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le 06/03/21
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Bonjour,
Je m'appelle Ahsan, homme de 33 ans de l'Ile de la Réunion.
Ancien Balnéolais (92) je souhaite partager avec vous mon expérience.
Je tiens tout d'abord à m'excuser pour mes fautes d'orthographes ou syntaxes (je suis anglophone).
Je ne saurais dire d'où me viens cette envie d'être fésser et de corriger mais ma 1ère expérience était innoubliable.
J'était alors étudiant, fantasmant sur ma prof (Mme. M.S) une jolie femme brune, mince toujours bien habillée. Je passais mes nuits à rêver qu'elle me prenne sur ses genoux et qu'elle m'administre la fessée.
J'ai donc commencé à publier des annonces afin de trouver une partenaire pour passer de bons moments cuisants mais en vain...
Je ne sais pas si j'étais trop jeune, ou mon métissage faisait peur (je suis indien à la peau très claire, plutôt mignon d'après mes copines de classes).
Je n'ai donc pas trouvé de partenaires en ligne.
Je n'étais pourtant pas de nature timide, j'aimais le contact avec les gens mais mes recherches n'ont malheureusement pas portés leurs fruits.
Entendre le mot fessée ou voir une scène de fessée provoquait (maintenant aussi) une forte excitation en moi.
Un soir j'ai décidé de prendre les choses en mains.
J'ai pris dans mon tirroir ma brosse à cheveux, je me suis allongé sur le lit en boxer et j'ai commencer à m'auto-fesser (self spanking) !
J'imaginais que la correction était administrée par ma prof, je n'avais jamais eu une érection aussi dure.
J'ai continuer à me fesser (j'avais autant mal au bras qu'aux fesses) mais le plaisir que je ressentais était indescriptible.
J'ai posé ma brosse pour baisser mon boxer, lentement, délicatement comme une fésseuse qui prendrait plaisir à déculotter son soumis.
J'étais cul nu ! j'ai repris la brosse et j'ai continuer à m'offrir ce plaisir...
Je n'ai pas pu résister plus, je me suis retourné !
Je n'oublierai jamais cet instant ou mes fesses encores chaudes ont touché le lit.
Je me suis soulagé avec ma main, l'ejaculation fût intense, le sperme avait atteint le haut de mon torse.
J'était aux anges...
Posté dans: Techniques & Pratiques BDSM
Suggestion
Par : Linsoumise
Ma quête du Double Mâle-éfique...
Le dominant guide sa Soumise c'est bien connu... Mais certaines vous diront "oui mais pas queue!"
Pas queue quoi? Bah pas queue ça...
Car la soumise peut souminer... La soumise peut aussi guider... Mais oui Monsieur ! Ne vous en déplaise...
Car la vraie histoire se fait à deux...
L'un révèle l'autre...
L'un élève l'autre ...
L'un éveille l'autre...
Mais qui est l'un et qui est l'autre ?
L'un ne doit il être que Lui le Dom? et l'autre la soumise-élève qui s'élève grâce à Lui?
Mais qui a le Pouvoir?
Assurément le Dom! Voyons!
Mais certaines vous diront "Mais pas queue!"
Pas queue quoi? Bah pas queue ça encore une fois...
Car la soumise peut souminer... La soumise peut aussi dominer... Mais oui Monsieur ! Ne vous en déplaise...
Car le vrai Pouvoir du sexe s'exerce à deux...
L'un excite l'autre ...
L'un frustre l'autre...
L'un tient l'autre ...
Mais qui est l'un et qui est l'autre ?
L'un ne doit il être que Lui le Dom? et l'autre la soumise-élève qui sex-prime grâce à Lui?
Non... car si la Soumise connaît son pouvoir sexuel, cela ne l'empêche pas de se soumettre à son Dominant... lui même soumis à la tentation sexuelle dont se joue la soumise... Pas folle la guêpe ... Ils sont bien deux soumis!
Et ... #LeDomEstUnSoumisCommeUnAutre !!
Ce que cherche Dominant lui est propre... Mais chienne à son pied il aimerait... Soumise Sa-lope à lui, Bannir les freins d'une éducation judéo-chrétienne! typiquement féminine...
Ce que MOI soumise je cherche est clair: je cherche le Double Mâle-efique... Bannir les freins d'une éducation judéo-chrétienne! typiquement masculine...
Et c'est mon Pouvoir et mon jeu, Ma soumission et mes "vas-y", mes "tu peux" et mes "libère-toi" qui le déchaîneront!
Pourquoi lui et pourquoi ça?
Car il est l'exact contraire de son double... et parce qu'il est son contraire alors il me mérite.
Alors je pars en quête... je chasse... je teste... j'appâte... je ferre...j'attise.... Linsoumise en mode Lionne: tapis à l'agachon (terme sudiste je m'adapte à la faune locale...), j'observe mon espace de jeu et les mâles qui s'y présentent.
Choisir le bon endroit d'observation... toujours près du point d'eau... je les regarde faire pendant que JE ferre...
Il y a là les romantiques, il y a là les goujats, un peu plus loin les morts-de-faim, les beaux parleurs sortent leurs belles phrases.
Il y a ceux qui veulent m'apprendre la levrette et me faire des cunni pendant des heures... méprisables. Là je suis en mode snipper.
Moi je sais ce que je veux et surtout ce que je cherche...
Je cherche le metasex...pas de la baise! Ça c'est facile et quand je veux.
Pas besoin de me donner la peine de chercher... j'ai mes 06 de secours en cas de besoin.
Non.
Je cherche autre chose... bien plus subtil, bien plus profond, bien plus cérébral...
Mais surtout, je cherche un Dom qui s'ignore... car mon plaisir est aussi là.
Oui lui aussi doit se libérer et ce n'est pas forcément simple...
Le plaisir réservé aux dom? Alors je suis Dom sans l'ombre d'un doute...
Éveiller. Conscientiser. Ouvrir les champs des possibles. Viser ses carcans et les exploser en vol. L'observer baisser ses barrières, l'observer grandir et devenir le Dom que moi je vois...et que je veux faire éclore...
Dom mais en n'employant pas les mêmes chemins ni les mêmes armes... Car je cherche celui qui pourrait me soumettre... à terme. Et pour qui je ressentirai l'envie de...
En dehors d'un physique sportif et musclé inévitable pour moi, il me faut un intérieur riche: riche en fantasmes, riche en potentiel sadique, riche en coeur, riche en émotions... Mais aussi, sentir un orage contenu, opprimé, fait de tellement de défauts qui font les qualités d'un Dominant... du Dominant que je veux.
Oui que je VEUX.
Car personne ne peut entraver ma volonté.
Insoumise au fond? Ou soumise sur ce que je laisse à cet autre... et plus il est Dom et plus je lui laisse...
Celui que j'ai choisi ...Est protecteur, romantique, émotionnel, généreux, ouvert, réfléchis, tolérant, attentif... amoureux.
