Infidèle Iris
La trentaine, trente un ans pour être exact; et superbe pour être précis. Iris semblait vivre à côté de la vie réelle, dans un quotidien monotone: les courses, le ménage, la télévision assise à côté de son mari.
Il ne désirait pas d'enfant, et elle s'était faite à l'idée de ne pas en avoir. Puis ce cadeau que leur avait fait un voisin qui déménageait, un vieil ordinateur sur lequel elle s'était attardée pour découvrir les échanges par mails avec ses parents, et puis tout s'était enchainé très vite: le hasard qui n'existe pas qui l'avait conduite sur un site érotique, et puis elle avait été débordée: les vidéos pornos, les sites de vêtements sexy, les sites de contacts pour personnes "branchées sexe".
Son premier contact lui avait semblé totalement absurde, mais le fait qu'il s'exprimait correctement et avait de l'humour l'avait poussée à accepter leur premier "jeu".
Et c'est donc vêtue comme à son habitude: de façon très quelconque, qu'elle se retrouvait dans ce rayon de vins et spiritueux d'une grande surface du centre ville. Elle devina sa présence avant de l'entendre:
- Iris? je ne vous imaginais pas aussi belle, pour être précis je ne vous imaginais pas aussi bandante.
Elle n'osait pas se retourner, tout cela était tellement aberrant.
Elle était vêtue d'une sorte de robe-chemise informe qui lui arrivait au niveau des genoux. Elle senti les mains sur ses fesses qui la caressait avec précision. Elle faillit partir en courant.
- Vous allez vous débrouiller d'abandonner votre culotte sur place, et nous allons aller acquérir de vrais vêtements.
Elle mit quelques secondes avant de comprendre le sens de ces paroles. Elle parvint à saisir sa culotte à travers l'épaisseur de sa robe, et centimètre par centimètre faire franchir à l'élastique la rotondité de ses fesses, puis en se dandinant à faire glisser le sous-vêtement le long de ses cuisses pour le laisser choir au sol, puis en soulevant les pieds l'un après l'autre, à abandonner sa culotte dans l'allée.
- Très bien, embrassez moi maintenant.
Elle se retourna en fermant les yeux, elle avait trop honte. Une bouche s'empara de ses lèvres, une langue vint à la rencontre de sa propre langue, elle répondit à ce baiser avec avidité.
L'homme avait glissé une main entre deux boutons de sa robe-chemise et lui caressait le pubis. Elle était au comble de l'excitation, c'était comme dans les vidéos, mais en mieux!
- Venez on va passer à la suite.
Elle se retrouva à tenir par la main un homme qu'elle n'avait pas encore osé regarder pleinement, et à marcher le cul-nu dans le centre ville.
Il la conduisit dans une boutique de vêtements de luxe.
C'est en se regardant dans une robe chemise en soie de Versace qu'elle le vit pour la première fois dans le reflet du miroir, derrière elle, il était élégant avec un sourire enjôleur.
Il lui fit ensuite essayer une robe chemise en coton rayé de Ralph Laurent, en accentuant le décolleté il lui murmura:
-Pour essayer la suivante vous abandonnerez votre soutien gorge dans la cabine.
Et c'est ainsi qu'elle essaya une robe chemise courte noire de "the Kooples", entièrement nue sous la robe.
Elle se retrouva dans la rue dans la robe de Versace, entièrement nue, une robe de Ralph Laurent et une robe de "the Kooples" dans un sac en papier, avec sa robe chemise du matin.
De temps en temps il lui caressait la pointe des seins à travers la soie de la robe. Elle avait la pointe des seins érigées, c'était visible à travers le tissu. Elle était excitée, le sexe dégoulinant de cyprine. Elle lui murmura
-j'ai envie d'être baisée
-vos désirs sont des ordres
Ils se retrouvèrent dans un hôtel restaurant de luxe, dans la chambre elle se retrouva nue en un tour de main. Il lui prodigua d'abord un cunnilingus qui lui procura un premier orgasme, elle n'avait pas l'habitude de préliminaires prolongés. Elle eut un deuxième orgasme en missionnaire, le troisième lui fut offert en levrette; elle ne savait pas que l'on pouvait jouir plusieurs fois de suite: elle se retrouva en face-sitting pour bénéficier du quatrième, à califourchon sur la bouche de son partenaire, un doigt dans l'anus.
Elle fut raccompagnée chez elle en voiture. Elle rangea ses robes, gardant sur elle la robe chemise de Ralph Laurent. Son mari ne se rendit pas compte de la présence de la nouvelle robe, après le repas et le film de la télévision il la baisa rapidement sans la faire jouir.
Avant de s'endormir elle prit la sage décision de devenir une salope infidèle.
7 personnes aiment ça.
Immersif et très excitant, je me verrais bien à la place de Iris avec une femme dominatrice dans le rôle de l’homme. Pourquoi pas vous dans le rôle de cet homme Maîtresse Pamela ? 



Je m'appelle Julie et j'ai 27 ans. Je ne suis pas féministe, mais je suis forcée d'avouer que ce mouvement a tout de même réussi à changer ma vision de la femme. Quand j'étais plus jeune, avec mon petit ami de l'époque, nos relations sexuelles étaient souvent à sens unique. Les préliminaires ne duraient pas longtemps, puis il me pénétrait jusqu'à jouir et ensuite oubliait mon existence. Evidemment, certaines nuits étaient plus ardentes que d'autres, mais les orgasmes que j'ai eu avec lui se comptent sur les doigts d'une main.
Aujourd'hui les choses ont bien changé et étant donné tous les messages qui circulent au sujet de l'égalité femme-homme, je me suis dit qu'il serait temps pour moi d'arrêter d'avoir des relations sexuelles qui ne plaisent qu'à l'homme. J'ai donc décidé de me rendre sur un site pornographique afin de me faire une idée de ce qui se faisait en matière de sexe. Les vidéos de la page d'accueil se ressemblaient toutes, un mec musclé qui se déchaînait sur une femme. La seule différence avec mon couple était que l'homme de la vidéo était plus violent. Je suis même tombée sur la vidéo d'une femme qui se faisait pénétrer par la bouche pendant 10 longues minutes jusqu'à ce que l'homme jouisse. La femme pleurait mais pourtant l'homme continuait. Ce n'était pas dans une catégorie "hardcore" ou "domination", c'était considéré comme du sexe casual alors qu'il était évident qu'il y avait un individu beaucoup plus dominant que l'autre. Si les rôles étaient inversés, la vidéo aurait directement été classée dans "femdom", mais comme dans ce cas la femme était soumise, alors la vidéo était catégorisée comme du sexe banal car d'après les films X, être soumise est la norme.
