Anoa féline
par le 10/04/20
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Il a reçu un nouveau message de Maîtresse Julie. Il doit aller dans le parc du Château de Versailles et la retrouver près du loueur de barques vendredi à 16h. Il fait chaud en ce mois de mai qui débute. Maîtresse Julie a demandé s'il faisait le pont du premier. C'est le cas et elle lui a proposé de passer le week-end avec elle. Sa verge s'est tendue d'anticipation à la lecture du sms. Heureusement sa collègue n'a rien vu bien qu'un afflux de sang l'ait fait rougir de honte. Il a plongé sous son bureau pour dissimuler ce curieux changement de teint que rien dans son travail ne pouvait justifier. Il n'a pas de relations suffisamment intimes avec ses collègues pour parler de sa sexualité marginale. Il est un homme soumis à une magnifique jeune versaillaise du Chesnay qui représente pour lui le summum de l'élégance. Il se souvient de son regard et de ses mains si fines qui l'ont branlé à quatre pattes comme le chien qu'il devient à ses pieds. Il n'a pas oublié le goût de sa mouille quand elle a joui dans sa bouche. Son visage rougit encore de la crainte d'être surpris quand il a pénétré à genoux mains sur la tête dans ce luxueux appartement de l'avenue de Paris au Chesnay. Son aine est resté irritée par la dentelle de la culotte rouge qu'il portait sur son ordre.
Il va la rejoindre au parc du Château. Il porte de nouveau cette culotte en dentelle à laquelle sa peau est sensible. Sous son short de coton blanc elle se devine au soleil. Sa chemise rayée bien glissée dans la ceinture ne la cache pas entièrement. Il craint les regards moqueurs des nombreux touristes qu'il croisera. Comble du ridicule il porte des sandales avec des chaussettes. C'est par obéissance qu'il s'est ainsi attifé car cette tenue n'est guère seyante. Sa grande taille le fait souvent remarquer et ses yeux clairs sous ses cheveux bruns attirent l'attention des femmes en général, mais aujourd'hui c'est son ridicule qui jouera ce rôle d'aimant et en sortant de son meublé la honte lui fait déjà baisser la tête. Il va devoir prendre le bus 171 et remonter l'avenue de Paris jusqu'au terminus. Il est préférable qu'il ne marche pas trop car il a le sentiment que le week-end va être fatigant. Deux jeunes filles le regardent et rigolent derrière leurs mains. Une vieille dame aux cheveux bleutés pousse un soupir et tourne la tête. Il surprend le sourire en coin du grand black qui conduit le bus. Le trajet va sembler long! Et il devra encore traverser la place d'armes remplie de cars de tourisme, puis emprunter le passage où les visiteurs attendent pour acheter les billets. Une fois de l'autre coté il n'empruntera pas les majestueux escaliers qui conduisent au canal, mais se faufilera plutôt entre les haies et les statues. Avec un peu d'imagination il les entend aussi se moquer, elles qui ont vu tant d'élégants se promener dans ces lieux historiques.
Ça y est , j'aperçois enfin la cabane du loueur de barques. Quelques-unes naviguent au loin mais la plupart sont attachées au ponton. Je n'ai que rarement ramé. Pourvu que je réussisse à mener Maîtresse Julie où elle le souhaite. Si je la fais chavirer elle ne voudra plus de moi. Si je l'arrose elle sera fâchée. Si je...non stop. Tout va bien se passer. Je vais obéir promptement à ses ordres et être un bon soumis. J'aimerais tant revoir son si beau visage lorsqu'un sourire éclatant illumine son regard. Ou quand elle jouit. Oh je dois arrêter de penser. Lâche prise Baptiste! Lâche prise! Tu vas bander et ça va se voir.Ce nest vraiment pas le moment. Concentre toi et trouve la. Elle est sûrement arrivée.