Mais j'ai senti autre chose... au premier regard. Et c'est cette dichotomie qui me passionne...
cette Division en deux champs opposés nettement en lui :
Dichotomie entre la raison et la passion,
Entre son Moi et son Ça,
Entre ce qu'il est et.. ce qu'il est.
Entre ce que l'on sait de lui et ce que je sais de lui.
Il est protecteur et a appris à me maltraiter,
Il est romantique mais peut aimer le sordide,
il est émotionnel et dévore nos émotions,
Il est gentleman mais bestialement possédé,
il est généreux et généreusement égoïste,
Il est doux mais tellement violent,
il est ouvert et sait me mener en m'écoutant,
il est respectueux mais m'irrespecte avec amour,
Il est réfléchis et intellectualise tout avant de fondre férocement sur moi,
il est tolérant mais s'impose intransigeant,
il est attentif toujours...
Il est amoureux de moi et de Sa soumise, mon double femell-éfique...
L'Ô-rage que je cherche est en lui... et savoir aller le chercher est un art... Pas trop vite, pas trop doucement mais aussi art instinctif...
Il m'aime alors viol-emment, nul besoin de consentement, il m'aime alors intolérablement, nulle tolérance à prêter, il m'aime alors bestialement, nulle femelle autre que moi, prétentieusement, nulle générosité à ce moment là, égoïstement, nul plaisir autre que le sien, impunément... tous les droits sur moi...
Et on a alors la rage au coeur et les tripes à vif.
Machistador de mes désirs, ce double Mâle-éfique me tsunamise, me transperce, me pénètre, me tétanise, me terrasse, pour mieux me chérir le calme revenu...
Il s'est pris au jeu, il a pris la main, et quand Dom prend... il EST Dom.
Je ne me suis pas trompée...
Il se révèle peu à peu, il se libère de tant de choses depuis que je le connais.
Lui me prend au jeu, il ne s'est pas trompé non plus en changeant de vie...
Je me révèle aussi peu à peu grâce à lui, je me libère lentement de mes carcans à moi...
Il a progressivement bouger ses limites ... et maintenant il a encore beaucoup à faire ...avec les miennes..
il a progressivement modifié ses angles de vues ... et veut m'emmener dans ses distorsions digressives à l'infini ...
Mais il a ma confiance et mon Amour pour qu'à nous deux nous trouvions le chemin de N/notre BDSM...
Aventure Clair-obscur pour deux êtres de sang mêlé...
Atypique? Piquez-moi!
Étonnant? Étonnez-moi!
Vicieux? Viciez-moi!
Surpris? j'en suis heureuse...
Je vous aime mon Dhom, vous et votre Double Mâle-éfique...
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Par : Berny
Bonjour Lady Gabrielle .
Saint Valentin
Vous m'avez interdit de Vous souhaiter la saint Valentin . Bien ! Mais laissez moi Vous dire mon amour .
Vous m'avez pris , ce fameux matin d'août 2005 et depuis je suis devenu enfin moi même . J'étais au crépuscule d'une vie terne , Vous en avez fait un lever de soleil , un petit matin de juin après une nuit d'orage .
Vous , seule , savez changer l'ouragan que je sais être , que je puis être , en doux alizé .
Vous seule savez , aimez me faire trembler comme un champ de blé sous les brises de juillet .
Vous seule savez manier le Fer et le Cuir comme le Ciel et l'Orage martyrisant La Terre .
Vous seule avez su voir ,dans ce brouillard nébuleux , la lueur qui présage les grands matins du monde .
Vous seule avez transformé mes ténèbres en aurores boréales .
Et , pour que notre ciel flamboie Vous avez Marié , Unis , Epousé , le rouge que Vous êtes au noir que j'étais en ce treize octobre 2012 .
Alors , je ne Vous souhaite pas une bonne saint Valentin mais laissez moi Vous dire que je vous aime .
Mais pour moi ces années de bonheur n'ont pas commencées le jour de notre mariage . En fait , elles ont commencées ce jour d'août 2005 quand Lady Gabrielle me demanda si je voulais être son soumis .
Et , récemment , il m'est venu à l'esprit que mon acceptation est le dernier acte volontaire que j'ai accomplie . Oh , bien sûr il m'est arrivé d'acheter un fer à repassé ou un aspirateur sans autorisation mais pour ce qui est des grandes étapes de notre vie , c'est bien Lady Gabrielle qui tient la barre et moi qui hisse la voile .
Il en est de même pour notre mariage . ELLE aurait voulu que je fasse ma demande en bonne et dû forme . Je crois que j'ai , à peu près , réussi cette demande . Mais , honnêtement ce n'était pas à moi de faire cette demande . C'était à ELLE . C'est moi qui possède le côté féminin dans la psychologie de notre couple . Si Si . . .
Certaines et certains d'entre vous qui nous connaissent se disent que je suis devenu fou de dire des trucs pareils . Mais non . . . Jamais je n'ai réfléchi avec plus de lucidité .
Je pense définitivement qu'ELLE aurait dû me demander en mariage . comme ELLE m'a demandé de devenir son soumis en 2005 .Parce que Je crois que la psychologie de couple traditionnelle , judéo-chrétienne est inversée chez les couple D/S ,sado-maso , BDSM . De cela , je suis quasiment convaincu .
Il faudrait demander à des philosophes BDSM éminemment plus doués que moi en philosophie ce qu'ils en pensent . Toujours est il que ces gars là devront se donner du mal pour me faire admettre une autre théorie .
Mais bon , le sado-masochisme n'étant pas la tasse de thé des philosophes , je me garderais bien d'aller dévaliser la maison LIPTON .
Redeviens sérieux berny : que croyez vous qu'aurait été ma réponse si Lady Gabrielle m'avait fait sa demande en mariage ? Comme je sais que personne ne répondra à cette question , je vais vous dire ce qu'aurait été ma réponse :
Cela aurait été : OUI OUI OUI ! ! ! évidemment .
Se sentir aimer par sa Maîtresse ? C'est mon cas . Tenez pas plus tard que dimanche dernier , j'ai dû réviser mon emploie du temps de la soirée en raison d'un brusque débordement d'amour de la part de Lady Gabrielle .
Dimanche fin d'après midi , nous rentrons d'une sortie raquettes ( il y a beaucoup de neige dans notre région et n'allez pas croire que parce que nous rentrons et sortons , nous habitons la maison des courants d'air ) nous sommes un peu fatigués , je prépare un thé reconstituant accompagné de petit gâteau de la marque ""Lefèvre Utile"" plus connu sous le nom de ""LU"" (et oui on s'instruit toujours en lisant les posts de berny ) . Je pose le plateau avec théière , tasses et biscuit devant Lady Gabrielle , je prends place à ses côtés me réjouissant de regarder "" Question pour un champion "". Quand my Lady me dit "" tu sais de quoi j'ai envie ( alors déjà Elle n'attend pas ma réponse ) d'une soirée BDSM . ""
Heu. . . oui . ah bin non Maîtresse . . . là va y avoir """ Question pour un champion ."""
