'ai six ans. Peut-être huit. Les épaules fuyantes, le regard implorant, je ne suis plus qu'une plaie et un visage souillé de larmes. Je ne suis plus que douleur. Il y a un vague écho lointain dans le cuir qui lacère, il y en a davantage dans les larmes qui coulent en continu, cette suie noire qui fond sur mes joues. Je voudrais l'essuyer, enlever cette saleté qui me couvre toute. L'instant d'avant j'étais une femme assumée, libérée, jouisseuse et maintenant je suis une fillette de six ans prise en faute.
Je suis de plus en plus petite. Je rétrécis sous les coups qui pleuvent. Morveuse, liquéfiée, je me ratatine sur moi même. Je voudrais presque disparaître sous terre. Du moins que mon corps disparaisse. N'être plus qu'un pur esprit de petite fille sage. C'est ce que je suis tout au fond, je le sais bien. Mais je ne peux m'empêcher de faire des bêtises, de happer le regard des hommes, de provoquer leur désir, de voir leur sexe se dresser, d'en être à l'origine, de me comporter comme une effrontée, une impudique, une salope.
Je me mords les lèvres pour tenter d'étouffer de nouveaux cris. Abnégation, silence, maintien. Même de cela j'en suis incapable, je geins, je pleurniche comme un bébé. J'ose le regarder dans les yeux, assombris, sévères, y trouver la force, y lire le désir. Je ne sais pas ce que j'y lis, les mots secs forment une litanie cruelle, parfois plus durs que les coups. Sa bouche se tord autant que sa ceinture. Il me réprimande, il me punit, sans ménagement, sans indulgence. Implacable, impitoyable. Je crois ne l'avoir jamais vu autant que cette fois si âpre, si ardemment désireux de me faire mal, de me dire des choses humiliantes.
J'attends, j'espère sa clémence. Tantôt je me sens lâcher, tantôt je résiste, je refuse, je nie l'évidence. Suis-je si méchante, si vicieuse pour mériter cette sanction ? J'étais prévenue pourtant, la peine devait être exemplaire, je devais être sévèrement punie. Je pensais être prête. Je pensais pouvoir endurer mais ma détermination fond au fur et à mesure, je perds courage, j'abandonne toute dignité. Je suis une loque avec une âme de petite fille, qui perce ma pupille. Vois-moi, vois comme je suis petite et sans défense, accorde-moi ton pardon. Non pas encore, le cuir cingle encore sur ma peau. Puis, le couteau lacère le tissu.
Regarde-toi, regarde comme tu es indécente, à quoi donc te sert une culotte si c'est pour l'ôter devant le premier homme venu ? La robe tombe en lambeaux, la culotte est déchirée. Je suis presque nue, les bras resserrés sur mes seins et mon sexe. Je tente en vain de retrouver un semblant de pudeur. Je pleure toujours, sans m'arrêter. Il me semble que je ne m'arrêterai jamais. Jusqu'à ce que qu'enfin, la punition cesse et que sa voix s'adoucisse, que ses yeux s'éclaircissent. La petite fille souillée peut alors aller se laver, avant de trouver son réconfort dans les bras de son tortionnaire.
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Par : Abyme
Depuis que j'organise pour des soumises consentantes des évènements comme gangbang, exhib, humiliation publique, etc, j'ai remarqué que seulement 50% viennent parmi les hommes retenus, avec qui le RDV est pris, et qui avaient pourtant l'air réglo motivés et fiables. C'est presque devenu une règle générale : je veux organiser un gangbang avec 5 hommes ? J'en prévois 10 ! Lors de l'annonce et de la sélection, il sont pourtant tous à fond, très motivés, morts de faim même, ils me harcèlent sans relâche, j'en sélectionne, en leur donnant bien des règles et consignes, et surtout en insistant sur la ponctualité, sur le fait qu'on compte sur eux, mais non rien n'y fait.
Il y a aussi les rigolos, ceux qui, de derrière leur écran, se prennent pour des étalons redoutables ou des adonis incontournables, ou des maîtres potentiels très respectables, etc. Mais une fois qu'on les rencontre évidemment ils ne font pas le quart du poids annoncé...
Bref, recruter pour du sexe sur un site spécialisé, comme chacun sait, ce n'est pas si facile, surtout lorsqu'on cherche des gens fiables.
Trouver une femme pour un homme, c'est le plus dur, car il doit y avoir une proportion disons de 100 hommes seuls pour 1 femme seule : les hommes sont comme des spermatozoïdes convoitant tous le même ovule, ou des mouches sur un morceau de viande.
Côté homo ou bi, très dur aussi pour un homme passif de trouver un homme actif, car la plupart sont passifs.
Mais lorsque je me suis inscrit en tant que "couple" sur le même site, pour organiser ce genre d'évènements pour ma soumise, je me suis aperçu qu'il suffit d'"offrir" sa soumise pour déclencher une ruée d'hommes s'improvisant dominateurs ou puissants étalons. Je n'ai donc jamais eu de mal à recruter. En revanche le jour du RDV, la moitié sont là, et les autres, pfft, plus de nouvelles soudain... Fantasmeurs ? Petits joueurs ? Hésitants et flippant au dernier moment ? Ou très irrespectueux de la parole donnée ? Peut-être un peu de tout ça.
