DocAldo
par le 17/07/23
652 vues

Je suis donc l'instructeur qui interroge Catherine avec le jeune milicien comme assistant. Je suis assis à mon bureau, plongé dans l'examen du dossier et écoutant les réponses de la femme.

Le jeune milicien intervient :

« Madame je vois que vous ne jouez pas le jeu ! Vous ne gardez pas la poitrine gonflée !

- mais si, je, je...enfin si !

- Non Madame, vous vous ne gardez pas la poitrine tendue, tant pis pour vous. Retirez votre chemisier. Allons, vite ! »

Catherine se tourne vers moi implorante :

« Oh, s’il vous plaît Monsieur, pas cela ! Je, je…

- Obéissez si vous ne voulez pas goûter encore à la canne de bambou. »

Rouge de honte, Catherine sort les pans de son chemisier de son pantalon et commence à le dégrafer puis retire le vêtement et le pose sur une chaise à côté d'elle ; elle croise pudiquement les bras.

« Madame, placez les mains sur la tête et ne cachez pas votre soutien-gorge. Respirez, tendez votre poitrine... ! »

Depuis mon bureau, je me régale du spectacle des seins lourds dans le soutien-gorge tendu. Le milicien place carrément sa badine sous les seins de Catherine et les soulève :

« Bien, parfait ; gardez la position. »

Je reprends le dossier sachant que les questions qui arrivent vont la déstabiliser :

« Madame, de quand date votre dernier rapport sexuel ? »

Catherine suffoque :

« Oh mais Monsieur, je… je… C'est très intime, je ne peux pas... »

Elle n'a pas le temps de finir sa phrase : la badine du milicien frappe ses seins sur le soutien-gorge de haut en bas, visant les tétons.

« Aïeee, noooonn, aïïe ! »

Catherine se tortille mais garde les mains sur la tête, le milicien lui impose de se redresser.

« Je vous écoute, Madame…

- Euh, il… Il y a quatre jours, sanglote-t-elle, vendredi soir, Monsieur...

- Avec votre mari ?

- Oh oui, bien sûr : je suis une épouse fidèle, je... Je n'ai pas d'aventure...

- Jamais ?

- Oh non Monsieur... »

Je prends mon temps et relis un peu le dossier.

« Vous avez joui ? »

Catherine se liquéfie, les questions devient très intimes. Elle bafouille :

« Euh oui… Oui Monsieur.

- Vous aimez jouir ?

- Euh… Bien, oui…Oui Monsieur.

- Vous pratiquez la fellation, Madame ? »

Catherine est très choquée mais elle sait qu'elle doit répondre, le milicien promène sa badine sur son soutien-gorge, prêt à frapper, cela fait un moment qu'il lui agace et caresse les tétons qui pointent sous le soutien-gorge.

« Je… Oh mon Dieu, je… Noon, noon, jamais Monsieur, c'est pas bien, c'est... »

Je me lève en souriant et viens vers Catherine avec le dossier ; arrivé à son niveau, sans un mot, je la gifle d’un aller-retour avec le dos de la main.

« Aïïeii ! Ooooh mais je… je… Pourquoi ? Sanglote-t-elle.

- Madame, cela fait un moment que vous vous moquez de nous ! J'ai reçu votre mari il y a une semaine pour remplir avec lui votre dossier, écoutez sa réponse à cette question :

"Oui, ma femme pratique la fellation. Elle aime d'ailleurs beaucoup cela ; pendant les préliminaires elle le fait systématiquement, cela l'excite beaucoup, je peux même dire que c'est une très bonne suceuse, experte. Par contre, elle a beaucoup de réticence à avaler le sperme, il m'arrive parfois de le lui imposer, cela lui donne envie de vomir… Mais sucer, oui : elle adore !"

Alors, qu'avez-vous à dire, Madame ? Votre mari est un menteur ? »

Catherine est blême, elle commence à transpirer beaucoup.

« Non monsieur, il a raison : je… je… Oui, je pratique la fellation...

- Vous êtes donc une menteuse ?

- Oui Monsieur, désolé.