Tiens,tiens cette silhouette déguingandée ressemble à mon soumis. J'ai bien choisi sa tenue. Un bon point pour lui, il a respecté les consignes. Je me demande s'il a conscience de son ridicule? Allons Julie, ne sois pas si méchante. C'est un provincial, d'accord, mais il n'est pas idiot pour autant. Et ces bécasses qui ont ricané en le croisant ne savent pas combien il réussit les cuni. Oh zut, je dois me calmer, je mouille déjà à l'imaginer au fond de la barque à me donner du plaisir. ..
Julie attend assise à siroter un café crème à la terrasse devant le ponton où les barques sont attachées. Le cliquetis des chaînes la rend songeuse. Aurait-elle dû mettre une culotte? Sa robe est longue, le petit vent de printemps qui remonte de la plaine ne risque pas de la trahir. Mais il ne faudrait pas qu'il devienne plus fort car l'ampleur de la jupe pourrait se soulever et dévoiler son impudeur aux touristes. Cette tenue est adaptée : elle pourra cacher son soumis dessous dans le parc. Y penser déclenche déjà son moulin à miel. Belle image qu'elle a retenue d'un poème érotique de cet ami photographe. Moulin à miel....
"Bon assez rêvé. Je vais me manifester et dans ma grande générosité offrir un diabolo menthe à ce grand dadais".
Maîtresse Julie fait un geste du bras et Baptiste l'aperçoit . Il avance vers elle et se tient debout derrière la chaise de bistrot. Sur la table verte assortie la crème du café lui fait de l'oeil . C'est sa boisson préférée. Osera-t-il commander la même boisson que Maîtresse Julie? Ne serait-ce pas lui manquer de respect? Le serveur approche. D'un geste négligeant Maîtresse Julie fait signe à son soumis de s'asseoir. "Ce sera un diabolo menthe pour le jeune homme s'il vous plaît et soyez gentil d'apporter l'addition " Le serveur sourit d'une manière obséquieuse . Ce n'est pas la première fois que cette élégante femme vient louer une barque avec un jeune homme. Et ce n'est jamais le même. Il l'a repérée car il a un sixième sens pour deviner les relations qui sortent de l'ordinaire. " Et je suis sûr que c'est encore un nouveau gigolo. Il est beau gosse celui-ci. Il faudrait que j'ose lui parler à cette versaillaise. Bon ,et un diabolo un!. J'espère qu'il aime ça. "
Une fois servi, les deux mains sur ses genoux, peut-il ou non commencer à boire? Un petit regard vers Maîtresse Julie impassible ne lui donne aucune information. Le mieux est sûrement de baisser les yeux et d'attendre. Elle ne le regarde pas et sa main fine saisit l'anse de la tasse. La mousse glisse vers le bord. Et juste avant de boire un ordre claque. " Bois ! Et ne traine pas! Il est déjà tard!" En rougissant il attrape son verre d'une main que l'anxiété fait trembler. "Contrôle! Ne renverse pas! " Le verre est vidé sans incident. Un soupir lui échappe. Un sourire étire les lèvres de Maîtresse Julie et elle tourne la tête vers lui. "La classe ta tenue le chien ,murmure-t-elle dans un souffle, il ne te manque que le collier. Cela va attendre. Mais tu dois imaginer qu'il encercle déjà ton cou. Compris? " En rougissant il acquiesce. "Oui Maîtresse Julie " et ces trois mots, que seule une autre personne en dehors du couple devine, scelle le début d'une longue séance de dressage. Baptiste baisse humblement la tête alors que Julie relève la sienne avec un sourire triomphant . Le serveur aux abois garde un visage professionnel impassible mais un éclair brille dans ses yeux. Il a bien compris la relation qui existe dans ce couple qui sort de l'ordinaire. Il n'oubliera pas ces deux visages.
