Le facesitting

Le facesitting, également connu sous le nom de "queening" ou "kinging", est une pratique érotique où une personne s'assoit sur le visage d'une autre. Bien que cela puisse sembler être une pratique moderne, elle a des racines historiques.

Origines historiques de face sitting

Les premières représentations du facesitting peuvent être retracées dans certaines cultures anciennes. Par exemple, dans l'art érotique japonais, ou "shunga", datant de plusieurs siècles, on peut trouver des illustrations de femmes assises sur le visage de leurs partenaires masculins. De même, dans certaines cultures anciennes, s'asseoir sur le visage d'un partenaire était considéré comme un acte de suprématie féminine, où la femme occupait une position dominante.

Domination et soumission

Dans le contexte BDSM, le facesitting est souvent chargé de connotations de domination et de soumission :

  • Domination : Pour la dominatrice (ou marginalement le dominant), le facestting est un moyen d'exercer un contrôle physique sur le soumis. En s'asseyant sur le visage du soumis, la dominatrice peut contrôler sa respiration, ses mouvements et son accès au plaisir. C'est une démonstration tangible de pouvoir, où la femme dominatrice utilise son corps pour imposer sa volonté.

  • Soumission : Pour le soumis, être sous sa maîtresse pendant le facesitting inspire souvent un sentiment d'infériorité, de vulnérabilité et de dévotion. C'est une position où le soumis est littéralement "sous" la dominatrice, renforçant la dynamique de pouvoir. De plus, le soumis peut trouver du plaisir dans l'acte de servir la dominatrice avec sa langue, pour un cunilingus, en offrant du plaisir oral ou simplement en étant un "siège" pour la dominatrice (et renifler ses parfums intimes)

Plaisir et rapprochement

Au-delà de la domination et de la soumission, le facesitting peut aussi être une manière intime et sensuelle de se rapprocher de son partenaire. Le contact physique étroit, combiné à la stimulation orale, peut être une source de plaisir intense pour les deux parties. Pour certains, le facesitting est moins une démonstration de pouvoir qu'une exploration mutuelle du plaisir et de la sensation.

Le face sitting dans le contexte BDSM

Le facesitting, bien que courant dans de nombreuses relations érotiques, prend une dimension particulière dans le monde du BDSM. Il est souvent utilisé comme un acte de domination, mais aussi comme un moyen d'explorer le plaisir mutuel. Examinons de plus près ces aspects à travers des témoignages fictifs qui illustrent la diversité des expériences.

Domination et contrôle

Pour beaucoup, le facesitting est une démonstration tangible de pouvoir. Le dominant utilise son corps pour imposer sa volonté, contrôlant parfois la respiration du soumis. "Lorsque je m'assois sur le visage de mon soumis, c'est une affirmation de mon contrôle. Je décide quand et comment il respire. C'est une sensation puissante, sachant que j'ai ce niveau de contrôle sur lui." évoque Laurence.

Humiliation

Pour d'autres, le facesitting est une forme d'humiliation. Être "utilisé" comme un siège peut être érotiquement chargé, renforçant la dynamique de pouvoir entre la dominante et le soumis. "La première fois que ma Maîtresse s'est assise sur mon visage, j'ai ressenti une vague d'humiliation. J'étais à sa merci, réduit à n'être qu'un simple siège pour son plaisir. Mais cette humiliation était étrangement excitante, me rappelant ma place dans notre relation." avoue Karine.

Comment pratiquer le facesitting

Même si la sécurité n'était pas censée être abordée, il est essentiel de mentionner quelques points pour garantir une expérience agréable pour les deux parties :

  • Communication : Comme pour toute pratique BDSM, la communication est essentielle. Discutez de vos limites, de vos envies et de vos craintes avant de commencer.

  • Position : Assurez-vous que la personne assise est stable et que la personne allongée est confortable. Utilisez des oreillers ou des coussins pour soutenir le cou ou la tête si nécessaire.

  • Surveillance de la respiration : La personne assise doit être consciente de la respiration de la personne allongée et s'assurer qu'elle peut respirer librement. Si la respiration devient difficile, il est essentiel de changer de position ou de faire une pause.

  • Signaux : Mettez en place un signal non-verbal, comme une tape sur la jambe, pour que la personne allongée puisse indiquer qu'elle souhaite une pause ou qu'elle a besoin de respirer.



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A propos du groupe
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Le facesitting, également connu sous le nom de "queening" ou "kinging", est une pratique érotique où une personne s'assoit sur le visage d'une autre.