- Vous allez être punie, Madame... Retirez votre soutien-gorge. Allons, vite ! »

Malgré sa honte, Catherine sait que rien ne sert de résister. Elle dégrafe le sous-vêtement, fait glisser les bretelles et le maintient devant sa poitrine.

« Allons Madame : retirez-le ! Et montrez-nous vos seins ! »

Catherine est morte de honte ; elle obéit et se présente seins nus. Je suis ravi de pouvoir humilier cette femme, ronde, sensuelle ; je me place derrière elle, lui bloque les mains dans le dos et ordonne :

- Cinq coups... sur les seins... Cela lui apprendra à mentir...

- NOOOOOON, aïe, pas sur les seins, aïïïïe, nonn, c'est trop douloureux ! Snifff… Aïïe, pas les tétons, pas les tétons !... Aïïïïe ! »

Je lâche Catherine, le milicien lui impose de se tenir droite, seins tendue mains sur la tête. Ces gros seins sont zébrés de 5 stries rouges, " passent à travers les tétons.

« Bien, que cela vous serve de leçon. Vous allez obéir ?

- Oh oui Monsieur !

- Vous ne mentirez plus ?

- Non Monsieur. »

Je fais un signe au milicien qui commence à ouvrir le bouton du pantalon de Catherine puis descend la fermeture éclair... et attend. Je lui fais signe de continuer et il commence à descendre le pantalon, la femme apparaît en culotte, le jean baissé aux genoux, nous pouvons l'admirer.

« Faites ballotter vos seins de droite à gauche Madame ! »

Catherine, qui ne veut pas recevoir une seconde punition, obéit malgré sa honte, elle balance ses seins doucement.

« Plus vite et plus fort, Madame ! »

Elle obéit ; ses seins claquent une fois à droite, une fois à gauche et deviennent douloureux. Catherine transpire beaucoup ; malgré tout, ses tétons sont érigés, gorgés de sang.

« Stop ! »

Elle éclate en sanglots.

« Retirez votre pantalon, complètement... Vite ! »

Elle obéit, il ne lui reste que sa culotte. Elle est déjà pieds nus depuis la salle d'attente, c'est le premier principe d'humiliation : quand une femme arrive au centre, elle retire ses chaussures, ses chaussettes ou ses collants, elle se présente pieds nus devant l'instructeur.

Je reprends le dossier.

« Bien. Madame, depuis ce rapport sexuel, il y a euh, quatre jours, vous vous êtes masturbée ? »

Catherine sombre un peu plus, hésite et du coup, reçoit un coup de canne sur les fesses.

« Aïïïïee !

- Alors ?

- Non Monsieur, non !

- Vous vous masturbez régulièrement ? »

Catherine sait que son mari a dû parler de ses pratiques, elle doit être franche.

« Euh, non Monsieur, pas très souvent mais parfois cela m'arrive. Je euh, oui, pas très souvent mais régulièrement, mon mari me demande de le faire devant lui. Au début, je n’aime pas mais après, cela euhh, cela m'excite, Monsieur.

- Et vous jouissez ? »

Catherine baisse les yeux.

« Oui Monsieur.

- Répondez par une phrase, je vous prie : "oui Monsieur, je jouis".

- Oh pardon. Je, je… Oui Monsieur, je jouis.

- Bien. Vous utiliser des accessoires pour vous masturber, ou uniquement vos doigts ?

- J'utilise uniquement mes doigts, Monsieur.

- Bien. Je vois que vous êtes devenue plus docile, c'est parfait. »

Je pose le dossier et m'approche d'elle, je la regarde dans les yeux et lui empaume les seins. Je lui soupèse, je les palpe... Elle a toujours les mains sur la tête, les seins offerts c'est un vrai régal. Au bout d'un moment, ce que j'attendais arrive : elle craque, elle se secoue et libère ses seins.

« Arrêtez, laissez-moi ! Je, je… »

Le milicien s'apprête à frapper je lui fais signe d'arrêter :

« Non, attends ! Apporte le tabouret... »

Il place au centre de la pièce une espèce de caisse d'environ soixante centimètres de haut et, saisissant Catherine, lui menotte les mains dans le dos.

