par le 31/08/23
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                                                                                                   SCENE 1

«  Bof décidemment toujours les mêmes choses qui se passent. »

Il lisait tranquillement son journal tout en caressant la tête de la petite chienne posée sur ses genoux, n’étant guère passionné par les nouvelles il décide de le reposer.

-«  Bon toi tu vas aller un peu dans ta cage. »

Il la met en cage, vérifie qu’elle ait bien de l’eau dans sa gamelle et lui donne ses jouets.

-« Je vais devoir m’absenter, j’en ai pas pour longtemps, tu restes sage ! »

La petite chienne le regarde et vient chercher une caresse comme pour montrer qu’elle est d’accord.

Il appelle alors la servante qui était restée au coin du mur dans la pièce voisine.

-« Mademoiselle venez-voir ! »

La servante accourt vers lui.

-  Monsieur m’a demandé ?

- Je vais faire des courses, pendant ce temps vous me surveillez bien la petite chienne, vous ferez également la vaisselle. Si les choses ne sont encore pas effectuées avec sérieux je me verrais dans l’obligation de sévir ! Et gare à vous si la chienne s’échappe !

- Bien Monsieur. »

 Il part alors faire les courses, tout se passe bien hormis la traditionnelle vieille à la caisse. Lorsqu’il revient il espère que la vaisselle sera faite et l’appartement lavé et que la chienne n’aura pas encore fait pipi dans la cage. Quand il franchit la porte les sacs à la main ses espoirs s’envolent en voyant la servante promener la petite chienne dans l’appartement.

-«  Mais enfin qu’est-ce que vous faites ?!

-  Ah vous avez fait vite Monsieur, désolé mais elle n’arrêtait pas d’aboyer, elle a renversé sa gamelle, elle a bien failli défoncer la cage et…

- Mais je m’en fiche ! Vous avez comme instruction de l’attacher et l’enfermer dans le cagibi si elle fait la folle dans la cage et d’utiliser la baguette ou le martinet si cela ne suffit pas ! Je ne vous ai pas demandé de la sortir et la promener, en plus la vaisselle n’est pas faite ! Avez-vous passé l’aspirateur ?

- C’est que… elle ne m’en a pas laissé le temps Monsieur.

- Si vous aviez bien appliqué les consignes vous auriez eu le temps. Puisque c’est comme ça vous serez sanctionné toutes les deux. Vous allez dans le cagibi, vous m’attachez la petite chienne, vous restez prés d’elle, vous attendez sagement à genoux les mains derrière la tête.

- Mais Monsieur je vous jure que…

- Je ne veux pas savoir vous êtes en tort toutes les deux ! Peu importe qui a commencé, je vous rassure il n’y aura pas de jaloux vous allez autant l’une que l’autre le payer cher. » 

N'HESITEZ PAS A PASSER A L'ACTE EN ME FAISANT PART EN COMMENTAIRE DE VOS IDEES POUR LA SCENE 2....