Mais voyons berny , je ne veux pas te priver de ton émission , tu te met nu , à genoux , ta tête sur mes genoux à moi et tu écoutes .
J'aime beaucoup la formule """ tu sais de quoi j'ai envie """ Comme si Lady me demandait mon avis . ELLE ne me demande pas mon avis Elle me donne un ordre . Et je m'exécute . Cela fait bizarre d' être privé de voir Juju Leperse courant autour de son pupitre ou jetant ses fiches en l'air .
Enfin . . . à défaut de me concentrer sur cette émission je me suis préparé mentalement à ce qui allait suivre , et croyez moi cette préparation fut nécessaire .
Bon alors donc . . . je suis à genoux ,nu devant Lady Gabrielle , j'écoute "" Question pour un champion ""
ne me demandez pas ce qui s'est passé durant l'émission , je n'en ai aucun souvenir .
A la fin de celle ci Maîtresse m'ordonna de rester en position pendant qu'Elle préparait notre soirée .
Sa tenue hérotiquement BDSM revêtue , ses jouets préférés disposés à portée de sa main gantée de cuir , Dame Gabrielle alluma les bougies sans lesquelles , Elle considèrerait que toutes séances bdsm ne seraient pas abouties .
Figé dans la position qu'il m'était interdit de changer je commençait à greloter . j'en faisais part à Lady .
Pour me réchauffer ELLE m'administra , illico , 30 coups de fouet assenés avec une certaine hargne.
Mouvement d'humeur provoqué par le dérangement dans ses préparatifs .
L'impréparation de mon corps ne m'aida certainement pas à supporter la douleur , je me tenais donc coi , attendant calmement le bon vouloir de ma Maîtresse . Cette flagellation expresse avait , cependant , contribué considérablement à rétablir mon confort calorifique .
Quand , enfin , Lady prêta attention à l'objet de son désir , mon corps en l'occurrence , j'étais prêt psychologiquement . ELLE mit des pinces sur mes seins , un bandeau sur mes yeux , m'ordonna la position debout au milieu de la pièce , main derrière le dos . Et c'est dans cette tenue que j'écoutais l'énoncé des griefs que Lady avait à me reprocher depuis notre dernière séance . Naturellement , enfin pour ELLE , chaque grief était ponctué d'un coup de cravache sur une partie différente de mon épiderme .
Est ce que Lady Gabrielle a oublié des griefs ? Il y a de fortes probabilités . Mais , franchement , ce n'est pas important car j'ai ,tellement , été sévèrement châtié que les fautes oubliées et même celles que je n'ai pas commises ont été prises en compte .
"""Tellement châtié""" """Sévèrement """ n'exagérons rien . Je n'ai pas subis ,quoi que ce soit qui
m'aurait mené au point de rupture .
Je ne me souviens pas de la chronologie des actions mais entre deux flagellations à la cravache je reçu une fessée magistrale qui m'oblige à me poser la question suivante : """Comment Lady Gabrielle a t-elle pu me l'administrer sans avoir mal aux mains .""" Pour ce faire ELLE était assise sur mon dos , moi à quatre
pattes . ELLE utilisa mon postérieur comme d'un tamtam . Je ne crois pas que les sons obtenus par ces mains expertes , étaient destinés à envoyer quelque message obscure . Quelles oreilles auraient ils atteint?
Si tant est qu'ils purent dépassés les murs de la maison . Non . . . je crois que la musique des coups de main s'abattant sur mes fesses , depuis longtemps rougies , était destinées à charmer l'ouïe de ma Maîtresse . Tout simplement .
Naguère , Lady Gabrielle m'a avoué aimer le bruit des claquements sur mon corps . Elle possède un fouet vipère terminé par deux mèches de tissu assez longues . Quand ce fouet est utilisé correctement seules les mèches viennent frapper , provoquant un bruit sec et agréable à l'oreille De ma Dame . Moi je dois avoué que ce fouet n'engendre pas des douleurs insupportables ce qui me le fait apprécié . Fait qui n'a pas échappé à la sagacité de Lady car Elle alterne l'utilisation de ce fouet avec celle d'un autre qui est beaucoup plus silencieux et beaucoup plus méchant . Un fouet terminé par une très fine tresse de cuire . Une horreur .
Insupportable mais que je suis bien obligé de supporter . Larmes aux yeux .
Par ce soucis d'alternance , Lady Gabrielle tient à me signifier que si nos séances BDSM sont des parties de plaisir ce ne sont quand même pas des réunions de jardin ( garden-party si vous préférez ) bucoliques .
ELLE tient à ce que soit bien défini , la position de Chacune et chacun de part et d'autre du fouet .
Soyez sans crainte , Lady Gabrielle , je connais parfaitement le bout du fouet avec lequel j'ai le plus d'affinité .
Il convient de terminer le récit de cette soirée . Bien que d'autres aussi intenses émotionnellement ont eues lieu depuis .
Après cette flagellation et cette fessée Lady Gabrielle utilisa quelques bougies non plus pour éclairer le lieu où je subissais ses tortures mais pour les prolonger . Elle fit couler la cire de ces complices momentanés et complaisants sur toute la surface de mon corps . Sachant que la stature de ce corps est imposante , je compatis à la peine qui a été celle de Lady Gabrielle pour accomplir cette tâche .
Cette dernière phrase ne révèle pas la stricte vérité , au regard du sourire qui illumine son visage , je ne pense pas que Lady Gabrielle , trouve la tâche très pénible . Et que dire de ce sourire quand ELLE arrache à grand coups de martinet , la cire collée aux poils de ce corps velu comme celui d'un ours .
Ce supplice est horrible . Cela m'apprendra à désobéir à Lady . Je devais me passer le peigne rasoir pour raccourcir les poils en question . En effet Lady a renoncé à exiger mon épilation. Vous avez déjà vu un ours épilé VOUS ?
Ah que n'ai-je donc pas obéi ? Les poils eurent été plus courts , la cire de bougies eut été moins adhérante donc les coups de martinet moins nombreux .CQFD .
Berny
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Vous connaissez ce titre il as était à l'affiche il y a quelques années...
Voici ce que j'en dit.
C'est elle qui nous attire vers son centre, au creux de ses seins, entre ses jambes, c'est elle qui nous parle d'un temps qu'elle as connue puis aura demandée à ce qu'on en parle plus.
Elle fait le monologue nous n'avons même pas le besoin d'en dire plus.
Elle regarde de tous côté puis s'aperçoit qu'elle plaît toujours.
Comme tout à chacun elle fait son marché.
Elles prennent le temps, elles nous accordent de l'espace, puis elles disent que nous n'avons pas su y prendre place. Elles regardent de tous côtés, elles prennent le temps et mieux elles disent ne pas avoir vu... jusqu'à ce qu'elle disparaissent.