Koala13
Comme j’aimerais trouver une belle personne comme vous à proximité de chez moi !!! 😍🥰
Soyez la première personne à aimer.
Maîtresse Elsa
Il était une fois une jeune femme soumise innocente et vierge du nom de Sophie, résidant à Paris. Elle était une personne timide et réservée en apparence, mais cachait en réalité un désir brûlant pour l’aventure sensuelle. Tout a commencé lorsqu’elle a eu accès à des images érotiques en ligne, au lieu de pornographie. Elle était fascinée par l’esthétique de ces images, car elle croyait que l’érotisme pouvait être artistique. Sophie a acheté un jouet intime de haute qualité et a amélioré sa connexion internet pour explorer ses fantasmes. Elle se laissait emporter par des images de plus en plus suggestives. Des images de jeunes femmes portant des colliers de cuir, des scènes de domination et de soumission, et la beauté de l’intimité humaine la captivaient. Ses fantasmes devenaient de plus en plus audacieux. Un soir, Sophie a rencontré quelqu’un en ligne qui partageait ses désirs. Elle a été très explicite : « Viens et satisfais mes désirs, mais je reste une femme innocente, n’oublie pas ça. » Son partenaire a répondu à l’appel. Il est venu chez elle à Paris, ne voulant pas laisser passer cette occasion. À son arrivée, il l’a trouvée à genoux dans le salon, prête à le satisfaire. Il a pris ses cheveux et a commencé à jouer avec elle, ne laissant pas son désir s’apaiser. Lorsqu’elle a finalement pris son membre en bouche, il l’a arrêtée brusquement, désirant la pénétrer sans attendre. Il la prit violemment, obtenant tout ce qu’il désirait. Ce soir-là, ils atteignirent l’orgasme à plusieurs reprises, dans sa bouche, sur son visage et sur sa poitrine. Elle admit avoir joui elle aussi, trouvant un plaisir intense dans la soumission. Après cette expérience, ils ont mis fin à leur relation, Sophie déclarant : « Il n’y aura pas d’autres rencontres comme celle-ci. » Cependant, elle savait au fond d’elle qu’elle aurait encore besoin de satisfaire ses désirs sensuels. Son jouet intime était toujours là pour elle. Elle se caressait, se concentrant sur son plaisir, et les images suggestives à l’écran la faisaient désirer davantage. Un jour, elle décida de contacter un nouvel amant. Cette fois-ci, elle voulait être la dominante. Elle lui ordonna de préparer sa croupe pour elle. Elle ressentait un plaisir indescriptible alors qu’il obéissait à ses ordres, élargissant son anus. Quand elle se sentit prête, elle s’enduisit elle-même et le fit s’allonger. Elle s’empala lentement sur son membre, testant sa limite. Une fois complètement en elle, elle ressentit un plaisir intense. Elle se caressa frénétiquement, atteignant l’orgasme en quelques secondes. Ce n’était que le premier d’une série d’orgasmes. Elle se sentait puissante et sexuellement comblée. Finalement, ils atteignirent l’orgasme ensemble, créant une expérience inoubliable. Ce quatrième orgasme resterait longtemps gravé dans leur mémoire. Elle avait tenté de le prendre dans sa chatte, mais elle avait rapidement changé d’avis. Elle le plaqua au lit, chevauchant son membre avec passion. Elle lui dit : « Je suis encore une vierge, salaud. » Elle le chevaucha jusqu’à ce qu’ils atteignent simultanément l’orgasme, partageant un moment de plaisir synchronisé. Cette histoire sensuelle se termine ainsi, avec Sophie explorant ses désirs et trouvant la satisfaction dans l’exploration de sa propre sexualité.
11 personnes aiment ça.
Koala13
Un délice !
J'aime 18/10/24
Espièglecoquin
Merci Maitresse !
J'aime 21/10/24
Miss Ariella
Les plus belles robes sont portées pour être retirées.
10 personnes aiment ça.
Smoothtamer
Mais c'est tellement vrai 😘
J'aime 20/10/24
Des hommes soumis en Alsace ?
2 personnes aiment ça.
Mes respects Madame, je suis à côté dans les Vosges... Je suis soumis très maso...
J'aime 18/10/24
beaugose58
bonjour comment ca va
J'aime 18/10/24
Bonjour Je cherche sur Paris une femme qui aimerait s’assoir sur mon visage pour se faire lécher (cunni et anal) .
Soyez la première personne à aimer.
Sad___
Bonsoir à vous je recherche une personne féminine qui aime le facesitting je me déplace uniquement dans les Pays de la Loire/ Bretagne / Nouvelle Aquitaine.
Soyez la première personne à aimer.
Soumis lyon
Bonjour Je cherche sur lyon une femme qui aimerait s’assoir sur mon visage pour se faire lécher (cunni et anal) uniquement. Possibilité de m’attacher si envie.
Bonjour à tous je viens ici pour partager mon fantasme autour du Facesitting. Si des maîtresses seraient intéressée. Dans ce fantasme je serais attacher à un lit en croix. Bien tendu avec des chaîne que je soit incapable de faire le moindre mouvement. Que l’ont me bande les yeux. Et que ma maîtresse me bâillonne avec un sous vêtement qui aurait tremper dans un verre d’urine au préalable + du scotch. À partir de ce moment madame viendrais m’étouffez en Facesitting. madame definirais le temps d’étouffement qu’elle chronométrerais me forçant A le respecter 1min 1min30 etc etc. Pendant ce temps mon corps serait son terrain de jeux fouet cravache cire pince chasteté elle aurait carte de blanche sur mon corps. Et le but de ce moment serait que le temps d’étouffement ainsi que les sévices SM soit de plus en plus sadique. Voilà tout. Nhesitez pas à me partagez vos avis si vous avez des désir similaires. Bon après midi à tout le monde
3 personnes aiment ça.
J'aime bien l'idée effectivement.
J'aime 13/10/24
Ilkay
Bonjour à tous, Jeune homme de 29ans novice cherche à faire de nouvelle rencontre, de préférence une soumise mais je suis ouvert à la domination, j'adore le face sitting.
Miss Ariella
Il était 21 h. Emma, après avoir pris un petit repas rapide se cala dans le canapé du salon. Confortablement installée, elle alluma la télé. Au bout d’une demi-heure de zapping intense mais insatisfaisant à son goût elle décida finalement de prendre quelques magazines et d’ aller les feuilleter dans sa chambre. Elle se mit en tenue de nuit, ce qui consistait simplement à revêtir un grand T shirt qui lui arrivait à mi cuisses. Elle s’allongea sur le lit et commença machinalement et sans trop d’attention à parcourir les revues, sans arriver à fixer son attention sur ce qu’elle lisait. Son esprit était surtout occupé par ce que lui avait dit son mari en partant le matin. « Bonne journée ma chérie et n’oublie pas qu’ aujourd’hui c’est halloween. » Un peu plus tard dans la journée elle l’avait eu au téléphone et il l’avait prévenu qu’il rentrerait un peu tard. Elle n’était pas spécialement inquiète, mais plutôt intriguée voire légèrement excitée. Cela faisait peut-être partie de leurs jeux ‘‘surprise’’ ! Du coup elle avait du mal à se concentrer sur autre chose. Elle essaya de se vider l’esprit et d’ attendre qu’il arrive... on verrait bien. Elle se replongea tant bien que mal dans ses lectures. Alors qu’elle était enfin arrivée par s’ assoupir un peu, un bruit capta son attention. Instinctivement elle se redressa et écouta attentivement. Plus rien... « Bon, se dit-elle, j’ai dû rêver. » Mais au moment où elle allait se rallonger le bruit reprit. Plus clair, plus net. Elle ne parvenait pas à l’identifier, mais il n’ y avait plus de doute. Il se passait quelque chose. Intriguée, elle se leva et sortit de la chambre. Le bruit se fit à nouveau entendre. Cela ressemblait à une chaise qu’on déplace. Comme la chambre se trouvait au premier étage elle avait quelques difficultés à situer sa provenance. Un peu inquiète elle s’avança jusqu’ au bord de l’ escalier et lança : — Mon chéri !... Mon chéri c’est toi ? .... Mon chéri tu es rentré ? Mais pas de réponse ! Le bruit continuait. Maintenant comme si quelqu’un cherchait quelque chose. Emma descendit quelques marches et reprit un peu plus fort — Mon chéri...?! Eric c’est toi ? Aller arrête tu sais que ça me fait peur ! Elle respira un bon coup et décida d’aller voir ce qui se passait. Elle voulait en avoir le cœur net. Elle descendit les quelques marches qui lui restait pour arriver au salon. Elle éclaira, regarda d’un côté de l’ autre... rien de spécial. Le bruit s’était tu. Il régnait dans la maison un grand silence devenu un peu stressant. Elle continua son exploration. Fit le tour des pièces, ouvrit les placards... Rien. Elle vérifia que les fenêtres étaient fermées, la porte d’entrée verrouillée. Finalement tout allait bien. Apaisée elle reprit la direction de sa chambre. Elle était sur le point d’attaquer la première marche quand la lumière se coupa. — Merde ! lança-t-elle. Elle appuya sur l’interrupteur... rien . Le compteur avait dû sauter. Elle se retrouva d’un coup dans le noir et n’ eut pas le temps de réfléchir à quoi que ce soit qu’ une main ferme venue de derrière elle se plaqua sur sa bouche en même temps qu’ un bras solide emprisonnait les siens fermement maintenus dans son dos. Prise de panique Emma poussa un cri étouffé et se débattit dans tous les sens comme elle put pour se débarrasser de son agresseur. La pression de son assaillant était trop forte pour qu’elle puisse se dégager. Elle sentait sa respiration sauvage dans son cou. Malgré tous ses efforts pour se libérer de cette étreinte, l’homme ne lâchait pas prise. Au contraire plus elle gigotait plus il la serrait plaquée contre lui. La lutte était inégale et l’issue prévisible. Petit à petit Emma s’épuisait ses ruades devenaient moins violentes à chaque minute qui s’ écoulait. Ses cris étouffés s’étaient transformés en sorte de râles. A bout de souffle, elle cessa de se débattre et son corps se ramollit. Elle se disait que c’était peut-être le moyen d’ arriver à s’ en sortir. L’homme la garda presque inerte pressée contre lui guettant la dernière ruade le dernier sursaut, mais elle avait cessé de résister. Vaincue. L’homme approcha sa bouche de son oreille et lui dit d’une voix forte et rauque comme venue des entrailles de l’ enfer — Tu es une garce et tu vas recevoir le traitement que mérite une garce. Emma en entendant cette voix tressaillit, son sang se glaça, son corps se tendit et fut parcouru de violents frissons. Cette voix qui lui rappelait ‘‘ l’Exorciste ’’ et qui lui faisait si peur, mais qui l’ excitait aussi beaucoup. L’homme continua. — Je vais retirer ma main de ta bouche à bites et te menotter les poignets. Je ne veux pas t’entendre ! Dis oui de la tête ! Tout en acquiescent, les paroles de son mari le matin même lui revinrent à l’esprit... L’homme retira lentement sa main qui bâillonnait la bouche d’ Emma et effectivement au lieu de hurler ou même de l’insulter elle se mit à le supplier d’une voix plaintive. — Non, non ! S’il vous plaît, libérez-moi, je n’ en parlerai à personne. S’il vous plaît ne m’ attachez pas, ne me mettez pas de menottes. Je vous en prie ne me faites pas de mal je ferais tout ce que vous voudrez. Mais l’homme n’ eut que faire de ses suppliques. Il joignit les poignets d’Emma dans son dos. Tout en les maintenant fermement il tira de sa poche une paire de menottes. Au son caractéristique des menottes Emma ne put empêcher son corps de se cambrer légèrement et de se mettre à onduler. Elle lutta mollement pour se défaire de l’ emprises de l’homme, mais quand le premier bracelet se referma sur le premier poignet elle ne put réprimer un gémissement ni une onde de chaleur qui envahit délicieusement le creux de ses reins. Quand l’homme menotta son second poignet et qu’elle se sentit définitivement prisonnière. Elle se débattit, se contorsionnant, agitant ses bras comme pour se débarrasser de ses chaines. Ce fut si soudain qu’une fraction de seconde elle échappa au contrôle de l’homme. Celui-ci se ressaisit aussitôt et l’agrippa par les cheveux, lui tira la tête en arrière
10 personnes aiment ça.
J'adore la suite s'il-vous-plaît
J'aime 03/10/24
Koala13
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J'aime 04/10/24
A quand le prochain épisode ?
J'aime 05/10/24
Miss Ariella
Devant la croissance édifiante de la délinquance des jeunes filles, la justice à créé un centre de redressement pour jeune filles majeures qui sort complètement de la déclaration universelle des droits de l’homme adoptée le 10 décembre 1948 par les 58 Etats. 

Le but de ce centre est aussi d’éviter aux jeunes filles la prison et, grâce aux rumeurs extérieures, de dissuader les adolescentes. 

Le jour de ses 18 ans, Laurie est partie de chez ses parents pour aller vivre « sa vie » avec un mec pourri qui la balade en jouant avec ses sentiments. Cela fait trois fois qu’elle se fait piéger à voler pour lui dans des magasins mais la dernière fut celle de trop. Pour essayer de fuir, elle a essayé d’assommer le vigile qui lui tournait le dos dans son bureau avec le ventilateur avant de prendre ses jambes à son cou dans le magasin. La pauvre mamie marchant avec une canne se trouvant sur son chemin fut littéralement projetée dans un caddy. Voyant qu’elle ne s’arrêtait pas pour s’excuser et l’aider à se relever, avec sa corpulence de rugbyman Tony furieux d’un tel manque de respect l’a attrapée et conduite par les cheveux jusqu’à la personne âgée étalée sur le sol. La suite est simple, police, pompier et direction le commissariat. 

Le vigile étant grièvement blessé au cou et la mamie dans un piètre état, Laurie est conduite devant le juge du nouveau tribunal de proximité. Et là, au lieu de jouer profil bas, la rebelle insulte le juge et donne des coups de pieds à l’agent essayant de la modérer. Dégoûté, l’avocat commis d’office plaide par principe et sans grande conviction. 

