par M des Sens
le 27/02/19
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C'est suite au poste d'@Elenia https://www.bdsm.fr/photo/513603/68747470733a2f2f617375626d69737369766573696e69746961746976652e66696c65732e7/feed_237207 Que m'est revenu en mémoire ce texte que j'avais écrit sur cette rupture qui me fut...
Aux Maux qui Me submergent...
Comme un fard'O du Coeur...
A aujourd'hui Emprisonnés mes mots et mon Cœur...et bien d'autres choses
A ne plus voir ailleurs...
Si un Monde meilleur puisse Être
Éternels Maux Comme un Mur
Devenant ma Prison
Château des Ombres tu es mon Fard'O, Ma prisOn
Ou seul, mes cries et pleures
Peuvent résonner...
Mais sans plus Jamais trouver le Soleil de l'extérieur...
Car Seul, Toi, en a à jamais la clé
Et tu t'es envolée...
Et Seule Toi pourra lui rendre sa liberté....
Si un jour, il t'est ..
de lui redonner....
Alors, de ces murs qui m'entourent aujourd'hui...
Les mots de Nous en serons
Le voile qui m'entoure
Aux yeux du Monde
Comme un souvenir qui sera à jamais
Et qu'il t’appartiendra
De le brûler...
un jour peut-être
Pour en faire ce Feu qui me fera Être
Et t'aimer comme je t'aime
A jamais
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Suggestion
Par : Thutale
Fictionnelle genèse - Titre dissuasif mensonger homophonique - Récit non érotique
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Enfances
(Récit pathétique)
Nous nous faisons face, yeux dans les yeux, sans ciller, d'acier de chaque côté. Une fois de plus. – Tu bois trop, me dit-elle, titubante, en me giflant à toute volée, et je serre mes poings au bout de mes bras menus, pour éviter de lui rendre la pareille, sans percevoir que j’inhibe pour longtemps toute capacité à me défendre. – Tu t'habilles comme une traînée. Mouais. Je porte une tunique mauve sur de vieux jeans élimés ; des fringues baba qu'on me donne ou que je récupère aux fripes. Que je chipe parfois dans les magasins mal surveillés ; il faut bien se vêtir. – Regarde tes seins. Je suis sûre que tu as mis du coton dans ton soutif. Tu es laide, tu es vulgaire. Mes seins en fleur, ma féminité naissante, ça l'a immédiatement dérangée. Une esquisse de sourire redessine mes lèvres à la pensée de la chair qui gonfle et s'éveille. Voilà un flot de vie que rien ne pourra endiguer. – Tu es méchante, m'assène-t-elle hors d'elle, une fois de plus. Elle me gifle à nouveau. Je fugue ou je ne fugue pas. Cette nuit ou demain. Ou je me flingue. J'hésite.
J'avais cessé de l'écouter. Elle hurlait devant moi, gesticulant avec de grands mouvements de bras qui m'affolaient, son visage dans le mien. Elle va me dévorer avec ses yeux si elle le peut. – Ne me regarde pas avec cette haine, me dit-elle en me poussant en arrière. Derrière moi, la cage de l'escalier s’ouvre : un long colimaçon en bois de chêne imprégné d’huile de lin par mes soins – je tente éternellement de lui plaire, oh avec quelle maladresse, en me chargeant de toutes les tâches. Je ne cherche pas à me rattraper. Je ne sais pas si je veux la culpabiliser, qu'elle me blesse et soit obligée de regarder en face sa propre haine. Ou bien si, déjà masochiste, je me satisfais étrangement de cet échange et de son apogée. Je dévale les marches sur le dos, tête la première sans me protéger. J'arrive presque en bas, déçue de n'avoir que des ecchymoses. Je me redresse quand j'entends la porte de sa chambre claquer.
Je me roule un pét' en écoutant Thiéfaine à fond au casque dans la salle commune de la Communauté. Avec son shit mais je sais que j'aurai l'occasion de remplir sa boîte avant qu'elle ne s'en rende compte. Il n'y a que nous deux à la Com' aujourd'hui. Je leste mes poches de munitions et je pars dans la neige. Je remonte un sentier pour aller passer la nuit dans la chaleur de l'appart' de mon voisin : faire l'amour sur sa banquette, fumer, regarder le feu et les étoiles. Il a quinze ans de plus et du haut de sa trentaine me paraît très expérimenté. On baise dans les bois, sous le clair de lune, adossés aux contreforts des cathédrales, ou le long des sentiers cathares, dans des châteaux en ruine où l'on s'introduit les nuits trop étouffantes d'été. Je rêve secrètement qu'au cours d’une de nos escapades, soudain colère, il casse un rameau et m’en fustige le corps, mais je n'ai jamais osé le lui avouer.
Avec lui ou avec d’autres, l’amour est plein de douceur et de légèreté ; le sexe joyeusement subversif ; la baise sans tabou et sans entrave. Nous voyons dans nos chairs magnétiques qui s’apprivoisent et s'agrippent, nos corps hagards aux bouches naïves et avides, aux sexes inépuisablement en quête, et qui trop hâtivement s’enchâssent, une expression de la vie, de l’amitié, ou d’autres choses, innocentes et généreuses. Nous en parlons des heures. Nous l’affichons agressivement en riant des mines consternées et de la réprobation que nous faisons tout pour susciter. En jubilant sous l’opprobre comme sous les caresses. C’est l’Amour libertaire, insoumis, entre égaux. L’Amour anarchiste. Idéaliste et politisé.
Pourtant, quand je somnole, lorsque mon esprit, devenu libre, tapine à la frontière du sommeil et des créations de l’inconscient, lutinant mes fantasmes secrets, je me métamorphose du tout au tout, devenant l'anti-héroïne recevant en rétribution de ses mineurs méfaits maltraitance, humiliation, abus, et copieusement. L’amant trahi que je moquais, décompte sa vengeance fouet à la main, coup après coup. Le professeur redouté me corrige jusqu’à ce que je pleure d’humiliation devant lui, le regard enfin respectueux. Un homme inconnu qui me séquestre invente de créatifs sévices sexuels, pour bien punir mes désirs et mon comportement follet. Un époux machiste m’inflige la fessée lorsque je lui tiens tête et la sodomie lorsque je lui désobéis. Une mère m’oblige à baisser moi-même ma culotte et à me courber soumise sur ses genoux.
Invariablement, l’autre est hostile.
Invariablement, l’autre est puissant. Invariablement...
...dans ce jeu confus d’illusions, je me projette en enfant pure à l’âme diaphane, dénuée de malice… Pourtant, au plus profond de moi, je suis dévorée par un besoin absolu d’expier, comme s’il me fallait monnayer d’un lourd écot de douleur le droit de vivre. Je veux être violentée, rejetée, encore et encore, sans fin, sans frein. En m’offrant l’ultime fierté : être une victime qui jubile, une victime qui jouit.
Les flocons tourbillonnants piquent mes yeux, qui clignent et s’embuent. Je cueille en marchant quelques branches de bouleau argenté, fines, griffantes. Puis une longue badine souple et sans nœud de coudrier. Mon offrande du soir. Saurai-je lui expliquer quelle indigne jeune fille je me sens être ? Et l’étendue de mon besoin de sanction et d’autorité ? Acceptera-t-il, saura-t-il, aimera-t-il, sévir et me diriger ?
Ô amant, corrige-moi, que je devienne moins mauvaise…
Plus tard dans la nuit, je m’endors bien à l’abri dans son étreinte fauve de mâle, son sexe encore en moi. Sa paume rugueuse pèse sur mon sein dur de nymphette. Mon fagot de bois vert a brûlé dans la cheminée. Ça sent bon la fumée et le sperme frais. Les bouquets d’herbe qui sèchent un peu partout. Je me sens désirée. Voulue. Voulue en vie. Ou presque. Je glisse dans un songe heureux, les yeux clos, la peau à vif.