Elles donnent un sens nouveau, elles trouvent Monsieur attirant, elles trouvent en ces hommes, les autres..., elles cherches les défauts, elles disent avoir donner de l'intention, un réel manque d'attention.
Elles veulent du sentiment, de l'émotion... Lorsque l'un d'entre nous en éprouve il se fait fustiger, mettre de côté, elles veulent être pute, salope de celui qu'elles auront choisit.
Autant je met la femme au centre de mes intérêts qu'elles prennent un malin plaisir à me rendre invisible, indifférente, mal intentionnée, il y a encore quelques années j'étais le transitoire, la passade, le en attendant d'avoir mieux. Aujourd'hui ce que je ressent ce n'est pas du sentiment c'est de la solitude celle là qu'on appel l'absente, solitude, inexistante, malencontreuse, inespérée. Elles regardent de tous côtés et s'accorde du parfait, celui qui paraît, ceux qui quelques mois après disparaissent vite fait.
Elles se plaignent de ne pas avoir déméritées... Le vagin, bon ou mauvais, nous ont évoque qu'un trou c'est un trou mais c'est aussi et surtout le fait qu'elles ne s'exprime quasiment jamais, parce qu'en trois minutes c'est vite fait, les valises posées, les sacoches vidées. Y ajouter quoi ?? des crochets, des cordes, de la chaleur, de la douceur...
Ce qu'elles veulent c'est dominé bien plus que lorsqu'elles évoquent un accord dans le fait de se soumettre, elles veulent décider de tout.
Dans un jeu elles diraient pouvoir baisser les yeux, la femme domine le monde. Elle ont un sens que Monsieur n'as pas, celui là, le sixième. Elles ont le pouvoir de dialoguer et même plus... de tenir un monologue avec leurs vagin. Pendant que nous, nous ne faisions attention à rien.
Nous n'avons même pas la décence... Messieurs ??!!
Ce qu'elles veulent c'est que nous leurs donnions un sens. De la reconnaissance.
Maître Lasky
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Sur le lit, un foulard de soie noire et un mot : -Déshabillez-vous et nouez ce foulard sur vos yeux !.
Je m'assois .
A défaut de voir, j'entends à peine la ville . La circulation au loin, rien d'autre...
RER, station Nanterre ville. La rue Rigault, à deux pas, n'avait pas été difficile à trouver.. Les indications étaient précises . « Soyez à l'heure, j'y tiens ! ».
La chaleur des premiers jours de juillet laissait la place à la douceur du soir.
A l'affût du moindre bruit, assis nu sur cette banquette, je n'ai pas froid.J'attends, j'écoute. Mon attention retombe au fil des des minutes qui passent.
Sans que je m'en sois rendu compte, je sens une main m'inviter à me lever. On me guide. Chuchotements. Après quelques pas, j'entends 2 voix de femmes échanger sur ma personne.
Il m'est posément ordonné de m'agenouiller. Des doigts s'activent à enlever le bandeau qui m'aveugle.
« Ne vous retournez pas ! »
Devant moi, une table basse, un parquet et tout le mur qui me fait face couvert de miroirs : une salle de danse ! La pièce est très faiblement éclairée, je ne distingue rien de plus.
De l'extérieur, en arrivant à l'adresse indiquée, j'avais découvert une villa bourgeoise, flanquée de pavillons de banlieue , entourés de tilleuls. Après avoir sonné, on ne répondit point à mon bonsoir mais il me fut demandé, par l'interphone, de suivre scrupuleusement les indications que je trouverai .Un mur séparait le jardinet de la rue.Une courte allée menait à la porte de la maison.
….un studio de danse. Qui aurait imaginé un studio de danse à l'intérieur de cette maison ?
Deux femmes discutent de tout et de rien dans mon dos. Une voix sèche, mais qui me plut tout de suite, m'ordonne de déboucher une bouteille de demi-sec et d'ouvrir un paquet de biscuits de Reims au rose presque rouge. Les deux femmes s'entretiennent de voyages, de Gordes, de la chaleur de la journée...
On me fait comprendre qu'il me faut servir les flûtes tête baissée.Madame m'intime alors de me tourner vers la table , de m'agenouiller , en ayant soin de garder la tête inclinée, le dos de mes mains sur mes fesses.
J'attends.
Leur conversation a cessé. Je ne les voie pas.
Un long moment s'écoule.
Quelque peu ankylosé, je commençe à fléchir. Un sifflement très court, cueilli par la douleur, je crie.Un jonc vient de me cingler les reins.
Une main aussitôt me caresse la nuque et, à peine sussuré au creux de mon oreille, un « chchchut »
très doux me calme.
« Gardez bien les yeux fermés. » Je m'exécute .
« Les mains ! Gardez les mains dans le dos ! »
Plus rien de nouveau, un temps indéfinissable passe, ...le silence.
Au loin, hors, une rame de métro repart.
Me croyant délaissé, j'ouvre les yeux .
A la seconde même, une gifle magistrale me sonne littéralement : bourdonnements, la moitié du visage en feu.
« Qui vous a autorisé d'ouvrir les yeux ? Je déteste que l'on déroge à ce que je demande, sachez-le. »Cette même voix sèche de tout à l'heure, ni élevée, ni énervée, ...très calme ! . Mais qui, bizarrement, me rassure aussi...Je referme de suite mes yeux .
« Gardez -les ouverts. »
Face à moi, deux yeux de glace vive me regardent.Je baisse les miens . Une irrépressible envie de découvrir son visage me tenaille et elle, de me fixer.
« Levez les yeux, regardez-moi, je vous le permets ! »
Son expression est dure mais je n'y sens pas de menace ; au contraire, sa calme assurance me rassérène.Ce n'est qu'au bout de quelques minutes qu'elle m'enjoint à nouveau de baisser les yeux, d'une voix très douce qui me désoriente..
« A genoux, le dos de vos mains comme tout à l'heure. ».
De nouveau, les minutes s'égrènent , d'abord longues puis le temps se dissipe. Je n'en ai plus idée.
Mes genoux commencent à me faire mal.
Les deux femmes ont repris leur conversation .Elles bavardent et plaisantent.
« Resservez -nous donc deux flûtes. »
Après les avoir servi en boisson et gâteaux, Madame me demande si j'ai faim, si j'ai soif...
Après l'avoir remercié de cet égard et désireux de manger et de boire, Madame me demande, de sa voix dure, d'ouvrir la bouche. Toujours agenouillé, comme un oisillon au nid, elle me donne la becquée et recrache la pâte mastiquée des biscuits dans ma bouche ouverte . Aucun dégoût, au contraire.Je savoure.
« Rouvrez » D'entre ses lèvres, s'écoule dans ma gorge le champagne qu'elle venait de boire, sur mon visage aussi, sur le torse et par terre sur le parquet.
