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le 18/08/13
Dans une relation BDSM, celui qui détient le contrôle est le dominant mais celui qui détient le réel pouvoir est le soumis. Le contrôle est accordée par le soumis au dominant. C'est une délégation de pouvoir. C'est pourquoi il existe une relation de soumission : parce que les soumis laissent le dominant prendre le contrôle.
Mais si le dominant va trop loin, le soumis peut révoquer cette délégation. C'est pourquoi celui qui a le pouvoir et bel et bien le soumis. Et non l'inverse comme j'ai souvent vu des "dominants" le penser.
Cette délégation nécessite une mise en confiance. Cette confiance doit être méritée par le dominant. Elle n'est pas dûe.
Mais si le dominant va trop loin, le soumis peut révoquer cette délégation. C'est pourquoi celui qui a le pouvoir et bel et bien le soumis. Et non l'inverse comme j'ai souvent vu des "dominants" le penser.
Cette délégation nécessite une mise en confiance. Cette confiance doit être méritée par le dominant. Elle n'est pas dûe.
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@Grégory: je ne fait en aucun cas fi de toute implication émotionnelle. Par "consentement mutuel" peut-être faite vous allusion au contrat si cher à nos amis anglo-saxon ? Mais toute relation, vanille ou BDSM, n'est-elle pas un contrat implicite... ?<br />Je ne fais que décrire une dynamique de domination/soumission équilibrée. Il est particulièrement important que le dominant connaisse sa place et son rôle. Un être qui impose sa volonté, n'est pas un dominant, c'est un abuseur. Trop d'auto proclamés "maitres" ne sont que des abuseurs profiteurs...
@Grégory: par définition, un diktat est imposé. Il ne peut y avoir de consentement à un diktat.<br />Aucun consentement n'est "simple". Toute relation est émotionnelle.<br />Pour moi, une relation de domination est fondamentalement émotionnelle et en aucun cas un diktat. Emotion et consentement ne sont pas antinomiques. De mon point de vue, un diktat est un abus. Une relation basée sur un diktat est par conséquent abusive à mes yeux.
@Dieu: non merci ! <img src="http://www.bdsm.fr/file/pic/emoticon/default/tongue.png" alt="Tongue" title="Tongue" title="v_middle" /><br />Je ne fais aucun amalgame, mais je vous laisse continuer dans votre erreur. C'est la votre, garder là. Merci.<br /><br />@Grégory: point de logomachie, mais une simple définition.<br />Et je n'abonde très certainement pas dans votre sens. Jamais je n'accepterai d'abonder un comportement abusif.<br />Ne tentez point ce type de retournement dialectique sur moi, je suis immunisé depuis ma tendre adolescence <img src="http://www.bdsm.fr/file/pic/emoticon/default/tongue.png" alt="Tongue" title="Tongue" title="v_middle" /><br /><br />@prettygal: What do you mean?
Je ne veux pas forcément mettre tout le monde d'accord. Mais ici comme dans beaucoup de débat, ce sont des visions différentes du BDSM qui s'opposent: Et je suppose que les deux réalités existent:<br />Que signifie "consensualité"? Est-ce l'expression d'une discussion entre les deux partenaires, fixant les règles, les limites et les envies et besoins de chacun? Ou bien peut on considérer que tant que la soumise ne s'enfuit pas, ou ne crie pas le mots de sauvegarde, on reste dans le consensuel...<br />Jide semble parlé du premier cas... Grégory du second.<br />Certains soumis (ou soumise) se livrent totalement: Durant tout le temps de leur soumission, ils sont les "objet" de leur Dominant qui fera vraiment ce que bon lui semble, sans se préoccuper un instant des ressentis de sa soumise... Elle lui à donné le pouvoir... Donc: Elle ne l'a plus...Et c'est comme celà que certaines veulent vivre leur bdsm...
@Empire Je parle bien des 2 cas. Jamais je n'ai dit qu'il était nécessaire de définir un cadre formel, des limites, tout ca, tout ca.<br /><br />J'ai simplement, et clairement indiqué que le pouvoir, c'est le soumis qui le détient, et qui le délégue au dominant afin que ce dernier puisse assumer un controle du premier.<br /><br />Consensuel ne signifie pas contrat, mais accord implicite. Tant que le soumis ne retire pas le pouvoir délégué au dominant, c'est qu'il est en accord avec ce qui se passe.<br /><br />Le pouvoir ne se donne pas, il se délégue. Les élus n'ont que la délégation du pouvoir donné par les électeurs. Mais c'est là un autre débat.
@Grégory: ni poncif, ni démagogique.<br />C'est ma vision. Celle par laquelle je vis mes relations BDSM.<br />J'ai bien compris que ce n'était pas la votre. Et je n'adhére pas à votre vision abusive.<br />Arrétez donc d'en faire un fromage, et pour se conformer à votre profil : puisque votre temps est précieux, passez donc votre chemin...
@chipie54 certainement pas vous <img src="http://www.bdsm.fr/file/pic/emoticon/default/tongue.png" alt="Tongue" title="Tongue" title="v_middle" /><br />Et puis, j'aprécie particulièremenr les individus féminins de petite taille <img src="http://www.bdsm.fr/file/pic/emoticon/default/wink.png" alt="Wink" title="Wink" title="v_middle" />
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23/08/13
@Isis, le soumis délégue le pouvoir au dominant qui l'exerce. La destination vient du soumis, même si non exprimée verbalement (d'où la nécessité d'empathie du dominant).<br />Je vous rejoins sur le rôle du dominant : il utilise ce pouvoir pour emmener le soumis vers un univers, décidant de la direction et des chemins à prendre, des moyens à utiliser.