BDSM&Fetichisme du latex

Le fétichisme du latex est un domaine fascinant et complexe qui englobe une multitude d'objets, de pratiques et de passions au sein d'une communauté dédiée. Les adeptes de ce fetichiste latex ont une affection profonde pour les vêtements en latex, qui les transporte dans un monde de sensations et de plaisirs uniques. Le fétichisme du latex peut être abordé sous plusieurs angles qui permettent d'explorer ce phénomène, mettant en lumière le contenu varié de ce mode de vie particulier.

Le monde des fétichistes du latex

Le latex est une matière qui suscite l'attention des fétichistes du monde entier. Son port offre une sensation enveloppante, une seconde peau qui procure une stimulation sensuelle inégalée. Les vêtements en latex, qu'il s'agisse de tenues complètes, de sous-vêtements, de combinaisons ou même de sacs de couchage, sont des éléments clés de ce monde fantastique. Leur texture, leur brillance et leur élasticité éveillent les fantasmes les plus profonds.

Le plaisir du fétichisme du latex

Le fétichisme du latex peut prendre de nombreuses formes, de la simple admiration des vêtements en latex à des pratiques plus intenses telles que la domination, le bondage ou le SM. Les sensations tactiles sont au cœur de cette expérience. Le contact du latex sur la peau, la sensation du vêtement qui s'ajuste parfaitement au corps, crée une synergie entre le plaisir physique et mental. L'odeur caractéristique du latex, associée aux bruits de frottement lors des mouvements, amplifie les sensations et intensifie le désir.

La domination et la soumission dans le fétichisme du latex

Le latex devient un symbole de pouvoir et de domination pour certains fétichistes. Il renforce les rôles de dominant et de soumis, créant une dynamique érotique chargée d'une tension électrique. Les adeptes du fétichisme du latex explorent ces jeux de pouvoir, utilisant les vêtements en latex pour exprimer leur désir de contrôle ou leur volonté de se soumettre pleinement à leur partenaire. Les limites sont définies consensuellement, dans le respect des besoins et des désirs de chacun.

L'odeur mystérieuse du latex

Lorsqu'on évoque le latex, une odeur caractéristique se dégage immédiatement. Pour les fétichistes du latex, cette odeur particulière est un élément clé de l'expérience. Dès qu'ils enfilent leurs vêtements en latex, cette odeur enivrante les enveloppe, les transporte dans un état de fascination et d'excitation. C'est une fragrance unique qui éveille les sens et crée une atmosphère sensuelle, ajoutant une dimension supplémentaire au plaisir du port du latex.

Le bruit du latex qui enflamme les sens

Le bruit caractéristique du latex est une symphonie érotique pour les fétichistes. À chaque mouvement, chaque caresse de la main sur le vêtement, le latex émet un son distinctif, un doux froissement ou un léger crissement. Ce bruit éveille les sens et crée une connexion intime entre le fétichiste et le vêtement. Chaque son suscite l'anticipation et renforce l'excitation, ajoutant une dimension auditive à l'expérience sensorielle globale.

La sueur comme marque de l'engagement passionné

Le port de vêtements en latex peut induire une légère transpiration, et pour les fétichistes, cela fait partie intégrante de l'expérience. La sueur qui se forme entre la peau et le latex intensifie les sensations, renforçant la connexion entre le corps et le vêtement. La chaleur qui s'installe crée une intimité physique et renforce la conscience de son propre corps, ainsi que de son engagement passionné envers le fétichisme du latex. La sueur devient un symbole de dévotion et de plaisir partagé.

Lorsqu'on combine l'odeur envoûtante du latex, le bruit captivant et la présence de sueur, les fétichistes du latex sont transportés dans un univers sensoriel unique. Chaque sensation s'amplifie mutuellement, créant une expérience immersive et intense. Les adeptes ressentent une excitation accrue, une connexion plus profonde avec leur propre corps et une communion avec leur fétiche. Chaque détail est important, et ces sensations ajoutent une dimension supplémentaire à l'érotisme du port des vêtements en latex.

Les vêtements en latex

Il existe de nombreux vêtements et tenues en latex : des masques, des gants, des bottes, des combinaisons, des robes, des jupes, des chemises, des pantalons et même des oreillers. Les possibilités sont infinies pour les adeptes du fétichisme.

Les gants en latex, par exemple, peuvent être utilisés pour ajouter une touche élégante à n'importe quel look, y compris vanille.

Les masques et les cagoules en latex sont également très prisés par les fétichistes du latex, car ils permettent de se cacher derrière un voile de mystère et d'intrigue. Les masques faciaux en latex peuvent être portés pour ajouter une touche de sado masochisme à un look BDSM, et les cagoules en latex peuvent être utilisées pour une soumission totale lors de jeux de rôles BDSM.

Les bas et les bottes en latex sont également très appréciées des fétichistes. Les bas en latex peuvent être portées avec des talons hauts pour un look plus provocateur ou avec des bottes en cuir pour un look plus rock. Les bottes en latex elles-mêmes, quant à elles, sont des accessoires incontournables pour tout amateur de fétichisme. Que ce soit pour une séance de domination et de soumission ou simplement pour ajouter une touche sexy à un look, les bottes en latex sont toujours une bonne option.

Le latex offre une sensation unique, ainsi qu'un éclat et une texture qui attirent l'attention.

Les robes en latex sont tendance et sont très appréciées tant des femmes que des hommes. Les robes peuvent être longues ou courtes, avec ou sans manches, et sont le plus souvent ajustées pour créer une silhouette flatteuse.

Les pantalons en latex sont assez répandus pour les hommes. Ils peuvent être ajustés à la taille pour créer une silhouette flatteuse durant la pratique du BDSM.

Les corsets et les combinaisons , quant à eux, peuvent être ajustés de manière à créer une silhouette flatteuse et peuvent être portés seuls ou avec une robe ou un top en latex. C'est un look très appréciés, de nombreux hommes soumis rêvent d'être dressé par une dominatrice en latex. Les soumis apprécient également le port d'une cagoule en latex, car elle peut entraver la vision ou participer à la déshumanisation, qui participe au fantasme du porteur.

Les vêtements en latex ont des propriétés uniques qui créent une expérience BDSM unique, que l'on soit un homme ou une femme. Le latex est un matériau brillant et moulant qui agit comme une seconde peau. Il est élastique, résistant à l'eau et peut être nettoyé avec des lingettes humides. Le latex créé un effet d'emprisonnement qui peut avoir un impact psychologique et physique sur les participants. Les vêtements en latex peuvent inclure des masques, des gants, des bas, des jupes, des pantalons, des corsets et des robes.

Les raisons de porter des vêtements en latex dans le SM sont nombreuse Tout d'abord, ils créent une sensation de confinement, de pression et d'étouffement qui peut augmenter l'excitation sexuelle. Le latex renforce également la sensation de ne pas avoir de contrôle sur son propre corps, ce qui est un aspect important de l'expérience BDSM, c'est une véritable seconde peau. En outre, le latex peut ajouter une dimension graphique à la pratique BDSM, en créant une esthétique visuelle unique qui peut aider à renforcer les rôles de chacun dans le jeu de rôle. L'odeur du latex est également très particulière et participe à l'ambiance et au fantasme.

Les marques et designers de tenues en latex

Les marques et les designers de mode qui travaillent avec le latex : présenter les marques et les créateurs de mode qui proposent des articles en latex et expliquer leur influence sur le monde de la mode.

Le latex, matériau moderne et innovant, est de plus en plus présent dans le monde de la mode. Cet élastomère produit à partir du caoutchouc naturel est utilisé par de nombreuses marques et designers pour créer des vêtements et des accessoires de mode audacieux et originaux. Dans cet article, nous allons vous faire découvrir les marques et les créateurs de mode qui travaillent avec le latex et qui ont su imposer leur style dans l'univers de la mode contemporaine.

Atsuko Kudo

Atsuko Kudo est une marque influente dans le monde de la mode qui propose des articles en latex. C'est une entreprise anglaise spécialisée dans la création de vêtements moulants en latex, tels que des robes, des jupes, des leggings et des bodysuits. Cette marque est très appréciée pour ses créations originales qui séduisent les célébrités du monde entier. Parmi ses clients célèbres, on trouve des stars telles que Lady Gaga, Kim Kardashian, Beyoncé et Rihanna.

William Wilde

William Wilde est un designer de mode britannique qui travaille avec le latex depuis plus de dix ans. Ses créations audacieuses sont uniques et innovantes. Les vêtements de Wilde sont souvent présentés lors des défilés de mode les plus en vue, tels que la Fashion Week de Londres. Ses créations ont également été portées par des célébrités de renom comme Katy Perry et Madonna.

House of Harlot

House of Harlot est une autre marque britannique renommée dans le domaine du latex. Cette entreprise propose une large gamme de vêtements et d'accessoires en latex, allant des robes, jupes et bodysuits aux capes et masques. La marque est réputée pour ses créations à la fois élégantes et audacieuses, ainsi que pour son savoir-faire exceptionnel en matière de qualité et de finition des produits.

Latex Wear

Latex Wear est une marque allemande qui produit des vêtements et des accessoires en latex depuis plus de 35 ans. Cette entreprise propose une large gamme de produits moulants pour hommes et femmes, allant des leggings et bodysuits aux corsets et chemises. Ses créations sont de haute qualité et sont souvent portées lors de fêtes et d'événements liés à la mode et au fétichisme.

Simon O.

Simon O. est un designer français qui travaille avec le latex depuis plus de 20 ans. Sa marque propose des vêtements et des accessoires en latex pour hommes et femmes. Il est connu pour ses créations élégantes et sophistiquées, qui sont souvent présentées lors des défilés de mode à Paris.

Ces stars du show business qui surfent sur le fétichisme du latex (et l'alimentent)

Le latex a acquis une place importante dans de nombreux univers, notamment dans ceux de la musique, du style et du cinéma. Le latex a une association forte avec la sous-culture gothique, et de nombreux chanteurs et chanteuses gothiques ont intégré des vêtements en latex à leur garde-robe. La célèbre chanteuse et effeuilleuse Dita Von Teese, par exemple, est connue pour ses performances de burlesque dans lesquelles elle porte des costumes en latex, ce qui contribue à propager son attraction pour le matériau.

Dans le monde de la mode, le latex est de plus en plus utilisé pour créer des vêtements qui font sensation. Les créateurs de mode comme Atsuko Kudo et Bibian Blue sont donc célèbres pour leurs collections de vêtements en latex de qualité, comme on vient de le voir et leurs créations sont portées par des célébrités telles que Lady Gaga et Madonna. Ces stars ont joué un rôle important dans la popularisation du latex, car elles sont connues pour leur style avant-gardiste et leur impact sur la mode. Lady Gaga est même allée jusqu'à porter un costume de viande en latex, créant ainsi un buzz dans les médias, à l'échelle mondiale.

Le cinéma est un autre domaine où le latex a prospéré. Les costumes en latex ont été utilisés pour créer des créatures fantastiques lors de productions hollywoodiennes comme Alien ou The Terminator. Les costumes en latex sont également utilisés pour créer des effets spéciaux dans les films d'horreur, où on peut voir des personnages portant des masques ou des vêtements en latex pour leur donner un aspect plus effrayant. Les films de super-héros sont également connus pour leur utilisation de costumes en latex, parfois pour représenter des personnages avec des super pouvoirs. On est pas si loin de la domination, chère au BDSM !

Soins et entretien des vêtements en latex

Le latex est un matériau élastique populaire dans l'industrie de la mode pour créer des vêtements serrés et brillants. Cependant, pour assurer la durabilité et la beauté de vos vêtements en latex, il est crucial de bien les entretenir. Dans cet article, nous allons discuter de quelques recommandations pour le nettoyage, le rangement et la réparation des vêtements en latex.

Nettoyage du latex

Le nettoyage des vêtements en latex est essentiel pour les maintenir en bon état. Avant de nettoyer votre article en latex, assurez-vous de lire les instructions de lavage fournies par le fabricant. Généralement, il est conseillé d'utiliser de l'eau tiède avec un détergent doux et sans huile.

Assurez-vous de ne pas utiliser d'eau de Javel, de perchloréthylène ou d'autres solvants puissants qui peuvent endommager le latex. Nous vous recommandons également de ne pas frotter le latex avec une éponge abrasive, car cela peut rayer la surface.

Rangement de vos tenues en latex

Le rangement correct des vêtements en latex est essentiel pour éviter de les abimer et augmenter leur durée de vie. Assurez-vous de ranger vos articles en latex dans un endroit sombre et sec, à l'écart de la lumière du soleil directe, qui peut endommager le latex.

Évitez également de les ranger près de sources de chaleur élevée, telles que des radiateurs ou des climatiseurs. Pensez à placer le vêtement en latex dans un sac de rangement en coton pour éviter tout contact avec d'autres matières qui pourraient endommager sa surface.

Comment réparer un vêtement en latex ?