« Léchez ! »
Madame recommence plusieurs fois, et ô combien je goûte cette attention. Son amie, plus jeune, s'empare d'une cravache et me donne l'ordre de me tourner et de me placer à 4 pattes.Je sens le cuir me fouiller, m'incliner et me relever la tête . Elle s'attarde sur le sexe, l'entrejambe ...l'anus.
Aucun commentaire, pas un mot. Désormais, la rue est calme.Seul le passage d'une voiture vient troubler le silence .
Au vu d'un geste de sa main, je m'empresse de rejoindre Madame près du mur de miroirs. Toujours , je me suis demandé si ce n'était pas une glace sans tain. La tête fixant le sol, je l'entends cracher . Une main me tire brutalement par les cheveux et de placer mon visage à quelques centimètres du glaire . Elle attend que le filet s'allonge.
« Maintenant !»
La main serrant les cheveux de ma nuque me plaque la face sur la salive et en essuie le verre froid . De nouveau un autre glaire, au sol. L'autre femme le serpille de mes lèvres.
Mes tempes, mes joues, mon front poissent... Je ne suis plus à moi-même.
Las d'éponger, la bouche sèche et le pouls s'affolant, je reste allongé sur le sol. Madame verse un verre sur ma queue et veut que je me branle...
Peine perdue.Je débande.
« Restez-là , reposez-vous.»
Trop de fatigue, trop de sensations nouvelles et souterraines qui remontent et s'invitent.
« Vous allez vous rhabiller. Combien de temps mettez-vous pour rentrer ? Appelez-moi en arrivant .» La nuit était bien avancé, j'ai attrapé un des derniers RER dans la moiteur de cette nuit d'été, j'étais bien, léger, j'avais son regard de ce bleu si clair en moi.
Il y aura peu de séances avec Elle. J'avais 25 ans et je voulais me détruire et m'abîmer dans la souillure pour me dégoûter du sexe, ne plus être dans le manque, et Elle, me tirait par le col hors de l'eau. J'aimais quand Elle m'appelait, tard le soir, de New York, de Reykjavik ou d'Amérique du sud. Elle suivait son mari.Sa conversation portait très peu sur les séances et le sm.
S'esquissait dès lors une déchirure dans la grisaille des jours .
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2 couples novices nous ont fait le plaisir de choisir le Kinky Club pour leur première sortie.
Olivia, notre travestie préférée s’est jointe à eux pour entamer les festivités.
Dès 15h, les joueurs se pressent à la porte, au total, 7 couples, 8 femmes seules et autant d’hommes se sont retrouvés pour partager un nouvel après-midi de jeux où les femmes étaient à l’honneur, dominantes expertes ou simplement joueuses.
Maitresse Alizée et Maitresse Pun se sont occupées d’H. pour son plus grand plaisir. La 1ere soumise de Mlle Calamity avait une correction de retard à rattraper, fessée, martinet et badine ont précédés un moment d’isolement dans la petite prison.
Nos complices Mlle M et Mr R jouaient avec Olivia et l’un des couples novices dont Madame D confessait une envie de s’initier à la domination. Ne perdons pas de temps ! Rdv dans la salle de jeux à l’étage pour une co-séance.
Mlle Calamity jouait de la badine sur sa deuxième soumise , attachée sur la croix de St André et avait prêté son autre soumise à Mlle M et Mme D sous le regard des nos voyeurs habituels toujours ravis d’assister au délicieux spectacle d’un corps ondulant sous les impacts.
Mr DirtyVonP attachait une amie dans la salle tandis que nos barmaids s’affairaient à préparer leurs cocktails et sortir le champagne, Mr O et Mme D voulant fêter cette première sortie. Attachée, tête en bas, seulement vêtue de ses chaussures, J goûtait les morsures du single tail et de la queue de Dragon.
Un couple Suisse nous a offert de magnifiques et bruyants orgasmes alors que Dirty Von P, toujours soucieux de bien recevoir, fouettait une autre amie de passage.
Mlle M a organisé ensuite un superbe tableau : dans l’alcôve câline, Olivia officiait comme matelas et bouche accueillante pour H, qui lui-même, offrait son plus intime repli au poing de Mlle M. Ensuite, bonne joueuse, elle a tenu à célébrer l’anniversaire de son complice, agenouillée au centre du salon Baroque, vêtue de son porte jarretelles et ses bas, une bougie fixée sur son dos.
Il est certain que des détails nous échappent mais voici un agréable résumé du vendredi 15 décembre au Kinky Club !
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Par : Abyme
Les sites vanilles de rencontres sexuelles foisonnent, et comme j'avais réalisé une petite enquête sur ce sujet précis, allons-y…
Les sites de rencontre ont un succès phénoménal depuis pratiquement les débuts d'internet au milieu des années 90. Il faut dire qu'avant c'était les petites annonces, les magazines spécialisés, ou les appels téléphoniques sur réseaux payants (passons sur la période minitel avec son "minitel rose" comme le fameux et emblématique 3615 ULLA).
Internet, en inaugurant l'ère cyber en même temps que le passage au 21e siècle et au 3e millénaire, a ouvert une boîte de Pandore inespérée pour l'industrie du sexe et ses usagers.
Comme pour l'homosexualité, le fetish, les sextoys, et plus récemment la bisexualité, les cyber-rencontres sont en train de passer du tabou à une reconnaissance avérée, voire à un certain prestige.
Meetic est le site de rencontre pour adultes le plus célèbre, mais parce qu'il joue la carte de l'amour, passant hypocritement en arrière-plan le côté sexuel, qui pourtant fait une grande partie de son gagne-pain.
Une jeune fille tout à fait respectable pourra dire sans honte qu'elle y est inscrite. Mais comme tout le monde le sait, ce site abrite une grande partie cachée de l'iceberg de gens cherchant des plans cul sans lendemain, des rencontres purement sexuelles, NSA comme disent les américains (Not Strings Attached : sans engagement).
Cette hypocrisie est d'autant plus fâcheuse qu'elle implique aussi malgré eux la minorité de ceux qui innocemment recherchent vraiment le grand amour (surtout des femmes), et tombent de haut en recevant des tonnes de messages de queutards assoiffés de stupre, qui sont en fait la majorité des inscrits.
Il y a une multitude de sites de ce genre, et c'est toujours pareil. Même si moi aussi je connais des couples formés sur des rencontres virtuelles, et même si je ne m'y suis jamais inscrit, j’ai toujours eu une réaction personnelle de rejet envers Meetic.
Les sites annonçant clairement la couleur rencontre sexuelle, en revanche, ne s'encombrent pas du politiquement correct et vont à l'essentiel directement : "inscrivez-vous dès maintenant et (commu)niquez avec une foule de partenaires sexuels potentiels dans votre région."