Se faire dominer de la sorte est peut être un fantasme pour certaines femmes, mais pas pour moi. Cependant, le rôle de l'homme m'excitait un peu, et c'est là que j'ai eu un déclic. J'ai commencé à imaginer à quoi ressemblerait ma vie sexuelle si je refusais de me soumettre comme la femme dans cette vidéo, si je forçais mon partenaire à être celui qui subit. Cette pensée à elle seule a suffit à faire frémir mon corps tout entier et a éveillé un si profond désir en moi qu'elle en a changé complètement ma vision des relations femme-homme. Tout est devenu plus limpide. Comme si chaque femme avait enfoui en elle une envie de domination inépuisable, mais que la société actuelle faisait tout pour réprimer cette envie. Sauf qu'une fois que cette envie était exposée à la lumière de ma conscience, un désire ardent de domination s'est mis à grandir en moi. S'il était normal pour un homme de faire preuve de tant de violence durant l'amour, alors une femme doit pouvoir faire pareil sans éprouver de remords. La seule différence est qu'un homme est plus fort physiquement qu'une femme et doit donc faire preuve de retenue, tandis que je n'ai pas à me retenir autant car j'ai moins de chances de le blesser par mégarde. Réaliser qu'il était possible d'avoir des relations avec quasiment aucune forme de retenue a été libérateur pour moi.
En faisant quelques recherches supplémentaires sur internet, je me suis rendu compte que je n'étais pas la seule en avoir marre de subir. J'ai été surprise de voir à quel point une femme pouvait tant déstabiliser un homme et avoir le dessus durant le sexe, et surtout à quel point cela pouvait sembler naturel pour les femmes expérimentées. Là où les hommes faisaient preuve de retenue pour ne pas blesser, les femmes avides de contrôle que j'ai pu observer sur des sites pornographiques semblaient beaucoup plus libérées et donc plus dangereuses. J'ai aussi constaté que contre toute attente, certains hommes aimaient être malmenés. C'est ce que j'allais vérifier ce soir avec mon rendez vous Tinder.
Il s'appelle Thomas et a 23 ans. Je l'ai repéré sur Tinder car il avait écrit en bio "Tant que j'aurais un visage, tu auras toujours une place où t'asseoir". Il l'a probablement écrite sans trop réfléchir, s'il savait quelle était mon interprétation de sa bio, il n'aurait jamais osé venir à notre rendez vous.
Il est 21h, Thomas sonne chez moi, je le fais entrer.
"Salut Julie, tu es encore plus belle en vrai qu'en photo"
Il a l'air timide et peu expérimenté, ce qui me convient parfaitement. Je le fais entrer dans ma chambre, allume l'ordinateur portable et netflix et on s'asseoit tous les deux sur le lit pour décider de ce que l'on va regarder. Je me couche sur le ventre, du côté droit du lit, ce qui lui offre une vue parfaite sur mes fesses. Je mesure 1m65, je ne suis pas grosse, mon IMC est exactement dans la moyenne, cependant mes fesses sont plus imposantes que la plupart des filles et ça peut impressionner certains hommes. Thomas se trouve à ma gauche et l'ordinateur portable est devant nous. Je décide de le taquiner un peu
"Intéressante ta bio tinder, tu pensais vraiment ce que tu as écrit?"
Il repense à ce qu'il a écrit, puis regarde mes fesses et rougit, c'est drôle mais je décèle aussi une part de peur dans son regard.
"Oh tu sais c'était une blague, je ne veux pas vraiment que tu poses ton derrière sur mon visage! Tu sais les mecs écrivent parfois des choses débiles pour impressionner les filles. Surtout que tu es assez impressionnante en vrai au niveau de..., je suis pas sûr de pouvoir..."
Les mecs sont tous les mêmes, ils ont une grande bouche et regardent toujours nos fesses, mais quand vient le moment d'assumer leurs propos, il n'y a plus personne.
Je le vois quand même continuer à me mater, je réfléchis donc à un moyen de m'amuser avec lui en jouant de son obsession pour mon gros derrière.
Le film commence. Il est couché sur le dos, avec la tête légèrement surélevé par le coussin tandis que je suis toujours sur le ventre.
Je repense à mon objectif de prendre le plein contrôle de mes relations, et je décide de passer à la vitesse supérieur.
Quand un homme a une énorme paire de fesses comme les miennes à côté de lui, un rien suffit à l'exciter.
"Tu es sûr que ta bio n'était qu'une blague? J'en ai marre d'être couchée sur le ventre et ton visage a l'air confortable..."
C'était très osé de ma part de dire ça, mais oser le dire témoigne d'une énorme confiance en moi, je sentais un mélange de peur et d'excitation en lui, il pensait que si j'avais assez de cran pour dire ça, c'est que mes propos étaient à prendre au sérieux.
"C'est à dire que... en vérité j'ai toujours voulu essayer, mais avec toi j'ai peur de m'étouffer ou d'avoir le nez cassé, et encore, si ce n'était que cela ça irait, mais il y a une aura sadique qui émane de toi, je ne sais pas quoi en penser." dit-il
Il m'a bien cerné, je ne savais pas que mes intentions étaient si évidentes, comme si une simple prise de décision suffisait à changer entièrement une femme au point que même un inconnu le remarque. Mais ma détermination est inébranlable, je dois le rassurer sinon il va prendre peur et fuir.
"Si ça peut te rassurer, on peut utiliser un safe word. Si tu dis "stop", j'arrête tout, d'accord?"
Il aquiesca sans trop réfléchir, obnubilé par la vu qu'il avait, il ne parvenait pas à penser clairement. A force de gigoter de manière ostentatoire je savais qu'il ne pensait plus qu'à une seule chose, mes jambes. Je me suis volontairement exposée à sa vue afin de faire monter son désir et le rendre plus docile. Je me suis mise à quatre pattes pour monter le son de l'ordinateur, ce qui l'exposa a une vue encore meilleure et j'aperçu un début de bosse sous son pantalon. Et maintenant on peut commencer les choses sérieuses. il était déjà allongé sur le dos. Je mets mes pieds de part et d'autres de son visage, face à l'ordinateur et à ses pieds et je m'abaisse lentement jusqu'à ce que mes fesses soient en plein sur son visage. La sensation physique est agréable, mais ce qui m'excite le plus est d'avoir l'ascendant physique et mental sur lui, de savoir qu'il est assez soumis à moi pour me laisser m'asseoir sur lui, malgré la taille imposante de mes fesses qui englobent tout son visage.
