Mademoiselle_Lane
par le 23/09/21
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- Mademoiselle Lane, j’ai mené mon début d’enquête. Il semblerait que vous soyez mêlée à plusieurs affaires. Les amis de Monsieur Franz se souviennent en effet d’une femme blonde saoule.
Je le regardais. Sa fière allure. Il prenait soin à enlever ses gants en cuir. Toujours impeccable sur lui. Malgré moi, je me savais en sécurité avec lui contrairement à cet Herr Lintzer. Il me glaçait.
Sa voix à lui était chaude, suave. Son français impeccable.
- Asseyez-vous je vous prie.
Je le regardais, interdite. Qu’attendait-il de moi ?
- J’ai dit asseyez-vous, je ne le répéterais pas.
Je l’écoutais faire le point sur ce qu’il avait découvert. Ma chambre où je logeais a été vidée. Les adresses que je lui avais indiquées personne ! Je sentais l’étau se resserrer sur moi.
- Comment est-ce possible ? je vous ai dit la vérité !
- Je ne peux malheureusement vérifier vos dires. Un homme est mort. Regardez-vous. Une femme belle, avec de tels atouts faits tourner la tête des hommes. Peut-être feignez vous d’être cette femme innocente.
Je levais mes yeux vers lui, complètement perdue.
- Oui ce regard là.. mais je ne me laisserai pas prendre. J’ai demandé à Monsieur Lintzer de vous interroger.
- Monsieur Lintzer ? je.. non je vous en prie.
Il but une dernière gorgée de vin en se levant. Je me levais en allant vers lui, je courus vers lui. Je m’accrochait à son col.
- Je vous en prie, vous devez me croire.
Ses yeux bleus plongèrent dans les miens. Il me repoussa en me plaquant contre le mur. Je sentais son souffle dans mon cou. Le temps semblait s’arrêter. Il emprisonnait mes mains d’une main ferme.
- Monsieur Lintzer vous interrogera ! cessez maintenant.
- Je vous en prie ! je vous en conjure, ne me laissez pas avec cet homme.
- Monsieur Lintzer a toute ma confiance pour vous interroger.
Il me regarda quelques secondes, puis quitta ma cellule me laissant ainsi. Je tremblais à l’idée d’avoir à faire à nouveau à cet homme. J’avais ressenti sa violence, son regard poisseux sur moi. Comment pouvait-il lui faire confiance ?.
Je me recroquevillais sur mon lit. Ma tête contre mes genoux.
Soudain, j’entendis des pas.
- Humm Prinzess…
Cette voix allemande me glaçait. La manière dont il avait prononcé ce mot. Deux gardiens me trainaient par les bras. Je refusais de me laisser faire.
- Lâchez moi !!!
Il se rapprocha de moi. Tout en plongeant son regard dans le mien,
- Wir haben vielen frangen… und du antworten muss !
Il emboita le pas, Je me débattais jusqu’à ce qu’on me traine à son bureau. Siège en cuir, tout était à sa place. Si strict tout comme semblait l’être sa personne.
On m’installa à un siège face à lui.
Il commença à m’interroger. Les deux autres gardiens étaient derrière moi.
Il s’adressa en allemand, sans que je comprenne, à ses hommes. Ces derniers sortirent.
Comment voulait il faire son interrogatoire alors que je ne maitrise pas la langue allemande.
- Je veux voir quelqu’un de France, un avocat. Vous ne pouvez pas me garder ainsi.
Je gardais mon calme, je ne voulais pas céder à la panique face à cet individu.
Il se leva, et s’installa face à moi. Il posa son fessier sur son bureau en restant légèrement debout. Puis il me dit :
- Je parle votre langue. Voyez-vous. Pas besoin d’autres personnes pour vous interroger. Avec moi, vous allez avouer, vous allez me supplier pour que je cesse de vous interroger.
- J’ai dit la vérité à votre supérieur.
- Ah Ja.. Herr Ludwig. Je vois qu’il s’est laissé charmé. Il n’est pas objectif. Moi je le suis. J’ai mené mon enquête aussi. Vous avez délibérément charmé Monsieur Franz. Un de ses collègues nous a indiqué comment vous vous y êtes prises. Pour eux, vous étiez deux putains.
- Comment… osez-vous me traiter de putain !
- Vous êtes une putain, probablement une espionne, et probablement une meurtrière.
Je le regardais, cet homme me dégoutait. Il se dégageait quelques choses de malsain dans sa manière de me parler.
- Voici l’arme qui a tué Monsieur Franz. Expliquez-moi comment elle s’est retrouvé dans votre sac ?
- Je ne le sais pas ! je vous jure, je ne sais pas. J’ai tenté de retrouver mon amie Claudia.