- Mademoiselle, vous êtes une récidiviste dangereuse, devant vos agissements, votre attitude aussi honteuse qu’irrespectueuse je vous condamne à six mois de centre de redressement à cause de votre jeune âge, mais vous mériteriez cinq ans de prison. Votre incarcération est immédiate. Affaire suivante ! Déclare le juge. 

………………………

A son arrivée au centre de redressement des jeunes filles, Laurie est conduite au bureau des entrées où on lui demande de se dévêtir pour y être auscultée par le médecin. Se mettre nue devant deux gardiens n’est pas du goût de la jeune rebelle prête à se battre. En ces lieux, les lois sont bien différentes de l’extérieur et on apprécie de pouvoir rentrer dans le vif du sujet du côté des gardiens. Deux monumentales gifles plus tard dont une lui est rendue par le mur, Laurie en larme est attrapée par les cheveux, ses vêtements sont quasiment arrachés. Le médecin l’ausculte, lui fait une prise de sang servant également pour le test HIV, lui pose quelques questions avant de valider son entrée sans évidement mentionner les marques sur son visage. Sans même lui demander sa taille, l’habilleuse dans la salle suivante lui donne un soutien gorge, une culotte type écolière, une jupe courte puis un tee-shirt et des ballerines usagées en guise de chaussures. 

Conduite nue dans les couloirs jusqu’à une cellule d’isolement, Laurie rumine sa rage mais n’en mène pas large. L’ennuie ne l’aide pas à se calmer, elle est convaincue d’être assez maligne pour pouvoir s’évader. Lorsque l’on vient la chercher six heures plus tard, c’est pour la conduire à la douche avec les autres détenues. La pièce froide et vétuste n’a pas de douche ni de porte, les murs sont carrelés il y a des trous dans le sol pour l’écoulement de l’eau. Laurie se déshabille et comme les autres filles pose ses vêtements sur un banc de béton. Une d’entre elles, passe avec un seau contenant des morceaux de savon cubique, comme les autres filles elle en prend un sans trop comprendre ce qu’il l’attend. Un gardien arrive avec un long tuyau qu’il branche au mur en hurlant : « en position ». Les filles se mettent face au mur, Laurie fait comme elles, ici on n’a pas le droit de parler. Le gardien ouvre l’eau et les arrose copieusement, coupe l’eau, crie « tournez-vous » et recommence en s’amusant à diriger le puissant jet sur leur visage ou ce qui fait d’elles des femmes. 

- On se savonne ! Hurle le gardien. Et n’oubliez pas vos chattes, ici les filles sont propres. 

Le rinçage se fait au jet avec une particularité qui n’est pas du goût de Laurie. Elles doivent se mettre en ligne et se pencher en avant pour montrer leur cul. Laurie refuse en criant qu’elles ne sont pas des bêtes, en guise de discutions, le gardien rince les fesses des filles sans s’occuper de la rebelle. Plaquée contre un mur par le cou, Laurie voit les filles passer une après l’autre dans un immense séchoir, se rhabiller et quitter la salle en rand comme des écolières. 

- Alors comme ça tu veux jouer les rebelles ? Lui dit le gardien la maintenant toujours par le cou. Alors c’est très bien, on va s’amuser. 

Attrapée manu militari, elle est entraînée dans une salle où se trouve une énorme croix horizontale positionnée à un mètre du sol. Portée et entravée bras et jambes en croix, même morte de peur, Laurie les insulte. Insensible à ses insultes, ils finissent de refermer les bracelets de ses membres puis prennent du recul. L’un d’eux prend le tuyau accroché au mur, ouvre l’eau et le dirige directement sur son intimité. Le froid comme la puissance du jet la font hurler. Elle se débat mais ne peut échapper au puissant jet lui donnant l’impression que son sexe brûle. Le vice des gardiens ici est sans limite, l’un d’eux s’approche d’elle avec une énorme seringue munie d’un embout de la taille d’un pouce. 

- On va te laver le cul en profondeur salope, la prochaine fois qu’on te demandera de monter tes fesses, tu le feras sans discuter ! Lui dit le gardien en insérant la canule de la seringue sans plus de précaution dans son trou du cul. 

Laurie hurle de douleur et de rage autant que de honte, quand le gardien commence à lui remplir les intestins pendant que deux autres s’amusent avec ses tétons qu’ils appellent des « mamelles ». Elle les traite « d’enculés » en se débattant, puis, quand ils écrasent ses « mamelles » comme des fous entre leurs doigts, les supplie entre deux cris d’agonie. Le lavement se reproduit trois fois, l’eau injectée dans son colon gicle entre ses jambes. Se faire dessus comme ça, la couvre de honte, le désespoir remplace la rage, l’envie de mourir pour ne plus vivre ça la submerge. 

Comble de l’ignominie, quand ils libèrent la loque humaine qu’elle est devenue, ils lui posent une couche en lui indiquant que c’est pour qu’elle ne laisse pas des traces dans les couloirs. Brisée, Laurie de répond pas, elle s’habille et les suit dans les couloirs. Dans ses yeux brouillés par les larmes, les murs et les portes défilent sans qu’elle n’y prête attention. A l’entrée du réfectoire silencieux, tous les regards se portent vers elle. Quand le gardien la pousse vers le service, elle rétorque qu’elle n’a pas faim. 

- On s’en tape que tu ais faim ou pas, prend un plateau et à manger et va t’asseoir où tu vas morfler. 

Mortifiée, assise devant son plateau entre deux autres détenues, Laurie sent que cela coule entre ses fesses, son colon restitue les restes du lavement. Ce n’est plus que de l’eau mais elle ne peut le savoir et pleure toutes les larmes de son corps. Les filles ne disent rien, seuls leurs yeux compatissants l’accompagnent dans son désespoir. Les premiers jours ici, sont un véritable enfer, la pauvre n’en est qu’à ses débuts. 

……………….

Le coucher des filles est un moment très particulier au centre, apprécié par certain détesté par les détenus. En quittant le réfectoire, les filles sont conduites en rand dans d’immenses chambres collectives. Le passage par les toilettes sans porte ni mur de séparation est obligatoire, la pudeur est mise à mal, il faut un peu de temps pour parvenir à faire ses besoins. Brisée Laurie baisse sa couche finalement pas très salle et s’assoie machinalement mais rien ne vient, elle est bloquée. Elle est autorisée à jeter sa couche avant de rejoindre le rand de celles qui ont fait et attendent que les autres fassent. La tête basse comme des condamnées, les filles se mettent en route, Laurie est affectée à la chambre six. 

Sous le regard des gardiens, elles se dévêtissent pour enfiler une chemise de nuit en coton gris avant de se mettre debout aux pieds de leur lit. Un gardien distribue des couches à celles qui en veulent puis ordonnent de se coucher. En guise de télévision et d’internet, les gardiens leur passent une chaîne soudée au lit autour du cou, les entraver comme des bêtes leur permet d’éviter des bagarres sanglantes et les amours saphiques. Outre la sécurité, ce dispositif permet surtout de limiter le personnel pénitentiaire la nuit et d’augmenter la capacité d’accueil au moindre frais. 

Laurie n’a pas de chance

Laurie n’a pas de chance, elle est très jolie, son corps bien proportionné a toujours attiré les regards et en ces lieux ce n’est pas un cadeau. Elle est mince, svelte, son corps n'est pas celui d'une biche, aux courbes pleines et sensuelles, mais plutôt celui d'une gazelle, souple et nerveuse, avec de jolies jambes aux mollets discrets, au fuseau de la cuisse peu accentué. Partout, sa chair est d'une grande fermeté, sa peau est tendue sur ce que l'on sent être des muscles. Son ventre est plat, ses hanches à peine rondes mettent en valeur ses sublimes fesses, petites et pommées. Son sourire aux dents blanches, ses yeux clairs et rieurs, pétillants d’intelligence bordée de magnifiques cheveux châtains-blonds, ondulant jusqu’aux épaules s’envolant à chaque mouvement de tête. Sa poitrine presque volumineuse avec ses seins bien ronds suscite toutes les convoitises. 

Le matin, après les toilettes collectives et la douche toujours aussi cruelle, les gardiens l’isolent du groupe en lui indiquant qu’elle va être transférée pour son dossier. Une lueur d’espoir anime Laurie qui se laisse mettre les fers aux pieds comme les bagnards puis les menottes dans le dos. Conduite à travers un dédale de portes et de couloirs à travers l’établissement, Laurie est conduite au directeur prévenu de l’arrivée d’une poupée saine son test HIV étant négatif. Dès son entrée dans le bureau, le directeur posant sur elle un regard de prédateur Laurie a un pressentiment très négatif et elle ne se trompe pas. Une fois seule avec lui, il s’approche d’elle avec un taiser à la main en lui expliquant que cet appareil permet de remplacer les armes des policiers. Le sien est réglable dans l’intensité, de la simple décharge de rappel, il peut délivrer une puissance telle qu’un bœuf s’écroule d’une simple décharge. 

Il l’a guide délicatement en t’attrapant par les cheveux dans une salle qui lui glace le sang lorsqu’elle y pénètre. Le lit, le canapé, le bar, les chaînes et crochets dans le sol avec de grandes armoires contre le mur du fond lui font très peur. Elle refuse d’avancer mais avec les fers aux pieds et les mains menottées dans le dos, il est difficile de résister à la force d’un homme décidé. Conduite au centre de la pièce manu militari, le directeur passe un crochet dans ses menottes et l’abandonne un instant pour aller chercher une télécommande. Face à sa proie, avec un sourire carnassier posé sur les lèvres, il appuie sur le bouton de la télécommande. Le crochet fixé aux menottes dans son dos remonte lentement vers le plafond obligeant Laurie à se pencher en avant. Le directeur dès plus sadique se nourrie de la peur qu’il lit sur le visage de cette magnifique poupée rebelle qu’il va dresser à sa manière. 