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Par : #
1-Bonjour
Je m’appelle Yaelle
J’ai 28 ans
Je suis brune aux yeux marron
Avec quelques formes il faut l’avouer
2- Folle amoureuse de mon Amour et Maître depuis mes 17 ans nous avons la joie d’avoir une patate d’un an et demi qui nous rend des plus heureux
Et surtout qui déménage
3 -Je me pense être quelqu’un de simple
Mais surtout très sensible
Ayant tendance à donner tout ce que j’ai par Amour ou amitié
4 -Petite fille discrète, je me suis toujours caché derrière quelqu’un ou quelque chose de peur d’attirer le regard et de montrer trop mes sentiments.
5 -Assez peu sur de moi j’ai toujours était un peu le garçon manqué de la bande surtout en entrant au lycée regardant autant les garçons que les filles
6 -Bon il y a surement prescription maintenant
Mais j’étais un peu
Bon beaucoup
Attirée par ma meilleure amie
Mais ne voulais pas me l’admettre
7 -Mon premier baiser fut à mes 15 ans
Oui c’est tard
8 -Mon enfance fut un peu difficile
Issue d’un père violent
Et d’une mère castratrice
Ma principale occupation était de veiller sur mon petit frère
Et éviter un drame
L un j y suis arrivé
L’autre non
C’est ainsi
Je me dis que c est mon passé qui fait ce que je suis
Ne peux le renier
Et dois m en servir pour être une meilleure personne
Donc les garçons étaient des plus secondaires pour moi
9 -L indépendance que m’a offerte mon entrée au lycée
M’a permis de sortir la tête de cette ambiance
Et découvrir certains plaisirs de la vie
Plus ou moins catholiques
10 -Ma première expérience
Fut un mardi
Séchant les cours de math pour rejoindre mon amant
Dans son petit studio étudiant
Qui au final
N’était pas si franc que ca
11 -Ma phrase préféré
C’est en faisant des erreurs que l’on apprend
Même si je ne l’applique pas toujours
Je l’aime bien
12 -Lorsque j’ai rencontré mon Amour ce fut le coup de foudre
Un simple regard a suffit
A l’heure d aujourd hui un simple regard de lui
Peut me renverser
Mais pas que !!!
13 -Il y a deux ans
Suite à une révélation et une prise de conscience, il m’a fait découvrir le monde du BDSM.
A l’heure d aujourd hui je me rends compte que c’est bien plus qu’un piment, bien plus qu’un état d’esprit c’est une façon différente d’appréhender la vie et surtout de voir son corps et son être
14 -Jusqu’ à il y a peu
J étais méfiante
Ne donnant pas de tendresse
Assez caractérielle
Je me cachais sous une carapace
Qui faisait plus de mal que de bien à notre couple
15 -Pour moi le BDSM est une boite de pandore
Que mon Maître a ouverte
A la quelle je suis devenue accro
16 -En juin 2014
Il a décidé de m’offrir mon collier
Entouré de personnes
Qui a l’époque nous tenaient à cœur
Ce fut un moment émouvant
Sentir le cuir
Ce poser sur mon coup
Comme un symbole
Plus qu’une femme
Plus qu’une soumise
Il m’offrait son être tout entier
17 -Notre première expérience
Les cordes
Elles vont devenir notre lien
Notre alliance
Notre passion
Un moyen d évasion et de plaisirs pour nous deux
16 -Des sensations nouvelles
La découverte de son propre corps
Mais surtout
Cette douce douleur qu’une cravache ou un martinet peut procurer
18 -Mon pseudo était une évidence
Et nous tenait a cœur plus que tout
Il est tout simplement le prénom en version féminin de mon Maître
La soumission c’est révélé à moi
Mais ne fut en réalité qu’une confirmation
19 -Grâce à ce monde mon Maître m’a permis de faire des expériences plus enrichissantes les une que les autres. Mais surtout de découvrir certaines parts de moi-même
20 -J’ai découvert ma bi sexualité grâce à la formation d’un trio avec mon Maître et une jeune femme dont je n oublirais jamais le corps et pour qui j’ai ressentis bien des sentiments
Aujourd hui la relation fini je ne veux en garder que le positif
La découverte
L’amitié
Et la fierté lorsque je voyais le regard de mon Maître dans nos rapports a trois
21 -Encore plus percutant
Ce monde nous a permis de rencontrer des personnes hors du commun
Et avec qui nous avons liés bien plus que des liens d’amitiés
Un lapinou, un tonton m et sa gentille, une tata giclette et que dire d’une bonne fée ou d’un papé et sa miss (et bien d'autres aussi qui se confirment )
Des gens dont le cœur n’a que l’amour pour raison
Et qui
Pour moi
Forment une famille
Dont on ne peut se passer
Que l on Aime et qui nous manque quand elle n’est pas la
22 -Bon je vous donne mes surnoms dans notre petit groupe
Petit cœur
Kinder Buenos
Petite orchidée et son bouton
Oui
C’est bien ca
Ca n’a rien à voir
Lol
23 -Merci Ennawelle pour ce chalenge
Même si peu présente
J’y ai pris beaucoup de plaisir
24 -Comment finir ce jeu
Je ne sais pas trop
Ce que je sais
C’est que je suis heureuse de faire partie de ce monde
Il y a deux ans je suis arrivée sur ce site
Perdu
Triste
J’y ai rencontré des personnes hors du commun
Cree des liens
En ai perdu
Avec grande tristesse
Vécu des moments de joie
Des moments d émotion
Pas une seule fois je regretterais ce choix
Fait il y a un peu de temps
J’aurais un regret
Le concours
Qui apportait tant
Et qui avait une signification particulière pour moi
Qui me manque
25 -Mon dernier point ne peut revenir qu’à Toi
Mon Maître
Mon Amour
Mon Amant
Je voudrais te remercier pour tout ce que tu m’apporte depuis tant d’années
Par quoi tu es passé
Par Amour
Merci d’être Toi
De m’avoir offert le plus beau cadeau
A chaque regard que je pose sur elle
Je te vois
Toi
Revois ce regard qui c est posé sur moi
Il y a 11 ans
Notre parcours est ce qu’il est
Je me fou des on dit
Des critiques
Ils ne savent pas l’Homme que tu es
Le père, le conjoint si respectueux si aimant
C’est la compagne la mère et Ta soumis qui parle
MERCI
Merci d’être ce que tu es
Mon Amour et âmes sœur
Je suis fière de t appartenir
Bonus* : Ha oui j oubliai
Un brin dyslexique
Et fâchée avec l’orthographe
Ne m’en voulez pas si ça pique les yeux
Bonne et douce soirée à Vous
Yaelle
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Par : Abyme
Puisque Thutale me le demande, je me plie à ce jeu consistant à parler de moi, de ma vie et de mes secrets...
1. Je suis né par accident, de deux parents adolescents hippies et naturistes, obligés de se marier. Si l’avortement avait été déjà légal je ne serais pas là. J’ai un quart de sang corse.
2. Le jour du premier pas sur la lune, mes parents et moi y avons assisté en direct, c’était un dimanche soir. Je leur ai dit « C’est mal fait, je préfère Les Envahisseurs ».
3. La même année, j’ai vécu ma première humiliation publique : le maître d’école avait refusé de me laisser sortir faire pipi alors que je me tordais d’envie, car il ne restait que 10 minutes de classe. J’ai fait dans ma culotte et ai subi la risée de toute la classe et ai dû nettoyer pendant la récréation.
4. J’ai appris à lire pratiquement seul avec Tintin et Le Petit Prince. Je savais déjà lire et écrire en entrant au CP.
5. Tout petit j’avais déjà une bonne oreille musicale. Ma mère me montrait en spectacle à ses copines : je devais reproduire des génériques télévisés en chantant, ou n’importe quelle chanson de la radio, et je ne me trompais jamais.
6. Enfant, j’ai appris à sculpter sur des bouts de gruyère à la fin des repas. Mon premier succès fut le buste du Général de Gaulle de 6 cm de haut. Ma mère a essayé de le garder, mais un jour il fallu le jeter.