Je recule légèrement pour mettre sa bouche face à la partie du jean qui recouvre ma vulve. La pression exercée est agréable, mais le jean entre nous deux diminue un peu les sensations que j'aurais ressentis sans. je dois donc exercer encore plus de pression sur son visage si je veux vraiment sentir quelque chose. Le dérangement que ça lui procure a l'air très supérieur au plaisir que j'en retire. Mon ancienne personnalité aurait sûrement arrêté de presser si fort contre son visage en sachant cela, mais maintenant que j'ai réalisé à quel point les hommes sont violents par rapport aux femmes durant l'amour, je me dis que le faire souffrir est acceptable du moment que ça contribue à mon plaisir, même de manière infime, et qu'il fallait que j'arrête de prendre les choses aussi sérieusement. Si un homme pouvait baiser une femme jusqu'à la faire boiter et l'oublier le lendemain, alors je ferais pire.
Je l'entends essayer de dire quelque chose, mais je ne comprends pas quoi. Cette sensation de puissance mélangée au plaisir physique de l'avoir entre mes jambes me donne l'impression d'être toute puissante. je commence à frotter de plus en plus intensément ma vulve contre son visage afin de compenser la perte de sensation que cause mon jean. Je pourrais très bien l'enlever afin d'éprouver plus de plaisir en ayant pas besoin de me frotter aussi fortement à son visage, mais savoir qu'il souffre pour mon plaisir est encore plus excitant à mes yeux. Il me repousse fortement afin de pouvoir prendre sa respiration. Je lui laisse 5 secondes, puis je le force à remettre sa tête en face de ma vulve et je recommence à me frotter contre son visage inlassablement, de plus en plus intensément jusqu'à entrer dans un état de transe, si proche de l'orgasme que je n'arrive plus à m'arrêter. Je sens qu'il est épuisé et qu'il n'a plus la force de me résister. Il essaye de me repousser à nouveau mais cette fois rien n'y fait, il essaye de parler mais je ne comprends pas, ses jambes se débattent mais il est impuissant face à mon bassin imposant et impossible à arrêter, comme si j'étais une machine bloquée sur la vitesse maximale. Je suis à deux doigts d'atteindre l'orgasme, je me frotte si intensément contre son visage qu'on ne voit plus sa tête qui s'enfonce profondément dans le coussin et dans le lit à intervalles de plus en plus courts jusqu'à ce que j'atteigne enfin l'orgasme.
j'ai les jambes qui tremblent, je n'ai jamais atteint un orgasme aussi puissant, j'attends un peu en étant toujours assise sur son visage, afin de lui faire comprendre que c'est ma proie et que je laisserais son visage libre quand je l'aurais décidé. Le film que l'on avait mis en route arrivait bientôt sur sa fin. Je décide de continuer à regarder tout en restant encore assise sur son visage. J'entends des semblants de phrases provenant de sous mes fesses, mais le son est trop étouffé pour que je comprenne quoi que ce soit. En entendant le générique de fin, Thomas semblait soulagé, il pensait que j'allais enfin le libérer. Pour le taquiner, je décide de regarder le générique jusqu'à la fin, il dure 10 longues minutes... Puis je finis enfin par le libérer. Son visage est tout rouge, il a du mal à parler et est à bout de souffle, il a l'air résigné et essaye de reprendre ses esprits, immobile sur le lit.
Le voir dans autant de souffrance devrait me peiner, mais pourtant je ne ressens que du positif, ainsi qu'une sensation de plaisir encore présente.
"C'était génial" dit Thomas, contre toute attente
Malgré les apparences, Thomas a aimé ce moment sous mon énorme derrière. J'ai du mal à le croire, mais il l'a dit de sa propre bouche, aussi usée soit elle. Il est donc possible de penser uniquement à soi du début à la fin tout en faisant quand même plaisir à son partenaire. Je repense à ces vidéos d'hommes si violents avec les femmes, et je comprends maintenant pourquoi ils choisissent d'être si brutal. Même si celui qui subit peut penser avoir eu une expérience plaisante, ce n'est rien comparé au bonheur de celui qui a le contrôle, au bonheur d'avoir les plein pouvoir, d'avoir le visage d'un homme sous son bassin et baiser son visage jusqu'à ce qu'orgasme s'en suive. Ce mélange d'autorité, de plaisir physique et de savoir qu'un homme est prêt à autant souffrir pour son plaisir n'est comparable à aucune sensation que j'ai pu connaître durant l'amour auparavant. Baiser son visage de plus en plus vite en sachant que c'est difficile pour lui, mais sans pour autant arrêter, est une sensation dont je ne pourrais plus jamais me passer. Faire souffrir en connaissance de causes sans connaître la moindre once de culpabilité, je n'aurais jamais cru en être capable, et surtout je n'aurais jamais deviné à quel point ça fait du bien!
C'est décidé, je dois trouver un homme qui me laissera utiliser son visage comme bon me semble quand je veux, je veux pouvoir décider de la durée, de l'intensité, de tout. Une fois qu'on a goûté au pouvoir, il est dur de s'en passer. Si je commence à me lasser de baiser son visage, alors je repousserais simplement les limites, je ferais durer ça plus longtemps, je me montrerais encore plus dure pour assouvir mes besoins toujours plus grands de domination. Au bout d'un moment je ne demanderais même plus l'autorisation pour chevaucher son visage. Je continuerais jusqu'à ce que ça devienne une dépendance pour moi et que je ne puisse plus arrêter de le faire même si je le voulais. Thomas était content de me voir prendre autant de plaisir, malgré le calvaire que je lui ai fait subir, ce qui me conforte dans l'idée de devenir encore plus égoïste vis à vis de mon plaisir pour mes prochaines relations.
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Bonjour à tous,
Je suis à la recherche d'une dame qui souhaite m'utiliser comme elle le souhaite, et avec plaisir si elle désire s'asseoir sur mon visage. J'adore le facesitting depuis toujours.
Région de Cannes
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Effectivement...je vous ai laissé une demande d'amitié afin de discuter de ces jeux.