De plus en plus ils proposent également un tchat et la possibilité de diffuser son image par webcam, encourageant donc le cyber-sex, ainsi que la possibilité (en plus de présenter une page profil classique), d'éditer son propre blog sexuel, avec galerie de photos, vidéos et entrées de texte illimitées. Les autres membres peuvent laisser des commentaires ou témoignages lisibles par tous, et on peut faire une requête d'amitié, comme sur Facebook.
Il existe une multitude de salons de tchat, et chaque membre peut créer son propre salon. Les plus fréquentés sont bien entendu ceux visités par des femmes.
Évidemment, pour avoir toutes les options, il faut payer. L'inscription est gratuite, mais, selon les sites, au bout de quelques consultations de profils et de quelques messages, on a atteint un quota où le membre standard se retrouve dans l'impossibilité de donner suite à quoi que ce soit s'il ne paye pas un minimum.
Une tactique classique de teasing qui fonctionne bien.
Sur le plus fréquenté au monde de ces sites (entre 30 et 40 millions de membres), Adult Friend Finder, comme sur d'autres sites qui y ressemblent (plusieurs rien qu’en France, assez connus, affichent un autre titre mais sont des dérivés de AFF qui ont ainsi étendu un monopole mondial en terme de record d'inscriptions), on peut rester membre standard et donc ne faire que recevoir des messages, en ne pouvant répondre qu'à quelques-uns par semaine ; beaucoup de femmes le font car le mode opératoire est toujours le même : une femme sera sollicitée par des centaines d'hommes (ou des couples ou des femmes bi ou homo), et les hommes ne le sont pratiquement jamais, ce sont donc eux qui ont le plus intérêt à payer, et à proposer... Les femmes disposent toujours.
Dans le cadre de ce genre de site, il est évidemment interdit de donner ses coordonnées téléphoniques, adresse, mail ou Skype, en tout cas pas avant d'avoir échangé au moins deux messages chacun, sous peine de censure systématique et d'annulation du compte. Sinon évidemment le site perdrait vite de l'intérêt et des consultations.
Il existe aussi le fameux (beaucoup de pub) Adopte-un-mec qui propose une formule originale faisant son succès : les hommes s'inscrivent, et les femmes choisissent de leur ouvrir la possibilité de communiquer ou non. Les hommes ne peuvent qu'envoyer un signal par un clik (mais s'ils ne payent pas ils ne pourront rien faire, même pas lire un message). Ce site a eu l'intelligence de laisser l'utilisation gratuite pendant une période bêta de deux ans, le paiement n'étant obligatoire que depuis 2012.
La vogue de l'échangisme et de la bi-sexualité
Dans les sites libertins & échangistes, les femmes croulent également sous les messages de couples qui cherchent une femme pour un trio. Et là, l'offre et la demande est assez équilibrée. En effet, la bi-sexualité n'étant plus du tout taboue mais au contraire un plus depuis une ou deux générations, les femmes n'hésitent plus à se laisser convaincre par leur mec de s'inscrire sur ce genre de site, parfois pour essayer de réaliser ce fantasme, plus souvent pour l'assumer totalement. Parmi les femmes, seules ou en couple, les bi-sexuelles sont d'ailleurs aujourd'hui majoritaires sur les hétéros ou les lesbiennes.
Les couples cherchant des couples sont aussi très nombreux et font énormément fonctionner ce genre de site, dont certains ont été gratuits quelques temps mais désormais payants (comme Place libertine). Net Echangisme est celui qui a le plus de succès.
Les fakes
Les faux profils ne sont pas légions, mais il y en a, forcément. Le plus souvent ce sont des hommes seuls qui s'inscrivent en tant que couple, pour solliciter ou être sollicités par des femmes. Ils pourront toujours prétendre au moment fatidique que leur compagne s'est désistée, ou qu'elle va arriver ; ou alors ils s'en tiennent à une cam to cam, c'est à dire au cyber-sex par webcam & tchat.
Il y a aussi des faux profils accrocheurs qui incitent certains inscrits gratuits à devenir membres payeurs (pour pouvoir répondre, ou au moins consulter un profil). Il y a enfin les professionnelles des visio-tchats payants qui ratissent sur les sites de rencontres et se débrouillent pour renvoyer ceux qui mordent à l'hameçon sur leur propre adresse de cyber-sex.
Le BDSM
Cet article ne concerne que l’univers vanille, mais un petit paragraphe sur le BDSM quand même…
Avant qu’il ne devienne un peu à la mode avec la montée de prestige du fetish dans la photo et la pub, puis le succès de 50 nuances de Grey et consorts, le BDSM était déjà inclus mine de rien dans ce genre de sites vanille. Hitoire d’O n’avait pas autant réussi à lancer une vogue, et cela restait relativement confidentiel et marginal, voire secret.
Mais depuis, sur les sites libertins j’ai vu passer des profils hallucinants (dans le sens où ils choquent des vanilles) de couples SM ou de sub ou de dom cherchant leur alter-ego, ou juste à jouer sur le plan sexuel, y compris des prestataires à peine déguisés (car interdits évidemment). Je crois que l’atout de Fetlife ou du présent BDSM.fr et d’autres moins connus, c’est une gratuité et une spécificité respectées par des passionnés.
Le danger réside dans le galvaudage et assimilation aux sites libertins, amenés par le public attiré par l’effet mode et ne connaissant rien à cet univers qui débarque comme sur un autre site de rencontres, alors que la plupart des utilisateurs ne sont pas là forcément tous pour consulter une série d’annonces à fins de rencontre, mais aussi et surtout pour partager un esprit, via des débats et des échanges qui débouchent parfois sur des amitiés autres que sexuelles, ce qui sort totalement du créneau des sites vanille suscités, puisque non-spécifiques.
Alors une question se pose à présent : est-ce que ça marche ?
Je rappelle que parle ici des sites de rencontres sexuelles, pas de la recherche d'amour.
Pour une femme, un site de rencontres marchera presque dans tous les cas. Une femme, même sans photo, même avec une photo très très moche, et quel que soit ce qu’elle propose ou recherche, recevra des dizaines de messages par jour, donc du choix, et aurait la possibilité de se faire des mecs à n'en plus pouvoir (après il faut voir lesquels…).
Et pour les hommes ? Je dirais : oui et non, ça dépend. La plupart des hommes sont assez bourrins, mettent fièrement en avatar la photo de leurs organes génitaux en gros plan (sur sites libertins, où c’est permis), sans réaliser à quel point c'est à l'antipode du fonctionnement féminin en général, et rédigent un message qu'ils copient/collent et envoient à toutes les femmes de leur secteur, du genre »Sava ? T tro bonne sa te diré que je viene bourez ta chate et ton trou2bal avec ma grosse queu?" ; d'autres, à l'opposé, jouent la carte du poète en envoyant quelques vers, maladroits ou plagiés quelque part, en vouvoyant et flattant leur correspondante ; d'autres encore, très pragmatiques, exposent leur performances et possibilités, multiplient les propositions et s'empêtrent dans une gamme de choix quelque peu mythomane et technique. Beaucoup envoient systématiquement des requêtes d'amitié à un maximum de femmes, pour se faire déjà un "score" et attirer l'attention. Quelques-uns, plus subtils, tirent leur épingle du jeu en évitant ces écueils avec une fiche plus simple et efficace, ou par le biais de l’humour, avec photo plus mystérieuse ou artistique.