Je m'approche d'elle ; je vois à son regard qu'elle est terrorisée. Je lui caresse doucement le ventre puis, pour marquer ma domination, j'écarte l'élastique de sa culotte et regarde son sexe poilu et brun...

« Tu as déjà été épilée ? Complètement ?

- Oh non Monsieur, jamais ! »

Je fais claquer l'élastique sur son ventre :

« Monte sur la caisse. Comme tu manques encore d'obéissance, tu vas être punie... Saute ! »

Catherine saute. Ses seins claquent douloureusement contre son ventre.

« Remonte ! Saute ! Remonte, saute ! »

Les nichons claquent, ballottent dans tous les sens, rougissent, deviennent douloureux et extrêmement sensibles, les tétons sont gonflés.

« Remonte ! Saute ! Remonte ! Saute… »

Au dernier saut, Catherine chute au sol et se met à sangloter.

« Allons, Madame Aldo, relevez-vous et arrêtez de pleurnicher comme une gamine. »

Elle se relève péniblement, ses mains étant toujours menottées derrière son dos, et, ne voulant pas être à nouveau punie, se tient droite et gonfle la poitrine.

« Je pense que cette fois vous avez compris la leçon ? Durant votre séjour ici, vous devez être dans l'obéissance TOTALE !

- Oui, oui Monsieur, je serai obéissante, promis !

- Durant votre séjour ici, vous serez considérée comme un objet sexuel, les maris de femmes présentent au Centre auront accès à votre cellule de jour comme de nuit grâce à leur carte magnétique ; seul votre mari ne pourra pas accéder à votre cellule. Mais bien sûr, à celles de toutes les autres pensionnaires. Quoi qu'ils vous demandent vous devrez obéir c'est compris ?

- Oui Monsieur.

- Vous pourrez également être louée à de riches personnalités qui souhaitent réaliser leurs fantasmes, seuls ou avec leurs épouses ou des amis... Ce qui plaît beaucoup en ce moment, est le scénario de la visite médicale en tenue de collégienne... »

L'homme sourit.

« … Mais l'arrestation par la Gestapo et l'interrogatoire plaisent également beaucoup. Dès demain votre dossier, avec photos nue, sera diffusée à notre clientèle privée.

- Oh mon Dieu...

- En tout cas, vous avez intérêt à être obéissante sinon, la prochaine fois, vous allez goûter aux plaisirs de la suspension mammaire... »

Catherine n'ose pas parler, terrorisée. Je m'approche et commence à lui palper les seins, qui sont douloureux et bleus après le dernier exercice. Cette fois Catherine ne dis rien malgré sa honte elle se laisse palper.

« Vous avez les seins douloureux ?

- Oh oui Monsieur.

- Retire lui les menottes. »

Le jeune milicien les lui retire.

« Vous allez masser vos nichons, Madame.

- Euh mais je, je...

- Allons, ne discutez pas. »

Catherine passe ses mains sous ses seins et commence à les masser, les soupesant, cela calme un peu la douleur. Pendant qu'elle se masse, je l'observe, tourne autour d'elle.

- Vous portez toujours des culottes aussi... enveloppantes... Taille haute... ?

- Oh euh, oui, oui Monsieur. »

Pendant qu'elle continue à se masser, je saisis l'élastique de sa culotte et remonte le sous-vêtement fermement vers le haut...

« Aiiiie ! Ohhh, sniff… »

Cela a pour effet de faire pénétrer le tissu dans sa raie culière et dans sa fente, puis je roule l'élastique sur ses hanches jusqu'à dévoiler environ quatre centimètres de son pubis et le haut de son sillon fessier ; aussitôt, je la sens tendue, humiliée à l'extrême. Je ricane :

« Voici une culotte plus conforme à ce que nous exigeons ici... Massez également vos bouts, Madame. Allons, obéissez. »

Catherine pose ses paumes sur ses bouts et les frotte, je vois bien que cela les fait gonfler...

« Vous êtes excitée Madame ? »

Elle rougit de plus belle.