Cette semaine j'organise pour Silva un gangbang original, dont elle m'a elle-même suggéré et même réclamé la teneur. Il se déroulera ce weekend, et j'ai déjà largement recruté le double de mecs nécessaires (pour en avoir donc le nombre requis). J'ai donc indiqué sur l'annonce que le recrutement était terminé et qu'il était inutile de me solliciter à présent.
Et c'est là que ça devient marrant (et pénible à la fois) : j'ai encore plus de demandes et sollicitations qu'avant l'arrêt du recrutement. Les mecs ne lisent pas, ou bien ils essayent quand même, en croyant faire une demande exceptionnelle, d'exception, de mise en réserve en cas de désistement, etc...
Au début, je réponds à tout le monde, poliment, patiemment ; puis de moins en moins, en insistant sur le fait que si c'est précisé sur l'annonce, en capitales en plus, c'est que c'est vrai ; puis peu à peu je perds patience et suis moins amical face à ce flot insistant voire harcelant.
Il y a ceux qui, malgré le fait que ce soit un profil couple, s'adressent à la femme directement, genre "slt la miss, tes trop belle, libre se soir"
Il y a aussi ceux qui repèrent les couples dom/soumise et proposent tout simplement d'emprunter celle-ci et se substituer à son dom, d'emblée, sans avoir vérifié la recherche du couple en question.
Et évidemment, avec un pseudo comme je l'ai choisi (Soumiseaoffrir), c'est l'avalanche de sollicitations parfois d'anthologie.
Voici la dernière en date, juste pour le fun :
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D'abord voici l'annonce :
VIOL TOURNANTE SIMULÉ :
Samedi 15/07 19h, centre Montpellier, ma complice va se faire violer fermement par un groupe de mecs dominants (entre 6 et 10), et compte se défendre comme en réel. Donc les pieds tendres, les masseurs de shakras tantriques, les délicats, les soft, les “doux et respectueux“, SVP ne me faites pas perdre mon temps.
Je précise que c’est un fantasme maso qu’elle désire et a imaginé (voir la vidéo où elle l’explique).
Je sélectionne donc quelques hommes très fermes, voire brutes, qui sauront relever le défi en jouant sur l'équilibre entre respect et violence.
Cet évènement ne sera pas réitéré, il n'aura lieu qu'une fois, comme une expérience, un défi ponctuel.
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Voici ensuite le tchat avec un type qui sur son profil s'annonce comme un grand dominateur organisateur :
?
Bonjour, tout d'abord comprenez bien que je ne veux pas vous manquer de respect, vous déranger ou manquer de respect à la dignité de la femme.
J'ai pu constater que le scénario viol simulé était un fantasme pour certaines femmes, le viole et bien sûr un des pires crimes odieux, j'organise cependant depuis quelque temps des scénarios de ce type "viol simulé", pour celle-ci le désirant vraiment, dans la sécurité et le respect bien entendu, mais surtout avec beaucoup d'excitation et cérébralité.
J'ai pensé que peut être cela pourrait vous intéresser qu'en pensez-vous ?
?
Bonjour, je ne vois pas en quoi ça pourrait nous intéresser, puisque j'organise déjà la même chose pour ma soumise, et pas à perpette (nous sommes sur Montpellier et toi sur Avignon), et le plan se déroulera d'ailleurs ce samedi.
Je ne comprends pas ta requête, à moins que tu n'aies carrément pas lu notre fiche ni regardé la vidéo qui explique le plan.
? : Le scénario est à définir ensemble dans les grandes lignes, bien sur , il y aura une part d'inconnue ou pas pour votre plus grand plaisir. Le scénario peut se dérouler de plusieurs manières et dans plusieurs lieux différents. En extérieur je vous surprends dans votre voiture dans un coin tranquille, ou dans les bois marchant, ou entrain d'uriner d'arrière un bosquet. Possible aussi chez moi, ou chez vous, vous pouvez faire semblant de dormir et vous réveillez pendant la pénétration ou pas et être consentante ou pas, faire semblant d'être drogué ou soûle, je peux aussi vous surprendre sous la douche, aux toilettes, ou simplement dans votre salon/ chambre et vous forcez à avoir un rapport, voici quelque possibilité. Quelle idée vous plairez, on peut aller plus loin, plus hard ou plus soft plus cool.
? : heu, on dirait que tu n'as pas lu ma réponse précédente…
Tu ne devrais pas étaler tout ton baratin avant d'avoir eu une réponse au premier message, car là on dirait que tu t'emballes, à énumérer tous tes fantasmes
? : bref, bonne continuation, et à l'avenir tiens compte de ce que les gens marquent avant de les brancher
: vous pouvez disposer je vous bloque faux Maitre
? : non mais tu t’es relu? … mais LOL quoi ! je te bloque d’abord !
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