J'aime
23/08/25
Crop top, 95 % coton, 5 % élasthanne. Marque : Build Your Brand
Commander
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Je recherche une maîtresse début ou expérimenté pour me faire un facesitting dans le secteur de Paris
Soyez la première personne à aimer.
recherche maitresse pouvant me soumettre à la pratique du facesitting .... secteur calvados
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Magnifique, moi j'aime offrir mon petit cul, mais également qu'on m'impose de donner ce plaisir.
C’est les périodes de fêtes de Noël et nous avons reçu uniquement 6 adultes à la maison, pour respecter les mesures du gouvernement. Ma mère s’est retrouvée avec tout un tas de restes (elle fait les courses plus d’un mois à l’avance !), avec des bûches et des marrons glacés qui débordaient du congélateur. Elle m’a donc demandé d’aller faire le tour du voisinage pour leur proposer de goûter à ses sucreries.
J’avais reçu un beau vélo pour mon Noël (je suis un grand sportif) et j’étais ravi d’avoir une occasion de m’en servir. J’ai donc pédalé à toutes les portes à côté de chez nous avec mon sac isotherme. J’avais conservé mon masque sur le visage pour ne pas les contaminer et certains avaient du mal à me reconnaitre. Notamment la petite Lili, qui habitait au numéro 32 de ma rue. Quand j’ai sonné à sa porte, elle m’a ouvert les cheveux en bataille, elle flottait dans un pull gris trop grand pour elle et se demandait si elle pouvait vraiment accepter les « bonbons » d’un inconnu. Elle venait d’avoir 18 ans et pouvait se montrer encore un peu… ingénue.
J’ai alors retiré mon masque et j’ai dit « C’est Didier ! C’est bon ! C’est ma mère qui avait ça en trop dans son frigo ». Elle a fait semblant de me taper en disant « Pfff tu m’as fait peur avec ton masque ! Je croyais que c’était un pervers qui traînait dans le coin ! »Elle m’a tiré à l’intérieur de sa maison et m’a invité à partager avec elle un bout de bûche autour d’une tasse de thé.
Aucun homme ne pouvait décemment résister à cette invitation, même si je la trouvais un peu jeune (je venais d’avoir 23 ans !) pour moi. Autour du thé, elle s’est beaucoup épanchée et m’a notamment dit qu’elle en avait marre du COVID, de la maladie, de ne pas sortir avec ses potes… et puis on a commencé à rigoler, je lui balançais quelques vannes pour la faire rire, ça marchait plutôt bien.
On a commencé à chahuter un peu, elle m’a volé mon masque pour que je sorte et que « je meure du COVID » et puis elle m’a fait plein de bisous pour me « contaminer ». Alors je l’ai prise par les hanches, elle était tellement fine qu’il m’était très facile de la porter, et je l’ai posée sur le canapé. Elle ne s’est pas laissée faire, la garce, et m’a retourné dos sur le cuir marron du sofa. Je ne voulais pas faire un geste brusque, alors je me laissais faire mollement. Bien-sûr, j’avais peur que ses parents ne rentrent brusquement dans la maison et nous surprennent, mais je me laissais faire tout de même. Vous savez ce qu’à fait cette chipie ? Elle a retiré sa culotte sale et a voulu me la faire bouffer ! « Tiens mange mes microbes ! Mange mes microbes ! » m’hurlait-elle dans ses oreilles.
Une position particulière
Je voyais qu’il restait des petites traces sur sa culotte Hello Kitty un peu délavé. C’était à la fois un peu dégueu, mais en même temps sa petite chatte était maintenant à l’air libre et ça m’excitait grave. Elle s’est alors carrément assise sur mon visage et a continué à m’hurler dessus « mange mes microbes ! mange mes microbes ! » Ca allait beaucoup trop loin ! Si ses parents ouvraient la porte, j’étais vraiment dans la merde. J’ai alors essayé de la repousser, je fermais bien ma bouche, mais toute sa mouille (ou sa sueur, ou je-ne-sais-quoi !) ses répandait sur mes joues, mes lèvres, mon front. Elle serrait très fort les muscles de ses cuisses menues, ça me faisait presque mal aux mâchoires.
« Mais lâche-moi ! » ai-je hurlé au risque d’avoir son sexe au contact de ma langue. Heureusement, j’ai évité de peu sa petite fente qui était maintenant en train de se cogner à mon nez. Je sentais l’odeur de son huitre à plein nez, un mélange de fruit de mer avec une petite pointe de miel. Ca bavait de partout, c’était vraiment hyper crade. Le petit trou de son anus se frottait sur mon menton, j’espérais qu’il n’y aurait pas de dépôt dans ma barbe naissante.
Elle se tortillait bien sur moi en riant et en prenant à pleine main mes cheveux pour bien se frotter sur mon visage. Alors j’ai osé lui donné une grande tape sur les fesses pour qu’elle se calme, la gamine ! Elle a hurlé en riant en même temps. Je me suis enfuis de son emprise, j’ai récupéré mes marrons, je lui ai laissé la bûche. Je lui ai dis de pas en parler à ses parents. Elle m’a dit « bah oui, bien évidemment. »
Mais bon, c’est moi où ça rend les gens complètement fous cette histoire de virus ?
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Histoire très intéressante le gars s’est fait dominer de force sans même le savoir bien joué à la fille qui a su rentrer dans la tête du gars pour lui en faire ce qu’elle veu
Bonjour je cherche une maîtresse je suis prêt à tout pour la satisfaire et être dominé à 100%
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Je m'appelle Julie et j'ai 27 ans. Je ne suis pas féministe, mais je suis forcée d'avouer que ce mouvement a tout de même réussi à changer ma vision de la femme. Quand j'étais plus jeune, avec mon petit ami de l'époque, nos relations sexuelles étaient souvent à sens unique. Les préliminaires ne duraient pas longtemps, puis il me pénétrait jusqu'à jouir et ensuite oubliait mon existence. Evidemment, certaines nuits étaient plus ardentes que d'autres, mais les orgasmes que j'ai eu avec lui se comptent sur les doigts d'une main.