« Euh, je, non, je ne sais pas pourquoi…

- Votre dossier mentionne que lorsque votre mari vous impose de vous masturber devant lui, vous commencez toujours par vous caresser les seins, donc je me pose la question.

- Oh mais... Je… »

Bien sûr, j'ai remarqué qu'elle commençait à respirer plus fort en se caressant les seins et qu'elle commençait malgré elle à être un peu excitée.

« Tirez sur vos pointes de seins, Madame.

- Oui monsieur. Aïeee, aïïee, hummmm !

- Plus fort Madame : pincez bien vos tétons...

- Aïeee !

- Bien. Stop, mains sur la tête… Parfait ! Nous allons vérifier un point du dossier. »

Je fais signe au jeune milicien d'approcher.

« Baisse ton pantalon. »

Il s'exécute.

« Baisse ton caleçon. »

Catherine voit apparaître le sexe en demi-érection du jeune homme, elle est stupéfaite quand d'une main, je saisis les testicules du jeune homme et de l'autre, je commence à le masturber...

« - D'après votre dossier, vous êtes une très bonne... "suceuse". Vous allez nous montrer cela ! À genoux ! Gardez les mains sur la tête ! Avancez sur les genoux... »

Stupéfaite, Catherine regarde le sexe du jeune milicien que je suis en train de masturber sans pudeur. Ayant encore les seins bleuis et douloureux suite à la première punition, elle a peur d’être encore corrigée et s’empresse d’obéir. Elle avance sur les genoux avec les mains sur la tête, en se tortillant de façon ridicule. Elle sait qu’elle va devoir sucer le milicien, puisque son mari a affirmé qu’elle était une bonne suceuse. C’est vrai qu’elle aime faire les fellations mais à son mari, pas à des inconnus, ni sous la contrainte...

« Approchez-vous plus près, Madame. »

Son visage couvert de larmes est à cinq centimètres du sexe du garçon que je masturbe encore et qui est devenu très dur.

« Vous allez commencer par lécher ce sexe de la base au gland, en sortant bien la langue et en salivant fortement. »

Terrorisée, Catherine s’exécute et même s’applique, malgré sa honte et son dégoût, elle lèche, sort la langue en grand…

« Les testicules maintenant. Allez, léchez ! »

Elle a horreur de cela : le jeune homme à les testicules poilues et cela lui donne des haut-le-cœur mais je la stimule avec ma baguette en tapotant ses fesses.

« Bien. Maintenant, prenez le sexe en bouche et sucez. »

Le jeune homme respire fort et gémit, Catherine s’applique redoutant une nouvelle correction.

Elle pense : "Pourvu qu’il ne me mette pas tout dans la bouche".

Mais elle suce avec ardeur, aspirant bien la verge, serrant bien ses lèvres autour, et passant souvent sa langue sur le gland du garçon qui gémit de plus en plus... Quand elle sent que la verge gonfle et devient de plus en plus dure, elle essaye de retirer le sexe de sa bouche pour éviter la décharge... Mais le garçon plaque ses mains sur sa nuque, enfile sa verge au fond de sa gorge et immédiatement, éjacule un sperme gras et abondant au fond de sa gorge. Catherine éructe, tousse, est prise de vomissements, mais le jeune homme la maintient fermement, ce qui l’oblige à avaler l’intégralité de sa liqueur. Le milicien prend son temps ; Catherine étouffe, manque d’air... Puis il relâche sa pression et retire son sexe repu. Catherine s’affale au sol et sanglote.

« Allons, cessez vos jérémiades et vos pleurnicheries. Debout, vite ! »

Catherine se relève et se place mains sur la tête, bien droite, poitrine tendue mais encore secoué de sanglots.

Du regard j’interroge le milicien :

« Oui, son mari a raison : elle suce parfaitement, sa langue est douce sur le gland.

- Bien, c’est parfait. »

Je remplis son dossier en même temps.

« Madame, nous allons maintenant procéder à l’examen de vos orifices, puis au marquage. »

Catherine, entre deux sanglots, me regarde avec un regard affolé mais ne semble pas tout comprendre.