Les femmes en général préfèrent un message personnalisé, qui montre que leur profil a été lu et compris, et que l'homme est à l'aise, sûr de lui mais surtout pas trop, et naturel. Lorsqu'elles consultent le profil d'un homme, certaines privilégient les atouts physiques (le haut du panier étant le fameux cliché du "black bien monté" ), d'autres le niveau intellectuel et le potentiel de sensibilité et de sensualité.
L'humour et l'originalité est toujours un plus évidemment. Par exemple il faut éviter le fameux "sans prise de tête", ou le ringard "prêt à tout pour vous mesdames".
En effet, il est préférable de toujours garder une fraîcheur, une spontanéité et un goût pour la découverte, pour la rencontre dans toute l'acception du terme, au lieu d'enchaîner les coups comme au marché aux bestiaux.
La saturation ou à l'inverse l'addiction s'atteignent très facilement. À mon avis, il faut donc rester très très sélectif et vivre chaque expérience pleinement, sans se priver de conversation, d'humour et de tendresse, le tout entre personnes consentantes et adultes. Chaque rencontre est comme la découverte d’une nouvelle contrée, chacune est particulière et ne saurait se placer comme un nombre dans une liste ou série. C’est une des conditions (avec l’honnêteté par exemple) qui font que le libertinage peut rester une façon cool et libre de vivre sa sexualité, et non un enjeu routinier de performance et de collectionnite.
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Par : Zuip
Alors qu’elle est à genoux, devant lui debout, accroupie à ses pieds…
A moitié nue : c’est-à-dire troussée, dépoitraillée (ses seins pendent) :
– Je vais te dresser, dit-il.
Il y a confrontation des regards.
Elle va morfler. Elle le sait. Elle l’a compris.
Il n’est pas de ces Maîtres qui ordonnent de baisser les yeux.
Pourquoi se priver ?... Pourquoi se priver de sa beauté… Pourquoi se priver de la beauté, de l’éclat de ses yeux clairs. Et lire la crainte dans son regard. Ça le fait bander.
Il le lui dit :
– Ma queue est dure … J’aime te voir comme ça…
Cette envie de sortir sa queue ! Et de la lui foutre dans la bouche ! Au fond d’la gorge !...
Les deux mains sur la crâne de la fille, sa soumise, la maintenir, la contraindre… L’empêcher de déglutir, de respirer…
Qu’elle morfle ! Qu’elle morve ! Qu’elle bave ! Qu’elle chiale ! Qu’elle en pleure !
Qu’elle morfle et qu’elle en coule !
Qu’elle n’en puisse plus !
Mais non.
Il n’est pas encore temps.
Pour l’heure, c’est la cravache qu’il agite… Dans l’air… Qu’il fait siffler…
– Creuse les reins… Tends la croupe…
Il aime la voir ainsi : vulnérable… en attente… en attente de ses coups.
Elle aime ça. Etre ainsi… Corrigée, battue…
Et pourtant elle a mal, elle souffre.
Il ne fait pas semblant. Ne retient pas sa main.
Il frappe.
Fort.
Elle déguste.
Elle déguste. Glapit. Crie. Encaisse.
Chaque coup la saisit. L’envahit. L’habite. La brûle. Lui coupe la respiration. C’est trop fort… trop fort… insupportablement trop fort…
Et pourtant, à chaque fois, après chaque coup, elle reprend la position. Elle sait qu’elle le doit.
Les mains bien à plat sur le sol, les reins creusés, la croupe haute et offerte…
Et cela dure… Selon son bon plaisir… Son excitation, son désir…
La cravache tombe, cingle, frappe…
Les coups pleuvent, rapides ou espacés…
Il la frappe plusieurs fois, lui coupe le souffle… Ou au contraire lui laisse le temps de se reprendre, lui faisant croire, espérer : que c’est fini…
Mais non !... Il reprend, il continue.
Ses fesses brûlent… Son cul n’est plus que souffrance et douleur…
Elle se tord… bascule… hurle… revient…
Elle reprend la position. La cravache sur les reins, qui l’accompagne, la redresse , l’encourage…
Elle revient offrir son cul.
Doucement il frôle sa croupe de la cravache avant de frapper…
Il se déplace, bouge, la contourne… Pour que la claquette tombe : de chaque côté…
Vicieux, il glisse la cravache entre ses fesses… ouvre son con… lui dit dans quel état elle est…
Il constate :
– Ton cul est bien rouge… Tu es bien marquée… On pourra compter les coups…
Il constate :
– Mais tu en mouilles ?!... Tu aimes ça ?!...
– Oui, Monsieur…
Elle sait qu’elle doit répondre : dans ses larmes, sa morve…
Il l’enfonce dans sa honte… Caresse ses seins avec la cravache… Qu’il glisse soudain en travers de sa bouche, entre ses dents. Elle sait qu’elle doit la tenir.
Est-ce pour se saisir de son verre ? Allumer une cigarette ?... Aller chercher quelqu’autre instrument ? La badine ? Le martinet ? La canne ? Le fouet ?...
Ou venir s’agenouiller derrière elle pour la foutre… la baiser rudement… se réjouir de sa chatte trempée… l’utiliser pour son plaisir à lui… peut-être même l’enculer ?...
Ou promener la lame du cutter sur ses reins…
(...)
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Par : Dame Meg
Besoin d'entrainement, de se tester... Une soirée spéciale, à trois pour mieux définir nos envies et nos limites.
Le paddle, le martinet et une ceinture; T a l'habitude, elle nous guidera.... et moi, le désir de trouver mes limites, le besoin de sensations.
Le paddle, le martinet je n'ai aucune crainte, plutot de l'envie, de l'excitation.
La ceinture... une appréhension, des craintes mélangées à du désir.
La soirée démarre doucement dans la bonne humeur. Toutes les deux, le haut du corps allongé sur la table, nos fesses à disposition, on se regarde sans savoir qui va commencer, moment de complicité, d'amusement et de désir. Un baiser, une étreinte, un premier coups, T gémit, demande plus fort. On s'observe, je percois son plaisir, je l'envie...
Les coups se poursuivent, T te guide... je m'impatiente, j'ai hate, mon corps excité par les gémissements... puis vient mon tour, un premier coup que je savoure, la chaleur se discipe et je réclame encore.
La suite se poursuit, le claquement sur nos fesses qui se colorent, les caresses, le plaisir monte en nous, tes doigts nous mène au bord de l'orgasme... la ceinture... une autre sensation, un plaisir fort... Tu t'arretes ton sexe gonflé... On se retourne, et nos langues ont vites fait de venir te lécher...