7. Ma mère était libertine nymphomane. Mais à l’époque on n’utilisait pas ce terme, on préférait dire « salope » ou « traînée ».
8. À 10 ans et demi, mon frère m’a demandé de l’enculer, ce que j’ai fait.
9. À l’école j’ai toujours été premier en dictée, orthographe et français, alors que je n’ai jamais appris mes leçons.
10. Mon dépucelage, à 15 ans, était une grande blonde du même âge, notre histoire a duré plus d’un an. Plus tard elle est devenue mannequin aux USA.
11. À 16 ans j’ai eu la chance de voir mes BD publiées dans un journal régional. Mon personnage était un oiseau sur sa branche, qui dispensait des pensées subversives.
12. La même année (1978) j’ai fondé mon premier groupe. C’était du hard rock, notre nom était Cyanürr. J’étais chanteur-bassiste.
13. Mes parents ont divorcé lorsque j’avais 11 ans, ce fut la guerre entre eux, et mon frère et moi avons été pris en otages, puis séparés : lui chez ma mère et moi chez mon père. Je n’ai retrouvé ma mère qu’à l’âge de 17 ans et demi, âge où j’ai quitté mon père pour entamer 3 ans d’errance en stop & SDF.
14. Je n’ai pas mon bac ni fait d’études (à part 2 ans de psycho, à 30 ans, j’avais fait croire que j’avais mon bac). J’ai toujours eu la moyenne sans travailler. Je n’ai jamais appris mes leçons, j’en étais incapable. Je suis autodidacte pour la plupart de ce que je fais.
15. Un jour, j’ai rencontré mon double parfait : sosie exact, même prénom et même date de naissance. Mon premier roman évoque cette rencontre hors du commun.
16. J’ai toujours été si étonné par le besoin de croire des humains que j’ai fait mes propres études autodidactes de théologie. Fasciné par le mysticisme et l’astro-physique à la fois, j’ai toujours considéré que la croyance religieuse était une espèce de tare, une béquille bénéfique pour les crédules qui en avait besoin. J’ai découvert pourtant que même des gens intelligents pouvaient être croyants, voire fanatiques, ce que je ne me suis jamais expliqué.
17. L’authenticité a toujours été mon crédo : l’honnêteté et la transparence, le fait de ne jamais mentir, me permettent d’être spontané, crédible et totalement libre. J’ai toujours résisté aux influences (y compris l’enseignement), qu’elles soient artistiques, politiques, spirituelles, etc.
18. J’ai découvert la vraie puissance de l’amour lorsque ma fille est née. Ce fut une renaissance.
19. Je suis à la fois un misanthrope cynique et un philanthrope ébahi. Un solitaire sauvage qui s’accorde une multitude de rencontres et d’échanges.
20. Je suis convaincu que la Poésie est le substrat de toute forme d’art.
21. Le fait de vivre en Inde a accentué ma circonspection rebelle envers le système sociétal dans lequel nous sommes coincés en occident.
22. Mon atelier était le QG local des Indignés sous Sarkozy. En parallèle, j’étais rédacteur en chef d’un journal dissident intitulé « Le Dazibao du Chaos », dont la particulartié était de s’afficher dans la rue, et dont la diffusion s’est interrompue en 2012.
23. J’ai pratiqué le judo pendant 9 ans et le kung fu pendant 13 ans. Et l’escalade libre (sans sécurité) toute ma vie, jusqu’à ce que mon handicap du dos me force à arrêter le sport.
24. Cela fait dix ans que je devrais porter un corset pour soutenir ma colonne vertébrale, mais j’ai toujours refusé, par crainte d’en être dépendant. Et je suis toujours debout.
25. J’ai créé une personne virtuelle que je fais vivre depuis huit ans. Elle a participé à plusieurs forums du net, et elle a sa page FB.
26. Cela fait 15 ans que ma fille devrait être morte. Grâce au succès d’une opération du cœur, son espérance de vie est devenue normale.
27. Ma boisson préférée est le jus de fruits. Je bois un peu d’alcool parfois mais je n’accepte pas d’alcooliques chez moi. Mon atelier-loft est un salon de thé.
28. Plus jeune, j’étais un grand timide. Je n’ai pratiquement jamais dragué de ma vie. En général j’ai toujours préféré qu’on vienne à moi plutôt que de solliciter.
29. Depuis ma rupture en 2006 avec la femme que j’aimais, je cultive l’indépendance (opposé de dépendance) et évite l’engagement exclusif. Je me suis rendu compte, comme un cap d’évolution, de maturité, que ce fonctionnement solitude/diversité/liberté me convient parfaitement, et me permet d’expérimenter, d’explorer, de vivre libre, d’être parfaitement bien dans ma peau.
30. Un jour je me suis retrouvé en tête à tête avec Serge Gainsbourg et nous avons discuté pendant trois quarts d’heure.
31. Un jour j’ai dû poignarder un homme (dans son bras, avec son propre couteau) pour sauver ma vie.
32. Lorsque j’avais 19 ans, la maison Barclay m’a proposé un contrat pour un album, mais j’ai refusé (ils voulaient que je traduise mes chansons en français alors que je les avais composées en anglais).
33. Dans le même style : Actes Sud ont accepté le manuscrit de mon premier roman, en 2002, mais comme j’ai refusé d’en changer la fin, le contrat ne s’est jamais fait.
34. Il existe en France 4 femmes qui ne veulent plus faire l’amour avec d’autres hommes après m’avoir connu (dont une depuis 8 ans et une autre depuis 7 ans).
35. Peu après ma séparation avec la mère de mes enfants, je me suis retrouvé un jour sur la plage avec une amante, à une fête en plein air où se trouvaient par hasard mon ex et ma maîtresse, qui venaient de faire connaissance. Elles sont venues me gifler toutes les deux à la suite sans explication, et celle qui m’accompagnait, après leur avoir demandé des éclaircissements, est venue faire de même ensuite. J’ai estimé que je le méritais et ai accepté la sentence sans réagir. J’ai fini la soirée seul.
36. J’ai déjà fait une semaine de prison.
37. Les trois femmes que je fréquente en ce moment le plus régulièrement portent toutes les trois le même prénom, par coïncidence.
38. J’ai dormi des centaines de nuit dans des cimetières de campagne.
39. J’ai inventé des petites choses qui, si j’en avais déposé les droits, auraient pu me rendre riche (le pin’s, le Yalta jeu d’échec à trois joueurs, la poche A4 dans le dos d’une veste, le soundtrack de roman…)
40. J’ai été en froid avec mon père pendant 30 ans. Juste avant de le retrouver, j’avais en tête l’image d’un homme plus jeune que celui que j’étais devenu.
41. Avant de passer derrière l’objectif et de devenir photographe, j’étais modèle, mannequin et comédien. Plusieurs photographes, publicistes et cinéastes ont exploité mon image.
42. J’ai rencontré 9 femmes de ce site, dont 7 avec qui j’ai eu des relations sexuelles, et dont 4 avec qui ça s’est reproduit plusieurs fois.
43. Lorsqu’on me lit (ici notamment), on peut croire que je suis prétentieux, égocentriste, vantard ou même mythomane. Mais lorsqu’on me rencontre on s’aperçoit que non, au contraire : je suis quelqu’un de généreux, attentionné, humble et vrai.
44. J’ai atteint un stade de ma vie où je me sens heureux et libre, en phase avec mes convictions. Je vis hors-système, en toute marginalité (et pauvreté par choix). Il ne se passe pas un jour sans que je crée. L’art, la création et l’expérimentation sont mon moteur de vie principal. Le sexe y est inclus mais est loin d’en être l’élément principal.
Règles du jeu :
Ceci est le jeu du portrait québécois.
Si vous cliquez sur "j’aime", je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors :
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné,
2) me dédicacer le titre de la manière suivante "x choses sur moi pour Abyme",
3) publier ce texte dans la section Articles,
4) me le faire savoir.
Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui likeront votre texte.
Si vous voulez me faire savoir que vous likez sans être obligé de faire des devoirs, laissez juste un commentaire.
Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez le refaire.
Jeu & règles établis ici par Wondersalope.
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CHAPITRE 01
RETOUR À LA RÉALITÉ
Michel Lévesque était directeur financier d'un groupe hôtelier. À vingt deux ans il était le plus jeune directeur et l'un des plus ambitieux du groupe entier. Il s'était rapidement fait un nom et les autres directeurs l’appréciaient. Il avait travaillé dur, de manière très volontariste et il avait un talent particulier pour se faire obéir. Ils appréciaient également son attitude obstinée, qui signifiait que quiconque se mettant en travers de son chemin était habituellement écarté. Cependant son personnel avait une vue quelque peu différente du jeune homme ambitieux. Dès son arrivée à la direction du département, il avait licencié quatre filles et rappelé à l'ordre deux autres filles. Elles voyaient en lui un lèche cul dont le premier souci était de s'occuper de ses propres intérêts. Lorsqu'il se montrait soucieux de leur bien-être, et c'était tout à fait rare, cela dépendait entièrement du bénéfice qu'il pourrait en tirer.
Il était 10 heures lorsque Michel s'est réveillé avec un affreux mal de tête et cette sensation terrible que la pièce était en train de tourner. Il s'était saoulé la nuit précédente et aussi il n'en était pas très étonné. Il a jeté un coup d'œil autour de lui. La pièce lui était peu familière. Pendant un moment c'était confus et ensuite tout commencé à lui revenir.... "Oh Mon Dieu" soupira-t-il profondément.
Il y avait dix-huit personnes dans le département, toutes des jeunes femelles à part un nouveau jeune homme. En conséquence, il y avait toujours un anniversaire, un mariage ou un nouveau bébé à célébrer, et les pots après le travail étaient habituels. C'était d'un de ces pots que Michel souffrait en ce moment. Sa fiancée Jade, qui travaillait dans le même bureau, avait donné une excuse pour ne pas y participer, mais étant leur directeur il s'était senti obligé de participer aux occasions plus importantes comme des prochains mariages. Esprit d'équipe et tout cela ! Il détestait ces événements, c'était toujours pareil et ce sans exception. Ils avaient terminé dans un bar enfumé, avec les filles qui devenaient de plus en plus saoules, plus bruyantes et tapageuses alors que la soirée progressait.
Malheureusement, il avait également trop bu et quand ils se sont tous rendus ensuite à la maison de Samantha, elle a suggéré qu'il reste pour lui éviter de conduire. Ayant trop bu pour discuter, il accepta. Grande, grande erreur !
Avec sa tête toujours en train de tourner, il a regardé plus attentivement la pièce où il était. Il y avait plusieurs mannequins exposant des vêtements, des robes à moitié finies et un long portique avec des vêtements terminés. Samantha était une excellente ouvrière couturière et passait tout son temps disponible à concevoir et composer des vêtements pour compléter son modeste salaire. C'était à cause de Michel si elle était mal payée. Elle avait demandé à plusieurs reprises une augmentation, et avait deux fois sollicité une promotion. À chaque occasion, il avait refusé. Elle avait gardé sa rancune en elle, mais elle avait peu de moyens de le contrer. En conséquence, elle n'avait pas d'autre option que de continuer son travail de couturière. Elle avait besoin de ce deuxième travail afin d'avoir un niveau de vie décent.
La salle où était Michel, se doublait d'une salle de travail et il y avait un miroir énorme sur le mur pour les essayages de robe. Samantha avait des talents divers et pouvait faire presque n'importe quoi mais elle avait tendance à se spécialiser sur les robes et les accessoires nuptiaux car il y avait beaucoup plus d'argent à gagner. Elle avait eu également un ou deux clients riches avec des enfants en bas âge qui avaient de temps en temps besoin de quelque chose de spécial pour leurs jeunes filles, et elle est devenue tout à fait habile pour coudre la petite robe de dentelle avec tous ses ornements pour surboum ou communion. La plupart du temps cependant, on lui demandait de faire des robes de mariage pour les filles du bureau, et il y avait toujours un flot régulier de commandes pour la maintenir occupée.
Il y eu des coups à la porte. "Bonjour Michel, c'est moi Samantha. Je vous ai apporté du café, êtes-vous dans une tenue décente ?" Elle ne s'était pas occupée de son patron pendant la nuit, mais il se faisait tard et elle voulait qu'il parte pour pouvoir profiter de sa maison pour elle-même.
"Ouais, juste une minute" gémi-t-il. Il s'est levé du lit et a chancelé jusqu'à la porte mais s'est arrêté complètement quand il a senti quelque chose de très doux et féminin flotter autour de ses cuisses. Il a regardé vers le bas. "Merde !" a-t-il murmuré. C'était une chemise de nuit. Une chemise de nuit bleue transparente de dentelle, de satin avec des rubans minces au-dessus de ses épaules, un lacet brodé autour du buste et un ruban bleu passé autour de son cou. "Oh Mon Dieu" a-t-il hurlé, en se figeant.
Samantha s'est montrée impatiente et a poussée la porte. "Bon vous feriez mieux d'être décent parce que... Oh !" et elle a éclaté de rire. Elle a posa la tasse avant qu'elle ait renversé le café. "Bien, bien. Je sais que je vous ai dit de faire comme chez vous, mais regardez vous. Vous auriez du me dire que vous aimez porter une chemise de nuit pour dormir. Il y a quelques dessous vraiment mignons pour petites poupées là-bas" a-t-elle taquinée, en pointant certaines de ses fabrications mousseuses de dentelles suspendues au-dessous de la tringle.
"Oui, oui... très drôle. Ainsi c'est une de vous est qui responsable de ce... cette situation... et de toute façon, où sont mes vêtements ?" s'est il irrité.
"Oh non. N'essayez pas de rapporter ceci sur nous, nous n'avons rien à faire avec ceci. Ne vous rappelez-vous pas ? Vous étiez si saoul la nuit passée ; vous titubiez ici et avez commencé à jeter vos vêtements dehors aux passants par la fenêtre. Vous pourriez même encore trouver quelques choses si vous regardez là dehors. Malheureusement pour vous il a plu aussi vos affaires risquent d'être inutilisable à cette heure. Vous étiez dans un tel état, hurlant et criant, nous avons du vous laisser seul."
"Oh Mon Dieu" a-t-il gémi, en tenant sa tête. Il s'est vaguement rappelé d'avoir gesticulé envers quelques personnes qui faisaient du bruit à l'extérieur et d'avoir jeté des choses dehors, mais la réalité de la situation commençait seulement à lui apparaître. Il était un cadre supérieur, responsable de la discipline d'un personnel jeune et il aurait beaucoup de difficulté a essayer d'expliquer tout ceci – ivre mort, en restant la nuit chez une fille de son personnel, et le pire de tout, en se réveillant dans la chemise de nuit d'une fille. Si son patron entendait parler de ceci, il serait vraiment dans la merde. En plus, comment pourrait-il jamais l'expliquer à sa fiancée, Jade ? Cependant il ne se rappelait toujours pas comment il en était venu à se mettre dans la chemise de nuit.
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Par : pseudo
1) je suis, parait-il, intrinsèquement salope, et je l'assume totalement
2) j'adore le jazz et l'opéra, mais j'ai aussi plein de Mike Brant sur mon iphone
3) Ma 50aine ne m'empêche pas de danser sur les tables dans des bars enfumés
4) J'ai un faible pour Chapeau Melon et Bottes de Cuir période Tara King
5) Je suis amoureux d'Elizabeth Montgomery
6) Je suis heteroflexible, c'est a dire que j'aime me pencher en avant, si il y a un truc miam derrière moi
7) Il y a peu, je suis tombe raide dingue d'une femme Domina ... mauvais timing, mais major major crush, et la certitude que je ne m'étais pas trompé
8) Un jour lointain, alors que pour me faire des sous je jouais du piano dans un bar à Saint MIchel, j'ai pique la voiture de mon papa (chirurgien), parce que étais à la bourre.. me suis fait gaule par des motards sur l'autoroute.. c'était le soir.. je leur ai montre le caducée sur le pare-brise, ma montre (genre, j'ai une urgence).. ils m'ont ouvert la route jusqu'à l'hôpital de la Pitié Salpetriere.. coup de bol, m'ont pas suivi DANS l'hôpital !