Aujourd'hui les choses ont bien changé et étant donné tous les messages qui circulent au sujet de l'égalité femme-homme, je me suis dit qu'il serait temps pour moi d'arrêter d'avoir des relations sexuelles qui ne plaisent qu'à l'homme. J'ai donc décidé de me rendre sur un site pornographique afin de me faire une idée de ce qui se faisait en matière de sexe. Les vidéos de la page d'accueil se ressemblaient toutes, un mec musclé qui se déchaînait sur une femme. La seule différence avec mon couple était que l'homme de la vidéo était plus violent. Je suis même tombée sur la vidéo d'une femme qui se faisait pénétrer par la bouche pendant 10 longues minutes jusqu'à ce que l'homme jouisse. La femme pleurait mais pourtant l'homme continuait. Ce n'était pas dans une catégorie "hardcore" ou "domination", c'était considéré comme du sexe casual alors qu'il était évident qu'il y avait un individu beaucoup plus dominant que l'autre. Si les rôles étaient inversés, la vidéo aurait directement été classée dans "femdom", mais comme dans ce cas la femme était soumise, alors la vidéo était catégorisée comme du sexe banal car d'après les films X, être soumise est la norme.
Se faire dominer de la sorte est peut être un fantasme pour certaines femmes, mais pas pour moi. Cependant, le rôle de l'homme m'excitait un peu, et c'est là que j'ai eu un déclic. J'ai commencé à imaginer à quoi ressemblerait ma vie sexuelle si je refusais de me soumettre comme la femme dans cette vidéo, si je forçais mon partenaire à être celui qui subit. Cette pensée à elle seule a suffit à faire frémir mon corps tout entier et a éveillé un si profond désir en moi qu'elle en a changé complètement ma vision des relations femme-homme. Tout est devenu plus limpide. Comme si chaque femme avait enfoui en elle une envie de domination inépuisable, mais que la société actuelle faisait tout pour réprimer cette envie. Sauf qu'une fois que cette envie était exposée à la lumière de ma conscience, un désire ardent de domination s'est mis à grandir en moi. S'il était normal pour un homme de faire preuve de tant de violence durant l'amour, alors une femme doit pouvoir faire pareil sans éprouver de remords. La seule différence est qu'un homme est plus fort physiquement qu'une femme et doit donc faire preuve de retenue, tandis que je n'ai pas à me retenir autant car j'ai moins de chances de le blesser par mégarde. Réaliser qu'il était possible d'avoir des relations avec quasiment aucune forme de retenue a été libérateur pour moi.
En faisant quelques recherches supplémentaires sur internet, je me suis rendu compte que je n'étais pas la seule en avoir marre de subir. J'ai été surprise de voir à quel point une femme pouvait tant déstabiliser un homme et avoir le dessus durant le sexe, et surtout à quel point cela pouvait sembler naturel pour les femmes expérimentées. Là où les hommes faisaient preuve de retenue pour ne pas blesser, les femmes avides de contrôle que j'ai pu observer sur des sites pornographiques semblaient beaucoup plus libérées et donc plus dangereuses. J'ai aussi constaté que contre toute attente, certains hommes aimaient être malmenés. C'est ce que j'allais vérifier ce soir avec mon rendez vous Tinder.
Il s'appelle Thomas et a 23 ans. Je l'ai repéré sur Tinder car il avait écrit en bio "Tant que j'aurais un visage, tu auras toujours une place où t'asseoir". Il l'a probablement écrite sans trop réfléchir, s'il savait quelle était mon interprétation de sa bio, il n'aurait jamais osé venir à notre rendez vous.
Il est 21h, Thomas sonne chez moi, je le fais entrer.
"Salut Julie, tu es encore plus belle en vrai qu'en photo"
Il a l'air timide et peu expérimenté, ce qui me convient parfaitement. Je le fais entrer dans ma chambre, allume l'ordinateur portable et netflix et on s'asseoit tous les deux sur le lit pour décider de ce que l'on va regarder. Je me couche sur le ventre, du côté droit du lit, ce qui lui offre une vue parfaite sur mes fesses. Je mesure 1m65, je ne suis pas grosse, mon IMC est exactement dans la moyenne, cependant mes fesses sont plus imposantes que la plupart des filles et ça peut impressionner certains hommes. Thomas se trouve à ma gauche et l'ordinateur portable est devant nous. Je décide de le taquiner un peu
"Intéressante ta bio tinder, tu pensais vraiment ce que tu as écrit?"
Il repense à ce qu'il a écrit, puis regarde mes fesses et rougit, c'est drôle mais je décèle aussi une part de peur dans son regard.
"Oh tu sais c'était une blague, je ne veux pas vraiment que tu poses ton derrière sur mon visage! Tu sais les mecs écrivent parfois des choses débiles pour impressionner les filles. Surtout que tu es assez impressionnante en vrai au niveau de..., je suis pas sûr de pouvoir..."
Les mecs sont tous les mêmes, ils ont une grande bouche et regardent toujours nos fesses, mais quand vient le moment d'assumer leurs propos, il n'y a plus personne.
Je le vois quand même continuer à me mater, je réfléchis donc à un moyen de m'amuser avec lui en jouant de son obsession pour mon gros derrière.
Le film commence. Il est couché sur le dos, avec la tête légèrement surélevé par le coussin tandis que je suis toujours sur le ventre.
Je repense à mon objectif de prendre le plein contrôle de mes relations, et je décide de passer à la vitesse supérieur.
Quand un homme a une énorme paire de fesses comme les miennes à côté de lui, un rien suffit à l'exciter.
"Tu es sûr que ta bio n'était qu'une blague? J'en ai marre d'être couchée sur le ventre et ton visage a l'air confortable..."
C'était très osé de ma part de dire ça, mais oser le dire témoigne d'une énorme confiance en moi, je sentais un mélange de peur et d'excitation en lui, il pensait que si j'avais assez de cran pour dire ça, c'est que mes propos étaient à prendre au sérieux.
"C'est à dire que... en vérité j'ai toujours voulu essayer, mais avec toi j'ai peur de m'étouffer ou d'avoir le nez cassé, et encore, si ce n'était que cela ça irait, mais il y a une aura sadique qui émane de toi, je ne sais pas quoi en penser." dit-il
Il m'a bien cerné, je ne savais pas que mes intentions étaient si évidentes, comme si une simple prise de décision suffisait à changer entièrement une femme au point que même un inconnu le remarque. Mais ma détermination est inébranlable, je dois le rassurer sinon il va prendre peur et fuir.
"Si ça peut te rassurer, on peut utiliser un safe word. Si tu dis "stop", j'arrête tout, d'accord?"