Julie se lève et de son pas dansant approche l'employé préposé aux barques. Elle lui tend le jeton et regarde l'heure . "Bien il est seize heure quinze, allons-y. Aide moi. Donne ta main. " Elle enjambe le rebord de la barque et va s'assoir à l'avant, les jambes écartées pour garder l'équilibre. Baptiste pose ses fesses sur le banc et sous le regard ironique des deux employés commence à ramer. Il se débrouille plutôt bien et la barque s'éloigne sur l'eau calme du canal. Julie remonte un peu sa jupe, et de plus en plus. Elle montre ses jambes parfaites à son soumis en récompense de sa bonne tenue. La barque avance vite et est déjà au milieu . " nous allons tourner dans ce bras et tu nous rapprocheras du bord" . Malgré la douleur qui commence à irradier ses mains, il répond de ces mots si doux à sa langue" oui Maîtresse Julie,il en sera comme vous le désirez . " Elle ferme les yeux de plaisir et remonte encore son ample jupe.
D'un claquement de doigts suivi d'un geste impérieux, elle lui montre son sexe dévoilé par l'absence de sous-vêtement.
Baptiste tire sur les rames pour les remonter afin qu'elles ne glissent pas dans l'eau. Il ne doit pas passer pour un idiot aux yeux de sa domina. Il a déjà peur de son mépris par rapport à sa méconnaissance du milieu bdsm. Il craint d'être repoussé et se concentre pour bien se comporter. La règle est simple : obéir, obéir, faire jouir et jouir après y avoir été autorisé. Ce contrôle est si doux à son âme. Pourtant il est plutôt meneur et autonome dans la vie. Il prend des décisions et des responsabilités, trop parfois peut-être. Mais obéir et ne plus réfléchir et lâcher prise dans la jouissance, quel bonheur si profond! Seuls les autres soumis rencontrés au hasard de discussions sur les sites spécifiques le comprennent . Et c'est ainsi qu'il baisse les yeux devant cette jolie femme et qu'il exécute ses ordres avec diligence. Le voici à genoux sur les planches du fond de la barque. Il se penche encore, pose ses mains au sol et sa tête sur des chaussures noires qui bougent lentement, dans une danse silencieuse. " N'as-tu pas oublié? Mains sur la tête bâtard! Et lèche mes chaussures! " il sursaute sous l'insulte criée à ses oreilles et s'empresse de mieux se positionner. Un pied frappe sa joue et le pousse un peu. De surprise un cri lui échappe. "Décidément, tu ne sais pas te taire. Tu me déçois beaucoup. Comment faire pour que tu comprennes que tu n'as pas le droit d'émettre le moindre son? Je ne peux pas te museler à l'extérieur, même si l'envie me démange. Tu vas être puni. Ça commence fort!" Elle agrippe ses cheveux et soulève la tête de ce chien desobeissant. Elle mord son oreille. Un gémissement lui échappe. Elle relâche ses dents et le regarde avec un gros soupir. Puis elle mord l'autre oreille. Il arrive à se contrôler. Elle caresse sa tête gentiment :" tu vois que tu peux te contrôler petit chien. " Elle l'attire vers lui et caresse sa queue qui se gonfle de plaisir. Mais l'élastique de la culotte coince le gland et des larmes perlent au coin de ses yeux. Honte et douleur, peur et envie, sentiments mêlés, cerveau perturbé. Baptiste ne sait plus où il en est et lève la tête vers Julie . Elle le serre dans ses bras et caresse encore sa tignasse brutalement. Douceur et brutalité, plaisir encore. Elle murmure :"tu es un bon chien, tu apprendras tu verras. Lèche moi bien et fais moi jouir, tu seras récompensé à l'appartement. " Elle pousse sa tête vers son sexe poilu et légèrement odorant. Sa cyprine le rend tout humide. Il saisit délicatement la petite excroissance de chair si sensible entre ses lèvres et suçotte en aspirant doucement. Les jambes de Julie s'écartent encore plus. Elle le pousse en gémissant. Il donne des petits coups de langue et souffle avec son nez. Puis il mordille délicatement et sent le plaisir de Maîtresse Julie couler sur son menton.