« Retirez votre slip madame et tendez-le-moi. »

Catherine est effondrée : cette fois, elle va être toute nue devant les deux hommes sans aucun rempart pour sa pudeur. Néanmoins, elle obéit, descend son slip en se baissant, puis l’enjambe et, honteuse, me le tend avant de reprendre sa pose. Nous pouvons enfin apprécier sa touffe fournie de poils bruns. J’examine le fond de sa culotte et je lui fais remarquer qu’il est humide, Catherine rougit et baisse le regard.

« Il me semble que le fait de sucer provoque un grand émoi chez vous, Madame.

- Je euh, noon, je, je ne sais pas… Sniff ! »

Cette femme ronde et pudique, nue, presque indécente, me donne très envie de l’humilier et me provoque une forte érection. J’enfile des gants d’examen et m’approche de Catherine qui, par réflexe d’obéissance, rectifie sa position et tend la poitrine dont les tétons semblent durcis.

Je commence à examiner ses cheveux en disant que cela sera agréable de la voir être tondue par le coiffeur du centre. Puis saisissant sur la table un spéculum auriculaire, j’inspecte ses oreilles en veillant à n’être pas trop doux afin que l’examen soit douloureux.

« Penchez la tête en arrière, Madame, je vais inspecter vos narines, penchez plus ! Allons…

- Oui, aïeeee, oooh c’est désagréable !

- Bien. Redressez-vous ! Ouvrez grand la bouche ! Tirez la langue ! »

J’enfile deux doigts au fond de sa gorge et lui maintiens la nuque...

« Allons, résistez : ne vomissez pas ! »

Catherine bave beaucoup tousse, manque de s’étouffer…

« Allons, reprenez votre calme ! »

Je la gifle, elle se redresse automatiquement.

« Oh pardon, excusez-moi Monsieur. »

Je continue mon examen un peu approfondi : mes mains descendent sur ses seins. Pour la première fois, je les palpe avec plaisir puis je saisis les tétons et les tords en les tirant vers le haut. Catherine se retrouve sur la pointe des pieds, le visage grimaçant, elle essaye de résister à la douleur puis craque :

« Aïïïe ! Arrêtez, arrêtez, je vous en supplie : c’est trop douloureux ! Aïïïïeeeee ! »

Je la laisse reprendre la pose mais pas de répit : je descends ma main sur ses fesses et les caresse longuement, juste pour qu’elle sente que j’ai tous les droits sur son corps... Je joue un peu avec sa raie, mais ne touche pas encore son sexe... J’effleure à peine son anus. Puis je lui indique la table gynécologique :

« Installez-vous, Madame... Les pieds dans les étriers... »

Catherine hésite, tremblante ; le jeune milicien la saisit par un bras et la dirige de force vers la veille table gynécologique entièrement en métal, un peu rouillée...

« Allongez-vous Madame... »

Catherine obéit, le métal froid lui donne la chair de poule. Le jeune milicien commence à l’immobiliser sur la table : il passe une sangle de cuir autour de son cou, une au niveau des hanches, bien serrée ; il positionne ses pieds correctement dans les étriers et passe une sangle au niveau des chevilles et une au niveau des genoux. Catherine se sent complètement impuissante. Pour le moment, seuls ses bras ne sont pas attachés. Le jeune garçon écarte les étriers au maximum. Catherine sent son sexe s’ouvrir, son intimité se dévoile, impudique ; elle sanglote de honte. Je passe des gants d’examen propres...

« Bien. Madame, nous allons continuer l’examen de vos orifices.

- Oh noon… S’il vous plaît… C’est terriblement humiliant ! Je… oh mon Dieu ! »

Je commence à palper longuement son ventre et son pubis, fouillant son nombril. Cela est douloureux, elle gémit.

« Humm, c’est bien ce qu’il me semblait : votre vessie est pleine... Passez-moi une sonde, je vous prie....

- Mais enfin nonn… Pourquoi, je… »

Le jeune homme me passe un sachet chirurgical d’où j’extrait un cathéter. Catherine essaye de se débattre ; le milicien saisit ses mains et les maintient au niveau de sa tête... J’ouvre son sexe d’une main et découvre sans ménagement le méat urinaire ; j’enfile le tube de plastique. Catherine gémit... Rapidement, le tube se remplit d’urine.