La télécommande jetée sur le canapé, le directeur s’approche d’elle pour entreprendre de lui malaxer les seins. Entravée dans la position où elle est, hormis râler et insulter elle ne peut rien faire pour fuir les horribles attouchements annonciateur d’idées encore bien plus sadiques et perverses. Laurie a compris et ne peut accepter ce qu’il va lui arriver, la rage la pousse à essayer de mordre mais, rusé et habitué aux rebelles, le directeur esquive le coup de dents qui lui était destiné. Le teaser à la main, il s’approche d’elle et malgré ses « non » désespérés lui délivre une décharge si forte qu’elle bondit et hurle sa douleur. 

- Il n’est qu’en position un, je te laisse imaginer en position dix sur ta chatte…. Lui indique le directeur avec un sourire sadique comme s’il espérait qu’elle se rebelle encore. 

Le teaser en main, il entreprend de flatter ses fesses exposées en lui ordonnant de ne pas bouger si non….. Ce contact la rend folle de rage puis de désespoir quand la main vicelarde entreprend de passer devant pour plonger entre ses cuisses et tripoter sa féminité qu’elle essaie de protéger en serrant les cuisses. Laurie pleure et supplie maintenant et desserre même les cuisses quand il pose son teaser sur sa joue trempée de larmes. 

- Ne pleure pas, dans un moment si tu es bien sage, tu vas connaître des jouissances si folles et intenses que tu rêveras de revenir me voir. Voyons voir les trésors que tu caches sous ces horribles vêtements. Murmure le directeur à son oreille entre entreprenant de baisser sa culotte qu’il fait glisser jusqu’à ses pieds. 

Quand sa main se pose sous sa jupe sur sa croupe offerte Laurie frémit de la tête aux pieds et plus encore quand un doigt malin s’insinue lentement dans sa raie des fesses pour venir tâter puis forcer son petit orifice interdit en lui arrachant un gémissement de douleur. 

- Là tu es trop serrée, j’ai programme adapté pour toi, ne t’inquiète pas. 

Le doigt fouineur s’arrache de l’étroit passage pour venir maintenant explorer sa plus tendre intimité qu’il trouve déjà bien ouvert pour une fille de 18 ans. Il l’abandonne un instant pour aller chercher des ciseaux de couturière, à son approche elle claque des dents de peur, l’angoisse serre sa gorge à l’étouffer lorsqu’il se met à découper ses vêtements. Intégralement nue, hormis sa culotte tombée sur les fers qu’elle porte toujours aux pieds, il savoure des yeux son corps, un pur chef d’œuvre de la mère nature. Il passe derrière elle et se plaque contre ses fesses comme s’il allait la prendre en malaxant ses seins généreux d’une rare fermeté pour ce volume. Entre elle et son violeur, le pantalon et le slip du directeur ne sont qu’un maigre rempart de protection, sur lequel elle n’a aucune confiance. 

Il l’abandonne un instant pour aller ouvrir les grandes armoires, leur contenu affole encore Laurie, il ressemble à la fois à celui un sex-shop et celui d’une véritable salle de torture. Il y choisit des pinces à sein reliées par une chaînette puis un gros martinet fait de longues et épaisses lanières de cuir noir. 

- Une fille est bien meilleure quand elle a un peu souffert avant ! Lui indique le directeur en s’agenouillant sous sa poitrine pour poser les pinces sur les délicats ergots roses et fragiles. 

La morsure immédiate des pinces la fait gémir et pire encore lorsqu’il entreprend de lester la chaînette avec un poids de 300 grammes. Les lanières du martinet ne tardent pas à s’abattre sur son magnifique fessier offert à sa gourmandise. Laurie crie alors que les coups ne sont pas réellement portés. 

- Ne crie pas tout de suite, tu as tout ton temps. Clame haut et fort le directeur en abattant un coup nettement plus appuyé la faisant ruer de douleur, ruade innocente se répercutant aussitôt sur le poids accroché à la chaînette de ses pinces à sein. Cruel dilemme n’est-ce pas ma belle que de souffrir sans bouger pour ne pas augmenter ses souffrances…… 

La valse des lanières tantôt sur ses cuisses, tantôt sur son dos, tantôt sur ses fesses génère un lot de douleurs telles qu’elle en arrive à espérer qu’il la viole rapidement pour que cela se termine. Son corps commence à rougir de partout, son beau visage n’est plus beau, il est trempé de larmes avec des signes de contractions musculaires dues à la souffrance endurée. 

- Allez, on arrête pour cette fois, veux-tu que je te retire les pinces à sein ? 

Laurie répond « oui » et rajoute même « s’il vous plait » et là, dans un pur sadisme il lui demande s’il doit les retirer rapidement ou doucement. Etant inculte en SM et en pinces à sein, elle répond « rapidement » sans savoir qu’au plus c’est rapide au plus c’est douloureux. Elle se met à hurler quand l’afflux sanguin se fait rapidement dans ses tétons écrasés reprenant leur forme initiale. Tu aurais du me répondre : « c’est vous qui décidez Monsieur » cela aurait été moins douloureux. 

D’un naturel posé, organisé et soigneux, le directeur retire son pantalon qu’il plie et pose sur le canapé avant de retirer son slip rangé avec les mêmes précautions avant de s’approcher de Laurie dont le cœur bât la chamade. Le sexe bandé fouille entre ses fesses pour le plaisir de générer la peur de la sodomie de la jeune pucelle du cul avant de venir s’enfoncer d’un seul coup dans sa vallée intime sèche ce qui lui arrache un cri de bête que l’on égorge. Tenue par la taille en entravée, elle ne peut que subir l’outrage de ce sexe turgescent décidé à se servir de la bête qui lui est offerte. Forcée de subir, elle n’a qu’une hâte que cela se termine, mais d’un âge mur, le directeur sait prendre son temps. Les mouvements sont réguliers alternés de coups de rein parfois très profonds qui la font crier et s’essouffler. Comme il serait trop dangereux pour une première de se déverser dans sa bouche, il se retire pour éjaculer sur son dos en lui disant « qu’elle est une bonne salope qui ira loin ». 

Brisée et dégoûtée, la vie dans le centre lui semble soudain bien plus douce Laurie espère maintenant pouvoir rejoindre les détenues pour fuir ce lieu maudis mais le directeur a d’autres intentions, la rendre folle. Au lieu de la libérer, il prépare du matériel et déroule une rallonge électrique avant de poser un pot sur son dos en lui indiquant qu’elle sera punie si elle le fait tomber. Il lui passe une ceinture et une corde pour attirer son corps vers l’arrière et une autre corde pour attire son corps vers l’avant. Les cordes attachées dans les crochets fixés au sol, elle ne peut ni avancer ni reculer ni même se mettre sur la pointe des pieds pour fuir l’horrible machination qu’il a prévu pour ravager son cerveau. Il prépare ensuite une machine à baiser sophistiquée, équipée de deux tiges sur lesquelles il fixe deux godes. Un tout petit pour l’anus de la pucelle du cul, un plus gros pour son sexe déjà bien accueillant. Laurie est horrifiée en voyant cela, son calvaire n’est donc pas fini. 

D’un vice tel qu’il est toujours parvenu à faire craquer ses victimes, il ajoute un espèce de gros micro sur pied importé des Etats-Unis, c’est une pièce rare d’une très grande puissance. Avant de faire ses « réglages » il prend deux gros suppositoires de glycérine qu’il enfonce dans ses orifices avant d’y mettre le gel de gingembre de sa fabrication personnelle. Ultra dosé, ce gel chauffe rapidement les parois vaginales et anales, si bien que pour apaiser le feu couvant en elle, ses victimes sont comme assoiffée de sexe. 

L’introduction des godes ne se fait pas sans jérémiades, surtout pour la petite rosette étoilée monstrueusement contractée, pour le moment… La machine callées et les godes en place, il lui reste à installer le gros micro vibrant qui vient prendre appuis sur le clitoris caché au fond de son écrin. Il n’est que dix heures, comme il a le temps, il programme sa machine à baiser pour une évolution progressive de la vitesse et met en route le gros vibro sur une vitesse lente, si ce n’est pas suffisant il viendra la régler plus tard. 

Lorsque ses machines diaboliques sont mises en marche, le premier réflexe de Laurie est de hurler, elle hurle de peur pour l’instant mais il sait que dans un moment, la mélodie sera tout autre, surtout quand sa mixture de gingembre commencera à faire effet, ce qui ne devrait pas tarder. 

- A tout à l’heure ma belle, amuse-toi bien et n’hésite pas à « chanter » ton plaisir, j’adore travailler avec cette douce mélodie. 

Laurie ne peut que subir les mouvements alternés des deux godes forçant ses orifices puis les vibrations sur son clitoris sous les yeux amusés du directeur assis à son bureau dans la pièce à côté. Par la porte ouverte, il a le délicieux spectacle que lui offre sa magnifique victime.