"Ohoh ne pas trop montrer sinon il va s'y croire ...ohoh wahou. Ça c'est un p'tit cuni! Il faudra le féliciter. Oui mais pas trop. Ohoh .allez je le repousse. L'heure tourne." Et dans un dernier soupir Maîtresse Julie repousse Baptiste tout doucement afin qu'il retourne ramer. Et sans un mot , dans un claquement de doigts, elle lui montre les rames. Puis elle défait sa chaussure et étire tout son corps pour poser son pied nu sur l'entrejambe de son rameur. Ses orteils entament de petits mouvements de rotation, son talon appuie sur ses testicules, la verge se gonfle et les rames s'immobilisent sous la puissance du ressenti. Il mord sa lèvre inférieure pour ne pas exprimer son bien-être. Elle le fixe dans les yeux d'un air sévère. Et appuie de plus en plus. Une douleur lancinante commence à irradier son bas-ventre. Il mord encore plus sa lèvre. Elle sourit, commence à relâcher la pression, et une caresse de son pied allégé parcourt toute cette verge gonflée. D'un lent va-et-vient elle monte et descend son pied. Il cesse de se mordre et la fixe dun air béat. Elle le regarde baver et son sourire s'élargit. Ses orteils pianotent doucement sur le short. Puis elle replie sa jambe et remet sa chaussure.
"Dépêche toi! Nous allons avoir du retard. Tu traines! Tu traines! Je n'ai pas envie de payer encore à cause de toi!." La barque avance vite. Il sent que c'est une fausse colère mais s'applique à bien ramer. Il ne veut pas décevoir sa domina. Ils rejoignent le ponton et il lui offre sa main pour descendre. Elle s'éloigne très vite. Il se sent abandonné et la suit des yeux . Les employés sourient mais un lui claque le dos:" Ne traîne pas mon canard. Ou tu la perdras. Le parc est grand. " Il accélère le pas dans la grande allée si droite. Ce n'est pas celle qu'il connaît et il craint de se perdre. Il aperçoit Maîtresse Julie qui l'attend impatiemment à un embranchement. Elle s'éloigne dès qu'il s approche et se dirige vers un bosquet. Bien caché par les arbustes, un banc de pierre moussue sur lequel Julie est assise apparaît. D'un air narquois elle tient un collier relié à une laisse métallique en anneaux .Baptiste rougit, envie et honte, peur et désir, inquiétude et plaisir mêlés, cerveau perturbé. "À genoux devant ta Domina le chien, mains sur la tête " À entendre cet ordre tant attendu, il sent son coeur accélérer, ses paupières cacher son regard, son cou plier vers l'avant , ses genoux ployer vers le sol , ses bras partir vers l'arrière et ses doigts se croiser. Il sent un collier de cuir encercler son cou et un doigt griffer sa peau. Un léger cliquetis accompagne un mouvement qui tire sa tête vers le bas. Elle se retrouve sur les pieds de Julie. Il se sent bien. Cette position si souvent rêvée est devenue réalité. Une petite brise caresse ses jambes nues. La laisse dirige sa tête vers l'entrejambe de Julie dont les cuisses se resserrent. La jupe relevée retombe sur le soumis agenouillé et le dissimulera entièrement aux regards indiscrets de visiteurs qui se seraient égarés. Plus un mouvement ne perturbe cette scène irréelle. Julie prend son téléphone dans son sac , appuie sur une touche et écrit un message à son amant : Vous aviez raison Maître. Il est prêt". Puis elle range son téléphone et sourit d'un air mi-rêveur,mi-inquiet. " Tout va bien se passer. Tout va bien se passer. Je vais le récompenser et j'aurais ma récompense aussi. Le Maître n'a qu'une parole ".