- Nous n’avons pas trouvé votre soi-disant amie.. Claudia. A l’adresse indiquée, personne. La maison était vide. Là où vous nous avez dit dormir, rien ! vous êtes qu’une vilaine petite menteuse.
Puis il me donna une gifle.
J’étais là, interdite. Tenant ma joue rouge. Je me devais de le garder sous contrôle. Je prenais ma respiration. Je ne disais plus rien.
Il se leva et tourna autours de moi. Il était derrière moi. Puis il tira sur mes cheveux pour attirer ma tête en arrière.
- Je vais te briser ! me dit il en ayant son visage presque collé au mien.
Je tenais ses mains avec les miennes, tentant de me défaire.
- Arrêtez je vous en prie. Vous me faîtes mal !
- Alors parle moi de cette soit disant Claudia. Pourquoi avoir tué Franz ?
Nous rentrions dans un dialogue de sourd. Quoi que je fasse, il n’écoutait rien. Il avait déjà sa position.
Il me gifla à plusieurs reprises.
J’étais épuisée, je voulais retrouver ma douce cellule.
Le temps me paraissait infini. Aucun échappatoire. Personne ne savait que j’étais ici. Et cet homme, Lintzer allait probablement faire de moi son souffre douleur.
L'interrogatoire terminé, on me ramena à la celulle.
Et cet officier, le reverrai-je ? A quel jeu jouait-il avec moi ?
En pleine nuit, je me réveillais en sursaut.
- Hallo Prinzess.
Herr linzer était dans ma cellule. La lumière froide du corridor me faisait mal au yeux.
- Qu’est ce que vous me voulez ? je vous ai dit tout ce que je savais. Par pitié arrêtez.
- J’arrêterai quand tu auras avoué ton crime.
Je me levais, toujours habillée de ma robe de soirée. Je n’avais rien d’autres.
- Faites votre métier ! enquêter ! je vous ai dit la vérité.
Sans ménagement il vint vers moi, me prenant par le cou. Il m’orienta vers la table et plaqua ma tête dessus.
- Ferme ta petite gueule. C'est moi qui parle et donne les ordres ici!
De son autre main, il releva ma robe.
- T’es une belle putain, je dois le reconnaitre. Tu as dû en faire des ravages. Sentir des queues. Humm tu es bien chaude.
Je sentais sa main s’aventurer dans mon entrejambe.
Je me débattais, mais lui me tenait toujours aussi fermement par le cou.
Il avait saisi sa matraque qu’il avait attaché à son uniforme.
Il commença à me battre avec sur les fesses.
- Tu crois que je veux baiser une femme qui a connu tant d’hommes !
Je fermais les yeux, pensant que j’étais dans un mauvais rêve.
Mon cerveau se mettant en pause. Je pensais à des choses douces, à mes parents, mes grands parents.
Que pouvais-je faire face à ce pervers ?
- Voilà comment on corrige une femme et qu’on la remet à sa juste place.
Puis il quitta la pièce le laissant sur la table, la robe relevée. Mon fessier était douloureux. Il m’avait tant fessé.
- Je reviendrais pour m’occuper de toi plus tard Prinzess.
Je me sentais terrifiée. J’allais me coucher comme je le pouvais sur mon lit. Tremblante.
Le lendemain matin, on m’emmena à la douche. Je peinais à marcher. Je ne sentais plus la froideur de la douche. J’imaginais où j’étais… repensant à la chaleur de ma chambre, à ce temps où j’étais libre.
Les jours filaient, j’étais heureuse de ne pas le voir, cet herr Lintzer. Allais-je moisir ici.
J’avais parler trop vite.
- Humm Prinzess… Comment allez-vous ?
Je relevais la tête, avec ce regard qui en disait long. Il s’approcha de moi dans ma cellule. Il me coinça dans le coin de cette dernière. Je ne voulais pas lui montrer combien il me faisait peur.
Il était plus petit que moi. On aurait dit un petit caniche aboyant sur tout.
- Votre seule manière de vous montrer supérieur, Herr Lintzer est d’écraser les autres. Vous pensez que vous allez me briser, vous rêvez. Vous êtes bien petit ! Vous pouvez me battre, faire de moi ce que bon vous semble. Jamais je vous céderai ou avouerai un crime que je n’ai pas commis. Allez-vous battez moi ! vous ne savez faire que cela.
Je voyais son visage devenir rouge. Il leva la main pour me gifler.
- Allez y, vous ne savez faire que cela ! lui répondis je en souriant.
Il mit sa main sur mon cou pour m’immobiliser.
- Je sais que tu aimes ça ! ton entrejambe est chaud.
Sans aucun ménagement il déchira ma robe, dévoilant ainsi ma poitrine.
Immédiatement, je me cachais derrière mes mains.