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Zuip
Leur faire nettoyer la vaisselle en la léchant avec leur langue... sous le regard et la baguette du Maître...
J'aime 31/08/23
Zuip
Monsieur travaille, Monsieur lit, Monsieur écrit, une main posée sur la tête de la petite chienne accroupie à ses pieds. De temps en temps la petite chienne lève le museau pour lécher la main de son Maître, elle frétille de la croupe, mordille sa main. Elle voudrait jouer. Mais une tape sur sa tête la rappelle vite à l'ordre. Alors, toute contrite, pour un temps calmée, mais avec un soupir, la petite chienne repose son museau sur les genoux du Maître. - Marie, je vais sortir. Le Maître s'adresse à la jeune servante qui attend dans l'ombre. Elle s'approche. Tête baissée, les mains jointes devant son tablier de soubrette, qui se détache blanc sur la stricte robe noire. - Marie, je vais sortir. Je tiens à ce que la maison soit impeccable à mon retour. Vous rangerez, ferez la vaisselle et passerez l'aspirateur. - Bien Monsieur. Le Maître alors tire la laisse de la petite chienne. Docilement, elle le suit à quatre pattes jusqu'à la cage où il l'enferme. Elle est déçue. Elle voudrait l'accompagner. Lui montrer à quel point elle aime être à ses côtés. Quelles que soient les circonstances. Mais la main du Maître, qui la caresse de la tête à la croupe, la rassure. Et libérée de la laisse, elle se couche dans son panier. Avant de sortir, le Maître pose en évidence la cravache sur la table.
J'aime 31/08/23
Zuip
Le Maître sait, que, dès qu'il a le dos tourné, les filles en profitent pour s'amuser. Il sait que Marie va ouvrir la cage pour faire sortir Anne, la petite chienne. Et qu'elle va s'amuser à la promener en laisse dans toutes les pièces, en l'imitant lui, le Maître. L'air sérieux et la mine sévère. Et qu'elle va ordonner à Anne de courir, de stopper, de rester sagement assise. Jusqu'à ce qu'elles éclatent de rire. Et se tombent dans les bras. S'enlacent. S'embrassent. Elles sont complices, les filles. Et Anne, la petite chienne, va follatrer, s'échapper, poursuivie par Marie, qui la rattrape, la tient, lui fait subir ses désirs. Le Maître sait ce qui se passe quand il n'est pas là. Et il s'en réjouit. Il se réjouit de leur complicité. Il se réjouit de leur désobéissance. Qui ne sera qu'un prétexte de plus pour les corriger. Car la cravache, qu'il a posée bien en évidence sur la table, n'est pas une plaisanterie.
J'aime 03/09/23
Zuip
Quand le Maître rentre, il surprend la sarabande. Et sa présence suspend aussitôt les ébats des deux tribades. Enchevêtrées. Essoufflées. Rouges. Trempées. Elles sont saisies. Saisies par l'effroi. Saisies par le regard du Maître. Les jouets de la chienne traînent partout. Plugs, godes et vibros. Les jouets qu'elle est seulement autorisée à rapporter dans sa gueule quand son Maître le lui ordonne. Il les a rarement vues dans cet état. Aussi excitées. Ont-elles joui ? Très certainement. Et plusieurs fois. Et elles en veulent encore, les garces. - Vous voulez du foutre ?! C'est ça ? Vous voulez du foutre ! Vous barbouiller de foutre ! En avoir plein la bouche et la gueule ! Chacune comprend à qui ces mots s'adressent. Le Maître est en colère. Et le Maître va sévir. Les punir. Les corriger. Et les colères du Maître sont parfois terribles. Colères froides qu'elles redoutent. Car le Maître est sévère. Dur. Impitoyablement dur. Les filles, contrites, tête basse, n'osent répondre. Inutile de tenter d'amadouer le Maître. Elles sont en faute. Et elles le savent. Marie a aussitôt repris sa position de soubrette, les mains jointes devant son tablier. Et la chienne, à quatre pattes, recroquevillée, le museau entre les pattes, au sol. Ce qui l'oblige à lever haut la croupe. Et quelle croupe ! Rebondie, pleine, bien fendue, soulignée par la taille étroite... Mais oui, elles voudraient du foutre ! Le foutre du Maître quand il leur fait l'honneur de jouir d'elles. Dans leur chatte, dans leur cul, dans leur bouche. Oh oui ! Surtout dans leur bouche. Surtout quand il ordonne : - Je vais jouir dans la bouche de l'une. Et elle partagera mon foutre avec l'autre... - Vous voulez du foutre ?!... Eh bien vous aurez des coups !... Et le Maître aussitôt se saisit de la cravache qui attend sur la table.
J'aime 09/09/23 Edité
Zuip
- C'est l'heure de la punition ! Après avoir enchaîné serrée la chienne dans la cage, lui avoir mis un bâillon mors pour qu'elle en bave, le Maître revient au centre de la pièce pour se saisir de Marie. Il a enchaîné la chienne de telle sorte qu'elle est contrainte d'assister à la punition que le Maître va infliger à la jeune servante. Sans ménagement, il empoigne Marie par un bras, la mène ainsi jusqu'à la table. Il la penche et la trousse. Ramène sa jupe noire sur ses reins, met son cul à nu. La soubrette ne porte pas de culotte. Elle doit toujours être accessible à la bite ou à la main du Maître. A un plug ou un gode, s'il lui en prend l'envie. Elle doit être toujours prête à servir. Quel que soit l'usage qu'il veut faire d'elle. Pour l'heure, il rectifie la position de la jeune servante. D'une main au creux des reins, il l'oblige à se cambrer encore davantage, lui écarte vivement les jambes. Il n'est pas tendre dans ses gestes. Marie craint. Elle connaît les terribles punitions du Maître. Elle les redoute. Même si elle se montre docile, elle sait que le Maître va frapper fort. La frapper pour la marquer. La frapper jusqu'à ce qu'elle en gémisse. Jusqu'à ce qu'elle faiblisse et s'avoue vaincue. Mais le Maître ne peut s'empêcher de passer une main négligente entre ses cuisses. La salope est déjà trempée. Alors, d'un pouce, il lui bourre plusieurs fois la chatte. Puis, très vite, sort sa bite et l'enfile. Brutalement. Violemment. Ses mains incrustées dans ses hanches, il la fourre durant de longues minutes. Sans jouir. Sans la faire jouir. Enfin, un peu apaisé, il remballe sa bite. Et, calmement, replace les mains de la soubrette, ouvertes, bien à plat, à hauteur de sa tête. Enfin satisfait, il s'empare de la cravache.
J'aime 13/01/24
oberon
Punir par la violence... Quel manque de panache !
J'aime 13/01/24