Si votre article en latex est endommagé, ne vous inquiétez pas, il peut être réparé. Pour les petites déchirures, vous pouvez utiliser un adhésif en latex liquide pour sceller la zone endommagée. Si la déchirure est plus importante, vous devrez peut-être utiliser un patch en latex pour couvrir la zone endommagée. Cependant, assurez-vous de suivre les instructions fournies avec votre patch.

Les alternatives au latex

Bien que le latex soit la matière préférée des fétichistes, d'autres matériaux tels que le vinyle sont également appréciés. Les combinaisons en vinyle offrent une alternative au latex (on en parle dans le forum), avec leurs propres sensations et propriétés esthétiques. Chaque fétichiste trouve dans ces différents matériaux une source d'inspiration pour créer des tenues uniques et stimulantes.


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A propos du groupe
BDSM
Créateur

Le fétichisme du latex est essentiellement l'attirance sexuelle pour les aspects sensuels visuelles, olfactives et / ou d'autres du latex. Ce fétichisme du latex peut prendre de multiple forme : des vêtements au latex liquide et presque tout ce qui concerne le sexe (vêtements, jouets, etc).

Voir également le forum fétichisme

Maîtresse Luna
La porte s'ouvre enfin, c'est Anna qui entre dans la maison. - Monsieur Marc ? C'est moi, je viens vous délivrer, ou êtes vous ? Les pas d'Anna dans le salon résonnent et tout à coup ses mains se posent sur moi. - Elles vous ont bien emballé, vous êtes comme ça depuis hier au soir ? Je ne peux lui répondre immédiatement, elle m'ôte le bâillon, ce qui me permet de faire bouger ma mâchoire, et elle commence à enlever le plastique qui m'entoure. - Eh bien ,vous êtes bien attaché encore aujourd'hui, et cette cage de chaines est bien étroite elle aussi. Comment vais-je vous libérer de cela ? Je vais aller chercher des outils au garage. Quelques minutes plus tard, Anna commence à ôter les maillons, ma libération se fait lentement. Je suis enfin libre, Anna ouvre la cagoule et me l'enlève, me rendant par la même occasion la vue. Mes yeux s'accommodent à la lumière et je la vois dans son ensemble de cuir, qui sourit devant moi. - Racontez-moi votre soirée, cela a été hard semble-t-il ? Quand je lui dis qu'en fait je suis attaché depuis vendredi soir, ses yeux expriment leur surprise. - Vous avez été attaché tout le temps ? Je lui réponds que oui et que la cagoule a été en permanence sur ma tête, Anna ayant omis de prendre la clé du cadenas. Je lui fait part de mon désir d'aller rapidement à la salle de bains, pour satisfaire mes besoins et prendre une douche après cette longue séance. - Allez-y, je vais ranger un peu vos affaires, vous avez une serviette pour vous essuyer. Un quart d'heure plus tard, je suis lavé et essuyé, n'ayant pas de vêtements sur place, je sors la serviette autour de la taille. Anna est la, devant moi, elle me tend la main dit : - Donnez moi la serviette, je vais la mettre à sécher, je présume que vous avez faim, je vous ai préparé un bon petit déjeuner à la cuisine, allez-y vite. Je n'ose rien dire et c'est nu que je me dirige vers la cuisine. Anna me rejoint rapidement et s'installe sur l'angle de la table, laissant apparaître le haut de ses bas sans se soucier de moi alors que je prends place à la table et commence à manger. - Depuis que je viens m'occuper de votre maison, nous ne nous sommes pas vus beaucoup, mais vous devez vous poser maintenant quelques questions à mon sujet n'est-ce pas ? Je lui réponds que oui, surtout depuis que j'ai constaté qu'Anna la connaissait, la semaine dernière. Elle me réponds aussitôt. - En fait je suis une amie d'Anna, je suis infirmière libérale et dispose de temps libre selon mes rendez-vous. Quand elle m'a dit que vous cherchiez quelqu'un pour venir de temps en temps, je lui ai suggéré que je pourrais être candidate, surtout depuis qu'elle m'a dit quels sont vos petits jeux et vos envies. Ce qui m'intéresse, c'est de participer moi aussi. Je réponds que cela me touche beaucoup et que je suis enchanté de la tournure que prend notre relation. A ce moment là, Anna se lève, passe derrière moi et rapidement de ses mains saisit mes tétons par derrière et les pince fortement. Je ne peux m'empêcher de sursauter, mais elle ne lâche pas prise. - Je vais donc à mon tour pouvoir faire de vous ce que j'ai envie, serez-vous ma chose, entièrement disponible en dehors des heures de votre travail ? Je réponds " oui Maitresse, je suis à votre entière disposition ". - Je vais dorénavant te tutoyer, quant à toi tu continues à me vouvoyer et à m'appeler dorénavant " Maitresse Anna ". - Oui Maitresse Anna. Anna vient se mettre face à moi et s'installe pour se servir un café. Ses jambes bottées, viennent sous la table à la rencontre des miennes et ses pieds se positionnent en haut de mes cuisses, pressant mon sexe alors que les talons se glissent dessous. - Tu es en vacances cette semaine, as-tu prévu des activités ? Je réponds que non, que je souhaitais simplement me reposer sans but précis. - C'est parfait, donc tu es totalement disponible. Cela semble ravir Anna, elle se lève, me disant: - Restes ici, je vais revenir dans quelques minutes, finis de déjeuner tranquillement. Elle se dirige vers les chambres, je l'entend ouvrir et fermer les portes. Elle revient enfin au bout d'un moment avec une clé à la main. - J'ai mis tous tes habits dans la penderie, et j'ai fermé la porte à clé, je la garde avec moi, comme cela tu seras dépendant de moi entièrement. Maintenant viens avec moi. Je me lève et la suis au salon. Elle a posée plusieurs choses sur la table. Des dessous noirs et une robe noire longue qui se trouvait dans ma penderie. - Habilles-toi que je regarde à quoi tu ressembles. J'enfile le string, suivi du porte jarretelles et des bas, un caraco accompagne l'ensemble, puis les chaussures à talons dont je ferme les brides et enfin la robe. Anna passe derrière moi et ferme celle-ci. - Pas mal, mais un peu austère ta robe, et surtout pas sexy. Je vais y remédier. Elle part à la cuisine et revient avec un ciseau. - Voyons mets toi bien droit devant moi. Elle prend le ciseau et coupe le bas de la robe sous les genoux. - C'est mieux, marche un peu pour voir. Je fais quelques pas et reviens vers elle. Elle me fait recommencer et semble satisfaite. - Pour l'ourlet, on verra plus tard. Bien, tu vas m'attendre dehors, sors et dirige toi vers le portail lentement, mais avant viens ici. Je me dirige vers elle alors qu'elle fouille dans un sac et en sort une perruque brune. - Avec ça, tu seras plus dans le ton, mets toi à genoux devant moi. Je m'exécute aussitôt, et elle pose sur ma tête la perruque, l'ajuste et la coiffe. - C'est beaucoup mieux, maintenant tu peux sortir et va m'attendre à coté de ma voiture, je vais faire quelques visites et tu vas m'accompagner. Je n'ai pas le choix et m'exécute, bien que la route soit assez loin de mon portail, je crains surtout que quelqu'un vienne vers la maison. Arrivé à la voiture d'Anna, je me tiens entre la voiture et ma maison, essayant de me cacher un peu de la vue. Anna arrive 5 minutes plus tard, me fait asseoir à l'arrière et me mets la ceinture. Les vitres de sa voiture sont teintées, on ne voit rien de l'extérieur. - Je ne veux pas entendre un seul mot sortir de ta bouche sinon je me verrai dans l'obligation de te bâillonner, c'est compris ? Je réponds " oui maitresse " et nous partons en direction de la ville. Anna ne dit rien, agissant comme si je n'étais pas là. Arrivés en ville, elle cherche à se garer et trouve une place près du marché. Il est 11 heures, beaucoup de monde circule à cette heure et passe près de la voiture. Elle va chercher un ticket à l'horodateur et le place sur le tableau de bord. Se retournant vers moi elle dit: - Tu vas m'attendre ici, j'en ai pour un moment. Ne te fais pas trop remarquer. Elle sort et ferme la voiture. Me voilà seul au milieu d'un flux de personnes circulant sans arrêt. Cela doit faire environ une demi-heure que je suis là quand un personne de la police municipale arrive, elle contrôle les tickets de stationnement. Tout à coup je me demande si Anna a bien mis suffisamment de temps. Je sens une bouffée de chaleur m'envahir, comment vais-je faire si je suis sollicité ? Elle avance lentement et arrive à la voiture. Elle se penche et regarde le ticket. J'ai des sueurs d'autant plus qu'en se penchant sur le pare-brise, elle peut me voir à l'arrière de la voiture. Le temps me paraît long, et finalement après un dernier regard, elle passe à la voiture suivante. Midi vient de sonner et toujours pas d'Anna, je ne sais pas ou elle est et je commence à trouver le temps long. Anna revient à 12h30, s'installe au volant et démarre. - Nous allons passer chez la couturière, c'est à la sortie de la ville. Je présume que nous allons chercher une livraison. La voiture s'arrête devant un petit magasin, Anne descend, et ouvre la porte de mon coté. - Allez, sors dépêches-toi. Effrayé, j'hésite un moment. - Tu seras puni pour cette hésitation, dehors et vite. Je quitte la voiture, Anna ouvre la porte du magasin et me dit d'entrer. Une femme, la cinquantaine viens vers Anna et l'embrasse. - Alors, c'est cette robe que je dois arranger ? - Oui Amanda dit Anna, tu peux le faire. - Bien sûr, il y en a pour un quart d'heure, attends, je ferme la porte et tire le rideau. Nous voilà isolés dans le magasin, Amanda, la couturière revient vers moi, me prends par le bras et me fait monter sur une petite estrade. Prenant ses épingles, elle marque l'ourlet en quelques minutes. - Bon, maintenant, il faut me donner la robe, allez, enlèves-là. Anna passe derrière moi et la dégrafe, la faisant glisser en même temps. Je me retrouve en caraco avec mes dessous. Elle la tend à Amanda, celle-ci lui dit: - Tu restes déjeuner avec moi ? On aura le temps de parler un peu. Si tu veux passe à la garde-robe, tu pourras lui trouver quelque chose à se mettre en attendant. Anna me laisse et va fouiller dans la pièce. Elle revient un moment plus tard avec des vêtements sur un cintre. Se tournant vers Amanda, elle dit : - C'est sympa cette tenue de bonne, tu l'avais faite pour une pièce de théâtre ? Elle à l'air à sa taille. - C'est d'accord, je reste pour déjeuner, il fera le service comme ça. Amanda me regarde et dit à Anna: - Regardes dans le tiroir ici, tu vas trouver des collants intégraux opaques de danseuses, prends-en un totalement fermé, avec les gants incorporés et fais-lui mettre sous sa tenue, ils sont bien noirs. Anna revient avec l'un d'entre eux, m'enlève le caraco et me le fait enfiler, puis me fait mettre la robe et la ferme dans le dos. Le collant est épais, je vois légèrement à travers. Elle me remet la perruque par dessus. - C'est parfait, comme ça, on ne le voit plus et lui nous devine à peine, il y voit cependant suffisamment pour se déplacer. Je n'arrive pas à fermer complètement sa robe. - Attends, je vais faire un point de couture en prenant le fermoir, elle ne s'ouvrira pas. Amanda passe derrière moi et bloque la glissière de la fermeture dans mon cou. - Comme ça, cela ne glissera plus, il faudra couper le fil, mais on verra cela plus tard. - Va mettre le couvert à la cuisine et laisse-nous discuter tranquillement. Je me dirige vers la cuisine et installe la table pour les deux amies, bien entendu, j'ai compris que dans ma situation, je n'aurai seulement qu'à faire le service. Elles arrivent un quart d'heure plus tard, apparemment ma robe a été raccourcie. Elles s'installent à table et je fais le service. Une fois qu'elles ont terminé, je leur sert le café, Amanda se lève, ouvre un placard et en sort une paire de gants de latex. - Allez, enfile cela, tu vas faire la vaisselle, puisque tu es là. Il ne me reste plus qu'à m'exécuter alors qu'elles repartent pour le magasin. Une fois terminé, je range la vaisselle et attends leur retour. Anna revient avec Amanda et dit : - Je vais en rendez-vous, Amanda n'a pas sa femme de ménage aussi tu vas rester et la remplacer. Anna prends ses affaires et part, me laissant avec Amanda. Celle-ci me conduit à l'étage et m'indique ou se trouve la buanderie. - Tu vas passer l'aspirateur partout et faire les vitres, je pense que cela devrait t'occuper un bon moment, surtout dans ta tenue. Interdiction de parler, je reçois des clientes dans le magasin tout l'après-midi. Il est 14h30, je dois aller ouvrir, s'il reste des traces sur les vitres, je le dirai à Anna bien entendu. Je