Mademoiselle_Lane
par le 11/05/20
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Suite de ma nouvelle Tiraillement.
Je suis désolée pour les éventuelles fautes, je ne me suis pas relue, j'étais prise par les démons de mon passé.
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J’étais là enchainée à l’attendre. A attendre qu’il s’occupe de moi, à attendre ses doigts sur ma peau, à sentir sa bouche gourmande, à attendre le son de sa voix.. à attendre sa présence.
Sa punition a été à la hauteur de mon insolence. Il savait me remettre à ma place et j’aimais cela. J’aimais cette force qu’il avait à gérer toute situation, à me sentir protégée.
Quel si doux sentiment que de pouvoir s’en remettre à quelqu’un. La vie est si difficile à devoir tout gérer. Mon intelligence émotionnelle est ma force. Quand il a su par ses actes me montrer ce qu’il était je savais que je pouvais m’abandonner complètement une personne saine, équilibrée.
J’avais fait quelques rencontres avec des personnes ne me convenant pas ou d’autres malsaines qui cachaient bien leur jeu. Mais lui.. c’était dans sa nature, son intelligence et son éducation. Il était bienveillant.
Allongée sur le lit je soupirais. IL entra. Je faisais mine de dormir.
Je sentis sa main passée sur mes cheveux. Il me frôlait avec la pulpe de ses doigts.. Doucement il descendait sur mon cou. Je commençais à faire entendre le plaisir de cette caresse. IL continuait sa route sur mon flanc. Quand il arriva sur mes fesses il les pris de pleine main.
- A moi…
Je ne disais aucun mot. Je savourais ce moment. Mon cœur battait si fort.
Il embrassa alors en même temps mes fesses.
Il se plaça face au lit et pris en main mes chevilles. Il ota ma chaine qui me liait au lit dont il avait la clé. IL me tira alors à lui.
Je me cambrai. Il mit alors sa main sur ma bouche.
- Maintenant, tu vas me demander pardon me chuchota t il à l’oreille.
- Ta bouche a dit tellement de vilaines choses qu’elle va me montrer comment elle sait se faire pardonner.
Il prit alors mon visage entre sa main et me força à le regarder. Il était très sévère à ce moment là.
- Tu as compris petite chienne.
Mon visage avait dû traduire l’émoi qu’il me provoquait. Je hochais de la tête pour dire.. oui
- C’est bien, dit il en appuyant sa main sur mon visage.
- Allez a mes pieds.
Je descendais alors du lit pour me mettre à ses pieds. Je lui tenais la jambe en le regardant de manière imploreuse. Il me fit marcher à ses côtés jusqu’au salon.
- Au pied.
Il avait préparé sur la table quelques douceurs. Je mourrais de faim. Je le regardais en souriant.
Il me gifla.
- Qui t’a permis de sourire ! tu souris alors que tu es une vilaine chienne. Tu ne mérites même pas que je te donne à manger.
- Pardon, Monsieur. Je suis désolée.
Je baissais alors le regard.
- Expose moi ton cul.
Il s’était assis sur son canapé. Il tenait alors un verre de vin dans sa main.
- Quelle belle posture de petite chienne… Quelle œuvre d'art tu es.
Il passait sa main sur ma croupe. C’est là que je sentis quelque chose de métallique sur mon anus.
Sans aucune préparation il posa cette boule pour insister à le faire entrer dans mon fion.
- Chut.. regarde ma belle. Ca rentre doucement.. tout doucement… Hum…
Il posa son verre sur la table. Avec douceur il me caressait les cheveux. Il prit la brosse à cheveux qu’il avait visiblement préparé . Il m’attacha les cheveux.
- Vois tu, dans mon indulgence, je vais te donner à manger. Mais comme tu manques de réelle éducation, je suis obligé de bien ajuster ta posture.
- Voilà.. parfait.
Il tira alors sur la corde pour m’enfoncer au mieux la boule.
- Allez retourne toi.
Je marchais à quatre pattes pour me retourner. Ma tête était dressée hautement. Je ne pouvais la baisser sans que je m’étrangle.
- En voilà une belle chienne dit il en vérifiant encore son installation.
Il prit mon menton dans sa main.
- Ouvre ta bouche et sors ta petite langue.
Il me tendait alors la cuillère. JE devinais ce qu’il avait préparé un bon risotto aux champignons.
- Allez viens chercher…
- Non non reste à ta place.