Il aquiesca sans trop réfléchir, obnubilé par la vu qu'il avait, il ne parvenait pas à penser clairement. A force de gigoter de manière ostentatoire je savais qu'il ne pensait plus qu'à une seule chose, mes jambes. Je me suis volontairement exposée à sa vue afin de faire monter son désir et le rendre plus docile. Je me suis mise à quatre pattes pour monter le son de l'ordinateur, ce qui l'exposa a une vue encore meilleure et j'aperçu un début de bosse sous son pantalon. Et maintenant on peut commencer les choses sérieuses. il était déjà allongé sur le dos. Je mets mes pieds de part et d'autres de son visage, face à l'ordinateur et à ses pieds et je m'abaisse lentement jusqu'à ce que mes fesses soient en plein sur son visage. La sensation physique est agréable, mais ce qui m'excite le plus est d'avoir l'ascendant physique et mental sur lui, de savoir qu'il est assez soumis à moi pour me laisser m'asseoir sur lui, malgré la taille imposante de mes fesses qui englobent tout son visage.
Je recule légèrement pour mettre sa bouche face à la partie du jean qui recouvre ma vulve. La pression exercée est agréable, mais le jean entre nous deux diminue un peu les sensations que j'aurais ressentis sans. je dois donc exercer encore plus de pression sur son visage si je veux vraiment sentir quelque chose. Le dérangement que ça lui procure a l'air très supérieur au plaisir que j'en retire. Mon ancienne personnalité aurait sûrement arrêté de presser si fort contre son visage en sachant cela, mais maintenant que j'ai réalisé à quel point les hommes sont violents par rapport aux femmes durant l'amour, je me dis que le faire souffrir est acceptable du moment que ça contribue à mon plaisir, même de manière infime, et qu'il fallait que j'arrête de prendre les choses aussi sérieusement. Si un homme pouvait baiser une femme jusqu'à la faire boiter et l'oublier le lendemain, alors je ferais pire.
Je l'entends essayer de dire quelque chose, mais je ne comprends pas quoi. Cette sensation de puissance mélangée au plaisir physique de l'avoir entre mes jambes me donne l'impression d'être toute puissante. je commence à frotter de plus en plus intensément ma vulve contre son visage afin de compenser la perte de sensation que cause mon jean. Je pourrais très bien l'enlever afin d'éprouver plus de plaisir en ayant pas besoin de me frotter aussi fortement à son visage, mais savoir qu'il souffre pour mon plaisir est encore plus excitant à mes yeux. Il me repousse fortement afin de pouvoir prendre sa respiration. Je lui laisse 5 secondes, puis je le force à remettre sa tête en face de ma vulve et je recommence à me frotter contre son visage inlassablement, de plus en plus intensément jusqu'à entrer dans un état de transe, si proche de l'orgasme que je n'arrive plus à m'arrêter. Je sens qu'il est épuisé et qu'il n'a plus la force de me résister. Il essaye de me repousser à nouveau mais cette fois rien n'y fait, il essaye de parler mais je ne comprends pas, ses jambes se débattent mais il est impuissant face à mon bassin imposant et impossible à arrêter, comme si j'étais une machine bloquée sur la vitesse maximale. Je suis à deux doigts d'atteindre l'orgasme, je me frotte si intensément contre son visage qu'on ne voit plus sa tête qui s'enfonce profondément dans le coussin et dans le lit à intervalles de plus en plus courts jusqu'à ce que j'atteigne enfin l'orgasme.
j'ai les jambes qui tremblent, je n'ai jamais atteint un orgasme aussi puissant, j'attends un peu en étant toujours assise sur son visage, afin de lui faire comprendre que c'est ma proie et que je laisserais son visage libre quand je l'aurais décidé. Le film que l'on avait mis en route arrivait bientôt sur sa fin. Je décide de continuer à regarder tout en restant encore assise sur son visage. J'entends des semblants de phrases provenant de sous mes fesses, mais le son est trop étouffé pour que je comprenne quoi que ce soit. En entendant le générique de fin, Thomas semblait soulagé, il pensait que j'allais enfin le libérer. Pour le taquiner, je décide de regarder le générique jusqu'à la fin, il dure 10 longues minutes... Puis je finis enfin par le libérer. Son visage est tout rouge, il a du mal à parler et est à bout de souffle, il a l'air résigné et essaye de reprendre ses esprits, immobile sur le lit.
Le voir dans autant de souffrance devrait me peiner, mais pourtant je ne ressens que du positif, ainsi qu'une sensation de plaisir encore présente.
"C'était génial" dit Thomas, contre toute attente
Malgré les apparences, Thomas a aimé ce moment sous mon énorme derrière. J'ai du mal à le croire, mais il l'a dit de sa propre bouche, aussi usée soit elle. Il est donc possible de penser uniquement à soi du début à la fin tout en faisant quand même plaisir à son partenaire. Je repense à ces vidéos d'hommes si violents avec les femmes, et je comprends maintenant pourquoi ils choisissent d'être si brutal. Même si celui qui subit peut penser avoir eu une expérience plaisante, ce n'est rien comparé au bonheur de celui qui a le contrôle, au bonheur d'avoir les plein pouvoir, d'avoir le visage d'un homme sous son bassin et baiser son visage jusqu'à ce qu'orgasme s'en suive. Ce mélange d'autorité, de plaisir physique et de savoir qu'un homme est prêt à autant souffrir pour son plaisir n'est comparable à aucune sensation que j'ai pu connaître durant l'amour auparavant. Baiser son visage de plus en plus vite en sachant que c'est difficile pour lui, mais sans pour autant arrêter, est une sensation dont je ne pourrais plus jamais me passer. Faire souffrir en connaissance de causes sans connaître la moindre once de culpabilité, je n'aurais jamais cru en être capable, et surtout je n'aurais jamais deviné à quel point ça fait du bien!
C'est décidé, je dois trouver un homme qui me laissera utiliser son visage comme bon me semble quand je veux, je veux pouvoir décider de la durée, de l'intensité, de tout. Une fois qu'on a goûté au pouvoir, il est dur de s'en passer. Si je commence à me lasser de baiser son visage, alors je repousserais simplement les limites, je ferais durer ça plus longtemps, je me montrerais encore plus dure pour assouvir mes besoins toujours plus grands de domination. Au bout d'un moment je ne demanderais même plus l'autorisation pour chevaucher son visage. Je continuerais jusqu'à ce que ça devienne une dépendance pour moi et que je ne puisse plus arrêter de le faire même si je le voulais. Thomas était content de me voir prendre autant de plaisir, malgré le calvaire que je lui ai fait subir, ce qui me conforte dans l'idée de devenir encore plus égoïste vis à vis de mon plaisir pour mes prochaines relations.