décide de commencer par passer l'aspirateur, l'étage est grand, il y a quatre chambres et deux salles de bain en plus de la buanderie. Celle-ci est très grande et sert à ranger les vêtements du magasin. Il y a des tringles fixes et des portants. Je commence mon travail, bien que ma vision soit diminuée par la cagoule. La radio marche dans la boutique, cela me permet d'avoir une notion du temps qui passe. A 16h30, j'ai enfin terminé de passer l'aspirateur partout, Amanda est montée plusieurs fois chercher des vêtements, mais a fait comme si je n'existait pas. Je vais commencer les vitres et je me rends compte que la tache ne sera pas facile, car j'ai du mal à voir s'il reste des traces avec ma cagoule !!! Alors que j'ai commencé les vitres depuis quelques minutes, j'entends Amanda monter, et venir vers moi. -Alors, ça avance ? Tu dois faire toutes les vitres, je vais te compliquer un peu la tache. Amanda ouvre un tiroir et en sort une courte chaine et deux cadenas, se baissant devant moi, elle m'attache les chevilles, en laissant qu'une quinzaine de centimètres environ entre elles, puis sort une ceinture de cuir, équipée de deux chainettes reliées à un anneau, les chainettes ont à l'autre extrémité des bracelets de cuir. Elle m'attache la ceinture (qui se ferme dans le dos) et me pose les bracelets qui se verrouillent avec de petits cadenas. Elle vérifie l'ensemble, je n'ai plus qu'une trentaine de centimètres de marge de manœuvre. - C'est parfait, tu vas devoir faire preuve d'imagination pour atteindre le haut des vitres. Débrouilles-toi et ne te montres pas trop lorsque tu feras l'extérieur des vitres. Elle repart en rigolant, de nouveaux clients sont entrés au magasin. La tache qui m'attend prend une nouvelle dimension. Comment atteindre le haut des vitres, alors qu'avec les chaines, je n'arrive qu'à environ 1,60m du sol !!! Je commence par la buanderie, ou je n'arrive pas à atteindre le haut des fenêtres, je cherche dans la pièce et finit par trouver un escabeau avec quatre marches. Je l'installe et essaye de monter, mais avec les chevilles entravées et mes chaussures à talons, je n'y arrive pas. Finalement, je trouve la solution en m'asseyant sur la marche la plus haute, je pose mes pieds sur la troisième et je me redresse lentement. Cela me prends beaucoup de temps à chaque fois. A 18h30, j'ai terminé les chambre, je me dirige vers la buanderie, il y a deux grandes fenêtres, alors que je vais commencer, Amanda monte et me dit: - Tu n'as pas encore fini ? Je vais devoir faire monter quelqu'un pour choisir des tenues, elle ne doit pas te voir, tu vas entrer ici. Elle ouvre une porte, c'est un petit placard peu profond, c'est très étroit, je vas être coincé. - Avances là-dedans. Allant vers un portant, elle revient avec plusieurs foulards. Un premier lui sert à me bâillonner, un deuxième immobilise mes mains et après m'avoir poussé dans le placard, elle se sert du troisième pour me plaquer face au mur, se servant de deux gros anneaux fixés au fond, enfin un quatrième placé au niveau de mes genoux finit de m'immobiliser. - Et voilà, tu vois que tu rentres, et tu en plus tu ne bougeras pas ainsi attaché. Elle ferme aussitôt la porte, me mettant dans le noir absolu. Cinq minutes plus tard, j'entends des voix. C'est alors que le téléphone sonne, je comprends que c'est Anna qui l'appelle. Lorsque Anna arrive, elles sont encore à s'activer dans la pièce. Anna s'étonne de rencontrer la personne, qui se prénomme Isabelle, les trois filles entrent alors dans une longue discussion, et finalement Isabelle propose à Amanda et Anna d'aller diner ensemble. Elle se veut insistante, Amanda et Anna acceptent, Anna dit : - Tu as rangé le matériel de nettoyage ? Il te convient ? - Oui, répond Amanda, dans le placard. - C'est très bien. Elles descendent toutes trois et je les entends fermer le magasin et sortir. Me voilà dans une situation qui risque de durer une bonne partie de la soirée. J'essaye de bouger, mais suis bloqué de tous cotés, comme dans une caisse verticale. Combien de temps s'est-il écoulé depuis leur départ, je n'en ai aucune idée. J'entends du bruit, elles reviennent, je vais être libéré. Ce qui est étrange, c'est que personne ne vient me voir, quelques instants plus tard ,j'entends couler l'eau, quelqu'un se douche, puis après plusieurs va-et-vient le calme s'installe. Amanda est revenue seule ? Au bout d'un moment je comprends que oui, et elle est allée se coucher, me laissant ainsi. Mardi Du bruit, celui-ci me réveille, quelqu'un entre dans la pièce. J'entends aussitôt la voix d'Amanda. - Alors la bonne, on flemmarde, on ne m'a pas préparé le petit déjeuner, ce n'est pas bien, cela va se payer dit-elle en riant. Amanda ouvre le placard et me détache du mur, elle me fait reculer dans la pièce, je suis courbaturé d'avoir passé beaucoup de temps enfermé. - Je suis rentrée tard ,et n'ai pas eu envie de te délivrer hier au soir, ou plutôt ce matin...on a fait la java !!! Il est 07h, tu vas aller aux toilettes et ensuite on verra. Anna travaille toute la journée, aussi je vais m'occuper de toi. Elle détache mes mains, m'enlève le bâillon et libère la fermeture de la robe. - Allez déshabilles-toi entièrement, tu vas passer sous la douche d'abord. Je m'exécute, je suis maintenant nu devant elle, elle me pousse vers la salle de bains. - Allez, sous la douche et laves-toi entièrement. J'ouvre l'eau, celle-ci est froide, j'hésite à entrer dessous; - Cela va te faire du bien, l'eau froide n'a jamais tué personne, allez vas-y. Elle saisit la douchette et m'arrose copieusement. - Termines tout seul, essuies-toi et descends à la cuisine déjeuner, tu as ce qu'il faut sur la table. Profites-en prends des forces pour la journée. Je vais chercher ce qu'il faut pour t'habiller. Alors que je termine mon déjeuner, Amanda redescend, portant une caisse en plastique contenant des vêtements. Elle commence à les disposer sur une chaise pendant que je range la table. - Viens ici, mets toi devant moi de dos. Elle prend quelque chose sur la chaise et la place sur mon torse, après m'avoir fait passer les bras dans des bretelles. C'est un corset ancien rigide, elle le plaque sur moi et rabat les pans dans mon dos. Plusieurs crochets lui permettent de le faire tenir, il me couvre le torse du dessous des bras au haut des cuisses. Plusieurs petits anneaux métalliques sont fixés au niveau de la taille ainsi que sur le bas. Les bonnets de la poitrine sont remplis de mousse en totalité. - Je vais le lacer, cela va l'ajuster sur toi. Commence alors un long exercice qui me met à rude épreuve, lentement mais surement, il me serre comme un carcan rigide, cela va durer un bon quart d'heure !!! - Bon, ce n'est pas mal, je vais t'enfiler les bas, cela évitera qu'il ne remonte. Elle prend une paire de bas gris, assez épais et me les enfile, puis attache les jarretelles, constituées de larges rubans élastiques, il y en a trois de chaque coté. Effectivement une fois en place, je ressent une tension forte qui colle encore plus le corset sur mes fesses. Amanda s'affaire alors sur les réglages jusqu'à ce que l'ensemble soit parfaitement tendu. Prenant ensuite dans un carton une paire de chaussures montantes, elle me les enfile, les attache et ferme les brides avec de petits cadenas. - Marche un peu, pour voir, va jusqu'à la fenêtre, et reviens. J'avoue que cela m'a excité et Amanda s'en aperçoit. - Ben mon cochon, cela t'excite, je vais cacher tout ça. Elle me tend une culotte ancienne, je l'enfile, elle arrive au dessus des genoux et comporte différents rubans qui permettent de l'ajuster. Amanda s'en charge rapidement. Suit ensuite la perruque, puis une robe paysanne couvre l'ensemble. Elle l'attache et l'ajuste à son tour. - Voilà une belle fille du siècle passé, bon maintenant quelques contraintes, c'est évident. Elle prend quatre bracelets de cuir, m'en place un à chaque poignet, puis soulevant ma jupe, elle en fixe un sur chaque jambe, juste au dessus du genou, coincé sous la jambe de la culotte. Les cadenas sont fermés sur leurs attaches. Un autre cadenas est positionné reliant les anneaux des bracelets des genoux, me laissant aucune marge. Elle rabat la robe, cachant l'ensemble. Mes mains sont à leur tour liées l'une à l'autre dans mon dos. - Pour le silence, cela devrait aller avec ça. Amanda prend une balle fixée sur une courroie de cuir, me l'enfonce dans la bouche, celle-ci n'entre pas totalement, la courroie fixée derrière mon cou la maintient fermement. - Eh bien te voilà équipé, je vais aller ouvrir la boutique maintenant, passe dans le couloir. Elle me fait avancer jusqu'à la boutique et me pousse dans une cabine d'essayage. Elle tire le rideau devant moi, il y a une chaise de bois, elle me fait asseoir dessus, les bras passés derrière le dossier, ensuite elle prend un gros rouleau d'adhésif et en quelques secondes, me lie à la chaise. Elle termine en me mettant un bandeau me masquant totalement la vue. - Bon, maintenant je t'oublie jusqu'à la fermeture du magasin, ce sera ta punition. C'est ainsi que je vais passer la deuxième journée de mes vacances !!! La radio annonce 12h30, plusieurs personnes sont venues à la boutique, certaines sont entrées dans la cabine voisine faire des essayages, sans soupçonner ma présence à coté. Amanda ferme le rideau et ouvre ma cabine. - Alors tu ne t'es pas trop ennuyé ? Finalement, je vais te libérer, pour le déjeuner, bien que tu supportes bien cet état semble-t-il. Elle coupe l'adhésif, me libère du bandeau et du bâillon, puis détache mes poignets. - Lèves-toi, tu vas garder les genoux entravés, quand même. Allons à la cuisine. Je me dirige vers la cuisine, Amanda m'autorise à passer par les toilettes, et je la retrouve dans la cuisine. Une salade complète est sur la table et j'avoue prendre un certain plaisir à la partager avec Amanda. Celle-ci en profite pour me faire parler et évoquer les différentes situations dans lesquelles j'ai été confrontées. - Tu adores vraiment être attaché, dans toutes les situations ! Nous terminons le repas, je fais la vaisselle et range la cuisine. Amanda pendant ce temps est retournée au magasin. Elle m'appelle me demandant de la rejoindre. Je la retrouve au magasin. - Mets-toi là devant, je vais prendre quelques mesures de toi. Prenant un carnet et un mètre de couturière, la voilà qui me mesure de haut en bas. Me faisant coller mes bras le long des cuisses, elle mesure le tour de mon corps tous les vingt centimètres environ, puis mon tour de cou et même mon visage est ainsi traité. - Bon, ce n'est pas tout, tu vas reprendre ta place comme ce matin. Quelques minutes plus tard, je suis attaché à nouveau, bâillonné et les yeux bandés. Elle n'a pas regretté l'adhésif, cette fois, je ne peux rien bouger, la chaise étant poussée contre le mur, elle m'attache la tête bien raide aux porte manteaux situés au dessus de moi. - J'espère que tu aimes cette petite attention supplémentaire ? Non ? Elle referme la cabine et va ouvrir son magasin. Deux clientes sont devant la porte. L'après-midi se passe sans qu'elle vienne me voir, les infos de 19h sont commencées lorsque j'entends dans la boutique la voix d'Anna, elle est revenue et converse avec Amanda. - Tu n'as pas eu de problème avec lui ? - Non, je l'ai rangé toute la journée dans la cabine. J'entends Anna ouvrir celle-ci et rire en me voyant. - Il est chou habillé comme ça, je le détache pour le voir debout. Quelques instants plus tard, je suis au milieu de la boutique, toujours menotté et bâillonné, mais sans le bandeau sur les yeux. Elles tournent autour de moi, et défroissent un peu ma tenue. Anna soulève la robe et s'extasie sur mes dessous. - C'est très original, je peux le garder comme ça pour la soirée ? Oui, pas de problème dit Amanda, je vais te préparer quelque chose pour demain, tu verras, cela devrait te convenir. Je te l'apporterai demain soir, en venant diner. - Oui bien sur, nous serons chez Marc, il y a de l'espace chez lui. Allez, nous partons. Amanda a mis les affaires que j'avais lorsque nous sommes arrivés dans un sac plastique et le donne à Anna. Celle-ci me pousse dehors, sans regarder si quelqu'un est dans la rue et me fait m'installer dans la voiture. Nous partons et rentrons directement chez moi. - Alors ça t'a plu cette journée ? Ne pouvant parler, j'opine de la tête. Anna me fait entrer dans la maison et me pousse sur le canapé. - Restes là pour le moment, je m'installe chez toi pour les deux jours à