Fessée

.... ça fait un petit moment que je n'ai pas fait de rencontres ciblées "fessées"... Février 2023... Bientôt un an ! Une éternité. Heureusement que j'ai ma partenaire habituelle de temps à autres. Faut dire que ce genre de rencontre offre des moments particulièrement savoureux. Les sites dédiés au sujet "fessée" regorgent de faux profils, de speudos soumises qui ne sont que des petits branleurs, et c'est extrêmement rare de tomber sur une dame -modèle féminin authentique- qui ose franchir le pas et sortir de son écran. Perso, le "plan" qui marche le mieux est la drague classique via les sites de rencontres ou en discothèque. Objectif: aborder le sujet le plus directement et le plus naturellement possible... ça passe ou ça casse. La plus part du temps ça casse. Mais parfois...avec un peu de chance... Je préfère les femmes mûres aux qui ont "du vécu", qui souvent sont en manque de relations sexuelles et qui sont ouvertes à de nouvelles expériences, découvertes. On peut "tomber" sur une Dame qui va avoir envie d'oser... une curieuse qui aura envie d'essayer... et parfois même, divine surprise, sur une coquine qui nourrit ce fantasme mais qui n'a jamais osé le concrétiser. Alors bingo. Rarissime, mais cela m'est arrivé l'an passé, de rencontrer sur un site de rencontre très connu, une Dame qui avait une expérience certaine des lieux échangistes et avait fréquenté un club sm. Si par bonheur on arrache un rendez-vous, les premières minutes de la visite sont généralement délicieuses. On prend un verre pour détendre l'atmosphère, on papote... J'adore observer la Dame, ses attitudes qui trahissent son appréhension ou son envie.; son sourire gêné, ses postures qui s'efforcent de paraître naturelles et qui évidemment ne le sont pas. Elle s'efforce de sourire, de paraître "détachée" mais elle pense évidemment au moment ou elle devra s'allonger sur mes genoux. Elle sait que sa jupe sera relevée... elle imagine l'instant ou elle se retrouvera, culotte baissée, fesses nues, offertes... rougissantes. Et puis on entre dans le vif du sujet: en général c'est moi qui parle "fessée" en premier. je lui demande ce qu'elle a envie, le type de fessée qu'elle aimerait essayer... les limites qu'elle me fixe... Selon les cas, si la Dame a envie de jouer, je lui propose de choisir un un scenario.... A de rares exceptions prêts, il est rare qu'une Dame lors d'une première rencontre, propose. En général elle préfère me laisser choisir la suite. Souvent par pudeur, embarrassée de livrer ses petits secrets sexuels. J'adore ces instants où elle ne sait plus quoi faire de ses mains, de ses jambes qui sont d'excellents indicateurs, qu'elle croise, décroise... Savoureux instants ! Et puis je lui demande de se lever et si la Dame a choisi une fessée classique sur les genoux, de venir s'allonger sur les miens. Autre moment savoureusement rougissant. Rouge qui concerne ses joues pas encore ses fesses... mais qui ne saurait tarder.

je vous souhaite une très bonne année pleine de spanking

https://www.bdsm.fr/gaydiapers/

Tous mes vœux de "Bonne année" qui ne saurait être bonne sans bonnes fessées... évidemment ! Image souvenir d'un rally "fessées": le but du jeu était d'illustrer façon "carte postale" des pauses fessées de Madame dans des lieux touristiques.

Suite précédent post: après une fessée à la main sur la jupe puis sur la combinaison, puis retroussée avec chaque fois une mise au coin entre chaque phase, , la Dame qui avait demandé à être punie comme une petite fille, fut de retour sur mes genoux pour y recevoir cette fois, toujours comme une vilaine petite fille (le fantasme classique qu'elle désirait réaliser), une fort bonne fessée claquante à souhaits, cette fois culotte baissée, fesses nues, exposées en une humiliante posture. Pas question de cesser avant d'avoir peint le joli tableau du rouge qui va si bien aux "petites filles" pas sages. Sur cette photo madame serre désespérément les fesses et un oeil averti remarquera les marques d'une précédente "punition" à la canne angliase.