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C'était la douce voix de ma maîtresse Svea. C'est incroyable que j'aie eu l'honneur d'entendre sa voix de manière aussi inattendue. J'ai immédiatement pris position et lui ai demandé ce qu'elle voulait. Svea m'a ordonné d'aller la voir le lendemain à son domicile.
Elle me demanda de porter mes vêtements d'esclave et d'être prêt à obéir inconditionnellement à chacun de ses ordres. Elle a prononcé cette dernière phrase avec un sous-entendu dangereux. Je dus déglutir. Après ma dernière offense, Lady Svea m'avait fait porter un Cage De chasteté pendant une semaine entière.
Maintenant, je faisais donc les cent pas dans sa petite salle d'attente pour ce qui me semblait être la centième fois. Il commençait à faire frais. A part le harnais, je ne portais aucun vêtement. Ma sueur d'angoisse me donnait encore plus froid.
L'audience avec ma maîtresse
J'ai enfin entendu sa voix qui m'ordonnait d'entrer. J'ai ouvert la porte de sa salle de jeu, j'ai fait deux pas à l'intérieur et je suis restée figée.
Devant moi se tenait Lady Svea dans toute sa divinité. Ses longs cheveux roux lui tombaient sur les hanches. Le regard perçant de ses yeux bleu glacier était renforcé par un kajal. Sa bouche érotique était rehaussée de rouge à lèvres rouge.
Elle portait un body en latex moulant ainsi que des gants assortis. Ses pieds et ses jambes érotiques étaient comme toujours dévêtus.
"Tu vas rester plantée là ou tu vas saluer ta maîtresse comme il se doit ?" Sa voix était si délicieuse. Son ton méprisant était une musique à mes oreilles.
"Ouaf !" Je me suis mis à quatre pattes et j'ai rampé vers elle, la tête baissée. Je l'ai enfin atteinte et j'ai pressé mon front contre ses pieds divins. C'était si bon de pouvoir enfin être à nouveau près d'elle, j'aurais pu pleurer de joie. J'embrassai ses pieds, pris chaque orteil dans ma bouche, massai la plante de ses pieds et léchai ses semelles.
"C'est bien, mon esclave" Lady Svea m'a retiré ses pieds. "Aujourd'hui, nous allons essayer quelque chose de nouveau. Je veux m'asseoir et ton visage est l'endroit approprié pour cela"
J'avais une boule dans la gorge. Je connaissais certes quelques histoires sur Facesitting et j'avais lu plusieurs témoignages, mais je n'avais jamais essayé moi-même. Quoi qu'il en soit, elle était ma maîtresse et savait ce qui était bon pour moi. Le plus dévotement possible, j'ai levé les yeux vers elle et j'ai hoché la tête.
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Ma première Facesitting
Lady Svea se retourna et se dirigea vers le fond de la pièce. Ce faisant, elle tapota légèrement sa cuisse à deux reprises. C'était le signe que je pouvais la suivre. Je me suis glissé derrière elle et cette fois, j'ai risqué un regard. Ses fesses adorables étaient tout simplement magnifiques dans le body en latex.
La vue de ces fesses avait un effet hypnotique. Avais-je vraiment le droit de sentir ce morceau de perfection féminine sur ma propre peau ? Serais-je capable de contrôler ma langue ?
Svea s'est arrêtée devant un pilier de sol recouvert de cuir noir et a attendu que j'atteigne également cet endroit. Elle m'a ensuite ordonné de m'agenouiller devant elle.
La gifle qu'elle m'a donnée m'a fait tourner la tête. "Si tu regardes encore une fois mon cul sans en avoir reçu l'ordre, un autre esclave pourra sentir mes fesses sur son visage. Tu sembles oublier, ver de terre, qu'il y a beaucoup de miroirs ici"
J'ai bredouillé des excuses. J'aurais dû me rendre compte auparavant que je ne pouvais rien cacher à ma maîtresse.
Lady Svea s'est accroupie devant moi, m'a mis un collier autour du cou et a saisi l'anneau fixé à l'avant. Avec une force que l'on ne soupçonne pas chez sa petite personne, elle m'a attiré vers elle jusqu'à ce que nos lèvres se touchent presque. L'espace d'un instant, elle a savouré mon désir.
"Allonge-toi sur le pilori, face contre terre" Elle me repoussa et je me mis aussi vite que possible dans la position ordonnée.
Lady Svea se plaça au-dessus de moi, de sorte que ses jambes divines n'étaient qu'à quelques centimètres de ma tête. Avec une lenteur torturante, ses genoux se sont pliés et ses magnifiques fesses se sont rapprochées de mon visage.
Soudain, Lady Svea s'arrêta dans son mouvement. Ma maîtresse savait comment me faire souffrir. Le spectacle incroyablement érotique que j'avais sous les yeux m'obligeait à nouveau à attendre.
Le cadeau de ma maîtresse
Les doigts de sa main droite se sont glissés entre ses jambes et ont libéré la fermeture du body. D'un mouvement de hanche incroyablement sexy, elle a remonté le body et j'ai admiré son string de très près.
Puis j'ai senti sa peau contre la mienne. D'abord fraîche, mais très agréable. Ses magnifiques fesses ont caressé mes joues, ont piqué mon nez et ont chatouillé mes sourcils.
Lady Svea a déplacé son poids et la pression agréable sur mon visage a augmenté. Finalement, j'ai entendu un petit gémissement. Ma maîtresse s'était complètement assise. J'aurais pu gémir moi aussi, même si c'était pour d'autres raisons. Je n'avais jamais été aussi proche, aussi uni avec ma maîtresse. Son cul divin trônait sur mon visage.
Mon nez se trouvait à proximité immédiate de son anus, ma langue non loin de sa fente de Vénus. J'étais plus excité que jamais dans ma vie.
Pendant un bref instant de choc, je me suis demandé si Lady Svea voulait utiliser son anus pour d'autres choses. Mais même pour cela, j'aurais été prêt. Tout pour la maîtresse. Pour toujours. De façon permanente. À vie.