J’allongeais alors ma tête appliquant moi-même la torture à mon petit anus.
- Voilà c’est bien…
- Allez encore.
- Hum.. mais quelle bonne petite chienne toute sage.
- Merci… Monsieur.
- De rien petite chienne.
Il m’offrait également un doux verre de vin. Sa clémence présageait une soirée des plus délicieuses. Quoi que.. sa douceur était comme le velours mais cachait une main de fer.
Il s’était avancé sur le canapé. Il se levait. Ma tête était alors a hauteur de ses cuisses. Il ôta sa ceinture en cuir.
- Sens son odeur ma belle… Sens l’odeur de la punition qui va s’abattre sur ton cul de salope.
Je trésaillais. Je sentis le premier coup s’abattre.
- Merci.. Monsieur…
Un second.. un troisième..
- Merci Monsieur.
- Je te l’ai dit la peau pale n’est pas admise sur un cul.
Il prenait un plaisir à me faire rougir tout en calmant le feu. Je me devais de rester stoïque. Parfois son assaut était si cinglant que je baissais la tête, me rappelant aussitôt de me remettre en position.
Puis il se rassit. Il me passa sa ceinture autours du cou pour me maintenir.
- Tu vois je suis obligée de te tenir bien serrée.. si tu avais été sage…
Oui si j’avais été sage, il ne me punirait pas.. mais j’adorais ça qu’il me punisse.
Il defit son pantalon et ôta également son calençon.
Il se rassit.
- Allez viens la sentir.
Il me faisait alors sentir sa queue. J’ouvrais alors ma bouche.
- Non, non .. renifle !
Puis sans aucun ménagement il l’enfonça dans ma bouche. Il me tenait par la queue de cheval. Naturellement je me redressais. Il mit alors sa main sous la gorge. Il commença a me baiser la bouche.
Il ne se retenait plus. IL ne me laissait aucun répit. Il me besognait tant que j’en bavais. Puis quand il appuya de ses deux mains sur ma tête il me força à la garder en bouche.
- Hum quelle salope…
- Tiens…. Tiens..
Je n’étais plus que son petit trou à bites. Il me faisait faire des va et vient si rapide avec ma tête pour avoir la cadence qu’il souhaitait. J’étais sa bouche à masturbation. Puis encore une fois il me la mit dans ma bouche pour la garder.
Il tira alors sur la corde de mon crochet. Il me caressait la tête en même temps.
- Allez sage… tout doux..
Je bavais et je voulais qu’il cesse cette douce torture. C’est là qu’il enfonça encore plus sa queue dans ma gorge. J’avais envie de vomir. Je commençais à tousser. IL se retira.
Il me tapa sur chaque joue.. et repris possession de ma bouche. De nouveau avec cette frénésie il appuya ma tête contre lui pour me baiser fortement comme il baise ma chatte ou mon cul.
- Bonne chiennasse ! quel trou à bites..
Il replaca sa main sous ma gorge.
- Mais comme tu baves petite chienne.
Là doucement il entrait sa queue jusqu’au bout me faisant encore presque vomir puis la ressortait.
- Hum regarde comme tu la prends bien..
Une fois encore au fond, il me pinca alors le nez tout en tenant ma tête. Doucement j’avais qu’une envie c’est respirer. Je me dandinais pour me défaire de cette emprise, pour juste respirer.
- Voilà respire !
Il s’amusa à me gifler avec sa queue.
Il me redressa et se leva. Ma tête était penchée en arrière.
Il passa alors derrière moi et me donna des coups de pieds leger dans les fesses.
- Alors tu ne remercies même pas ton Maître de te faire gouter à sa queue.
C’est là qu’il tira à nouveau sur la corde.
- Petite pute ingrate.
- Pardon.. Monsieur.. je..
- Ta gueule.
Il saisit alors un écarteur et le mit dans ma bouche.
- Je ne te demande même pas de répondre. Juste d’être un trois trous à baiser.
Il me banda les yeux.
Il me redressa. Ma position était des plus inconfortables pour marcher ainsi. Il me guidait.
Sans ménagement il me jeta, ventre contre le lit.
Il saisit sangla mes bras ensemble puis m’attacha les mains.
Il prit possession de la ceinture et serra bien fortement. Il me prit alors par la chatte.
- Tiens petite pute.
Il me redressait en me tenant par la ceinture. Je ne pouvais rien faire si ce n’est que subir ses assauts.