« Bien. Nous sommes dans la vessie. »

Je plonge l'extrémité du tube dans un bocal et ouvre le robinet... L’urine s’écoule rapidement et emplit le bocal bruyamment, pour la plus grande honte de Catherine qui se sent se vider sans pouvoir se contrôler. Dès la dernière goutte dans le bocal j’arrache la sonde sans ménagement. Catherine hurle de douleur...

« Allons Madame, modérez-vous, je vous prie. Bon. Vous êtes droitière ?

- Euh oui, oui, pourquoi ? Je, je... »

Le jeune milicien lui attache le bras gauche le long du pied de la table.

« Bien. Madame, je vais devoir procéder à un examen en profondeur de votre vagin ainsi que de votre utérus. Pour cela, vous devez être bien lubrifiée, et rien ne vaut la lubrification naturelle... »

Catherine ne comprend pas mes propos jusqu’à ce que l’ordre tombe :

« Masturbez-vous, Madame. »

Catherine est estomaquée, abasourdie.

- Me...Oh non, jamais… Je ne peux pas faire ça devant vous, jamais ! »

Je fais un signe au milicien qui approche une table à roulette avec dessus des câbles et un générateur. Le jeune homme m’interroge du regard :

« Sur les bouts de seins.

- Bien Monsieur. »

Le jeune homme pose des pinces sur les tétons de Catherine et les relie à la machine.

« Mais arrêtez ! Mais que faites-vous... Je, je.... »

Sur un signe de tête, le milicien déclenche une décharge. Catherine hurle, son corps s’arc-boute... La douleur est terrible. Après la coupure, elle tremble.

« Ah, ah ! Pas cela, arrêtez... Je vous en prie… Ahh !

- Bien, alors soyez obéissante, sinon la prochaine fois, ce sera une décharge sur le clitoris. »

Catherine baisse le regard.

« Oh mon Dieu, je vous en prie, pas là... Oui Monsieur, je serai obéissante. »

Je prends sa main droite et la pose sur son sein.

« Bien... Commencez par vous caresser les seins, Madame. »

Catherine rougit et hésite, mais les pinces du terrible générateur sont toujours fixées sur ses tétons et elle redoute une nouvelle décharge. Avec sa main droite, elle se touche les seins sous le regard vicieux des deux hommes. Au bout de quelques minutes, je prends sa main et la guide... Je passe sur son ventre puis place sa main entre ses cuisses ouvertes, sur sa vulve ; elle frémit au contact de sa propre main...

« Allez-y, Madame : masturbez-vous... »

Sa main commence timidement à bouger entre ses cuisses, massant sa vulve... Catherine respire de plus en plus fort... Nous regardons attentivement ses gestes. Ses doigts deviennent de plus en plus précis, son index décalotte son clitoris et le masse... Elle gémit...

« Hummmmm’ohhhhh huummmm !

- Vous aimez que l’on vous regarde en train de vous masturber, Madame ?

- oh mon Dieu, noon : c’est terriblement gênant...

- Gênant certes, mais cela vous excite... »

Catherine est rouge de honte et d’excitation, jamais elle n’avait fait cela devant deux hommes... Parfois son mari lui demandait de le faire, pour lui seul.

« Ooohhh oui, oui Monsieur, c’est honteux et excitant... Hummmm hummmm, oui, c’est bon… J’aime que vous me regardiez... Faire ça ! »

Catherine est de plus en plus excitée… Elle mouille terriblement.

Sanglée sur la table gynéco Catherine continue à se masturber avec ardeur malgré sa honte. Je lui impose de garder les yeux ouverts et de nous regarder... Son corps nu est trempé de sueur... Elle gémit de manière indécente...

À sa tension et à ses gémissements, je remarque qu'elle va jouir... Je fais signe au jeune milicien qui, aussitôt, saisit sa main et l'attache à la table, la laissant dans un état de frustration terrible.