T se retrouve prise sauvagement sur la table, comme elle aime, son cul ne te résiste pas... et elle jouit fontaine. Je me caresse en vous observant. Tu m'as demandé de me faire jouir; exercice difficile, mais je m'applique... laisse le plaisir monter, grandir... je sens que j'y suis presque, je poursuis... un premier jet libérateur, qui m'invite à continuer.... une flaque se forme, nos regard se croisent.
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Par : #
Elle est Switch mais ne le sait pas encore, elle as voulut être dominé, prise en main puis s'est ravisé... nue à la fenêtre elle me disait que "non"... que "oui" elle prenait des décisions hâtives. Elle aurait voulu essayer ça puis ceci, ont en discuter, je la titiller, elle aimer ça, puis s'est ravisé.
Elle prenait des décisions, puis s'est envolée... Elle m'as laissé, là, las.
Elle m'as goulument avalé, puis elle as aimé recommencer. Je lui disais que non mais il lui fallait comprendre alors je prenais le temps de lui expliquer. Elle était nue à mes côtés. Enfin elle prenait les décisions et continuer à me les briser, mon bijou si précieux. Elle aurait du écouter, je lui donner la direction, elle as tout casser, brisé, milles morceaux de mon bijou elle en as fait.
Elle est Switch et d'ailleurs quelques mois après ne le sait toujours pas. Elle veut encore et toujours... les yeux vers le bas... elle prend ses propres décisions. Ne veut pas m'écouter... Je la revois nue dans les cabinets.
Je n'ose pas décrocher mon combiné elle me reprocherais de ne pas l'avoir prise en main, d'avoir fauté. Mais c'était sa décision... Elle n'entend pas les cris d'amour... elle ne verra pas l'écrit de mes sentiments que j'avais à lui faire partager. Je n'ai même pas à en décider...
Mon bijou regarder dont ce qu'elle en as fait... Elle brille pour moi c'est un souvenir précieux... il s'est brisé.
Six mois que je n'ai pas écrit... je ne vous ai donc pas dit... une fois de plus ont m'as brisé. Mon bijou c'est "elle" que je souhaitais combler. Elle m'as dit que "non" un souvenir d'hier, "elle" m'as dit que non je ne suis pas maître de mes décisions.
Frapper plus fort ou laisser des marques indélébile, le temps l'aurait rendu amer, fébrile. Pour la rendre heureuse et docile j'ai préférer lui rendre sa liberté... et puis après tout c'est elle qui as décider.
Elle prend ses propres décisions sans écouter, elle entend juste le souvenir d'hier, l'image imparfaite d'une fessée bien mérité au-quelle elle as eu droit mais dont elle ne s'est pas donné l'accès, mettre sa main au creux de la mienne... puis lui donner la direction. Moi je me suis laissé tenter.
Mon bijou est de nouveau sur le marché, prenez ce temps si précieux pour apprendre à vous laisser Dominé avant de dire "je veux..." "Je souhaite..." je voudrai..." puis enfin prendre la décision de ne pas acquiescé aux désirs de celui qui veux vous emmener vers de nouveaux horizons, passionnés.
Mon bijou n'est pas à vendre, ni à acheter, il faut miser sur son avenir, investir son potentiel, le polir poliment, le choyer tendrement, lui donner matière à être fière et complaisant.
La seul et unique décision qu'il reste à prendre c'est de s'abandonner, non pas baisser les bras mais relever le menton, courber l'échine, monter sur ses hauts talons.
Se donner et s'abandonner... vers d'autres horizons, passionnés. Mon bijou... mes envies, mes passions... mes décisions... c'est mérité !!
Maintenant il va falloir cravaché... ;-)
Allons à l'encontre d'autres traîtrises et trahison, un cœur brisé c'est remplacer un hôte par son autre. Toujours veiller, faire attention lorsque l'un et l'autre cherche le mieux dans vos imperfections, la roue de secours, le meilleurs ami(e)s qui là/le baise lorsque vous êtes au charbon prétextant toujours : "il/elle à quelques imperfections" "il/elle ne le saura jamais"
Une caverne visitée par quelqu'un d'autre laisse des traces que le propriétaire reconnait à tous les coups.
C'est comme se servir de son gourdin pour débroussailler un terrain voisin, après l'effort le réconfort... comment se dire ou se laisser entendre que son hôte n'as pas de besoin, pas d'effort à faire s'il n'accepte même plus le réconfort que vous lui procuriez... une anguille sous roche. Quand il y a un doute c'est parce qu'il n'y a en réalité que des certitudes.
Mon bijou... Ma décision.
Maître Lasky
FanPage : https://www.bdsm.fr/ma-238tre-lasky/
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Par : Lilas
Hello toi qui me lis. On va se tutoyer tiens de toute façon je suis trop ivre pour vouvoyer correctement qui que ce soit. Trop en colère aussi, la colère a ceci de juste qu'elle a vite fait d'éluder les tournures et les intermédiaires pour se concentrer sur l'essentiel.
J'ai très peur aujourd'hui. J'ai souvent peur avant une séance. Dans quelques heures, je vais faire très mal à quelqu'un, vraiment très mal. Je sais que j'oscille souvent entre des moments où je suis trop gentil et des moments où je suis un peu trop méchant. Pendant quelques instants, je sais qu'il va me haïr et les insultes fuseront probablement. Cruelle, salope, horrible, monstre, traînée, slut, Toi, torride, cage, supplice... Je le connais bien, je suis habitué à son corps et sa peau, je sais le faire jouir, je sais où le pincer, quand le brûler, quand lui murmurer, quand le bayonner, je sais où et comment nouer ses peurs les unes aux autres... Je sais quoi faire pour lui faire glisser des larmes rien qu'à l'évocation de ce que je vais lui faire.Je sais quoi faire pour avoir ses yeux suppliants ou son souffle extatique. Pourtant, malgré tout ça j'ai peur. Il y a une terreur sourde dans le bas de mon ventre et elle s'agrandit de minutes en minutes. C'est comme un orgasme lent, qui chemine à un rythme ridicule mais grossit par reptation en grignotant ce qu'il trouve sur son chemin. Aucune raison ne justifie cette peur; je vais jouer sur un piano dont je connais chaque touche de tête. Pourtant j'ai peur...
J'ai peur, très certainement, parce que c'est mon moteur à moi. C'est la peur de la masochiste que je suis qui avance tremblante vers son partenaire de jeu. C'est la peur du jeune garçon que les interactions sociales plongent dans une profonde terreur. C'est une peur qui a soif de rébellion et de revanche, c'est une peur d'enfant qui se hisse sur des épaules de grand. C'est ce qui enclenche le mouvement de balancier, ma peur c'est le point de départ d'une terrible inertie. Ce soir je vais jouer mon rôle et comme à chaque fois que je vais jouer à être un peu trop moi même,j'ai peur.
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