Elle appuie sur la tête de Baptiste et ,exprimant son anxiété d'une voix forte elle crie:" Chien! Lèche ta maîtresse! Fais moi jouir! Et utilise tes doigts! Je veux te sentir partout! Devant et derrière! Je veux savoir si tu es un bon chien qui lèche comme il faut! " elle sent des doigts fébriles explorer ses orifices. Elle sent une langue agile s agiter sur et dans son sexe. Elle sent un souffle animal sur son intimité. Elle perçoit des grognements mais décide de ne pas les réprimer. Ses jambes s'écartent à lui faire mal. Son bassin bascule vers l'arrière et glisse jusqu'au bord du banc si froid à sa peau. Elle s'agrippe au dossier du banc et rejette sa tête en arrière. La jouissance se diffuse de son bas-ventre à tout son corps. Des vagues de plaisir irradient son corps. Des doigts longs et souples explorent son vagin et son arrière-train. Cette double pénétration la fait gémir, puis grincer, puis se taire en apnée. Enfin le hurlement d'une louve comblée perturbe le silence du parc. Près des barques les employés lèvent le pouce de la victoire. Le gardien à la grille sursaute puis sourit, une jeune femme sourit à son bébé dans sa poussette. Le parc du Château tout entier sent un courant de plaisir le traverser. Les branches s'agitent, les oiseaux se posent, les chiens s'assoient et frottent la base de leur queue au sol. La marchande de glace sourit aux anges. Et les énormes poissons du canal pointent leurs têtes à la surface. Un moment parfait hors de la réalité , le ciel semble plus bleu.
Dans le petit bosquet, Julie, en complet lâcher prise , sent qu'elle a communié avec la Terre. Baptiste à ses pieds commence à souffrir de son sexe gonflé. A travers l'épaisseur de tissu sur sa tête il sent la main de sa domina le caresser tendrement. " Je vais te donner ton plaisir petit chien, tu le mérites. "
Julie se penche en avant et ,repoussant doucement son soumis, elle défait sa ceinture et glisse sa main pour saisir le pénis tendu de Baptiste. Ses doigts forment un anneau qui monte et descend plus ou moins serré. De l'autre main elle remonte sa jupe et dénude ses fesses. La robe sur le banc elle se penche encore et ordonne dans un souffle :" À genoux chien, mains sur la tête! " D'un mouvement souple elle s'éloigne juste un peu et continue de branler cette pine gonflée. Le short a glissé jusqu'aux genoux et seule la petite culotte de dentelle rouge protège encore si peu les fesses de Baptiste. Julie la fait glisser à mi-cuisses. Les jambes tremblantes , le soumis retient un gémissement et se penche vers le banc. La domina attrape les mains sur la tête et tire les bras vers l'arrière. La tête vient heurter le banc sur la robe et sans bruit car la chute maîtrisée se fait en douceur. Puis l'anneau des doigts sur la verge accélère son mouvement et la semence se répand dans un râle contenu. L'extase du lâcher prise se lit dans le sourire béat et dans les yeux brillants de Baptiste. Julie caresse son front tendrement et le laisse récupérer. Son majeur mouillé de sperme va masser l'anus de son soumis et le pénètre delicatement . Il laisse échapper un petit cri de souris et rougit. Son plaisir prolongé provoque une légère érection. Le doigt se fait plus intrusif, un deuxième puis un troisième le rejoignent. Ils entrent et sortent. Une vague de plaisir sauvage parcourt tout le corps de l'homme agenouillé . Il retient son cri mais s'écroule en avant. Maîtresse Julie se rajuste et pose son pied sur la tête de Baptiste. Celui-ci est en extase devant la prestance de sa domina. Malgré l'inconfort de sa position, le risque d'être surpris et le vent qui fraichit , il vit un moment parfait qui restera pour toujours dans sa mémoire. Sa domina est satisfaite, il semble être un bon soumis. Son coeur se gonfle de joie.
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Anoa féline
Merci Softail de ce compliment. Je suis touchée.
J'aime 11/04/20
tres joli texte Anoa
J'aime 13/04/20
Anoa féline
Merci Carpediem de ce compliment
J'aime 13/04/20
Marc Nancy
Magnifique récit
J'aime 09/11/22