venir, comme ça, je vais bien m'occuper de toi...Au fait, j'ai eu Mireille au téléphone et je lui ai dit que tu étais reparti pour ton travail jusqu'à vendredi après-midi, on va être tranquille elle n'a aucune raison de venir ici !!! Elle revient et me fait lever, puis me conduit à la cuisine. Prenant les clés des cadenas, elle détache mes poignets et m'enlève le bâillon, mais s'aperçoit qu'il lui manque la clé du cadenas qui relie mes jambes au niveau des genoux. - Tant pis, je ne vais pas retourner chez Amanda, tu resteras comme cela jusqu'à demain matin. Je suis chargé du repas et de la vaisselle, Anna s'est installée au salon et regarde un film à la télé. La vaisselle terminée, je reste à la cuisine attendant ses directives. Elles ne tardent pas, Anna me demande de lui apporter une tisane, je m'empresse de la préparer et porte le plateau au séjour. Je m'approche d'elle, elle fait comme si je n'étais pas là. Je reste près du fauteuil, debout, tenant le plateau devant moi, parfaitement immobile. Je vais rester ainsi un long moment, avant qu'elle ne m'autorise à le poser, puis faire le service. A la fin du film, elle se manifeste. - Que vais-je faire de toi cette nuit ? Vas à la salle de bains, je te laisse un quart d'heure de liberté. Je me dirige vers l'escalier, avec les genoux entravés, il va me falloir cinq minutes pour accéder à l'étage. J'entends la voix d'Anna tout à coup : - Enlèves ta robe et lance la moi Je m'exécute, et me retrouve uniquement avec mes dessous. - Montres-toi en haut de l'escalier. J'obéis et me place en haut des marches. - Tournes toi un peu que je te vois bien. Bien, vas à la salle de bains maintenant, et ensuite tu iras à la grande chambre du fond. Je m'empresse d'aller à la salle de bains, et cinq minutes plus tard, je suis à la chambre au pied d'un des lits, attendant ma maitresse. Anna vient un moment plus tard. - Donnes moi tes poignets. Anna repose les bracelets et les cadenas et fait de même aux chevilles, ensuite elle m'enfile une cagoule ouverte aux narines et à la bouche. Je suis entièrement aveuglé, une fois lacée, elle boucle le collier et pose aussi un cadenas. - Allonges toi sur le lit. A tâtons, je m'allonge sur le lit, elle me guide pour me mettre au milieu, c'est un lit métallique de 0,90 m de large. Les cordes entrent en action et quelques instants plus tard ,je suis entièrement entravé y compris ma tête par l'anneau supérieur de la cagoule. Un bâillon anneau vient compléter l'ensemble. - Bon, c'est bien comme ça, à demain. J'entends Anna refermer la porte et m'abandonner pour la nuit. Mercredi Enfin du bruit, je suis réveillé depuis un moment et attends le bon vouloir de ma maitresse. Elle ouvre la porte, monte sur le lit, venant s'asseoir sur moi. Elle me caresse autant que faire se peut, autour de mon corset, s'attarde sur mes cuisses et mon bas ventre. Je réagis et elle s'en aperçoit, faisant glisser lentement ma vaste culotte vers le bas. Mon sexe dégagé, elle s'en empare, je deviens l'espace de quelques instants un objet dont elle joue à son gré. Sans un mot elle me laisse un moment plus tard, je l'entends dans la salle de bains. Elle ne reviendra me détacher que longtemps après, me permettant à mon tour de faire mes ablutions partielles car toujours entravé. Je la rejoins dans la cuisine, après m'avoir permis de déjeuner, elle me passe un tablier et me confie les taches ménagères pendant qu'elle sort de son coté. Elle ne reviendra qu'en fin d'après-midi, me libérant cette fois de mes entraves aux genoux, mais me laissant toujours avec mon corset et mes bas. J'ai droit à quelques minutes de répit, elle m'annonce la visite d'Amanda vers 19h00. Vers 18h, elle décide de me préparer, elle me fait enfiler de longs gants de latex, puis, sur mes dessous une robe de latex noire, très courte, à manches longues. Elle la ferme, c'est ensuite les escarpins à hauts talons et pour terminer la cagoule assortie. Celle-ci n'a d'ouverture que les yeux et les narines, un petit gode incorporé me bâillonne et elle se ferme par un collier de caoutchouc bloqué par un cadenas. Une large ceinture de cuir dotée d'anneaux complète l'ensemble. Ainsi équipé, elle me conduit sur le perron de la maison, me faisant m'arrêter sur la terrasse. Deux paires de menottes m'immobilisent, une corde lui sert à m'attacher par la ceinture contre l'un des piliers de l'entrée. -Tu verras, Amanda sera satisfaite de te voir de loin. Anna repart à l'intérieur, et ferme la porte. Je vais rester ainsi une demi-heure avant d'apercevoir la voiture d'Amanda s'arrêter devant le portail. Elle descend, vêtue d'un ensemble moulant noir. Anna qui l'a entendue sort sur le perron. Elles s'embrassent toutes les deux, et entrent refermant la porte. Amanda n'a jeté qu'un coup d'œil en passant sur moi, comme si je n'étais qu'un objet sur le perron. La nuit est tombée, elles sortent de la maison, Anna s'est habillée de noir comme Amanda, sans un mot, après avoir fermé la porte à clé et tout éteint, elles se dirigent vers la voiture, montent et démarrent, me laissant dans ma situation. Ou sont-elles parties ? Vraisemblablement manger au restaurant. Contrairement à mes hypothèses, elles reviennent environ une demi heure plus tard, riant toutes les deux. Elles sortent de la voiture un grand sac plastique. Que contient-il ? Mystère, elles le portent à l'intérieur de la maison. Anna vient sur la terrasse et me détache. Elles décident de s'occuper de moi, elles m'ôtent tout mon équipement, puis me mettent nu. - Allez, tu as cinq minutes à la salle de bains. Je m'exécute sachant que les cinq minutes allaient passer vite. Je sors dans le couloir, Anna me prend par le bras, et m'entraine vers la chambre du fond. Je suis conduit près du petit lit. Se mettant une de chaque coté de moi, elles sortent du sac quelque chose qu'elles déplient. Cela ressemble à un sac de forte toile gris foncé. Elles le positionnent devant moi et me font entrer dedans, une jambe après l'autre. Elles le déploient, il s'ajuste parfaitement à mon corps, l'épousant en totalité. Avant de me couvrir le tête, Anna me mets un bandeau sur les yeux qui m'aveugle. Il n'y a qu'une ouverture au niveau de la bouche. L'ouverture du dos, par laquelle je suis entré, permet l'ajustement et la fermeture, des brides avec des anneaux sont réparties sur les cotés, ainsi qu'au niveau de la tête. Une fois bien positionné dans le sac, les bras le long du corps, des sangles intérieures leurs permettent de m'attacher dans le sac. Un quart d'heure plus tard, je suis prisonnier de celui-ci. Commence alors le laçage qui est effectué minutieusement, collant le sac totalement sur mon corps. Au passage, elles m'ont peloté plusieurs fois les fesses. J'entends Anna dire: - C'est super, tu as merveilleusement travaillé pour faire quelque chose d'aussi ajusté. Amanda lui réponds : - Je suis d'autant plus satisfaite que cette toile est épaisse et opaque, on va d'abord le mettre sur le lit. Je sens qu'elles me font me tourner et d'un coup basculer sur le lit, me tirant ensuite pour me mettre à plat ventre. - Les anneaux de chaque coté, vont servir à le suspendre. Passe de l'autre coté et prends des cordes. Regardes, il y a une petite ouverture possible ici avec la fermeture éclair. Je sens qu'elles s'activent, je comprends à ce moment là qu'elles m'attachent à la poutre se trouvant juste au dessus du lit, la chambre étant mansardée. Les cordes se tendent, reliant les anneaux à la poutre. - Voilà c'est parfait dit Amanda, on va maintenant faire glisser le lit pour le dégager. Je sens le lit partir d'un coup sur ses roulettes, et me retrouve suspendu dans le vide attaché à la poutre. Mon corps balance quelques instants. - On va le laisser comme ça dit Anna, allons au restaurant J'ai tout à coup l'impression d'entendre du bruit, quelle heure est-il ? Je me suis endormi, je n'en ai aucune idée, un nouveau bruit me fait comprendre qu'Anna est entrée dans la chambre, elle tire sur les cordes, ses mains caressent le sac, puis s'activent par dessous sur mon ventre, je comprends qu'elle ouvre la fermeture et sort mon sexe. En quelques instants, je suis bien réveillé et tendu au maximum. Des pincements, elle vient de mettre deux pinces sur mes bourses, d'autres suivent aussitôt. En quelques instants, elle en pose une bonne dizaine, je ne peux retenir un cri ce qui me vaut immédiatement la pose du bâillon anneau. - On est un petit douillet, tu vas les garder cette nuit, puisque c'est comme ça. J'entends Anna partir, la porte se ferme, je suis seul, complètement isolé dans mon carcan. Je finis par m'endormir. Jeudi Ce qui me réveille c'est de sentir le retrait des pinces, une à une, à chaque retrait je grimace, mes plaintes sont étouffées par le bâillon. - Alors, on a bien dormi ? Anna s'active sur ma verge encore endolorie. Ses mains sont gantées de caoutchouc, à chaque fois qu'elle sent que je ne vais plus résister, elle arrête son action, et la reprend un peu plus tard, c'est diabolique et frustrant. Elle finit par s'arrêter. - Bon assez joué, il est 7h30, je vais être en retard pour les visites, mais avant, je vais te purger, tu dois en avoir besoin ! Je sens ses mains gantées qui introduisent ma verge dans un récipient. - Allez vides-toi, cela évitera des problèmes. Je me libère dans son récipient longuement, cela faisait un moment que j'avais envie, me demandant si j'allais me retenir longtemps. Une fois terminé, elle referme l'ouverture du sac. - Je m'en vais, à plus tard. La porte se referme, elle n'a donc pas l'intention de me détacher, et cela peut durer un certain temps !!! Effectivement, le clocher a sonné midi lorsque j'entends la porte s'ouvrir. Le lit roule et me touche, Anna essaye de le remettre sous moi, une poussée plus forte et je me retrouve à nouveau à plat ventre sur le lit. - Je vais te libérer progressivement. Elle commence par défaire le laçage de ma tête jusqu'au milieu du dos, cela lui permet d'écarter les bords du sac et de dégager ma tête de celui-ci après m'avoir ôté le bâillon. Elle me laisse quelques secondes ainsi, puis m'ôte le bandeau. Répit de quelques instants car elle m'enfile à nouveau une cagoule de cuir qu'elle ajuste et entreprend de fermer. Une fois lacée elle y place deux petits cadenas qui la condamnent. Anna continue alors de me libérer du sac et m'en fait sortir entièrement, me prenant par la main, elle m'aide à me lever et me pousse hors de la chambre. - Je te laisse un quart d'heure. Un sandwich est posé sur le bord du lavabo ainsi qu'une serviette, je me précipite et mange de bon appétit. Je comprends aussi que j'aurais droit à un autre traitement à la sortie. Je finis de m'essuyer lorsque la porte s'ouvre, Anna s'empare de la serviette et me dit: - Allez, sors de là, retourne dans la chambre. J'obéis et retourne dans la chambre, Anna me suit, elle m'équipe les poignets avec les bracelets de cuir, puis prend une corde la passe au-dessus d'une poutre et dans l'anneau du poignet gauche, tire montant mon bras au niveau de la tête, elle attache l'autre extrémité à ma cheville gauche. Avec une autre corde, elle fait pareil du coté droit. Quelques instants plus tard, je suis entièrement écartelé , Anna replace alors le bandeau sur mes yeux et le bâillon anneau. Une dernière corde relie l'anneau supérieur de la cagoule aussi à la poutre. - Bon, cela devrait aller. J'entends Anna aller et venir pendant quelques instants, puis tout à coup le bruit d'un vaporisateur et je sens sur ma poitrine quelque chose de froid, je comprends aussitôt que c'est de la mousse, la main gantée d'Anna l'étale méthodiquement, puis le glissement du rasoir se fait sentir, elle a entrepris de me raser le corps. - Les poils ne sont pas beaux sous tes dessous, aussi je vais arranger ça. Elle agit méthodiquement, après le torse, c'est au tour des bras, puis des jambes, aucun endroit n'est épargné, elle a gardé mon ventre pour la fin. Le rasoir glisse partout, ne négligeant aucun endroit. Je suis en érection, elle rit. - Je vais te rincer et calmer le feu du rasoir. Elle me lave entièrement, usant d'un gant de toilette et m'essuie, puis me passe sur tout le corps une crème rafraichissante, terminant par le sexe, ce qui me laisse très tendu. - Tu es parfaitement lisse maintenant. Ses mains toujours gantées parcourent mon corps, évitant mon sexe toujours vertical. - Je vais te rhabiller, cela devrait être plus sexy. Elle me détache les bras, puis me remet le corset et le lace minutieusement. Je suis