- Comment peut-on avoir du plaisir quand on est torturée ? Vous êtes un malade. Crie Laurie en le voyant quitter les lieux. 

Moins de deux minutes plus tard, le gingembre commence à faire son effet et à chauffer l’intimité agitée, si bien que lorsque la machine à baiser fait des pauses, elle en est à espérer qu’elle redémarre pour apaiser le feu couvant en elle. Le gros vibro sur son clitoris est diabolique, en d’autre temps elle apprécierait d’en avoir un chez elle, mais là, comment goûter ces agréables sensations à leur juste valeur ? Au bout d’un moment, la machine à baiser accélère, les gros suppositoires à la glycérine fondant progressivement, la lubrification est telle que les godes glissent en elle sans efforts pour les tendres parois. La machine à baiser accélère encore, les mouvements inversés du gode anal et du gode vaginal comment à méchamment chahuter son intimité et son clitoris à réagir. 

Du plus profond de ses reins et de ses tripes, elle sent bien que quelque chose de sourd, de bon, de bizarre monte en elle. Elle ne peut concevoir de jouir, non ce n’est pas possible, pas ça pense t-elle, pas comme ça, c’est ignoble. La machine à baiser accélère encore, elle essaye de se mettre un peu sur la pointe des pieds pour diminuer les vibrations sur son clitoris mais c’est bien pire. Quand le micro l’effleure la vibration est telle qu’elle en a les lèvres intimes qui se mettent à trembler. 

Il arrive doucement avec vice, elle le sent mais au plus elle essaie de lui résister, au plus il monte en elle. Sa tête devient chaude, sa respiration s’accélère, au bruit de la machine se joignent les clapotements d’une chatte chahutée trempée de plaisir. Laurie ne veut pas lui faire le plaisir de jouir, elle se mord la lèvre, son visage crispé affiche la lute sauvage se déroulant en elle jusqu’au moment ou elle est ravagée malgré elle par une jouissance diabolique. Diabolique car la machine à baiser ne s’arrête pas tout comme le gros vibro sur son clitoris. 

Lorsqu’il l’entend crier, le directeur ferme les yeux pour mieux apprécier la sublime mélodie d’une femme terrassée par la jouissance. D’autres vagues orgasmiques aussi puissantes que des tsunamis ravagent la résistance de Laurie, elle n’est plus qu’un corps agité de spasmes aussi incontrôlables que diaboliques. 

Tellement ravagée mentalement et physiquement, quand il vient libérer son intimité et la baiser à nouveau, Laurie ne réagit plus, son corps ne lui appartient plus, il appartient au plaisir charnel qu’elle ne contrôle plus. Pour la seconde fois il lui éjacule sur le dos avant de la décrocher pour l’étendre sur le sol. Par précaution, il ajoute des menottes à un des crochets pour qu’elle ne puisse s’enfuir puis lui pose un casque intégral de moto sur la tête. 