« Ohhhh ! Non, je vous en prie, laissez-moi prendre du plaisir... Je, je, oh j'ai trop envie... de… de jouir, oh mon Dieu ! »

Elle éclate en sanglots

« Allons Madame, reprenez-vous. Restez digne, je vous prie. »

Le milicien lui envoie une décharge électrique dans les seins... pour la calmer.

« Aiiiiiiiieeeee ! Non, non, stop !

- Je ne souhaitais pas que vous ayez un orgasme... Je voulais juste que vous soyez parfaitement lubrifiée pour examiner votre vagin ainsi que votre utérus... »

Une suite à l'admission de Catherine...

Elle est nue, sanglée sur la table gynéco, et je viens de lui annoncer que j'allais examiner son vagin et son utérus.

Je passe calmement des gants d’examen puis prépare sur un plateau métallique les instruments. Le générateur est toujours branché sur les tétons de Catherine. Elle me regarde les yeux ronds, terrorisée... Elle vient de se masturber de force devant nous et d'être frustrée de son orgasme.

« Bien, voyons cela, Madame... »

J'écarte sans ménagement ses petites lèvres et la pénètre à deux doigts... Elle gémit doucement.

- Bien. Vous êtes parfaitement lubrifiée, Madame... Vous mouillez toujours comme cela ? »

Elle est rouge de honte.

« Euhh, oui, je pense, oui Monsieur. »

Je fais allez et venir mes deux doigts dans son vagin. Catherine se raidit, elle gémit...

« Hummm, ohhhh, hummmm ! Oh, je vous en prie, arrêtez... Vous, ohh, vous allez me... me faire jouir !

- Ce n'ai pas le but, Madame. »

Je pousse mes doigts au fond de son vagin et palpe le col de l'utérus... L'examen est douloureux ; à plusieurs reprise, Catherine crie de douleur.

« Allons Madame, restez digne je vous prie. Je vais mesurer votre utérus. »

Je prends sur le plateau un longue tige métallique terminée par une forte boule. La tige est graduée et une bague coulisse dessus. Je pose l'instrument froid sur le ventre de Catherine. Puis je prends un fort spéculum métallique et le lui présente :

« Je vais vous ouvrir, Madame.

- Oh noon, s’il vous plaît, noon, pas ça ! »

Je la pénètre avec l'instrument et actionne la molette.

« Aïïïe ! Non, pas plus ! Aïïïe, c'est douloureux !

- Je sais, Madame, mais je dois vous examiner. »

Son sexe est béant, humide, tellement ouvert que son clitoris est décapuchonné et complètement tendu, gorgé de sang... hypersensible…

Je demande au milicien de me passer une petite pince aux bords dentés.

« Je vais vous poser cette pince sur le clitoris pour vous calmer, Madame.

- Noooon, noooon, je vous en prie ! »

Je place la pince sur le petit bourgeon. Catherine hurle, essaie de bouger dans les sangles et pleure de douleur. Sans la laisser respirer, je la pénètre avec la tige, place la boule sur le col et d'un geste sec, la fait entrer dans son utérus. Catherine hurle un bref moment puis s'évanouit… Avec une pince, je fais coulisser la bague contre le col pour prendre la mesure.

Puis m'adressant au milicien :

« Comment tu la trouves, cette femelle ? Un peu ronde mais baisable ?

- Oui plutôt. J'aime bien ses gros nichons et elle semble une salope au lit.

- D'après son dossier, elle apprécie la sodo en plus, cette chienne ! »

Les hommes ricanent.

Profitant de son évanouissement je décapuchonne fortement son clitoris tourmenté.

-« Tu as vu : elle à un gros clito. »

Les hommes rient encore.

« Bon, allez, réveille-la. »

Le milicien appuie sur le bouton et envoie une décharge dans les seins de Catherine qui se réveille en gémissant. Je retire la tige :

« Bien. Profondeur utérine sept centimètres et demi, vous êtes dans la moyenne, Madame. »

 

 

 

 

10 personnes aiment ça.
thomasreplay
"Vous êtes dans la moyenne, Madame"
J'aime 20/07/23
thomasreplay
Excellent !
J'aime 20/07/23