La fessée reine: la fessée aux orties. Pour moi, aucune fessée n'a d'égal à celle-ci. Si on n'a jamais reçu de fessée aux orties, on ne peut en imaginer les effets. Mais on s'est sans doute au moins une fois piqué les mollets en marchant par mégarde dans des orties, on sait alors les démangeaisons engendrées par une simple piqure qui se révèlent vite extrêmement insupportable. Et quand on a 3 ou 4 cloques c'est encore pire ! Sur le coup ça pique et puis ça démange et les effets durent, durent ! Alors quand les fesses de la punie se couvrent de dizaines de cloques, on imagine les effets produits. Chaque petit point rouge - et il y en a beaucoup- est une piqure et une cloque en devenir qui va bientôt apparaître puis grossir ! A ce stade, la punie a comme des centaines de petites aiguilles qui s'enfoncent dans ses fesses et injectent un méchant venin. Ma petite chérie, qui avait l'habitude des orties, commençait généralement par serrer désespérément ses fesses et puis quand le venin commençait à produire ses effets, débutait alors la danse des fesses qui se tordaient, se serraient, bondissaient, se crispaient, s' écartaient... offrant toujours le plus charmant des spectacles : celui d'un derrière agités en souffrance, fouetté aux orties ! Spectacle en sons et musiques aussi car accompagné de lamentations et de supplications... parfois de larmes quand la douleurs est insupportable. Mais pourquoi alors désirer de telles souffrances ? C'est là qu'intervient le miracle des orties ! Passées les premières minutes difficilement soutenables, , c'est une explosion de sensations qui mêlent douleur et plaisir sexuel. Cela ne se raconte pas ! Il faut l'avoir vécu pour le comprendre.... et comprendre pourquoi malgré la souffrance, la Dame prenait un tel plaisir à être fouettée aux orties. Ce sont les fesses et donc toute la zone sexuelle qui se trouve irradiée de douleur et de volupté. Le même nombre de piqures et de cloques appliquées à toute autre partie du corps - à l'exception des seins- serait parfaitement insupportable et ne procurerait qu'une immense douleur. Mais là... on est à la porte des lieux de plaisirs et la fessée devient elle aussi... plaisir.

"M"', une de mes partenaires de jeux préférée... Avant et après... J'aime beaucoup la mise au coin avant la fessée jupe ou robe relevée, en position de soumission, mais sur la tête... Laisser la "punie" un long moment méditer sur ce qui va suivre, les fesses exposées dans leur petite culotte blanche. Fétichisme oblige. Elle sait ce qui les attend. Et puis après une première fessée classique, sur les genoux jupe relevée mais pas encore culotte baissée. Les claques ont juste mis à mal la petite culotte qui dévoile davantage de peau nue déjà bien rouge... puis un retour pour plusieurs minutes au coin, les fesses exposées. Le contraste du rouge et du blanc m'a toujours ravi. Laisser encore la "punie" longuement appréhender le retour sur les genoux de son correcteur, sachant que cette fois la fessée bien claquante, sera appliquée fesses nues, déculottée comme une vilaine petite fille.

Bonne soirée

“Fessez, fessez. La peau du cul revient toujours.”

Ma chère et jeune épouse était très pudique quand il s'agissait de parler de ses désirs sexuels, de ses envies 'secrètes' qu'elle jugeait peu avouables. Il a fallu plusieurs années de mariage, de jeux de fessées pour qu'elle me révèle enfin un de ses fantasmes. Jusqu'alors elle avait prétendu ne pas en avoir: la menteuse ! J’avais été d’abord étonné par la rapidité avec laquelle toute jeunette, elle avait adhéré à nos jeux d'éducation conjugale, elle qui n'avait rien au quotidien d'une femme soumise; surpris par l’excitation sexuelle qui était la sienne quand je lui proposais "une séance fessées", de nouveaux jeux.... . Elle était toujours curieuse de découvrir de nouvelles situations, de nouveaux instruments…. Mais bêtement je ne m'étais jamais vraiment demandé d'où venait son goût pour la fessée, le martinet...etc.. Je pensais que c'était dû à mon talent ! Sourire ! C’est seulement après plusieurs années de mariage alors que nous venions de faire l'amour après avoir visionné une Cassette video d'un western érotique dans lequel une femme était enlevée et fouettée, que sur l'oreiller elle me confia pour la première fois son fantasme d'adolescente. Avant de nous endormir je lui avais parlé du film que nous venions de voir, de scènes de fessées ou de flagellation au cinéma qui m'avaient personnellement marqué ... Divine surprise, elle m'avait dit qu'elle aussi avait été très marquée pré-ado par un film pourtant grand public: « Angélique et le sultan ». J'avais dû insister lourdement pour qu'elle me confesse ce qui l'avait tant 'marquée'. Du bout des lèvres, elle m'avait raconté son fantasme d’adolescente : être enlevée, envoyée dans un harem comme l’héroïne dans le film, être violentée, sauvée par un beau prince... Je connaissais le film et j'avais enfoncé le clou en lui demandant si dans ses rêves éveillés elle s'imaginait fouettée en public comme Angélique... Bingo, en riant un peu elle m'avait avoué que 'OUI' ! Mais c'était uniquement dans des rêves d'ado, avait elle précisé. Evidemment je lui avais demandé si elle en rêvait encore, si c'était toujours un de ses fantasmes. . Petite voix timide pour confesser enfin que oui et que même, elle y pensait... souvent. Les confessions sur l'oreiller sont à encourager ! Re-Bingo. Vous imaginez la suite. Quelques jours plus tard, profitant d'un week end sans enfant, je lui avais annoncé que pour m'avoir caché son fantasme et menti en prétendant qu'elle n'en avait pas, elle avait mérité une sévère punition: qu'elle serait comme Angélique, fouettée de la même manière et que je m'occuperais également de ses seins. Pas la moindre opposition de sa part bien au contraire. Le moment venu, elle m'avait rejoint dans notre "salle de jeu", vêtue d'une longue robe, très vaguement comme celle que portait Angélique... Un très grand souvenir !