toujours relié à la poutre par ma cagoule ce qui m'oblige à ne pas bouger. Anna m'enfile alors un string de cuir, noué sur chaque cuisse, puis des bas aussitôt reliés par les jarretelles au corset, enfin les chaussures à talons qu'elle boucle à leur tour. Une robe complète ma tenue, c'est une sorte de fourreau fermé de haut en bas par un laçage dans le dos qui le colle au corps et le maintien sur moi. Pour terminer, les bracelets de mes poignets sont liés ensemble dans mon dos par un cadenas. - Tu es beaucoup mieux, dit-elle en passant ses mains sur mes jambes, je te détache et tu vas me suivre. Elle me fait descendre au rez de chaussée, et libère alors ma tête. Je me vois devant la glace ainsi habillé. La robe noire m'arrive à mi-mollets. Anna revient alors avec une cagoule de latex, celle-ci n'a que deux trous au niveau des narines, elle a aussi un masque complet en latex représentant un visage de femme, une perruque et un bâillon gode. - Comme ça, tu ressembleras vraiment à une fille manga. Elle me pose des écouteurs intra-auriculaires dans les oreilles, reliés à un petit boitier plat qu'elle coince, dans mon dos, sous le corset. Une musique relaxante est diffusée par ceux-ci me coupant du monde extérieur. Anna me pose le bâillon qu'elle attache fermement, m'enfile la cagoule qui colle à ma peau et m'aveugle totalement, puis je sens la pose du masque et de la perruque. Elle ajuste l'ensemble et me pose un large collier. Nous sortons, quelques instant plus tard je suis installé dans la voiture; elle boucle la ceinture autour de moi. Ou allons-nous ? Anna démarre et roule un long moment. Je sens que la voiture s'arrête, j'essaye de me concentrer mais la musique est efficace et il m'est absolument impossible de me repérer. Je sens qu'on me prend par le bras, je descends craignant de tomber. Je me laisse guider, et fais quelques pas. Je manque de trébucher, mais on me retient. Nous entrons me semble-t-il dans un bâtiment. On me lâche, je n'ose bouger, attendant la suite. Rien ne se passe pendant un moment, la musique diffusée dans mes oreilles m'empêche de capter tout autre bruit. A nouveau, une main prend mon bras et m'entraine, je sens que l'on place des bracelets autour de mes poignets, les menottes sont enlevées mais aussitôt mes bras sont tirés vers le haut et écartés. C'est ensuite au tour de mes chevilles, elles sont elles aussi équipées de bracelets et maintenues écartées par une barre rigide. J'essaye de bouger, mais impossible de faire quoi que ce soit, je suis écartelé maintenu au plafond et au sol. Quelques minutes plus tard, on m'enlève la robe, et on resserre mon corset. Deux mains parcourent mon corps minutieusement, ma verge me fait mal bloquée par le string, je sursaute, mes tétons sont tordus. Ou suis-je donc et qui se trouve autour de moi ? Les mains continuent leurs actions, le string m'est enlevé et ma verge prise en main, c'est au tour de mes fesses d'être palpées, une main se positionne près de mon orifice anal et tout à coup un objet est présenté. Lentement mais fermement, il est introduit en moi. Après quelques mouvements, il est entièrement enfoncé, le plug butte contre mes fesses. Aussitôt, je sens qu'on le fixe profondément en moi, il est pourvu de lanières qui sont reliées aux anneaux du corset de part et d'autre de ma verge et dans le dos. Tout à coup une vibration me fait sursauter, le plug est activé, une main place le boitier de commande dans mon dos à coté de celui de mes écouteurs. Des mains s'intéressent alors à mes bourses, après être tirées vers le bas, je sens un lien s'enrouler à leur base. Plusieurs tours sont ainsi faits, les faisant gonfler. Je sens alors qu'elles sont tirées vers le bas, le lien a, me semble-t-il, été attaché à la barre qui relie mes deux chevilles. Enfin la robe m'est remise et rattachée. Plus personne n'a l'air de s'occuper de moi, je reste longtemps ainsi, le plug se manifestant de temps en temps avec plus ou moins d'activité. Enfin un contact sur mes fesses, quelqu'un est là, on détache la barre qui relie mes chevilles et on la désolidarise de mes bourses. Ensuite ce sont mes poignets qui sont détachés mais aussitôt ramenés dans mon dos et menottés. On me soutient par les bras de chaque coté, il y a au moins deux personnes dans la pièce. Je dois marcher quelques instants, seules mes chaussures me permettent de comprendre que nous sommes sortis du bâtiment, le sol est irrégulier, puis on me fait me pencher, je comprends alors que je suis près d'un véhicule dans lequel je suis installé et sanglé. Quelques instants plus tard, ce dernier est en mouvement. Nous roulons un long moment avant que celui-ci ne s'arrête, je dois descendre guidé seulement cette fois par une seule personne. A nouveau je pénètre quelque part. Des mains dans mon dos arrêtent alors la musique me permettant de retrouver l'ouïe. La voix d'Anna me parvient alors. - Alors as-tu apprécié ce petit séjour ? Nous sommes rentrés chez toi, il est 19h. Je vais te laisser quelques instants, essayes de savoir ou tu étais cet après-midi. J'ai quelques coups de téléphone à donner. Il m'est impossible de savoir ou j'étais, aucun repère ne m'a permis de me repérer. Anna revient quelques instants plus tard. - Je vais te laisser un moment pour aller à la salle de bains et je vais te donner à manger ensuite je te préparerai pour la soirée. Elle me conduit à la salle de bains et me détache. - Enlèves tout, et prends ta douche, je t'ai laissé de quoi manger sur la tablette. Je reviens dans une demi heure. Alors, sais-tu ou je t'ai amené ? - Non maitresse dois-je avouer. - Je t'ai amené à mon cabinet, mon associée a particulièrement apprécié, puisque c'est comme ça, je vais te soumettre à de nouvelles contraintes. A partir de cet instant il t'es interdit de dire le moindre mot sous peine de punition. Nu et essuyé, elle me conduit à la chambre. Elle pose sur le lit un gros rouleau de film étirable et plusieurs rouleaux d'adhésif. Après m'avoir remis les bracelets de cuir, elle relie avec de courtes chaines les anneaux, une chaine passant devant moi et l'autre dans mon dos, ce qui fait que je ne peux rapprocher mes bras l'un vers l'autre. - Mets toi près du lit et enfiles cette culotte de plastique. Elle s'affaire alors autour de mon sexe, découpe le plastique, prends ma verge et la glisse dans quelque chose, une sorte de tube souple, puis elle referme le tout avec de l'adhésif bien hermétiquement. Aussitôt elle commence à m'envelopper des épaules aux pieds, faisant plusieurs tours en superposant le film. Elle me fait asseoir sur le bord du lit et termine l'enveloppement de mes pieds. Prenant ensuite un premier rouleau d'adhésif, elle commence à lier mes pieds, puis les chevilles et remonte ainsi en faisant des anneaux espacés de cinq centimètres environ l'un de l'autre. Une fois terminé, elle repart et revient portant de grands sacs que l'on utilise pour mettre les déchets de jardin. Je dois mettre mes jambes dans l'un d'entre eux, elle le remonte et le fixe au niveau de ma taille, puis elle prend un deuxième, fait une ouverture dans le fond et me l'enfile sur le corps, faisant passer ma tête dans l'ouverture. Elle le relie au premier avec de l'adhésif. Anna reprend alors les rouleaux d'adhésif et cette fois m'emballe entièrement en commençant par les pieds, s'assurant bien que les bandes se recouvrent entièrement. Un moment plus tard, je suis immobilisé, seule ma tête est encore libre. Elle va chercher une cagoule de latex percée seulement au niveau du nez et de la bouche, et dont le bas peut se cadenasser autour du cou. Elle me l'enfile, la ferme soigneusement et pose un petit cadenas. Je sens qu'elle termine l'enveloppement avec l'adhésif. Elle me bascule alors sur le lit, me positionne et serre autour de moi des sangles. - Comme ça tu ne tomberas pas. Je te laisse, on m'attends pour la soirée. Au fait, je ne reviendrai que demain, je fais un remplacement à l'hôpital. J'ai branché ton sexe dans un tuyau, tu pourras uriner facilement. Mais pourquoi te donnerais-je des explications, tu n'es qu'un objet à ma disposition après tout. C'est ainsi que commence un long abandon. Je ne mesure pas à cet instant qu'il va être même très long !!! Je finis par m'endormir. Vendredi Lorsque je me réveille, il m'est impossible de me repérer, quelle heure peut-il être ? Je n'entends aucun bruit, Anna est-elle là ? La seule certitude que j'ai est d'avoir bien dormi. J'attends le bon vouloir de ma maitresse. A plusieurs reprises, le téléphone sonne dans la maison. Je pense que plusieurs heures s'écoulent ainsi, je me soulage à deux reprises, je comprends pourquoi elle m'a " branché " un tuyau. Enfin du bruit, est-ce Anna qui revient ? J'ai faim depuis longtemps quelle heure est-il ? - Alors tu es toujours là ? J'ai failli t'oublier, ma collègue souhaite que je parte en week end avec elle. J'ai hésité, mais finalement j'ai accepté. Au fait, il est 18 heures, je vais te faire manger un peu, ou plutôt boire, ce sera plus simple ensuite j'irai la rejoindre, elle m'attend. J'appellerai Aline demain pour lui dire que tu es rentré. Anna libère simplement le bas de mon visage et s'occupe de me nourrir. Elle me fait boire un bouillon lentement. - Bon, tu pourras tenir comme ça jusqu'à demain Je l'entend s'activer autour de moi, elle referme la cagoule et un bruit métallique me fait comprendre qu'elle a ressorti le carton contenant les chaines. - Finalement, je vais reconstituer la cage de chaines dans laquelle je t'ai trouvé... Ce sera plus rigolo pour Aline. Elle commence par m'enchainer des pieds à la tête, elle s'active, veillant à ce que les chaines m'enveloppent bien et soient bien tendues. Les nombreux " clics " des cadenas me font comprendre que les chaines sont reliées minutieusement les unes aux autres. - J'ai ramené de nouveaux cadenas, comme cela, je n'ai pas eu à utiliser les maillons. Bon te voilà bien prisonnier, cela comblera tes fantasmes, deux jours et deux nuits entièrement attaché, c'est le top. Je vais partir, j'appellerai Aline demain, et lui dirai ou tu es. Cela lui laissera le plaisir de venir te libérer. Je laisse la clé de la cagoule bien en évidence, j'espère qu'elle la verra !!! Anna s'en va en riant, qu'a-t-elle fait pour rire ainsi ? Je n'en ai aucune idée. Me voilà seul, pour au moins 24 heures, Aline travaille jusqu'à 18h le samedi, dans le meilleur des cas elle n'arrivera pas avant 19h. Samedi Dire comment j'ai passé la nuit qui suit et toutes ces heures de la journée du samedi est compliqué, j'ai dormi souvent et aussi essayé de bouger, mais en vain. Pourvu qu'Aline vienne !!! Enfin du bruit, quelqu'un entre dans la maison. - Ou es-tu ? Je viens te voir, Anna m'a appelée vers 17h me disant que tu étais rentré hier et que j'aurais une surprise. Aline finit par entrer dans la chambre et je l'entend aussitôt s'exclamer. - Mais c'est super, tu es emballé parfaitement, vraisemblablement depuis hier d'après ce que j'ai compris ? Ah oui, tu ne dois pas parler, c'est interdit. Aline vient s'asseoir près de moi et commence à me toucher, tirant sur les chaines, s'assurant de leur efficacité. Elle passe ensuite ses mains sur mon visage, bloquant par moments ma respiration. Je l'entends rire tout à coup. - Je viens de prendre connaissance de la lettre laissée par Anna, me racontant ta semaine. Elle est surprenante, jamais je me serais doutée de ce qu'elle a fait de toi. Elle est plus forte que moi dans ce domaine. J'ai deux nouvelles à t'annoncer, j'espère que tu vas apprécier... La première est que je n'ai pas les clés des cadenas, elles sont chez Anna, donc je devrais aller les chercher pour te libérer. La deuxième c'est que je suis, moi aussi, invitée, donc je vais te donner à manger comme elle l'a fait hier et que je reviendrai demain pour te libérer. Mireille me nourrit et me fait boire, heureusement tout est liquide ou presque ce qui m'ôte toute envie de me soulager. Je l'entend s'activer, elle retire les sangles me maintenant sur le lit et entreprend de me retourner face au sommier. Quelques instants plus tard , utilisant des cordes, elle relie mes chaines du cou aux chevilles à la poutre dominant le lit. Tendant les cordes les unes après les autres, je suis soulevé et suspendu à quelques centimètres du sommier. Seule ma tête est libre et penche en avant. Cela ne dure pas, quelques tours de cordes et elle est fixée à l'horizontale. Elle déplace ensuite le lit sur le bord de la chambre. - Te voilà mieux ainsi, tu