9) Je suis un fan de SF ...John Brunner, Silverberg, Van Vogt, K.Dick...
10) J'adore Certains l'aiment Chaud.. .
11) Si j'étais une fille, je serais folle de moi (bah ouais, les soumis ont un ego et un orgueil hors norme !!)
12) Je pourrais dépenser des fortunes en fringues (mais je me contrôle)...
13) Je passe 2h dans ma salle de bain le matin (bah a mon age, faut bien ca )
14) J'adooore me faire draguer par des mecs (et les allumer aussi, bien que je sois quand même hetero de base)
15) Il reste encore plein de choses que je ne peux pas dire ici.. on se connait pas assez !
BONUS TRACK
16) Je suis hyper sensible des seins
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Par : Dame Meg
Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife.
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1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné,
2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour »,
3) publier ce texte dans votre section « articles »
4) me le faire savoir.
Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte.
Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-nous juste un commentaire (pour faire un cœur on fait < et 3 ).
Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-nous en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça. Si vous vous êtes plié à l’exercice sur Fetlife, soyez sympa, publiez votre portrait sur bdsm et prévenez ici en commentaire,
ortrait québécois en 23 points
1 je suis switch , Domina. ..et soumise uniquement à mon conjoint, on ne s abandonne pas si facilement. ..
2 je vis dans le Noooorrrrd!!
3 j aime cuisiner
4 je griffe et je mords
5 j attends un bébé
6 j ai connu la pma (procréation médicalement assistée)
7 j ai un chat
8 je fais du GN (jeu de rôle grandeur nature)
9 j ai fais de la danse classique, contemporaine, voltige
10 mon première amour avez 20ans de plus que moi
11 j ai déjà eu une relation à 3
12 je fais de la couture
13 je tricote
14 mon conjoint fais 40cm de plus que moi
15 j ai perdu ma virginité seule
16 je suis sous prozac
17 je n'aime pas la chantilly
18 j aimerais aller au Japon
19 j'ai perdu mon fils a 4 mois de grossesse, l'an dernier
20 je me fiche des dites règles du bdsm, chacun sa vision des choses
21 plus que 2...
22 en Domina j'aime guider, aider et donner du plaisir
23 je suis une insoumise
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Par : Petite Soumise à croquer
1) Vlan01 veut savoir quelle partie de moi est la plus à croquer, j’aurais bien envie de lui répondre qu’elles sont toutes autant à croquer les unes que les autres, mais je crains qu’il ne se satisfasse pas entièrement de cette réponse, je vais donc tâcher d’être un peu plus précise…
2) Quand j’étais petite, j’ai toujours été la plus grande de ma classe (vous savez, j’étais parmi ceux qui sont toujours au dernier rang sur les photos de classe), j’étais également la seule à avoir de la poitrine, je courais plus vite que tous les mecs et je les battais tous au bras de fer. Je pensais donc qu’une fois adulte j’aurais les jambes d’Adriana Karembeu, la poitrine de Monica Bellucci et la force physique de je ne sais plus trop quelle sportive de haut niveau.
3) Résultat : je suis quand même plus grande que Mimi Mathy, mais pas tant que ça, j’ai la poitrine de Jane Birkin, et quand on me demande pourquoi je ne fais pas de sport, je cite Churchill qui avait répondu à un journaliste que son secret pour rester en forme était le sport : il n’en faisait jamais…
4) Je fais quand même de la danse classique, mais certains disent que ce n’est pas un sport….
5) En théorie, mon Maître pourrait profiter de ma souplesse, mais depuis un an j’ai mal à l’adducteur gauche et j’ai l’impression d’avoir un corps de mémé avant l'heure. Je repense alors à Churchill et je me dis que j’aurais dû l’écouter, car si je n’avais pas fait de sport, je n’aurais jamais eu cette douleur et j’aurais gardé mon corps de jeune fille !
6) Mais rassurez-vous Vlan01, mon corps n’est pas encore ridé, l’intégralité en est lisse comme un abricot…
7) J’ai l’impression de faire un gros hors-sujet, mais je me dis que cela serait un peu prétentieux d’expliquer en long et en large quelle est la partie de moi la plus à croquer, je vais donc continuer à développer mon hors-sujet
8) Quand j’étais petite, je voulais être médecin, coiffeuse, caissière et actrice. Résultat : je passe mes journées à répéter à de jeunes gens qu’un verbe conjugué dans une subordonnée se place à la fin de la phrase en allemand… C’est on ne peut plus passionnant…
9) Pour échapper à ce quotidien passionnant, j’aime repenser à mes rêves d’enfance et je me rappelle que je voulais être avant tout princesse. D’une certaine manière, cela se combine assez bien avec le métier d’actrice et j’étais donc très jalouse d’Isabelle Adjani qui a joué dans la Reine Margot.
10) Pour compenser cette frustration (j’ai compris un jour qu’il allait y avoir peu de chance que je sois actrice ou princesse), je me suis intéressée à l’histoire. J’avais décidé d’écrire un livre sur la Reine Margot, ce qui m’aurait permis, par procuration en quelque sorte, d’être princesse.
11) Résultat : je vais travailler de longues années et sans doute écrire un livre sur les causes de la Première Guerre mondiale. Je n’ai toujours pas compris le lien de cause à effet entre la Reine Margot et le déclenchement de la Première Guerre mondiale. En tout cas, si je le trouve, je vais révolutionner la recherche en histoire, ou alors être prise par les historiens pour une illuminée…
12) Je parle beaucoup de mes rêves d’enfance non réalisés, devrais-je aller voir un psy ? Quoi qu’il en soit, une chose est sûre, je m’enfonce dans le hors-sujet, je devrais sans doute retourner à l’école.
13) Revenons-en à notre Reine Margot ! Pour être honnête, je n’ai jamais lu le pavé d’Alexandre Dumas ; en revanche, dans le film de Patrice Chéreau, il y a une scène où Margot est maltraitée par ses frères et où ils sont à deux doigts de la violer. J’avais enregistré le film, et je faisais systématiquement retour arrière dès que cette scène était passée ; en tout, j’ai dû la voir une cinquantaine de fois.
14) Je continue ma thérapie en 28 points et, en repensant à mon vif intérêt pour cette scène, je me dis que j’ai commencé très jeune à penser au BDSM, sans en avoir conscience.
15) D’où vient ce fantasme ? Aucune idée. Et vous ? Sauriez-vous dire d’où il vient ?
16) Au fait, Isabelle Adjani a interprété le métier que je fais actuellement dans « la journée de la jupe », je me dis que par procuration de procuration de procuration, je suis une princesse.
17) Je ne suis pas sûre d’utiliser à bon escient l’expression « par procuration ». Qu’en penses-tu Hearbeat ? Je dis Hearbeat, mais ça peut être quelqu’un d’autre, évidemment, c’est juste que je suis béate d’admiration devant un tel maniement de la langue française.
18) Si après la lecture de cette thérapie en 28 points, mon Maître ne comprend pas que je veux qu’il me traite comme une princesse, c’est qu’il manque un peu de perspicacité, et si Hearbeat ne comprend pas que je suis impatiente de lire le tout premier livre que j’espère qu’elle écrira un jour, c’est que…..hum… je ne sais pas comment finir ma phrase, je ne connais pas assez Hearbeat pour savoir de quel trait de caractère cela relèverait.
19) Je ne suis pas en train de dire que mon Maître manque parfois de perspicacité, mais si après lecture de ce texte je vois qu’il ne change en rien son comportement vis-à-vis de moi (comportement qui, par ailleurs, me convient très bien), je préfère penser que c’est juste une question de perspicacité : il me suffira alors de l’éclairer ou d’être encore plus explicite et mon rêve se réalisera !