Il relacha la pression sur la ceinture et mis ses mains sur mon dos. Ma tête était maintenue droite, bien ouverte et baveuse.
- Regarde toi ! il te manque juste encore une bite pour te prendre par la bouche. Ta chatte est si trempée… quel bonheur… Tu baves encore de partout petite pute.
Il me chevauchait, encore et encore. Il s’amusait alors la corde.
Il se retira à nouveau et me claqua les fesses
- Hummm brave chienne.
Il me leva la tête et y plaça sa queue…
Ma mâchoire était un peu douleureuse.
- Un bon trou sans dent.. c’est parfait. En plus tu fermes en même temps ta gueule de pute.
Il baisait encore et encore ne me laissant aucun repis.
Quand il eu finit de me besogner, il ota la corde attachée à mes cheveux et retira le crochet anal.
Il me releva par la queue de cheval puis me jeta sur le sol.
- Allez présente moi ton fion mieux que ça. Je ne devrais même pas à avoir à te le dire.
Je mis alors ma tête au sol tout en relevant mon postérieur. Il faisait le tour de moi. Il mis ses orteils dans ma bouche.
- Tiens lèche…
Je ne pouvais même pas râler ni protester, ni même bouger. Mes contraintes était si bien faites que je ne pouvais faire qu’obéir.
Il s’amusa encore à me donner des coups de pieds sur le cul . Il s’assit. Il passa alors son pied sur ma chatte et mon fion.
- Je vois que ton petit cul est déjà ouvert.
Il me pris par les bras et le leva à nouveau. Dressée droite face à lui il retira mon écarteur bucal.
- Merci.. Monsieur.
Il me retourna contre lui et serra la ceinture tout en maintenant sa main sur ma bouche.
- Je vais te casser le fion. Je ne veux pas t’entendre. Compris.
- Remonte bien ton cul de chienne.
Il se positionna. Les pieds de chaque coté me tournant le dos.
Il écarta mes fesses et y planta son dard. Il était presque assis sur moi. Cette position était terrible. Je le sentais terriblement me prendre.
Il me tenait les fesses bien écartées.
- Hum tu es légèrement serrée.
Il prenait son temps dans cette position à faire des allers et venues.
Il se retourna. Il mit un pied sur mon cou et me sodomisa cette fois ci avec force.
Il ne me laissait aucune seconde. Il me tringlait si fortement.
Il se retira. Tout en écartant encore mes fesses.
- Oh.. ce trou..
- Demande moi de t’enculer.
- Monsieur, je vous en prie, enculez moi.
- Dis moi que tu es une bonne chienne
- Monsieur, je suis votre petite chienne. Je vous en prie prenez moi encore par tous les trous.
- Oh oui petite pute..
- iens prends ça salope de chienne.
Il me posa au sol. J’étais complètement allongée. Il ouvrit mes fesses et à nouveau me pilonna le fion.
Il me tenait par le cou me forçant à mettre ma tête en arrière. Il pouvait me la mettre ainsi plus profond.
Je couinais.
- Ta gueule !
Ses coups étaient si fort.. je ne pouvais m’en empêcher.
Il me prit alors la gueule avec ses mains et pilonna, encore et encore.
- Oh mais regarde moi ça…
Il regardait mon fion restant ouvert après son passage.
Il me tira à nouveau par la queue de cheval.
- Alors petite effrontée.
- Tu aimes ta punition ?
Je ne savais que répondre il me faisait passer par tant de sensations. Entre douleurs et plaisirs. Il se saisit alors de ma gueule.
- Alors.. ?
Il me gifla..
- Petite catin dévergondée.
Je souriais.. il me gifla à nouveau.
Il me jeta sur le lit. Il me releva les cuisses et m’attacha les mains derrière elle.
- En voilà un petit cul à disposition.
Il inséra 3 doigts dans mon petit cul et tourna encore et encore.
- Je pense qu’un jour je pourrais peut être me masturber dans ton cul de salope.
Je frémissais à cette idée. Mais je savais que dans sa bouche ce n’était que pour me faire mouiller davantage.Il me sodomisa encore et cette fois, il ecartela ma chatte.
- Gourmande. Tu aimes ?
- Oui Monsieur.. j’aime quand vous me fourrez par le fion et la chatte.