peux te balancer si tu veux. Elle me pousse sur le coté et me voilà en mouvement. Je sens qu'elle positionne le tuyau relié à ma verge. - Comme ça cela va directement dans le récipient. Encore deux petites choses. Que va-t-elle faire encore ? Tout à coup, elle pousse dans ma bouche le bâillon anneau et le fixe solidement derrière ma tête avant de refermer le bas de la cagoule. Je sais que tu vas aimer, Anna a été gentille avec toi en ne te le mettant pas, mais moi, il faut bien que j'apporte un petit plus. Maintenant il reste un trou à boucher. Aline s'appuie sur mes fesses, perce le plastique et m'enfonce un plug de bonne taille au plus profond de moi. Quelques tours d'adhésif et celui-ci est fixé fermement, me remplissant entièrement. - Bon, assez joué, ce n'est pas tout, je dois y aller, sinon je vais être en retard et je ne voudrais pas me faire punir à mon tour... Passes une bonne soirée, une bonne nuit, et à demain. Je l'entend rire, et partir. Me voici reparti pour une longue, très longue séance. Dimanche Enfin du bruit, je réalise à ce moment là tout ce que j'ai enduré depuis vendredi soir. - Alors tu es toujours là ? La voix d'Aline résonne dans mes oreilles, ses mains me poussent et me font me balancer. - Je vais te libérer de ta position, tu risques d'être un peu ankylosé. Enfin on verra bien, c'est toi qui l'a cherché non ? Depuis jeudi soir, ce n'est pas mal. Tu deviens patient. Commence alors ma libération, progressivement je retrouve l'usage de mes membres. J'ai toujours la cagoule fermée sur la tête. Aline me fais me lever. Mes jambes tremblent un peu avant que je ne me stabilise. Je suis nu, seule ma verge est branchée et mon anus occupé par le plug. Bon ce n'est pas mal dit Aline, je vais te laisser finir tout seul, la clé de la cagoule est à la salle de bains, tu la trouveras tout seul, ce sera là ta dernière punition de la semaine. Bonne soirée et à un de ces prochains jours. J'entends Aline partir, lentement j'essaye de me repérer et gagne la salle de bains. Trouver la clé de la cagoule va me demander encore des efforts. Finalement je la trouve, à tâtons, cachée derrière la cuvette des WC. Cette dernière recherche m'aura demandé au moins une heure d'efforts. Libre de tout, je passe sous la douche. Demain le travail reprend et va me conduire à Rome pendant quinze jours.
Maîtresse Luna
La voiture roule depuis un moment, les filles ne parlent pas, ce n'est qu'à cet instant qu'Aline se manifeste. - On s'arrête, nous allons faire le plein, nous avons encore une heure de route avant d'arriver au chalet. Je comprends alors que nous sommes partis pour la montagne et la destination est le chalet d'Aline... Elle a donc prévue d'y passer le week-end avec Mireille et moi. La voiture arrêtée, les filles descendent, j'entends Mireille dire à quelqu'un : - Faites le plein, nous allons faire quelques courses en attendant. Heureusement que les vitres de sa voiture sont teintées, car sinon le pompiste me verrait dans ma drôle de position!!! Un moment plus tard, le hayon arrière est ouvert, des paquets sont chargés. Nous repartons pour un trajet encore long. Enfin la voiture s'arrête, l'ouverture du garage est enclenchée et quelques secondes plus tard le moteur est coupé, nous sommes arrivés. Le déchargement commence et ce n'est que plus tard que je suis extrait à mon tour. Bien que nous soyons en juin, je sens la fraicheur, ma tenue plus que légère n'est pas adaptée à la montagne, je suis libéré des liens des bras et des jambes et conduit au chalet. - Je t'autorise à profiter de la salle de bains, ensuite tu nous rejoindra au salon. Je vais t'enlever le bâillon et le bandeau, je vais chercher les clés, commence à te déshabiller en attendant. Je me déchausse, commence à retirer le corset, dans le noir, ce n'est pas facile, je finis par me déshabiller entièrement. C'est à ce moment là qu'Aline revient. - Baisse-toi, je vais t'enlever les cadenas. Elle m'ôte le bâillon, puis le bandeau, puis essaye d'enlever le cadenas du collier. Elle s'y reprend plusieurs fois et finit par me dire: - Je n'ai pas la bonne clé, elle est restée à la maison, Tu vas devoir garder la cagoule en permanence. Tant pis pour toi, de toute façon tu n'as pas le choix. Elle pose des affaires sur la chaise et repart. Nu, je passe directement sous la douche. J'apprécie longuement celle-ci, d'autant plus que je ne sais pas ce que je vais devenir entre ses mains, cela commence bien avec la cagoule !!! Je sors et m'essuie, puis regarde sur la chaise, il y a mes chaussures, une paire de bas à couture, un porte-jarretelles et un string noir. C'est tout ce que j'ai à me mettre. J'entends la voix d'Aline qui m'interpelle. - Alors tu te dépêches ? Je n'ai pas le choix, enfile mes affaires et descend les rejoindre. Aline est sur un fauteuil devant la cheminée, en train de lire, Mireille est debout à ses cotés, elle porte un catsuit et une mini robe rouge, ses poignets et chevilles sont dotés de bracelets de cuir fermés de cadenas, une cagoule comme la mienne couvre sa tête et un collier assorti orne son cou. Un jeu de chainettes relie tous les bracelets. Seuls ses yeux et sa bouche sont visibles. Un maquillage rouge assorti à sa tenue les mets en valeur. Elle est immobile, comme une statue, ses mains tiennent une lampe permettant à Aline de lire. Je me présente devant elles, et attends. Ce n'est qu'une dizaine de minutes plus tard qu'Aline lève les yeux sur moi. - Tournes-toi. Les coutures ne sont pas droites, prends le reste de ta tenue sur la chaise et va te préparer. J'obéis aussitôt, prends les affaires et regagne la chambre. Après avoir repositionné mes bas ,j'enfile ma tenue, robe courte en latex et tablier de devant. J'ajuste l'ensemble en faisant attention à ce que tout soit parfait et redescend me présenter devant Aline. Comme tout à l'heure je dois attendre plusieurs minutes avant qu'elle ne me regarde. Mireille n'a pas bougé, toujours immobile à ses cotés. Elle se lève alors et m'équipe de bracelets et d'un collier, le tout relié par des chainettes, comme Mireille - C'est mieux, tu vas préparer la table, et faire le service du repas, mais auparavant tu vas me servir l'apéritif. Je me dirige alors vers le bar et commence alors mon service de soirée. Je porte le plateau avec verre et le nécessaire, le pose sur la table de salon. Aline trouve alors que le plateau est trop loin d'elle et me fait mettre à quatre pattes devant le fauteuil, puis prend le plateau et le pose sur mon dos. - Ne bouges plus, c'est parfait. Elle se sert alors et reprend sa lecture, prenant de temps en temps un toast. Je reste immobile, en face de moi se trouve la pendule de salon, l'apéritif va durer une demi heure, temps que je vais passer transformé en table de salon. Aline décide alors de passer à table, elle fait changer Mireille de position, et la fait éclairer la table. Je fais le service du repas, me tenant parfaitement immobile entre chaque plat, enfin quand elle a terminé, elle dit - A vous de manger maintenant, allez à la cuisine, mais avant débarrassez et rangez tout. Fais-lui comprendre à Mireille, car elle a des bouchons dans les oreilles, et n'entend presque rien !!! Une fois terminé, nous nous y rendons, pendant qu'Aline allume la télévision. Elle nous rejoint, et nous fait asseoir sur les chaises. Elle passe derrière nous à tour de rôle et nous attache rapidement par la taille, avec des sangles, et dit: - Je vous laisse demi heure, profitez-en, ne buvez pas trop... Tant bien que mal, les gestes réduits par les chainettes, nous commençons à manger. Pour atteindre les choses, il me faut parfois me lever, entrainant la chaise avec moi, surtout pour ranger la cuisine et faire la vaisselle. Aline nous regarde en souriant. - Bien, vous avez fini, je vais vous détacher des chaises. Elle nous reconduit ensuite au salon, nous fait mettre à quatre pattes devant le fauteuil, face à face. - Approchez-vous l'un de l'autre et levez la tête. Elle fait des signes à Mireille pour qu'elle comprenne, nous avançons l'un vers l'autre et arrivons presque à nous toucher, c'est alors qu'elle attrape les deux chainettes pendant des colliers, les rejoint et y fixe un cadenas, faisant par la même occasion toucher nos visages. - Bien, ne bougez plus maintenant, je vais regarder mon film. Elle s'installe alors sur le fauteuil, allonge ses jambes, les posant sur nos dos, nous transformant en pouf de salon, puis déroule une couverture qu'elle jette sur ses jambes, couvrant par la même occasion nos têtes. Elle monte le son du poste et bien installée, se concentre sur le film. Quant à nous deux, nous ne bougeons pas pendant un moment, nos respirations sont confondues. Cependant imperceptiblement, je sens Mireille bouger sa tête, et l'incliner pour se mettre bien face à moi. Sa bouche se rapproche alors de la mienne, et malgré les cagoules, se colle contre mes lèvres, sa langue pénètre en moi et s'active en un baiser interminable. Je sens monter en moi une douce chaleur et dans le bas de mon corps une turgescence envahit le string !!! C'est à ce moment là qu'Alice retire ses jambes, et se lève sans toutefois ôter la couverture. Nous restons immobiles, ou va-t-elle ? Quelques secondes plus tard, j'entends ses pas dans l'escalier, Mireille en profite pour reprendre son activité, m'embrassant de plus belle. Des pas à nouveau nous font cesser rapidement, Aline redescend et se réinstalle à nouveau jusqu'à la fin du film. Elle se lève alors, retire la couverture et nous sépare l'un de l'autre. Elle me repose le bâillon anneau bien ajusté. - Bon, ce n'est pas tout, il est tard, je vais vous installer pour la nuit. Prenant les chainettes comme des laisses, elle nous fait monter à l'étage et entrer au fond du couloir dans une petite chambre. Celle-ci est dotée d'un lit ancien avec un cadre de bois, les montants sont équipés d'anneaux métalliques à différentes hauteurs. Elle nous fait mettre de chaque coté du lit elle revient vers moi, ôte mes bracelets, puis mes vêtements, me laissant uniquement le string. C'est ensuite au tour de Mireille, elle fait de même et la laisse aussi avec son string. Prenant un bandeau, elle la prive alors de la vue en plus de l'ouïe, puis prend un catsuit noir en latex, lui fait enfiler, le ferme entièrement, et repose ses bracelets aux chevilles puis aux poignets qu'elle relie dans son dos avec un cadenas. Elle est entièrement recouverte de latex hormis sa bouche qui ne tarde pas à être emplie du bâillon anneau. Satisfaite, elle la fait coucher sur le lit, puis l'attache, les pieds reliés au fond du lit et le collier à la tête de celui-ci l'empêchant de bouger. Satisfaite, elle vient vers moi. - Elle est parée, à toi maintenant. Elle prend un catsuit noir, entièrement opaque. D'un geste elle m'ôte le string, passe ses mains sur mon corps nu, ce qui ne tarde pas à me mettre en érection. Elle commence alors à m'enfiler le catsuit, repose mes bracelets aux chevilles, les reliant de suite avec un cadenas, elle reprend un instant son massage et s'arrête brusquement alors que j'étais sur le point d'exploser. Elle est diabolique !!! Le catsuit fermé, elle ajuste les bracelets aux poignets, je suis immobilisé comme Mireille, les mains liées dans le dos. A nouveau Aline pose ses mains sur mon corps, insistant cette fois sur les tétons qu'elle pince fortement. Elle me fait coucher sur le lit et m'immobilise à mon tour. Elle me pousse contre Mireille, puis commence à nous relier l'un à l'autre avec des cordes, d'abord au niveau des genoux, puis de la taille et du torse. Elle s'active ensuite autour de mes poignets, elle y fixe une corde, puis passe l'extrémité libre entre mes cuisses et celles de Mireille. Un instant plus tard, j'ai compris qu'elle avait fixé l'autre extrémité aux poignets de Mireille, ce qui colle nos ventres l'un contre l'autre. Aline rit. - Comme ça, vous serez proche l'un de l'autre, mais attention, s'il y a des débordements je le verrai et vous serez punis, alors à vous de choisir. Je vous laisse, passez une bonne nuit... Aline est partie, Mireille ne bouge pas pendant un long moment, puis tout à coup esquisse un mouvement qui la plaque encore plus contre moi, des épaules aux genoux. Ma verge reprend forme et s'en apercevant, Mireille bouge son bassin et me bloque. C'est terriblement excitant, j'essaye de me contrôler, elle ne bouge plus. Quant à moi, ma raideur ne faiblit pas et nous restons longuement ainsi. Mireille doit craindre aussi les paroles