20) Quand je lis une recette de cuisine, il faut que j’aie un dictionnaire à côté de moi et que j’aie accès à intérêt pour regarder l’aspect des ingrédients que je dois acheter.
21) Pardonnez-moi, je n’ai pas fait de transition, mais je sais que vous avez tous ici l’esprit alerte.
22) Bref, ce n’est pas en raison de mes talents culinaires que je suis à croquer.
23) Un jour, je me suis énervée contre quelqu’un ; cette personne m’a : « on dirait ta mère ». Depuis, je suis devenue la fille la plus calme au monde. Peut-être que ça fait de moi une soumise à croquer ?
24) Je ne sais pas si vous l’avez remarqué, mais j’essaie désormais de traiter le sujet.
25) Mine de rien, en parlant de ma taille dès le début, je crois que je traitais déjà un peu le sujet : avant de découvrir le monde du BDSM, je me trouvais trop petite pour séduire, et dès le premier jour où je me suis inscrite sur un site BDSM, j’ai compris que ma taille était un atout ! Ces grands mâles dominateurs ont davantage l’impression de dominer s’ils peuvent s’emparer entièrement du corps de leur soumise…. Même remarque pour la taille des seins.
26) D’un autre côté, je me suis dit que c’était peut-être aussi parce que les grands mâles dominateurs sautaient sur tout ce qui bougeait : grande, petite, peu importe, ils disent toujours que c’est parfait. Alors les grandes soumises ? Est-ce que les dominateurs vous ont dit que votre taille se prêtait tout particulièrement au BDSM ?
27) Quelle que soit votre réponse, j’oserai faire confiance à mon Maître et continuer à croire que mon petit corps lui plaît beaucoup. En revanche, je suis quand même très curieuse de connaître votre réponse.
28) Vlan01, vous ne m’avez pas demandé dans quelle mesure j’étais une « petite soumise », mais, pour conclure, je vais quand même répondre à cette question (quand on veut éviter de faire des hors-sujets, c’est très pratique de faire les sujets soi-même) : vous aurez compris que c’est parce que je suis petite, mais c’est surtout parce c’est ainsi que m’appelle mon Maître.
Rappel des règles :
Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife.
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Par : Heartbeat
oici le jeu du portrait Québécois qui commence à avoir du succès sur BDSM.fr! En cliquant sur le bouton « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Heartbeat », publier ce texte dans votre section « articles » et me le faire savoir. Il faudra indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Un commentaire de votre part n’entraînera aucune obligation de jeu et un "like" si vous avez déjà participé non plus. (le texte original est de WonderSalope)
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1. J’ai demandé à mes potes de m’aider un peu, on a fait 1/5eme du travail ensemble. Mais 50 trucs, c’est dur quand même !!!
2. Mes cheveux sont châtain voire châtain clair, mais je les teins en brun très foncé pour qu’ils soient assortis à mes sourcils. J’aime beaucoup les choses assorties, c'est agréable à l'oeil. (j'ai pas encore beaucoup d'inspiration, vous m'en voudrez pas hein?)
3. En parlant de sourcils je suis incapable de trouver une forme correcte pour les miens. Du coup, en ce moment, ils sont fins et très courts. C’est très moche et j’ai peur qu’ils ne repoussent plus jamais.
4. J’écris « comme un garçon ». Je n’ai pas de « style » d’écriture. Certains ont une écriture ronde, soignée, serrée, filiforme ou encore aérée… Moi, c’est tellement désordonné et irrégulier qu’on ne peut absolument pas lui attribuer de style ! =D
5. C’est là que je me dis « heureusement qu’il y a Internet »… Si je correspondais avec vous par le biais l’écriture manuscrite, vous ne me comprendriez même pas. Merci la technologie !
6. «Le radeau de la Méduse » est le tableau devant lequel je me suis arrêtée pour la première fois. Avant, je « voyais » vaguement les croutes devant lesquelles je passais, sans m’intéresser à la manière dont ils étaient réalisés, sans vraiment faire attention à leur histoire… Sans les regarder, en fait.
7. J’ai une cicatrice sur la fesse gauche, parce qu’un jour, je suis tombée dans mon lave-vaisselle, BIM, tout droit sur les fesses ! Bizarrement, je n’ai pas du tout le souvenir d’avoir eu mal…
8. J’ai un problème relationnel avec le trottoir du lycée où j’étudie, trottoir parsemé de nids de poules et de crottes de chiens, un vrai parcours du combattant le truc ! Au moins 20 « trébuchements », 6 gamelles et une entorse à mon actif. Maintenant, je préfère marcher sur le côté de la route, je m’y sens bizarrement mieux.
9. J’adore la viande tendre et surtout bien saignante, au grand dam de ma famille paternelle (pied-noir) qui a pour habitude de manger « bien cuit ». A traduire par « cramé » ! =D
10. Quand j’étais bébé, il arrivait que mon cher padre m'affabule du doux surnom de « la Castafiore »… Je vous laisse imaginer pourquoi. En grandissant, ça a changé pour « la syndicaliste »… Je vous laisse imaginer pourquoi, aussi. En parlant de syndicaliste, une de mes profs m’a dit qu’elle me verrait bien syndicaliste… Je n’ai pas trop su comment le prendre.
11. Quand je suis sortie du ventre de ma mère, j’avais un « V » rouge sur le crâne parce j’étais toute serrée contre ma sœur jumelle dans son ventre. Ma maman a quand même sacrément du douiller avec nous deux. Elle a été vraiment courageuse.
12. J’aime ma sœur jumelle à la folie.
13. Une fois, je me suis fait voler mon sac par un type dans la rue à Dublin (on l’a rattrapé et pendant qu’il se faisait embarquer, il a essayé de s’échapper en mordant les policiers, c’était... sympa) et ma sœur (qui n’était au courant de rien) m’a appelée le soir même en me disant qu’elle avait senti qu’il s’était passé un truc pas net.
14. Quand je vous une femme mince, je me dis qu’il faut sérieusement que je me mette au régime. Tout de suite après, prise d'un élan limite divin, je me mets à monter les escaliers à pied, je mange une feuille de salade par ci par là, je prends de grosses résolutions (étant une championne olympique de la proscrastination, ça m'arrange) ou bien je refuse une part de gâteau « parce que tu comprends je fais attention à ma ligne ». Et le lendemain c’est reparti comme en quarante.
15. Tous les régimes que j’ai essayé m’ont fait prendre du poids !! =D (autant en rire)
16. J’adore nager, c’est un des seuls sports que j’aime pratiquer. Je me sens bien dans l’eau, ça détend tous mes muscles (bien cachés mais présents !!), j’aime la sensation de « plénitude » que m’offre l’apnée… J’aime l’espèce d’apaisement que je ressens une fois sous l’eau. J’aime aussi faire du vélo dans la forêt, ça me rend zen.
17. La forêt a toujours été pour moi un lieu a FORT voire TRES FORT potentiel érotique.
18. Je n’ai pas d’orientation politique particulière, je ne sais pas trop où et comment me positionner. Ce qui ne m’empêche pas d’avoir des idées ! Cet été, je n’ai jamais autant ri en voyant le Petit Journal se foutre de la gueule des culs bénis de la Manif Pas Pour Tous. « C’est contre-naturannnnnh »…
19. L'apogée du couple, c'est quand on peut prouter en toute sérénité sans avoir peur de dégoûter l'autre.
20. Je déteste les alcools « forts » comme la vodka, le rhum ou la tequila…
21. J’ai beaucoup de mal avec tout ce qui sort de la mer. Le poisson et les fruits de mer, c’est impossible pour moi. Je ne suis pas difficile, je mange de tout… Mais ça, franchement… Je crois que si j’étais sur une île déserte, je mangerais du sable…
22. Je suis pressée d’avoir 20 ans !!!
23. Je n’ai rien de la « Parfaite Petite Soumise du Vrai BDSM Digne De Ce Nom ».
24. C’est pas faute d’avoir essayé … Le côté très protocolaire du BDSM me fait carrément « débander », j’aime les relations et les rapports spontanés. J’aime taquiner, chambrer, provoquer, titiller… Tout un préliminaire !