- Tu la ramènes moins ! Pour ce soir, j’ai des projets pour toi.. Prinzess !
Je ne voulais pas céder à la peur.
On vint me chercher, je ne savais pas quelle heure il était.. J’avais faim, froid. C’était sa manière je pense de me torturer. Il devait jubiler. Je ne lui montrerais rien.
ON m’avait apporter une espèce de nuisette rose poudrée, des chaussures élégantes et des sous vêtements.
Quand on vint me chercher, j’avais garder ma robe de soirée qu’il m’avait déchiré, en l’attachant comme je le pouvais. Mais au lieu de m’amener à lui voyant que je n’étais pas habillée comme il l’avait désiré, il se présenta en personne.
- Je vois, me dit-il. Je vois que je m’occupe de toi, Prinzess, et que tu refuses d’être bien traitée. Tu fais ta difficile.
Comme à mon habitude, je le toisais du regard.
Il tenait toujours sa matraque.
- Tu as 5 min pour te changer. Il s’assis sur la chaise. 5 min. Après je sévirai.
Je m’assis alors sur le lit ne voulant céder à son exigence. Je lui souriais.
Je savais qu’il allait sortir de ses gonds mais peu importe, je m’étais mis en tête de ne pas lui céder.
- Il me montrait sa matraque. Dois-je encore te punir ?
- Allez-y ! jamais vous ne me rabaisserez à votre niveau.
- A genou !
- Jamais.
- J’ai dit à genou !
Il donna un coup de matraque au niveau de mes genoux qui me fit plier et tomber au sol. Je me retrouvais ainsi assise au sol. Je sentais sa rage.
Il appuya sur ma tête.
- Tu vas ramper à mes pieds. J’en ai maté plus d’une qui était comme toi à me résister. Toi, je vais prendre un plaisir fou à te dresser Prinzess.
Il appuya sa chaussure sur ma tête. Je ne voulais pas céder aux pleurs. Jamais, jamais devant cet homme.
- tu vois, je voulais te faire prendre du plaisir, te voir te faire sauter par mes gardiens. et tu refuses d'être baisée... quelle putain fais-tu...
- Que se passe-t il ici ?
J’entendis alors la voix réconfortante de cet officier.
- Ah Herr Ludwig.
Ils se parlaient en allemand. Puis l’officier s’adressa à moi.
- Je vois que vous faîtes tout pour rester ainsi. Herr Lintzer vient de me dire que vous ne coopérez pas. Et que vous tentiez d’utiliser vos charmes pour échapper à vos interrogatoires.
J’étais la poitrine presque nue. La situation ne jouait pas en ma faveur.
- Je vous en conjure, je vous ai dit la vérité. Cet homme me terrifie.
- Cessez cela avec moi !
Soudainement, je décidais de me montrer nue, lui montrant mes bleus.
- Et ça, vous appelez cela comment comme interrogatoire ?
- Herr Lintzer ? il le regarda de manière interdite.
L’officier soudain laissa place à une certaine douceur. Il retira alors son manteau pour me couvrir.
- Herr Lintzer, cette affaire est sérieuse. Qu’avez-vous fait !
- Mademoiselle Lane, venez ici.
Il me prit par le bras, sous sa protection.
- Je la transfère à un autre centre là où est mon bureau. Monsieur Lintzer, nous n’en resterons pas là avec vos méthodes.
Je lâchais enfin prise, mes nerfs lâchaient. Je me réfugiais dans ses bras malgré moi. Le réconfort de cet homme me faisait oublier tout ce par quoi j’étais passée. J’avais trouvé mon protecteur, enfin je le pensais à ce moment.
- J’emmène la prisonnière avec moi.
J’étais dans son véhicule, je n’arrivais plus à parler, je tremblais encore et encore. Etais-ce son contact, étais-je malade ?
Je m’endormis sans avoir de crainte.
Le lendemain matin, je me réveillais à nouveau dans une cellule. De nouveaux vêtements m’avaient été déposés.
- Véronika, réveille toi!
Je reconnus alors la voix de Claudia….
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Douxsoumis
Bravo mademoiselle _Lane 👍 j’e ne doute pas que pour la suite ce protecteur aura quelques exigences et que notre héroïne Veronica souffrira de biens des tourments 😉
J'aime 25/09/21
Phylopsia
Cette main ferme ressentant la crainte lorsqu'elle se sert autour du cou, cette giffle qui fait rougir la joue de Veronika, qui, découvre le plaisir de l'humiliation et de la soumission lorsque Linzer la fouille et la fesse... De la provocation qui se mélange à de la crainte pour arriver à une excitation .... Je m'en vais vers le troisième chapitre, et ai hâte de connaitre le rôle de Claudia.... Merci pour ce partage.
J'aime 20/10/21