- Prise par le cul et fistée par le chatte.. hummm.. voilà ce qu’il te faudrait.. ne t’en fait pas on va faire de toi la meilleure des salopes pour y arriver.
Il éjacula sur ma petite chatte. Il défit alors mes liens.
- Ecarte ta chatte.
- Humm , tu es si dégouillinante.. ta mouille, mon sperme.
- Ramasse un peu de sperme avec tes doigts.
- Non.. je.. ne peux pas.. Monsieur.
- J’ai dit , ramasse du sperme avec tes doigts.
Il savait mon aversion pour le sperme. C’était lié à un traumatisme subi plus jeune. Au fil des années, j’avais réussi à chasser ces démons mais pas complètement. Il le savait. Il savait que c’était une de mes limites.
- Je te laisse deux choix.. soit tu le gouttes.. et tu en prends un peu… soit tu te caresses avec.
J’avais tellement envie de me dépasser, d’aller de l’avant..
Il s’était rapprochée de moi.
- Quoi que tu choisisses, sache que je suis fière de toi.
Je posais alors mes doigts sur mon sexe. Je sentais alors son sperme encore chaud sur le bout de mes doigts. Comme une enfant, j’en mis juste un peu sur mes doigts. Il me caressait alors la joue.
- Tu es si belle ma belle Nina.
Je portais alors mes doigts dans la bouche. L’odeur du sperme me donnait une envie de vomir. IL m’avait fallu tant d’années pour accepter d’en avoir sur moi et en moi. Là il me faisait franchir une étape.
Doucement je mis le sperme dans ma bouche tout en le regardant dans les yeux. IL me regardait avec tant de tendresse. Je léchais alors doucement mes doigts.
Je n’aurai pas pu faire plus mais c’était une victoire pour moi aussi petite soit elle car il y avait encore du chemin.
- Je suis très fière de tes progrès tu sais. Il me tenait par le menton et me prit contre son torse.
- Caresse toi maintenant.
Je sentais son souffle contre moi. J’aventurai mes mains vers mon clitoris. Je me caressais toujours avec ma main droite. J’avais besoin d’un stimuli pour cela.. sa voix… A chaque fois que je me caresse, j’ai besoin d’imagination être prise de manière si animale, si bestial.
J’aime entendre mon partenaire m’insulter. Cela n’est pas pour moi des insultes dans ce contexte là. C’est ma liberté d’être qui je suis. Pourquoi est ce que j’aime autant les mots crus. Peut être parce que lorsqu’on se regarde dans un miroir et si on se met à nu, on connait l’animal qui est en soi. On le libère, il se déchaine de pouvoir simplement être.
Il me parlait au creux de l’oreille ..
- Petite salope, tu aimes te caresser.. tu aimerais que pleins de mâles soient là à te regarder te branler.. Tu voudrais qu’ils te touchent partout, qu’ils te prennent par ta petite chatte de pute, par ton fion de salope.. et pendant ce temps , je te prendrais par la bouche tout en les regardant te baiser bien fort.. tu aimes ?
- Oh oui.. Monsieur..
- Tu aimes quen je fourre mes doigts dans ta petite chatte ou ton petit fion pour que je t’écartèle.
- Oh oui Monsieur j’adore tant ça..
- Que j’engouffre ma main dans ta chatte et que je te baise avec..
- Oh.. Monsieur.. encore.. encore..
- Que je commence ensuite à travailler ton petit cul,.. n’est ce pas sac à foutre ?
- Dis moi ce que tu es ?
- Je suis votre chienne Monsieur, votre putain..
- Et qu’ est ce qu’on fait au petite putain.
- On les éduque, on les baise..
- Oui on les baise car elle ne sont ..
Je sentais les spasmes venir..
- Elles ne sont bonnes qu’à ça.
Il sentait mes contractions. Il mit alors sa main sur ma bouche
- Allez jouis salope… jouis…
- Ma petite chienne, allez je t’ordonne de jouir comme une bonne putain.
Il me maintenant fermement. Les spasmes étaient si intenses.
Il enleva la pression de sa main. Doucement une larme coula… je pleurais de plaisir.
- Tu es merveilleuse. J’aime te voir prendre ton plaisir. Tu es comme un ange. Je te vois t’envoler pour m’échapper quand tu t’abandonnes ainsi. J’aime te voir retomber et te retenir dans mes bras..
Je me lovais alors contre lui.
- Merci à vous .. de me permettre d’être…
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