25. Du coup je crois que je suis parfois très souminatrice ! Mais je m’en fous, je suis une ignare du Vrai BDSM Digne De Ce Nom, je ne pense qu’au cul et c’est très bien comme ça !
26. La soumission masculine ne m’attire que dans certains contextes. J’aime les retournements de situation, ainsi imaginer dégrader une personne qui m’a dégradée auparavant m’excite énormément. Les hommes qui représentent un « challenge » à mes yeux me donnent envie de les soumettre, en fait...
27. J’aime bien discuter avec mes voisins du banc sur lequel j’attends le bus. La dernière fois, j’ai discuté de l’Islam avec une femme qui avait l’âge de ma mémé… Même si je suis athée, j’ai trouvé sa foi et ses convictions très belles…
28. J’adore la nourriture asiatique, les pâtisseries marocaines et les tartes au citron meringué.
29. J’adore aussi la mythologie grecque.
30. Je vais souvent vers les autres et j'apprécie rencontrer de nouvelles personnes. Mais quand on me fait chier trop longtemps, je me mets très vite en très grosse colère. Du coup, c’est déjà arrivé qu’on me prenne pour une schizophrène.
31. Je suis très directe avec les gens que je n’apprécie pas ou ceux que je n’aime que très moyennement. Mais avec ceux que j’apprécie, je prends plus de pincettes.
32. J’ai porté un appareil dentaire au palais pendant un petit bout de temps. Il paraît (mais les potes qui me disent ça sont des peaux-de-vache !!) que j’en ai gardé un léger zozotement.
33. J’ai déjà goûté les croquettes de mon chat (paix à son âme) et je n’ai pas trouvé ça mauvais.
34. J’aime beaucoup les chiens mais je trouve que ça pue. Et c’est envahissant. Alors qu’un chat, c’est tout un concept, un chat ça se conquiert, ça se séduit, ça s’apprivoise.
35. Un peu comme la soumission en fait. Je vois ma soumission ou celle d’un éventuel soumis comme un terrain d’éternelles découvertes, comme quelque chose qui ne sera jamais vraiment complètement acquis.
36. Je suis 'achement vanille. J’aime les bisous, les caresses, les mots doux. J’aime faire l’amour tout doucement et les préliminaires langoureux.
C’est l’âge, ça me passera ! :D
37. Ecouter mon partenaire jouir, c’est merveilleux. L’ultime abandon…
38. A part moi-même (et encore), je n’ai jamais fait jouir une femme.
39. Je crois que je ne me marierai jamais. J'adore les gosses, vraiment, je m'éclate avec eux et ils m'apprennent plein de trucs mais.... Je ne sais pas si j’en aurai un jour... Un humoriste que j’aime bien a dit « le mariage est un cercueil dont les enfants sont les clous » (pour du rire) mais je crois que dans le fond il y a un peu de vrai. Enfin j’ai encore le temps de changer d’avis…
40. Je me suis toujours promis de ne pas pleurer en regardant un film. J’ai souvent souri en voyant quelqu’un essuyer une larme devant l’écran. Et puis un jour, j’ai vu « Million Dollar Baby » et je crois que j’ai chialé l’équivalant d’une baignoire. Depuis, j’ai pu pleurer librement devant Le patient anglais et La vie est belle…
41. Mon film préféré est « Les Fils de l’Homme » d’Alfonso Cuarón. Un de mes bouquins préférés est 1984 d’Orwell. C’est pas un hasard, j’aime beaucoup le fait d’essayer d’imaginer le futur… Et surtout quand ces prédictions contiennent une part de vrai… Souvent, je voudrais pouvoir faire un saut dans le futur et voir comment ça se passe, là-bas !
42. Le suspense me rend folle. C’est donc très souvent que je me rends à la fin d’un livre ou sur un site de spoilers pour découvrir le dénouement de l’histoire que je suis.
43. Les gens qui viennent me parler le matin m’horrifient. Le matin, je suis un ours grincheux à l’haleine de chacal, un rien m’insupporte, je rembarre tout le monde.
44. J’adore le goût de la cigarette ajouté à celui du chocolat chaud !!! Je n’aime pas du tout le café, c’est criminel comme boisson, je sais pas comment on peut boire un truc pareil.
45. Je suis bordélique. Je me retrouve très bien dans mon capharnaüm, et les choses rangées sont mon désordre personnel.
46. En ce moment j’ai trouvé un truc merveilleux contre le froid et le temps moche : en début de soirée, quand il fait nuit noire, que les lampadaires sont allumés et que les guirlandes scintillent, je me mets une playlist de jazz et plus particulièrement des titres d’Armstrong dans les oreilles. Et ben je peux vous assurer que c’est une grosse dinguerie, un orgasme auditif et visuel.
47. J’ai souvent trouvé certaines filles avec les cheveux courts très sexy. Du coup ça me hérisse un peu (beaucoup) le poil de lire –parmi certaines habituelles conneries- que les cheveux longs c’est le top de la féminité, ou bien que pour être Fââââme (avec un grand F) il faut porter des talons, être maquillée, découvrir ses jambes…
48.J’adore dessiner des femmes toutes nues, les femmes en sous-vêtements, et les chaussures de femmes.
49. Je peux paraître très assurée et très confiante… Mais un homme qui me plaît vraiment, me fait perdre bien souvent mes moyens, ça m'arrive peu, mais quand ça m'arrive c'est le retournement de cerveau complet... Une fois que je me suis rends compte que quelqu'un me plaît et que je suis attirée par lui, je disjoncte avant, pendant et après l'avoir vu... Je suis bien souvent complètement larguée !
- La phase "avant" : je me dis qu'il doit/va me trouver vraiment trop/pas assez ceci/cela
- La phase "pendant" : je dis n'importe quoi, je bégaie, je me trompe de mots, je parle de sujets bateaux, je rigole nerveusement en me disant "mais qu'est-ce que t'es conne ma pauvre"
- La phase "après" : c'est je me rembobine toutes mes casseroles, et ça fait vraiment mal !
50. FIOUUUUUUUUUUU !!! C’EST FINI !!!! Je te remercie, toi, lecteur, de m'avoir lue jusqu'ici ! Et je confirme, WonderSalope est bel est bien sadique !! :D
Merci beaucoup à Oplum pour l'idée de titre !!!
Et toutes mes excuses au staff pour avoir supprimé au moins 10 fois mes articles !
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Par : Rich
Voici le jeu du portrait québécois qui commence à avoir du succès sur BDSM.fr ! En cliquant sur le bouton « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Rich », publier ce texte dans votre section « articles » et me le faire savoir. Il faudra indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Un commentaire de votre part n’entraînera aucune obligation de jeu et un "like" si vous avez déjà participé non plus. (Le texte original est de WonderSalope).
36 choses sur moi pour Thutale.
01- Ce portrait a été une épreuve difficile à honorer.
02- Je n'aime pas parler de moi.
03- Manque de bol pour moi, ce questionnaire demande des choses sur moi, or vu la personne qui me l'a demandé, je ne tiens pas à inventer. En dehors de mes romans et autres créations, je n'invente pas.
04- Si ce n'avait pas été Thutale, peut-être aurais-je requis d'être exempté, mais ça on ne le saura jamais.
05- Je me suis beaucoup demandé comment j'allais remplir ce questionnaire
06- Je suis quand même plus à l'aise pour raconter des histoires, inventer des fictions, enfin faire l'écrivain, quoi, que pour parler de moi.
07- Je suis aussi beaucoup plus à l'aise pour argumenter sur une question, éventuellement j'aurais été plus à l'aise autrefois pour polémiquer.
08- De plus en plus, polémiquer m'ennuie, mais vous n'êtes pas à l'abri quand même !
09- Je ne rentre pas dans les cases, il va falloir s'en accommoder. Et en plus je suis politiquement tout ce qu'il y a de plus incorrect.