Ce casque a été modifié, à l’intérieur pendant le temps du repas et de la sieste du directeur, il va diffuser en boucle une musique douce avec des paroles indiquant : « je suis la soumise sexuelle du directeur, je l’aime, je suis la chienne du directeur, je l’aime, le directeur est mon Maître, je l’aime». Littéralement épuisée à peine recouverte d’une couverture, Laurie s’endort avec un lavage de cerveau en guise de rêve de vie.
###PROFIL BANNI###Dulcia
Ma nouvelle chienne a découvert grâce à moi qu’il aimait le facesitting. Je suis une femme dominatrice sans tabou et je l’ai toujours été avec lui que ce soit dans notre vie de tous les jours . Mais depuis quelque temps, ma lope a pris beaucoup plus de plaisir en termes d’humiliation et de soumission et a voulu devenir un vrai soumis sous contrat d’appartenance ce qui a été effectivement le cas. Il adore quand je l’utilise et le traite comme le cochon qu’il est. Nous prenons du plaisir tous les deux dans cette situation, C’est le facesitting. C’est-à-dire le fait que je vienne me coller la chatte et le cul contre son visage et que je me frotte contre lui. Quelquefois il ne peut plus respirer si ce n’est mes odeurs intimes. Cela fait partie de son éducation de soumission et d’humiliation, je parle du fait que je ne m’essuie pas forcément les orifices après être allée aux toilettes. Assez dévoué pour lui faire découvrir d’autres pratiques. Hier par exemple j’avais envie de lire un magazine. Et je voulais profiter de ce moment de détente pour le coupler avec un moment de plaisir. J’ai demandé à mon clebard de venir et de s’allonger en travers du lit. Il avait la tête juste au bord ce qui m’a permis de venir m’asseoir sur son visage. Je lui faisais un magnifique facesitting et j’y ai pris un plaisir certain. Lorsque je suis arrivée au-dessus de sa tête, j’ai pris soin de bien écarter les cuisses et les fesses pour que ma vulve soit complètement ouverte ainsi que mon anus. Je suis alors descendue me plaquer contre sa bouche qui était totalement recouverte par mon vagin. Avec ces jeux de langue a eu l’agréable surprise de recevoir ma mouille sur sa face. Comme j’ai la chatte poilue, mais poils étaient complètement imbibés d’urine et de mouille. Mon vagin suintait lui aussi, mais vous pensez bien que cela n’a pas gêné. Il s’est régalé de me lécher la vulve tandis que je continuais de lire mon magazine. Lorsque je me suis relevée quelques minutes plus tard, la petite pute était rouge comme une pivoine. Je me suis retournée et j’ai vu qu’il bandait comme un taureau.
16 personnes aiment ça.
delicieuseslechouilles
J’adorais lécher vagin et anus de Maîtresse Daniela, me délectant d’urine, de pertes blanches et de cyprine alors que ses autres esclaves se relayaient pour me sodomiser…🥰😋🤪
J'aime 20/09/24
Assrimming
Votre chienne est fortement chanceuse.. des orifices pas nettoyer il a du se régaler et vous aussi.
J'aime 20/09/24
Soumisxa
J’aimerais être soumis au même traitement par ma Maîtresse ! Merci pour le récit, Dulcia
J'aime 20/09/24
Soumis lyon
Hummm quelle chance il a eu de pouvoir vous satisfaire comme ça. C’est un réel plaisir de donner du plaisir !
J'aime 20/09/24
Marc Nancy
Magnifique récompense. Il a du être très sage pour mériter cela !
J'aime 21/09/24
Chiotte
Sa ressemble plutôt a un texte d homme..pas d une domina ☺️😂
J'aime 22/09/24
###PROFIL BANNI###Dulcia
Tu ne sais pas lire ou le français pour toi c’est du Chinois pauvre tache
J'aime 22/09/24
Chiotte
😂😂réponse d'un mec 😂😂 une dominatrice ne fait jamais se genre de texte crois moi 🤣🤣 et la réponse non plus justement je sais lire et c est justement le délire d un homme..une domina ne n ecrirais pas comme sa ...mais bon si c est. Ton délire pourquoi pas.. monsieur 🤣invente toi une vie
J'aime 22/09/24
Isela
Un long moment Laure resta au bord de la plage les yeux rivés sur le soleil qui se couchait dans un flamboiement de couleurs mordorées. Une légère brise marine caressait son visage et ses épaules. Elle était si bien ainsi à contempler la mer étale qui s’étendait devant elle la berçant de son léger clapotis. Tout était si calme. Si beau. Comme si le temps n’avait plus d’emprise. Dans un dernier embrasement, le soleil disparut à l’horizon laissant derrière lui de somptueuses trainées lumineuses. A regret Laure se détourna du spectacle grandiose que la nature venait de lui offrir. L’heure n’était plus à la rêverie. Un frisson la parcourut à l’idée de ce qui l’attendait, qu’elle avait voulu, cette nuit. Un nœud d’angoisse lui serra le ventre et, un bref instant, son souffle se fit court et son pas hésitant. Elle était folle. Elle devait renoncer. Il était encore temps. Retourner sur la plage et plonger dans les flots, se laisser bercer par les vagues. Oui, elle pouvait encore faire marche arrière. Personne ne lui en voudrait. R, lui-même, pourtant si fort attaché aux expériences extrêmes, l’avait conjurée de ne pas tenter cette expérience-là qui devait la mener au-delà de toutes ses limites et, elle l’espérait, lui permettre d’outrepasser ses dernières frontières. Il lui avait dit qu’elle n’avait plus rien à prouver. A lui prouver. Il avait raison bien sûr. Mais elle lui avait rétorqué qu’elle avait quelque chose à se prouver à elle. Mais là, sa volonté vacillait. Elle ne comprenait plus très bien les raisons qui l’avaient menée à prendre cette décision, il faut bien le dire, terrifiante et délirante. S’offrir toute une nuit, tel un objet sans âme, à des inconnus hommes et femmes qui pourraient user, abuser d’elle comme ils l’entendraient sans qu’elle ne puisse rien, absolument rien leur refuser. Simple poupée de chiffon entre leurs mains dont la seule alternative serait de subir. La seule limite, ne pas attenter de manière définitive et irréversible à l’intégrité de son corps. Pas de no limit donc qui peut conduire à la mort. Bien sûr R serait là. Mais il avait pour instruction expresse de ne pas intervenir quoiqu’on puisse lui infliger aussi terrible et brutal que cela puisse être. Elle lui avait néanmoins concédé, pour faire taire son appréhension et surtout couper court, une bonne fois pour toute, à cette conversation, le choix d’un mot qui seul, si elle le prononçait, aurait le pouvoir de tout arrêter. En secret elle s’était juré de ne pas le prononcer sinon à quoi bon tenter cette expérience ultime qui ne serait plus alors qu’une mascarade dénuée de sens. Simple jeu de divertissement qui s’arrête aux premiers cris. Ses pas l’avaient mené jusqu’à sa destination. Une porte tout à fait banale comme toutes celles de cette rue anodine. Seule une petite caméra fixée discrètement à un angle pouvait prêter à interrogation. Qui pouvait se douter de ce qu’il y avait derrière cette porte ? Un donjon comme il est convenu de nommer ce type de lieu. Seulement connu de quelques initiés et où l’on ne pouvait pénétrer que sur cooptation des membres. Une trentaine tout au plus. Pour l’occasion ce cercle restreint s’était ouvert et chacun des membres avait eu la liberté d’inviter jusqu’à deux personnes de leur choix. Laure jeta un dernier regard vers le ciel maintenant gris et posa son doigt sur la sonnette. La porte s’ouvrit quasi immédiatement. R était là devant elle. Rassurant. Il la prit dans ses bras et la serra tendrement contre lui. Laure respira avec délices les effluves masculines qui émanaient de son corps et, comme à chaque fois, sentit son cœur fondre de bonheur quand ses lèvres se posèrent dans son cou en une tendre baiser avant de lui demander : — Toujours OK ma chérie ? — Toujours… oui, lui répondit-elle en faisant en sorte que sa voix reste ferme malgré la boule d’anxiété qui obstruait sa gorge. — Tu sais que…. — Oui je sais, le coupa-t-elle abruptement. Inutile de revenir là-dessus. Je dois le faire, c’est tout. — Bien. Alors suis-moi. Allons te préparer. Lentement Laure et R traversèrent un court corridor entièrement peint en noir où les seules lumières provenaient de leds disséminés dans les murs et se dirigèrent vers une petite loge. Là elle revêtit une longue robe noire à bretelle au tissu translucide assortie de bottes en cuir noir à lacet à hauts talons. Doucement R lui releva ses longs cheveux bruns qu’il noua en chignon. — Voilà, tu es prête. — Oui, murmura-t-elle dans un souffle. Allons-y. — Tu es sûre ? lui demanda-t-il inquiet — Oui. Et tu le sais. Mais, soudain prise d’un doute terrible devant l’anxiété de son compagnon, elle se blottit contre lui qui referma ses bras autour d’elle en un cocon de tendresse et de douceur. L’étreinte des amants ne dura qu’un instant mais elle y puisa le courage nécessaire pour franchir la porte de la loge d’un pas assuré. Ils refirent le même trajet à l’envers avant de pénétrer dans une large pièce circulaire également peinte en noir et parcimonieusement éclairée par les mêmes leds que le corridor. Au centre un bar en marbre noir autour duquel étaient disposés de larges fauteuils et canapés en cuir ainsi que des tables basses en verre dépolis sur lesquelles avaient été fixées des menottes, des entraves. Tout autour la pièce s’ouvraient de petites portes qui menaient à des salons privés. Laure savait que ces salons recelaient toutes sortes d’objets, d’accessoires propres au jeux SM. Déjà s’élevaient de certains des claquements de fouets ou de mains s’abattant sur des chairs meurtries, des cris, des soupirs… Mais pour cette soirée spéciale le spectacle, elle le savait, aurait lieu ici. Quelques personnes étaient déjà installées dans les fauteuils sirotant un verre qui regardèrent passer avec curiosité cette longue silhouette noire qui s’avançait tête haute sans daigner jeter le moindre regard autour d’elle. Laure avait voulu garder un certain mystère sur le déroulement de la soirée et personne ne savait exactement ni qui elle était, ni à quoi s’en tenir. La seule chose qui avait transpiré, à dessein d’ailleurs, était qu’une femme serait mise à leur disposition pour la nuit. Était-ce cette femme si fière semblait dire les regards fixés sur elle ? Laure s’avança d’un pas soudain devenu incertain vers le seul point lumineux de la pièce. Une petite estrade brillamment illuminée par des spots sur laquelle était érigé en son centre un pilori, simple poteau en bois sombre d’environ deux mètres de haut, où étaient solidement fixés à l’extrémité supérieure de lourds bracelets en fer. Laure frissonna en songeant que, dans quelques minutes seulement, elle se tiendrait là, les mains solidement attachées au-dessus de la tête, offerte à qui voudrait… A droite du pilori, tout aussi menaçant, un carcan, en bois également, disposé lui sur une roue horizontale munie d’un roulement électrique qui permettrait de le faire tourner à volonté. A gauche, sur une large table recouverte d’un drap d’un blanc immaculé étaient disposés cordes, pinces, aiguilles, bâillons, lame effilée comme un scalpel qui brillait comme une menace, une lourde muselière en cuir, des suspensions… Derrière la table, fouets, cravaches, canne anglaise étaient soigneusement suspendus sur un chevalet… Tout un arsenal d’accessoires sexuels divers de plaisir ou de souffrance. Les pupilles de Laure se dilatèrent à la vision de ces objets qu’elle avait elle-même choisis et