Voilà qui ne rajeunit pas ! Il s'agissait en ces temps désormais lointains, de convertir Madame aux plaisirs de l'éducation conjugale. Et qui dit éducation , dit flagellation. Classique: comme au cinéma. Conversion réussie puisque Madame est très vite devenue une adepte fervente de nos petits jeux innocents.

Bonjour

Suite publication précédente: Ne voulant pas commencer par les verges ce qui aurait été trop cinglant et sévère, je laissai à "M" le choix entre une fessée à la main et un de ces deux instruments: une canne "anglaise" en PVC ou une de mes paddles. Je m'attendais à ce qu'elle choisisse la fessée manuelle qui lui aurait échauffer les fesses pour mieux supporter les autres instruments mais curieusement, elle choisit la longue canne plutot cinglante ! La Dame avait demandé à "tester" une sévère "punition" et manifestement elle était dans l'excellentes dispositions, prête à mêler douleur et plaisir. La canne anglaise sur des fesses non échauffées, ça pique !!!

Bonjour

Suite publications précédentes: Evidemment toute bonne fouettée se termine ainsi. Celle-ci fut longue -- l'épisode avait duré une heure: les différentes phases et les pauses comprises... mais peu sévère. La Dame avait souhaité vivre un fantasme et que soit privilégiées la contrainte, la soumission et l'humiliation plutôt que la douleur. Fesses roses tirant légèrement sur le rouge tout de même garanties ! S'il y a des amatrices !

Bon weekend

La Dame qui avait accepté et désiré cette expérience avait exprimé le désir d'être fouettée "comme dans certains vieux films" dans lesquels la malheureuse héroïne est, bras étirés et mains hautes, "suspendue" à une branche, pour être fouettée. Elle désirait une mise en scène qui mêle douleur physique modérée et cérébrale intense. Le but du jeu était, avant la fouettée sur ses fesses nues, de lui laisser appréhender longuement ce moment ultime. Le scenario convenu n'avait pas défini si elle serait fouettée directement retroussée, fesses nues. J'avais donc le choix et j'avais décidé que la fouettée serait progressive pour bien faire monter le suspens et la peur. Elle avait donc été ainsi immobilisée longtemps avant d'être fouettée par dessus sa robe. Montée d'adrénaline garantie ! Le tissu était assez épais, ce qui permettait d'appuyer les coups qui étaient par conséquent peu cinglants et supportables mais néanmoins pas anodins. Il s'était écoulé un bon quart d'heure avant que je relève celle-ci. Je l'avais fouettée par dessus ses vêtements à intervals réguliers pour bien lui échauffer les fesses en ménageant des pauses durant lesquelles je l'abandonnais, la laissant appréhender mon retour et le moment où je relèverais sa robe. Evidemment la fouettée retroussée par dessus sa petite culotte a fini par arriver avant de passer à la fouettée fesses nues, et comme précédemment, elle a été fouettée par dessus son slip durant une demi heure environ, avec plusieurs pauses durant lesquelles une nouvelle fois je l'abandonnais à son questionnement: quand reviendrai ? Va-t-il baisser ma culotte cette fois ? Vais-je avoir mal ? Pourrai je supporter ? ... La fouettée par dessus le frêle tissu avait été davantage cinglante et la "punie" n'en avait que plus redouté le moment où les lanières allaient s'abattre sur ses fesses nues. Evidemment ce fut l'étape ultime. Dans tous les cas de figure lors de rencontres "fessées"... il faut toujours respecter à la lettre les désirs de la "punie" tout en s'amusant à flirter avec ses limites. Il faut mêler intelligemment douleur et plaisir mais une fessée ou fouettée qui ne serait pas douleur manquerait son objectif: procurer du plaisir dans la contrainte et la douleur.