10- Je suis tellement conscient désormais de la brièveté de nos destins que j'essaie de ne pas perdre de temps à des choses inutiles à mes yeux.
11- Ce questionnaire n'est pas un exercice inutile, il m'oblige à prendre des chemins de traverse, il n'est pas une perte de temps selon mes critères.
12- Puis-je en profiter pour promouvoir ma passion pour la fessée et ma qualité de fesseur ?
13- « Ecrire est une forme sophistiquée de silence » A. Baricco
14- Je pense être assez sophistiqué.
15- Il existe beaucoup d'autres portraits qui ont existé, autant d'impasses. Seule une personne a eu droit à la dernière, mais c'était quand même une impasse.
16- Il y avait assez peu à retirer de ces impasses, et le présent portrait ne ressemble pas vraiment aux autres : facettes et complexité.
17- Quand je ne parle pas de moi, je visite beaucoup moins d'impasses. Très peu en fait. Heureusement, sinon je n'arriverais jamais à écrire livres, articles et autres.
18- J'aime réfléchir, mais quelquefois de façon assez radicale, cela fait toucher aux limites du raisonnement, et toujours très peu conventionnelle.
19- Je me suis longtemps « réfugié » dans la lecture (en même temps j'adorais ça!) : c'était la seule activité où je pouvais être tranquille dans mon coin et où on me donnait raison en cas de litige avec une fille !
20- J'aime bien l'idée de pratiquer une activité « sacrée », dont l'exercice expert et très respecté ne semble réservé qu'à une petite partie de la population, comme la lecture… ou la fessée.
21- Si c'est ça être élitiste, je veux bien, mais en toute simplicité.
22- Je suis un lecteur boulimique avant d'être un écrivain.
23- Une mauvaise orthographe me gêne beaucoup pour lire correctement car je recherche le sens, alors que je peux lire sans problème en miroir.
24- Enfant, j'ai lu et relu secrètement des dizaines de fois mes passages préférés de la Comtesse de Ségur : les fessées de Sophie dans « Les malheurs de Sophie » et surtout « Les petites filles modèles » (cul nu !), l'écho de la fessée/fouettée de Palmyre dans « Les petites filles modèles » et la fouettée de Maria Petrovna dans « Le Général Dourakine ».
25- Les fessées d'« Un bon petit diable » ne m'ont jamais intéressé, elles ne sont pas méritées et je ne m'occupe pas des fesses masculines, mais j'aurais bien aimé que cette ahurie de Juliette s'en prenne une bonne, qu'elle méritait amplement, histoire d'être confrontée au réel, ça lui aurait fait les... pieds.
26- Il paraît que j'ai laissé à mes condisciples (et durant toute ma jeunesse) l'image d'un garçon qui ne souriait jamais. Ils ont raté mes « bons » moments.
27- Aujourd'hui encore, je souris plus avec les yeux, c'est plus discret, mais je souris aussi avec la bouche. Il m'arrive même de rire ! Si si...
28- Pour autant, je n'ai jamais été triste. Juste réfléchi, très réfléchi...
29- Trop réfléchi ?
30- J'ai l'habitude de vivre en marge, en faisant ce que bon me semble
31- Je peux tout plaquer dans l'instant et sans regret si ça ne me convient plus. Le monde est vaste...
32- Je suis très très indépendant.
33- Mais non je ne suis pas compliqué à vivre… Il faut juste me laisser agir comme je l'entends.
34- Attention au second degré !
35- J'ai autant de plaisir, c'est à dire beaucoup, à piloter un prototype au Mans qu'à conduire un vieux tracteur, ou à piloter un avion. J'aime les belles trajectoires, les plus efficaces. Je m'ennuie sur la route actuelle, c'est dangereux.
36- Le BDSM déteindrait-il sur moi ? Bien que « spécialiste » (?) de la fessée, que j'administre désormais avec une regrettable parcimonie, mais toujours avec une grande passion, je suis attiré depuis peu par d'autres envies, d'autres curiosités qui ne m'avaient pas encore effleuré l'esprit, comme de gifler une soumise en la regardant droit dans les yeux, par exemple. On ne finit jamais d'apprendre.
Rappel des règles :
Ceci est le jeu du portrait québécois qui fait fureur sur Fetlife.
Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné,
2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Rich »,
3) publier ce texte dans votre section « articles »,
4) me le faire savoir.
Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte.
Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un cœur on fait < et 3 ).
Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça.
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Par : M.Gabriel de Corvus
1)J’ai été pendant plusieurs années photo-reporter, spécialisation chambre noire/chambre blanche et une spécialisation en milieux hostile (conflit armée,BNC) et J’ai beaucoup travailler a l’étranger, .
2)J’ai un félin que J’ai élever au biberon qui ressemble a une panthère noire,elle s’appelle «Khally» et partage ma vie depuis 10 ans.
3)Je vis dans un corps de ferme que je répare petit a petit. d’ailleurs a ce propos je ne vis pas a Avignon, même si ma résidence reste assez proche de ce lieux.
4)J’exerce depuis bientôt 9 ans une activité professionnelle atypique. qui au début fut en doublon de mon premier métier. Je m’épanouis pleinement dans ce métier, il Me correspond parfaitement.
5)étant jeune J’ai vécu a Paris quelques mois a quelque pas du «divans du monde» et de la bute Montmartre.
6)J’ai trois piercings et un tatoo ne bois jamais d’alcool, cafeinomane inconditionnel, Je suis fumeur et adore faire la cuisines
7)Je n’est pas de télévision et ne dispose pas de ligne téléphonique fixe, je me connecte a internet via mon téléphone cellulaire.
8)Curieux de tas de choses, J’aime apprendre dans la mesure ou Je n’est pas pu suivre une scolarité normale eux égard a un problème d’addiction.
9)Je suis actuellement en train de mettre a jour Mon site internet. J’apprend le html5 et le css3 ainsi que les bases du php et des notions de mysql. (des lignes de codes a la Matrix).
10)Il n’est pas rare de Me voir en kilt ou en hakama chez Moi.
11)La sexualité a une place importante dans Ma vie, J'aime cela et Je ne M' en cache pas.
12)Je n'ai aucun regrés ni remord et assume tout ce que Je fait et ce, en toute occasion. Le mot honte ne fait pas plus parti de Mon vocabulaire. Pour autant Je reconnais facilement Mes éventuelles erreurs.
13)J’ai la chance d’être libre,et ceci n’est pas un euphémisme. J’ai choisis d’organiser Ma vie pour avoir le moins de contrainte possible.
14)En tant que Maitre, Je suis hold School. J’apporte de l’importance au Vous, et au respect du collier.
15)J’aime les bas couture et les porte jarretelle, Je voue une forme de fétichisme au jambière, au talon haut, et au jupe plisser.Allez comprendre…
16)Je ne supporte pas le rap et la techno, mais Je suis ouvert a tout les autres style musicaux.Je suis admirateur des «Sister’s of Mercy».
17)Mon parfum est «le 3 eme Homme» de Caron.
18)Mon style vestimentaire va du «Slim, avec brettelle qui pendouille, basquet,chemise de grand couturier négligemment porter sous une veste col colonel et chapeau de cuir viser sur la tête» au «costume cravate» ou plus simplement «kilt et news rock» un vrai caméléon.
19)Je ne m’ennuis jamais et suis très indépendant. Je sais que cela et pénible quelques fois mais J’ai besoin de solitude pour vivre.
20)Pour finir, Mon niveau en orthographes et passablement mauvais, j’espère que cela ne V/vous auras pas trop «piquer les yeux»
Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife.
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1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné,
2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour ......»,
3) publier ce texte dans votre section « articles »
4) me le faire savoir.
Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte.
Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-nous juste un commentaire (pour faire un cœur on fait < et 3 ).
Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-nous en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça. Si vous vous êtes plié à l’exercice sur Fetlife, soyez sympa, publiez votre portrait sur bdsm et prévenez ici en commentaire.
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