disposés et elle sentit soudain son sexe se contracter sous la pulsion de désir qui soudain la transperça à l’idée que sous peu elle en éprouverait la dure loi. Voilà, elle y était ! Elle allait, en toute conscience, s’abandonner aux visiteurs les laissant libre de faire ce qu’ils voulaient avec son corps. Pour elle, recherche ultime de ses limites aussi bien mentales que physiques. Pour eux assouvissement de leurs pulsions les plus secrètes. Les plus perverses. C’était cela aussi qu’elle voulait explorer. Qu’est-ce qu’un individu, sous l’impulsion du désir ou quand on lui en donne la permission tacite, était-il capable de faire ? Jusqu’où pouvait-on aller dans la souffrance subie ou infligée ? Y avait-t-il, quelque part, une notion de plaisir sous-jacente à faire le mal ? A l’endurer ? Un jeu dangereux, elle le savait, qui pouvait l’entraîner aux confins du supportable. Mais elle devait savoir. En silence R la fit monter sur l’estrade puis la disposa dos contre le pilori avant de lui faire remonter les bras et de refermer solidement les bracelets qu’il resserra étroitement autour de ses frêles poignets. Laure sentit le fer mordre sa chair. Légère douleur éphémère. — Je t’aime, lui murmura-t-il avant de s’éloigner la laissant seule face à sa décision. Pendant un long moment rien ne se passa. Elle était là, immobile, proie offerte sous la lumière crue mais personne ne bougeait se contentant de la fixer avec une avidité non dissimulée et se repaissant de ses formes que l’on devinait aisément sous le fin tissu. Mais personne n’osait encore s’approcher. Une demi-heure se passa ainsi. Dans les alcôves les gémissements s’étaient tus et tous les visiteurs s’étaient regroupés dans la grande salle. Qui le premier ou la première allait oser faire le premier pas vers elle, entreprendre le premier geste ? Laure commençait à douter. Se serait-elle trompée sur les motivations profondes de ces hommes et femmes ? Laure parcourut la pièce du regard. Il y avait au moins une cinquantaine de personnes qui l’observaient. Certains parmi eux ne seraient que simples spectateurs, voyeurs d’un jeu qu’ils n’étaient pas capables d’assumer. D’autres (combien ?) acteurs… Encore ¼ d’heure sans que rien ne se passe. Les bras de Laure commençaient à la faire souffrir d’être ainsi étirés depuis bientôt une heure. Pourtant la grande pièce s’était entre-temps encore remplie et lui parvenait le brouhaha de conversations faites à mi-voix. Enfin un premier homme s’approcha d’elle et ses mains parcoururent impudemment le corps de Laure. Un autre dont les mains s’immiscèrent sous sa robe avant de remonter le long de ses cuisses et se poser sur son sexe déjà brûlant. Un troisième qui malaxa ses seins à travers le fin tissu. Un quatrième qui, après avoir pris le visage de Laure entre ses mains, l’embrassa goulument forçant la barrière de ses lèvres pour introduire dans sa bouche une épaisse langue. Puis une femme se détacha de l’assistance. Un instant elle s’arrêta devant la table et y prit un objet avant de se diriger vers Laure d’un pas assuré. D’un geste preste elle coupa avec des ciseaux les bretelles de sa robe qui tomba au sol dans un doux chuintement dévoilant le corps nu de Laure. — Voilà qui est mieux, lui chuchota-t-elle, avant de prendre à deux mains les seins de Laure qu’elle tritura un long moment en insistant sur ses tétons qui, sous la caresse, s’érigèrent et durcirent. Très beaux…. Et très sensibles…. On va s’amuser…. Puis elle s’éloigna. Quelques minutes où rien ne se passe. Mais Laure sent que l’ambiance dans la pièce a brusquement basculée comme chargée d’électricité. Est-ce la vision de son corps nu et sans défense qui a agi comme un déclencheur ? Ce corps aux lignes parfaites indemne de toute trace qui s’offre à la convoitise de tous ? C’est maintenant un petit homme ventripotent qui s’avance vers elle. D’un geste brusque il lui fait écarter les jambes et, sans ménagement, lui palpe le sexe comme on palperait du bétail pour en tester la fermeté, avant de refermer dans l’étau de ses doigts le tendre clitoris qu’il étire longuement. Il lui fait mal mais aucun son ne sort de la bouche de Laure qui reste immobile. — Mais c’est qu’elle est dure à la douleur la petite chienne, lance-t-il, mais je suis sûr que dans un moment je t’entendrai chanter… A son tour il s’éloigne laissant la place à deux autres hommes. Un moment ils tournent autour de Laure comme pour la jauger. Leurs mains parcourent son corps, malaxent sans ménagements ses seins, sa chatte, ses fesses. Laure reste stoïque sous leurs dures caresses, se laisse faire sans esquisser le moindre mouvement de refus. Ils lui font relever haut une jambe, lui ôte sa botte. Puis l’autre jambe. La deuxième botte va valdinguer dans un coin. L’un se saisit d’une lanière de suspension qui pend à portée de sa main, la lie autour de sa cuisse, tire dessus et remonte sa jambe au maximum des possibilités de son corps. Lui demande de rester ainsi. Seulement perchée sur une jambe afin que l’assistance puisse observer l’écoulement qui suinte de son sexe et qui brille dans la lumière. — Saleté de chienne, lance-t-il à la cantonade, voyez comme elle aime ça cette salope… La position est inconfortable mais Laure garde la position demandée. Ils regagnent leur place. Laure se tient immobile, la jambe qui la maintient debout tremble sous le poids de son corps. Elle vacille. Va d’avant en arrière. Perd l’équilibre. Seulement retenue par les bracelets qui mordent durement la chair de ses poignets et la blesse. De longues minutes se passent. Interminables. Le suintement de son sexe se fait rivière et son suc coule le long de sa jambe tendue. Elle-même est étonnée de ce désir qui embrase son corps. Comment peut-on éprouver de plaisir dans cette situation où chaque muscle de son corps tendu à l’extrême la fait souffrir ? Ainsi exhibée, le sexe béant, à la vue de tous ? Elle voudrait que quelqu’un s’approche, la touche, un simple attouchement sur son sexe en feu et elle sait que la jouissance qui couve en elle va jaillir. Elle n’en peut plus. Voudrait pouvoir libérer ses mains, se caresser. Elle halète de désir inassouvi. Torture qui met ses nerfs à vif. Pourtant, les yeux mi-clos elle garde un visage impassible, cache à tous le tourment qui l’habite. Enfin une femme le visage recouvert d’un masque s’avance, va vers la table et se saisit de pinces assorties de lourds poids qu’elle suspend aux lèvres de Laure qui serre les dents pour ne pas laisser sortir le moindre gémissement quand les pinces se referment cruellement. Puis une troisième sur son fragile bouton. Le désir a reflué pour laisser place à la souffrance. La femme défait le lien qui enserre sa cuisse et lui fait enfin reposer sa jambe. Bref soulagement. Les poids sont lourds, si lourds et étirent douloureusement ses lèvres et son clitoris. C’est maintenant autour de ses tétons que se referment les dures pinces sur lesquelles la femme prend un malin plaisir à tirer comme si elle voulait les arracher des seins. Le souffle de Laure se fait plus haletant, une onde de douleur transperce son cœur mais toujours aucun son ne sort de sa bouche. Comme dépitée la femme s’éloigne. Déjà d’autres s’approchent, hommes, femmes, se succèdent en un ballet incessant qui ne laisse aucun répit à Laure. Certains portent des masques vénitiens au long bec, d’autres de simples loups, très peu ont le visage découvert. Laure sait que ce sont ces derniers qui seront le plus impitoyable et ne la verront plus comme une femme, mais comme le territoire de l’assouvissement de leurs fantasmes. Eux n’ont pas honte de ce qu’ils sont et n’ont nul besoin de se cacher. On la palpe, la triture, la pétrit, la malaxe. Des mains dures claquent ses fesses, ses seins. Animal docile Laure s’exécute, garde les positions demandées aussi humiliantes et dégradantes qu’elles puissent être. Ne bouge pas quand une main, féminine lui semble-t-il, force l’entrée de son sexe. S’enfonce en elle et griffe la chair fragile de son vagin. On détache ses bras et on referme sur sa tête la muselière de cuir dotée d’un embout qui empêche sa bouche de se refermer et elle sent, sans qu’elle ne puisse rien y faire sa bave dégouliner le long de son menton. Elle est maintenant à genoux et un homme introduit au fond de sa bouche sa queue turgescente. Le membre est gros, long, gonflé de sève. Laure hoquète, perd son souffle, a un haut de cœur. Imperturbable, l’homme continue son mouvement de va et vient dans la gorge de Laure et éjacule abondamment. On la remet debout, le sperme dégouline dans son cou. On enserre alors étroitement ses seins dans un petit carcan. A chaque tour de vis qui resserre davantage l’étau, Laure ne peut retenir des gémissements ce qui fait ricaner d’aise ses tourmenteurs. Elle a la sensation que ses seins vont éclater tels des melons trop mûrs. Une peur primale, l’étreint. Tous semblent déchaînés, incontrôlables. Non vraiment, à cet instant elle n’est plus, à leurs yeux fous de convoitise, une femme mais un simple objet que l’on peut manipuler à sa guise. Une femme se saisit d’un petit martinet et fouette les seins dont la sensibilité a été exacerbée par les pinces toujours en place. Les cris déchirants de Laure loin de l’apaiser semblent au contraire l’animer d’une joie mauvaise et elle redouble l’intensité des coups. On la fait se retourner pour l’installer sur le carcan. Sa tête et ses mains sont maintenant solidement maintenues dans l’objet de torture. Ses seins se balancent dans le vide toujours sertis des pinces et des poids. Ses chevilles sont attachées à une barre d’écartement. Position impudique s’il en est. Croupe et cul offerts. On explore son cul y enfonçant sans ménagement des doigts inquisiteurs qui engendrent une douleur contre laquelle Laure ne peut retenir ses cris. Les doigts laissent place à un objet qui lentement, inexorablement, élargit son anus. C’est sûr, elle va se déchirer en deux, tel un pantin désarticulé. Des hommes profitent de la béance pour éjaculer en elle. Leur sperme se mélange, coule le long de ses cuisses. A un moment on applique sur et dans son sexe un vibro alors que, simultanément, une fine canne en jonc marbre ses fesses de traits de feu. Douleur et plaisir se conjuguent en Laure jusqu’à ce que, à bout de résistance, elle se laisse aller à jouir dans un cri arcboutant son corps dans le carcan. Elle sent son plaisir jaillir d’elle et, source inépuisable, couler le long de ses cuisses. Tous s’éloignent d’elle. Se repaissent de cette jouissance. Moment de répit de courte durée. Déjà on met en marche le mécanisme sur lequel est monté le carcan et lentement la machine se met à tourner. Un groupe d’hommes et de femmes munis de martinets, cravache ou fouet font comme une ronde infernale autour d’elle. Laure distingue leur visage réjoui alors qu’une pluie de feu s’abat sur ses reins. Parfois, vicieusement, la lanière du fouet s’immisce entre ses cuisses écartées et vient mordre cruellement la chair fragile de son sexe et de son cul. Combien de temps cela dure-t-il ? Elle n’en a aucune idée. Elle a perdu tout sens du temps. Son corps n’est plus qu’une lancinante douleur et pourtant elle le sent, contre toute