d'Aline... Finalement, nous nous endormons. Samedi matin... Ce qui me réveille c'est l'impression de sentir quelque chose dans mon dos, Aline est là, silencieusement, elle entreprend d'ouvrir mon catsuit, descend le zip sous mes fesses, ses mains gantées de latex entreprennent alors une série de massages qui me conduisent rapidement à une érection maximale, ce qui réveille Mireille. Celle-ci colle son ventre contre moi, profitant de mon état. Aline qui se rend compte de la situation passe ses mains entre nos torses et me pince les tétons. Ce qui devait arriver se produit, j'explose tout d'un coup. Mireille rit, et dit: - Ce n'est pas bien du tout ce que tu viens de faire, tu seras puni pour cela... Je ne peux répliquer et clamer mon innocence, c'est elle qui est responsables de la situation. - Bon, c'est l'heure de se lever, je vais vous détacher, et vous rendre la vue. Elle me détache du lit, me fait lever, remplace les bracelets des poignets par des menottes et m'enlève les bracelets des chevilles. Mon bas ventre est humide, mon bandeau enlevé je suis devant la glace et ce que je vois confirme ce que je pensais, le plug vibre à nouveau. Elle s'occupe de Mireille et la détache à son tour, la libère des différents bracelets, ôte son bandeau ainsi que son bâillon. Sous la cagoule elle a toujours ses bouchons d'oreille aussi elle s'approche tout près d'elle, lui demandant de me laver entièrement à la salle de bains, et que nous disposons d'une demi-heure. Elle nous pousse dans la salle de bains et nous laisse. Mireille s'occupe d'elle en premier, prend son bandeau, elle me le pose m'aveuglant à nouveau, je l'entend quelques secondes plus tard prendre sa douche. Un moment plus tard, elle ouvre la fermeture de mon catsuit, ne pouvant éviter de voir mon état entretenu par le gode qui vibre toujours en moi. Mes mains menottées dans le dos l'empêchent de me libérer complètement du catsuit. Elle me fait asseoir sur le tabouret, le fait glisser de mes épaules, et repliant mes jambes, me le fait quitter, celui-ci n'étant plus retenu que par mes bras menottés. Elle le roule en boule et me le coince dans les mains. Elle commence mon lavage complet, le dos et ensuite le devant, prenant de toute évidence plaisir devant cette situation particulière. Elle m'essuie ensuite. - Je vais dire à Aline que j'ai terminé. De toute façon, je ne peux bouger seul. Quelques instants plus tard, Aline entre dans la salle de bains, détache les menottes, m'ôte le catsuit, me rattache aussitôt les mains dans le dos et après avoir vérifié le serrage du bandeau replace un cadenas, interdisant son enlèvement. Elle accroche une chaine à l'anneau de mon collier et me tire nu hors de la salle de bains, on descend l'escalier, arrivés au pied de celui-ci, elle attache l'extrémité de la chaine à la rampe et me laisse. Elle revient me chercher quelques minutes plus tard, je comprends qu'elle m'entraine à la cuisine, me fait asseoir sur une chaise, glisse une corde autour de ma taille me lie à celle-ci, mes poignets dans le dos sont eux aussi pris par la corde. Elle m'enlève alors le bâillon. - Mireille, fais-le déjeuner, tu as dix minutes, je vais prendre ma douche. La porte de la cuisine se ferme, Mireille me dit alors - Je vais te faire déjeuner, tiens, commence par un croissant chaud... Je sens le croissant devant mes lèvres et croque dedans, c'est alors que les mains de Mireille se posent sur mes épaules et lentement elle vient s'asseoir sur moi. Je réalise alors qu'elle a mis l'autre extrémité du croissant dans sa bouche !!! Je la sens contre moi, sa poitrine est nue, et le contact de ses cuisses gainées de nylon m'électrise. Elle soulève son ventre et d'un seul coup s'empale sur moi. Quel petit déjeuner !!! En quelques secondes, j'explose en elle. Elle se lève alors. - Il ne faut pas qu'Aline voit ce que l'on vient de faire, je vais faire disparaître les traces... Je sens alors la bouche de Mireille m'avaler littéralement, ce qui bien entendu n'a pas pour effet de calmer mon émoi. Mireille imperturbable finit alors de me faire déjeuner, laissant sur mon ventre une serviette. C'est ainsi qu'Aline nous trouve quelques instants plus tard. Elle dit à Mireille : - Vas te préparer dans ta chambre, nous partirons dans une demi-heure, je t'appellerai. J'entends Mireille monter l'escalier, Aline est toujours dans la cuisine, tout à coup, ses mains se posent sur mes épaules, elle est derrière moi, ses mains descendent lentement sur ma poitrine et saisissent mes tétons, les pince fortement ce qui me fait pousser un petit cri. La serviette qui reposait sur mon ventre est alors transformée en bâillon. - Comme ça, tu ne pourras pas crier... Elle reprend son jeu, se concentrant sur ma poitrine, puis sa main droite descend et me saisit fermement, le jeu consiste alors à alterner pincements et va et vient sur ma verge, m'amenant à une érection totale. Elle me détache de la chaise, me fait lever, me tire par la verge et m'entraine dans la maison. - Que vais-je faire de toi, Mireille et moi allons profiter de ce beau temps pour aller en excursion, mais la femme de ménage doit venir, accompagner de son mari qui est plombier pour réparer la fuite d'eau, il ne faut pas qu'ils te voient. On remonte à l'étage et elle me conduit à la salle de bains. - Débrouilles-toi, car tu n'y retourneras pas avant ce soir... Elle me laisse quelques minutes, puis revient me chercher, nous parcourrons le couloir, et me fait entrer dans la chambre. - Je vais t'attacher sur le lit, Mireille a sorti les cordes, mets toi bien droit, jambes serrées et bras le long du corps et ne bouges plus. Avant enfiles ça. Elle me tend une culotte de plastique que j'enfile et elle commence alors son ligotage par les épaules et descend méthodiquement jusqu'aux chevilles. Je ne peux plus bouger, les cordes font des anneaux espacés d'une dizaine de centimètres, elle reprend alors d'autres cordes et relie verticalement les anneaux, des pieds aux épaules, devant et derrière, passant une fois à gauche et une fois à droite de ma tête. Enfin deux dernières cordes relient chaque anneau, au niveau des bras, passant entre mes bras et mon corps empêchant toute tentative de ma part de faire glisser ceux-ci. Le bondage est total !!! C'est alors qu'elle appelle Mireille et à elles deux me font basculer sur le lit. - Toute la journée, il risque d'avoir froid, on va l'enrouler dans la couverture, aides-moi. Elles me roulent alors dans celle-ci. - Passe-moi le sac des sangles, Mireille, il restera bien dedans comme ça et cela nous aidera à le fixer au lit pour qu'il ne tombe pas. Quelques instants plus tard, je suis attaché sur le lit et l'une d'elle me glisse un oreiller sous la tête. - Bon c'est parfait dit Aline, bonne journée, on pensera à toi, ne t'ennuie pas et ne t'inquiète pas si tu entends du bruit, ce seront les employés qui travaillent, je ne te mets pas de bâillon, comme on n'est pas là, ne fait pas de bruit. Elle ferme la porte et j'entends la clé tourner dans la serrure. Je les entend dans le chalet un long moment, puis le bruit de la voiture me fait comprendre qu'elles sont parties. Me voilà seul, j'essaye de bouger, en vain, le bondage est parfait et l'enveloppement plus les sangles qui me lient au lit me collent à celui-ci. Je pense que je me suis endormi, ce sont des bruits dans le chalet qui me réveillent, surement la femme de ménage et son mari. Ils proviennent de la cuisine. Tout à coup une voix féminine se fait entendre. - Tu vas en avoir pour longtemps ? - Je ne sais pas, mais je vais devoir changer un partie du tuyau, une grosse heure environ. - Quelle heure est-il ? - Dix heure trente. - Je vais faire le ménage, puisque c'est comme ça. Quelques minutes plus tard, l'aspirateur fonctionne dans le séjour, le bruit des chaises et fauteuils que l'on bouge, montre que le travail est bien fait. Cela dure un long moment, puis la voix de la femme se fait à nouveau entendre. - Je vais aller faire les chambres, puisque j'ai le temps, je monte. A ce moment là, je réalise qu'elle va venir, mais je me souviens aussi qu'Aline a fermé la porte à clé avant de partir. A nouveau l'aspirateur fonctionne à l'étage, elle fait le couloir, puis les deux chambres d'Aline et de Mireille. Tout à coup, la poignée de ma chambre est tournée, puis une deuxième fois en vain. C'est à ce moment là que la femme de ménage parle à nouveau, elle réfléchit à haute voix. - Mais pourquoi ont-elles fermé cette chambre, elles sont agitées ces filles, tant pis, je ne vais pas la nettoyer. Elle repart, puis quelques minutes plus tard, une clé tourne dans la serrure... - Je savais bien que la clé du placard ouvrait toutes les chambres, voilà. La porte s'ouvre tout à coup, le clic de l'interrupteur, puis sa voix, mais cette fois très peu forte. - Qu'est-ce c'est que ça ? Elles ont encore recommencé, un nouveau colis, et bien emballé. Elles sont folles ces deux. Tout à coup, une main se pose sur moi, et commence à travers la couverture à me palper, d'abord au niveau de la poitrine, puis plus bas. - Pas mal le paquet, et bien ficelé à ce que je vois. Bon cela ne va pas m'empêcher de faire le ménage. Elle active l'aspirateur et se met à le passer dans la chambre. C'est à ce moment la que la voix du plombier se fait entendre. - J'ai fini, tu veux que je monte chercher ton matériel ? La voix de la femme de ménage dit aussitôt : - Non, non j'ai terminé, je vais descendre, charge la voiture en attendant. Elle replie son matériel et soudain j'entends près de mon oreille : - Je vais revenir en début d'après-midi, mais seule... A tout à l'heure beau prisonnier. Elle sort de la chambre et referme à clé aussitôt. - Voilà, j'ai terminé, viens prendre l'aspirateur sur le palier si tu veux. Quelques minutes plus tard la voiture s'éloigne du chalet. Je suis surpris par la tournure des évènements, apparemment, ce n'est pas la première fois qu'Aline amène quelqu'un dans le chalet, mais quelles sont les intentions de la femme de ménage ? Une voiture s'arrête devant le chalet, serait-ce le retour de la femme de ménage ? Je ne vais pas tarder à le savoir. Quelques minutes plus tard, la clé tourne dans la serrure, quelqu'un entre dans la chambre. - Me voilà, j'ai toute l'après-midi devant moi, elles rentreront tard, je les ai eues au téléphone, je leur ai dit qu'il y avait une soirée dansante au Club, et que ce serait dommage qu'elles la loupent, et que je passerai fermer les volets pour qu'elles soient tranquilles. Elles ne savent pas que je connais leurs manies, mais que j'adore pratiquer aussi. Voyons voir, je vais te déballer un peu, mais avant tout, te mettre un bâillon, ce sera mieux. Elle me pose le bâillon anneau et entreprend de défaire les sangles, la couverture est tirée, me laissant nu, avec ma culotte de plastique sur le lit, entièrement saucissonné. - Bon, pas mal protégé et bien attaché, je ne vais rien enlever, les possibilités sont nombreuses à exploiter. Je sens qu'elle monte sur le bord du lit et soudain, me retourne comme une crêpe. - C'est pas mal de ce coté non plus, je vais te chauffer un peu les fesses, elles ne verront rien, je doute qu'elles te déballent au retour, il sera trop tard. Un martinet s'abat soudainement sur mes cuisses, puis remonte sur mes fesses à travers la culotte et le bas de mon dos, cela dure un long moment, j'essaye de me soustraire aux coups en vain, une chaleur monte en moi, je dois être cramoisi. - Les lanières sont larges et ne laissent pas de trace, sauf que tout devient rouge, bien sur !!! Elle reprend son action, poursuit sur l'ensemble de mon corps, l'impression de chaleur ne me quitte plus. Je l'entends à nouveau près de moi, ses mains se posent sur moi et me mettent sur le coté, puis je sens contre mon ventre et le haut de mes cuisses comme un gros coussin, elle me fait basculer sur le ventre et je me retrouve cette fois les fesses en l'air. - C'est parfait, allez encore quelques coups pour bien rougir ton fessier. Elle baisse la culotte et le martinet entre à nouveau en action pour plusieurs minutes, puis je sens ses mains contre mes fesses, elle a mis des gants de caoutchouc, elle écarte celles-ci. Que vas-t-elle faire ? Je commence à paniquer. - Ne bouges pas, je vais combler ce trou devant moi. Je sens alors le contact d'un objet, un plug ! Lentement, mais fermement, elle l'introduit en moi jusqu'à ce que je sente le contact de la partie large contre mes fesses et remonte la culotte. - Tu vois, cela rentre bien avec un bon