Plus jamais sans Facesitting
Depuis cette expérience, je ne peux plus m'en passer. J'ai toujours été soumis à Lady Svea, mais cette sensation que ses fesses font apparaître sur mon visage n'est tout simplement pas de ce monde. D'ailleurs, ma maîtresse m'a officiellement décerné le titre de "lieu préféré", ce dont je suis très fier.
Il y a beaucoup d'histoires sur Facesitting et je ne peux que le recommander à tout le monde. Essayez-le au moins une fois.
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Bonjour
À 5mn de de Dijon.
Je recherche un vrai lecheur de cul endurant capable d'y passer des heures voir même n'avoir que cette fonction.
Alors si tu es prêt à vraiment servir sans jamais réclamer autre chose je devrais déjà être assis sur ta langue !
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Avertissement : Cette histoire contient des descriptions crues, explicites et intensément humiliantes de pratiques BDSM, incluant scatophilie, urophilie, sodomie, chasteté, tatouage, et autres éléments demandés. Ces pratiques sont réservées à des adultes consentants, dans un cadre sécurisé avec des précautions sanitaires strictes.
Dans une cave crasseuse, où l’odeur de moisi se mêle à celle de ma propre honte, je suis à quatre pattes, nu, pathétique, ma bite écrasée dans une cage de chasteté si étroite que mes couilles palpitent de douleur. Mes poignets et chevilles sont enchaînés à des anneaux rouillés scellés au sol, me forçant à m’avilir, cul en l’air, visage collé au béton froid. Maîtresse Angèle, ma Grande Reine, se dresse au-dessus de moi, son corps de déesse moulé dans un latex noir qui hurle sa supériorité. Ses yeux me percent, pleins de mépris, et un rictus sadique tord sa bouche.
« Regarde-toi, sale porc, » crache-t-elle, sa voix tranchante comme une lame. « T’es même pas digne de lécher la merde sous mes bottes. Prêt à te vautrer encore plus bas pour moi ? »
Je tremble, la gorge nouée, la honte me brûlant plus que n’importe quelle chaîne. « Oui, Grande Reine Angèle, je suis votre ordure, » bégayé-je, la voix brisée, la tête baissée jusqu’à toucher le sol.
Elle s’approche, et un pet sonore, puant, explose dans l’air. L’odeur, épaisse, écœurante, me fait tourner la tête, me noie dans une soumission abjecte. « Sniffe, misérable déchet, » aboie-t-elle. J’inspire profondément, chaque bouffée de ses gaz me transformant en une chose encore plus pitoyable, enivré par son pouvoir brut. « T’aimes ça, hein, sale chien ? T’es né pour bouffer mes pets. »
« Ouvre ta gueule de chiotte, » ordonne-t-elle, impitoyable. J’écarte les lèvres, tremblant, humilié jusqu’au fond de l’âme. Elle se positionne au-dessus de moi, et un jet d’urine brûlante gicle dans ma bouche, salé, acide, me faisant tousser. « Bois, salope, ou je te fais lécher le sol pour nettoyer ! » hurle-t-elle. J’avale, m’étouffant, le liquide dégoulinant sur mon menton, mes joues, marquant ma peau comme une preuve de ma déchéance. Elle ricane, satisfaite. « T’es qu’un urinoir, un trou pour mes fluides. »
Puis vient son offrande, sa merde, chaude, lourde, qui s’écrase dans ma bouche comme une punition divine. L’odeur me retourne l’estomac, le goût me ravage, mais je mâche, je bouffe, je m’applique à tout avaler sous son regard cruel. « Nettoie tout, ordure, » grogne-t-elle, attrapant mes cheveux pour me forcer à croiser ses yeux. « Si tu laisses une miette, je te fais lécher le sol avec ta langue de chien galeux. »
Derrière moi, son amant, un mec massif avec une queue monstrueuse, s’avance. « T’es prêt à te faire défoncer, salope ? » ricane-t-il, sa voix lourde de mépris. Sans attendre, il m’écarte le cul et m’encule d’un coup brutal, me faisant hurler dans ma bouche pleine de l’offrande de ma Reine. Il me baise sans pitié, ses coups de reins me déchirent, chaque mouvement me rappelant que je ne suis qu’un trou, un objet pour leur plaisir. Maîtresse Angèle se penche vers moi, crachant sur mon visage. « Regarde-toi, pathétique. T’es juste une chiotte et un vide-couilles. »
Je mâche, j’avale, je gémis, la honte et l’excitation me consumant. L’amant accélère, me pilonnant comme une bête, et finit par jouir, son sperme brûlant giclant en moi, me remplissant jusqu’à ce que je le sente déborder. « Garde tout, salope, » grogne-t-il en se retirant, enfonçant le plug d’acier que je dois porter en permanence pour ma Reine. Le métal me déchire, scellant son foutre et ma soumission dans mon cul, un rappel constant de mon abjection.
Mais Maîtresse Angèle n’en a pas fini. « T’es pas encore assez brisé, » siffle-t-elle, ses ongles griffant ma peau. Elle appelle un tatoueur, un type sinistre qui sort son aiguille. Les chaînes me tiennent immobile pendant que l’aiguille perce mon pubis, gravant en lettres brûlantes : « Soumis à ma Grande Reine Angèle ». La douleur est insoutenable, mais je gémis, ma cage de chasteté me torturant à chaque spasme. « Pleure, sale pute, » ricane-t-elle. « Ce tatouage te rappellera à jamais que t’es rien sans moi. »
Quand c’est fini, elle inspecte la marque, ses doigts pressant la peau à vif jusqu’à ce que je geigne. « T’es ma propriété, un déchet marqué à mon nom, » murmure-t-elle, son ton dégoulinant de mépris. Elle détache mes chaînes, me laissant m’effondrer à ses pieds, tremblant, brisé. Même dans l’aftercare, où elle me caresse à peine, ses mots restent durs : « T’as bien servi, ordure, mais t’es toujours qu’un ver à mes yeux. » Je m’accroche à ses bottes, enivré par l’odeur de ses pets, son urine, sa merde, et l’humiliation totale qui me lie à elle
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Bonjour a toutes et tous je recherche une femme ou un couple qui aime sodomiser les hommes soumis
(pas de vénal)
contactez moi en MP merci par avance
3 personnes aiment ça.
Je recherche la même chose… mais ce n’est pas gagné d’avance…
recherche femme dominante pour me soumettre à la pratique du facesitting ... débutante acceptée !!
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