attente, jubiler. Elle crie maintenant sans discontinuer. Cris de souffrance ou de plaisir ? Elle ne sait plus. Ses bourreaux non plus dont les coups se font plus lents, presque hésitants à la vision du corps marbré de longues balafres sanguinolentes. Certains s’éloignent, partent comme honteux d’avoir participé à ce déchaînement de violence. D’avoir laissé libre cours à leurs instincts les plus primaires. Ceux qui restent, Laure le sait, iront jusqu’au bout. En aura-t-elle la force ? Un moment elle hésite à appeler R, à demander un moment de répit. Mais elle sait aussi que si elle s’arrête, ne serait-ce que quelques minutes, elle n’aura plus le courage de revenir. Mais déjà on la détache du carcan. Pantelante et tenant à peine sur ses jambes, on la positionne de nouveau sur le pilori, poignets immobilisés par les bracelets et les chevilles toujours entravées par la barre d’écartement. Elle se laisse faire sans un mot le souffle haletant. Un nœud d’angoisse lui broie le cœur quand elle voit le petit homme du début s’approcher d’elle, une lueur mauvaise dans les yeux. Dans ses mains, il tient tout un assortiment d’aiguilles de diamètres et de tailles différents. Un sourire sardonique étire ses lèvres quand il lui souffle : — Maintenant tu vas chanter pour moi ma belle, et d’un geste preste il arrache les pinces qui ornent toujours les seins de Laure qui crie sous le brutal afflux de sang. Tous ceux qui sont restés, une dizaine de personnes, se sont regroupés autour d’eux et observent la scène en silence. L’homme a, à portée de main, un petit chalumeau sur lequel il fait chauffer une première aiguille. Laure ne peut retenir un hurlement quand l’aiguille transperce son sein droit dans un grésillement de chair brûlée. Une deuxième suit. Puis une troisième. Et ainsi de suite jusqu’à ce que ses seins soient hérissés de toute part. La douleur est atroce. Insupportable. Les lèvres de Laure se sont réduites à un fil, des larmes coulent de ses yeux. L’homme se baisse. Laure comprend dans un éclair de lucidité qu’il va s’en prendre maintenant à son sexe. Elle tremble de tout son corps, prête à hurler le mot qui la délivrerait de son tourment. Mais non… Du coin de l’œil elle devine un mouvement dans l’assistance. C’est R qui s’avance prêt lui aussi à tout stopper. Il la regarde semblant lui dire que cela va trop loin. D’un mouvement de tête imperceptible, elle lui ordonne de ne pas intervenir. Elle va tenir le coup. Il le faut. Elle le doit. L’assistance s’est encore clairsemée. Seuls restent les plus aguerris qui ne connaissent pas la pitié, pour qui seul compte l’assouvissement de leur pulsion les plus inavouables. Déjà une première aiguille transperce une de ses lèvres. Et le calvaire recommence. Sans fin. Quand une aiguille traverse son clitoris, Laure se sent défaillir au bord de l’évanouissement. Elle ne sait plus ni où elle est, ni ce qu’elle est. La raison de tout cela. Son esprit s’évade. S’échappe. Comme libéré de toute contrainte. Elle est maintenant au-delà de la douleur. Dans un espace où plus rien ne peut l’atteindre. Sans qu’elle s’en rende compte, elle se met à sourire. Le petit homme la regarde, interloqué. Il s’éloigne, dépité de ne pas avoir su la faire plier, laisse sa place à un homme d’une cinquantaine d’année au visage impassible de prédateur. Un long moment il l’observe en silence. Semble jauger sa capacité de résistance. Laure ne cille pas et soutient le regard. Puis il se détourne vers la table. Laure le suit des yeux et le voit se saisir de la lame affûtée comme un scalpel. Il revient vers elle faisant miroiter la lame dans la lumière. De nouveau il la regarde. Sûr de lui et de son pouvoir. Le corps de Laure se tend d’angoisse. Son cœur affolé tambourine dans sa poitrine. Pourtant elle ne bouge pas. Prête à accepter l’inéluctable qu’elle redoute et souhaite tout à la fois. Etrange combinaison où répulsion et désir se mêlent inextricablement et deviennent indiscernables l’une de l’autre. — Tu as sacrément morflé ce soir, lui lance-t-il tout en essuyant les larmes qui ont coulé le long des joues de Laure. Mais ce n’est pas encore fini… tu le sais… Silencieuse Laure acquiesce de la tête sans pouvoir détacher son regard du rasoir qui luit comme une menace. — J’aime quand tu cries. Tu es très belle. C’est quoi ton nom ? Incrédule Laure le regarde. Pourquoi lui demande-t-il cela ? — Ton nom ? répète l’homme en faisant vibrer de ses doigts les doigts les aiguilles qui ornent son sein gauche Laure réprime avec peine un gémissement. — Laure, souffle-t-elle, je m’appelle Laure — Cinq lettres… c’est peu…. Je vais devoir improviser. Que veut-il dire par là se demande Laure. Elle est soudain terrorisée par cet individu dont elle ressent la froideur implacable. L’homme approche la lame de son visage. Laure crie de terreur et se débat dans ses liens, essaye, en pure perte, d’éloigner son visage du couperet tranchant. Elle voit R prêt à bondir vers elle. Mais deux individus le maintiennent solidement. Laure est livrée à elle-même. Plus d’échappatoire possible. Elle sent qu’elle a perdu le contrôle de la situation. Ce forcené va la défigurer à vie. C’est de sa faute. Qu’a-t-elle voulu prouver ? Une peur viscérale l’étreint. — Je vous en supplie, pas ça, sanglote-t-elle affolée. Tout ce que vous voulez mais pas ça. L’homme toujours le sourire aux lèvres semble sourd à sa supplique et effleure sa joue avec la lame. Laure sent une fine goutte de sang couler jusqu’à la commissure de ses lèvres. — Je vous implore, hoquète-t-elle complètement affolée. Je vous en prie… je vous en prie… non… — Ah… tu fais moins la belle…. Tu sais que je peux faire ce que je veux de toi… et tu n’y peux rien ! Ton ami non plus d’ailleurs, ricane-t-il sardonique en lançant un regard vers R toujours solidement maintenu. Je pourrai laisser ma marque sur toi pour que tu ne m’oublies pas… Mais t’inquiète…. je ne vais pas défigurer un si joli minois. J’ai eu ce que je voulais. T’entendre me supplier. Mais ce n’est pas fini pour autant ! assène-t-il en éloignant le rasoir de sa joue. Avec une lenteur désespérante, il approche alors la lame du ventre de Laure et, minutieusement, avec application, il commence à graver dans la chair tendre du ventre. Le sang ruisselle sur ses jambes. Elle pleure maintenant sans retenue. A bout de force. Cette ultime épreuve, du moins l’espère-t-elle, est l’épreuve de trop. Elle n’en peut plus. Trop d’émotions contradictoires. Trop de souffrance. Son corps demande grâce. Elle est si fatiguée… Indifférent l’homme continue son méticuleux travail. Il s’éloigne d’un pas pour contempler son œuvre. Puis revient et continue son travail. Le corps de Laure n’est plus que frémissements et douleur. Elle s’exhorte au calme. Ne pas bouger. Surtout ne pas bouger… Au chemin suivi par la lame sur son ventre elle devine soudain dans une fulgurance que l’homme est en train d’y graver en lettres capitales son nom. L A U R E. Cinq lettres de feu et de sang. Combien cela dura-t-il ? Laure n’en a pas la moindre idée. L’esprit perdu dans un maelstrom de souffrance. Elle divague. Loin d’elle-même. Loin de tout. Elle n’est plus que sensations violentes. Elle n’a même plus la force de crier et seul un faible gémissement sort de ses lèvres exsangues. Pourtant elle sent palpiter au fond d’elle-même une sourde pulsation. Une chaleur qui lentement irradie d’une source jusqu’alors secrète et ignorée et se propage à travers ses veines. L’envahit toute entière. Une chaleur qui fait naître, contre toute attente, des ondes de plaisir. Un plaisir sauvage. Farouche. Primaire. Un plaisir bien au-delà du simple plaisir sexuel et qui pulvérise toutes les frontières. Un plaisir qui l’embrase. La consume. Plaisir extrême nait d’une souffrance extrême. La lame continue d’inciser les chairs. Mais Laure n’essaye plus d’échapper à la coupure du rasoir. Au contraire son corps se tend, réclame l’incision, se délecte du sang qui coule maintenant en abondance le long de ses jambes et se mélange au suc de sa jouissance qui dégouline de son sexe. Rivière intarissable source de toute vie. Elle est enfin là où elle voulait être. Maîtresse de son corps et de son esprit. Plus rien ne peut l’atteindre. Dans le secret de son cœur elle remercie l’homme de lui faire connaître cette extase suprême qui l’emporte et la fait maintenant geindre de plaisir. L’homme se relève. Leurs yeux s’accrochent. Lui y cherche peut-être un assentiment qu’elle est incapable de lui donner. De nouveau la lame s’approche. De ses seins cette fois. Laure tressaille. Non pas encore a-t-elle envie de hurler. Elle ne pourra pas en supporter davantage. Mais elle ne bouge pas. Ne dit rien. Le laisse entailler ses seins pour y dessiner deux cercles parfaits parachevant ainsi son œuvre. Laure alors laisse son cri s’élever. Pas un cri de souffrance mais cri de jouissance et de délivrance. L’homme est parti. Elle est maintenant seule sous le feu des projecteurs. R vient la détacher, veut la soutenir. Mais elle l’éloigne d’un geste. Titubante, ruisselante de sang et de sperme séché, les joues marbrées de larmes, le corps lacéré, elle entreprend de marcher parmi les derniers curieux qui n’osent, l’excitation passée, la regarder et détournent la tête. Lentement, délivrée et enfin libre, elle se dirige vers la sortie. Elle sait que l’expérience qu’elle a vécu tout au long de la soirée ne se reproduira plus. Il est des plaisirs qui agissent comme des drogues dangereuses et dont il faut se défaire avant qu’il ne soit trop tard. Elle sait qu’elle doit retourner maintenant dans la lumière.
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Lechieurencouches
Magnifique texte
J'aime 20/09/24
Isela
La chasteté est une vertu pour certains et un vice pour d'autres.
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Koala13
<p>Les deux pour moi !</p>
J'aime 18/09/24
delicieuseslechouilles
Vices et perversions sont les mamelles de la luxure…
J'aime 19/09/24
Koala13
Mamelles 😍❤️
J'aime 19/09/24
Slave69
JH soumis se déplace sur Lyon ou alentours pour face sitting de toute position possible
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Slt, tu viens sur Grenoble ?
J'aime 16/09/24
Koala13
Homme dans la force de l’âge de 55ans, sportif, recherche un Face Sitting sur la région d’Aix en Provence ! Je peux me déplacer. Aux Plaisirs !!!
Koala13
Homme dans la force de l’âge de 55ans, sportif, recherche un Face Sitting sur la région d’Aix en Provence ! Je peux me déplacer.
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Koala13
Homme dans la force de l’âge de 55ans, sportif, recherche un Face Sitting sur la région d’Aix en Provence ! Je peux me déplacer.
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Camille
Bonjour je recherche sur le 59 et le 62 femme, homme ou autre pour recevoir des facesittings sur mon visage.
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salut tu recois dans quelle ville ?
J'aime 15/09/24
Camille
Proximité Wingles. Me demander par SMS ou chat
J'aime 15/09/24
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Th3133
Bonjour soumis de 54 ans cherche une femme pour face sitting sur Toulouse
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