lubrifiant. Elle me retourne alors d'un seul coup sur le dos, bloquant en même temps l'objet en moi. Je ne suis pas insensible à son action et cela se voit. - Oh, mais tu as l'air d'aimer ça dis-moi. Ses mains gantées s'emparent de mes tétons et les triture fortement. - Bon quelques pinces à linge en bois maintenant, rien de mieux pour entretenir ton état. Elle commence par mes seins, puis mes bourses, suivent les cuisses, le ventre. Je pense qu'elle ne s'arrête que lorsque toutes ont été placées. Je sens alors le martinet se promener sur moi, faisant bouger les pinces, c'est diabolique. Je pense que mon érection est maximale à ce moment là. - Mais cela t'excite mon salaud, tu aimes ça, eh bien, tu vas en profiter, je vais te laisser un bon moment avec. Pendant quelques secondes, sa main gantée glisse sous la culotte, s'empare de ma verge et me lâche au moment ou la pression monte. - Gardes tes forces pour tout à l'heure. Je reviendrai plus tard, je vais voir ma copine. Qui sait, peut-être je lui parlerai de ce que j'ai fait de toi... Elle s'en va, et la voiture s'éloigne du chalet, me voilà seul et sous la torture des pinces qui se font sentir partout sur mon corps. Combien de temps cette situation a durée ? Le fait est que les pinces agissent et j'aimerai bien qu'on me les enlève. Enfin une voiture s'approche, quelques instants plus tard, la porte de la chambre s'ouvre. - Alors comment as-tu passé cette heure qui vient de s'écouler ? C'est bien la femme de ménage, elle a remis les gants de caoutchouc et se promène à nouveau sur mon corps, quelques pinces tombent, à chaque fois je sens l'afflux de sang et cela provoque un grognement de ma part. - Je vais t'en enlever quelques unes de plus, mais avec le martinet, tu vas voir, tu vas apprécier... Effectivement, elle se met au travail et de nombreuses pinces sautent, me faisant sursauter à chaque fois. Cela produit aussi un autre effet dont-elle ne peut pas ne pas voir. - Mais tu aimes ça, tu es vraiment maso. Ses mains, nues cette fois, baissent ma culotte, s'emparent de ma verge et lentement font des va-et-vient. C'est à ce moment là que je reçois de nouveaux coups de martinet. Elle n'a pas trois mains !!! Il y a donc quelqu'un avec elle, une personne qui ne parle pas, mais qui m'a pris en main !!! Cette personne s'allonge sur moi tête bêche, elle est nue de toute évidence et je sens des sangles se serrer et nous lier ainsi l'un à l'autre. De toute évidence, nous sommes collés l'un à l'autre, je ne sens pas ses bras ni ses mains, ce qui laisse supposer qu'elle les a maintenant liées dans son dos. Sa bouche est contre ma verge et tout à coup m'avale littéralement. - Mais c'est bien comme ça, je vais vous laisser une petite heure, vous pourrez profiter de ce contact. Allez, vides-le pour voir si tu peux et pas de saletés donc débrouilles-toi. Ma " partenaire " se remet à l'œuvre et en quelques secondes arrive à ses fins. - Bien, je vous laisse, tu peux recommencer si tu veux dans quelques minutes, tiens prend ça dans tes mains,cela pourra te servir. Elle s'en va et à nouveau repart du chalet. Ma partenaire d'infortune a reposé sa tête sur mon bas ventre, mais quelques minutes plus tard ,sa langue commence à se mettre en action et me redonne de la vigueur. Se soulevant légèrement; je suis à nouveau avalé et ne peux résister à ses attentes. La scène va se reproduire, elle est vraiment insatiable, et jouit plusieurs fois. Quant à moi, je m'épuise à ce jeu et ai du mal à répondre à ses attentes. Une vibration se fait en moi, mon plug vibre, elle lui a mis la télécommande dans les mains, et elle essaye ainsi de me réactiver. C'est ainsi que va nous trouver la femme de ménage à son retour. - Vous avez l'air ramolli complètement, il est bientôt dix neuf heures, il faut partir, on va tout remettre en place. Elle détache alors ma partenaire et remet la culotte en place et la couverture sur moi, puis les sangles comme elle m'a trouvé. - Je vais t'enlever le bâillon, surtout pas un mot à qui que ce soit de notre passage, bien compris ? Je fais oui de la tête et elle m'ôte le bâillon. Quelques instants plus tard, elles sont prêtes à partir. - Allez, fais-lui un petit câlin avant de partir, tu en as bien profité, non ? Ma compagne d'après-midi posant une main sur ma verge à travers la couverture, m'embrasse alors longuement, jusqu'à ce que j'ai montré par une nouvelle raideur que j'avais apprécié la situation. - On s'en va, la maison est fermée, elles ne rentreront pas avant plusieurs heures encore, mais tu aimes-ça n'est-ce-pas ? Bonne soirée et qui sait, à une autre fois ? Elles repartent me laissant dans ma méditation avec toujours le plug enfoncé en moi. Je finis par m'endormir et c'est le bruit de la voiture d'Aline qui me réveille. Elle ouvre et entre dans la chambre. - Alors, tu es toujours là ? Mais tu n'as pas bougé du tout, c'est bien. Il est très tard, je n'ai pas le courage de te changer de position, on verra demain matin, bonne nuit. Elle sort de la chambre et me laisse ainsi. L'activité de la journée ,malgré mon immobilité a été intense et finalement je m'endors moi aussi. Dimanche matin... Des bruits dans la maison me font comprendre qu'elles sont levées, personne ne vient me voir, et je me demande si elles vont me laisser ici encore longtemps. Enfin la voix d'Aline se fait entendre. - Il est 8 heures, tu as bien dormi, tu es reposé, couché depuis hier, mais peut-être tu as envie de passer à la salle de bains, je vais te détacher. Elle me libère, et sans me faire prier file directement à la salle de bains, réussissant à lui cacher le plug qui est en moi. J'ouvre la douche et m'y glisse dessous, appréciant vivement cet instant. Les marques des cordes sont encore présentes, Aline tout à coup m'appelle et m'ordonne de descendre nu. Je m'empresse de m'essuyer et descend à la cuisine. Elles sont la toutes deux, Aline en survêtement et Mireille avec un body et une cagoule de latex rouge, des bracelets de cuir aux poignets et chevilles. - Allez, tu déjeunes et ensuite on va décider de la journée, il fait beau nous allons en profiter pleinement avec Mireille. J'en conclus que pour moi, cela va être encore une journée de privations. Sur la table de la cuisine, deux sacs à dos sont prêts, n'attendant que les filles pour une promenade, pour la journée semble-t-il. A peine le déjeuner terminé, je suis rejoint par Mireille qui porte un carton. Elle pose celui-ci sur la table et commence à en sortir plusieurs choses, en premier une culotte de plastique, un collant noir opaque et un body raz-le-cou à manches longues qu'elle me tend. - enfiles-les le temps que je vide le carton, Aline arrive. Je les prends et pendant que je les enfile, elle sort des bracelets, diverses chaines, une boite de cadenas et une autre contenant des maillons rapides à vis (attache rapide). Elle passe derrière moi et remonte la fermeture dans mon dos jusqu'au cou. Un " clic " me fait comprendre qu'elle a fixé l'anneau de la fermeture du body à un anneau du collier avec un petit cadenas. Puis le bâillon anneau vient prendre sa place et Mireille le fixe solidement. - Comme ça, tu ne pourras pas l'enlever, si tu étais libre de tes mouvements, mais cela ne sera pas le cas. Mireille repart et monte à l'étage, Aline arrive alors, elle est en tenue de montagnarde, elle entreprend de me poser les bracelets aux poignets et chevilles, les condamnant avec des cadenas. Elle prend une longue chaine et fixe une extrémité à l'anneau du collier devant mon cou avec un maillon, fait descendre la chaine jusqu'à ma poitrine, l'entoure et à l'aide d'un nouveau maillon la fixe sans laisser de jeu, puis recommence autour de la taille. Elle passe l'extrémité de la chaine entre mes cuisses et la remonte en la tendant. Trois nouveaux maillons lui permettent de la fixer à la taille, sous la poitrine et à un anneau du collier derrière mon cou, ce qui constitue un début de réseau de chaines. Elle tire sur la chaine, s'assure qu'elle est bien tendue, ensuite à l'aide d'une petite clé à molette, elle serre les dispositifs de vissage de chaque anneau les rendant impossibles à ouvrir sans un outil. Elle passe aux jambes, et recommence un maillage serré en partant des pieds, chevilles. mi-tibias, sous et au-dessus des genoux, puis à mi-cuisses, et une dernière au niveau du bas-ventre. Ces chaines sont reliées entre elles par une autre chaine attachée devant à celle de la taille et par son équivalent à l'arrière. Les maillons servent pour les liaisons, bloqués méthodiquement l'un après l'autre. Seuls mes bras sont encore libres, mais pas pour longtemps, deux maillons passés dans les anneaux des bracelets sont fixés à la chaine du bas-ventre au niveau des cuisses, puis des chaines plus courtes bloquent les bras le long du corps. Aline prend une nouvelle chaine, elle attache une extrémité à la cheville droite, puis la fait remonter le long de ma jambe jusqu'à l'épaule, un maillon la fixe, puis à l'aide d'autres maillons, elle relie tous les anneaux transversaux à cette chaine. Elle fait une boucle large autour de mon cou, bloquée avec un maillon et redescend sur le coté opposé en faisant les mêmes opérations, terminant en passant l'extrémité sous mes pieds et l'attache à l'autre extrémité de la même chaine près de ma cheville droite.. Cette fois, je suis comme dans une cage métallique souple. - Te voilà bien enchainé, encore deux chaines verticales au niveau de tes tétons et ce sera parfait. Un quart d'heure plus tard, je suis entièrement pris dans une cage métallique qui colle parfaitement à mon corps, Aline vérifie le serrage de tous les maillons avec sa clé, en les bloquant un à un de toutes ses forces. - Bon, que vas-t-on faire de toi maintenant ? Aline se tourne et voyant une poutre transversale, près de l'escalier, pas loin de moi, semble avoir fait son choix. - Je te soutiens, sautille jusque sous la poutre, allez avance. Lentement je sautille et me déplace de quelques mètres. - Parfait, ne bouges plus. Aline va chercher deux nouvelles chaines et les passe sur la poutre, les pans tombent sur moi. - C'est bon, je vais te relier maintenant, avant je vais te faire mettre sur ce dictionnaire. Approchant un tabouret du bar contre moi, elle me fait poser mes fesses dessus et glisse alors sous mes pieds le dictionnaire qui me surhausse de quelques centimètres. Aline me fait mettre debout dessus et revient près des chaines, ayant pris au passage quatre cadenas. - Allez, mets-toi sur la pointe des pieds. J'obéis, bien que l'équilibre soit précaire, elle fixe les deux pans de la première chaine latéralement aux chaines verticales en la tendant au maximum, puis fixe les deux pans de l'autre chaine à l'anneau horizontal qui se trouve au niveau de ma poitrine. Aline vérifie la tension des chaines et s'appuyant contre moi, me déstabilise et d'un coup de pied fait glisser le dictionnaire. Je me retrouve pendu, les pieds à quelques centimètres du sol. - Eh bien voilà, c'est parfait, tu ne peux plus rien faire, si il reste encore quelque chose, mais tout à l'heure. Elle appelle alors Mireille, lui disant qu'il est 9h30 et qu'elles vont partir. Celle-ci descend, vêtue comme Aline, avec la différence que ses poignets sont toujours équipés des bracelets et son cou porte un lourd collier de cuir avec plusieurs anneaux. - Nous allons prendre le chemin derrière la maison et suivre le GR, si tout va bien, nous rentrerons vers 16h00, viens ici, mets ton sac sur le dos, mais avant ramasse tout ce qui est sur la table et va le porter dans la benne à ordures. Mireille s'exécute et un quart d'heure plus tard revient et s'équipe de son sac. Aline vient et me fixe le bandeau m'isolant totalement, suspendu dans l'air. - Jusqu'à ce soir, j'ai peur que tu prennes froid, je vais y remédier, nous avons le gros rouleau de film plastique, je serai plus tranquille. Je sens tout à coup qu'elle déroule autour de moi le film plastique, en quelques minutes je suis entièrement enveloppé par dessus les chaines, cela m'immobilise encore plus, des pieds au cou, seule ma tête est épargnée. - Bon, c'est parfait, allons-y partons. J'entends la porte claquer et la clé tourner dans la serrure, me voilà seul pour plusieurs heures, la position n'est pas trop dure, les chaines sont bien équilibrées et me soutiennent totalement. Seule la notion du temps qui passe va m'occuper, pour l'instant le chant des oiseaux en ce début de matinée est présent. Aucun autre bruit ne parvient au chalet isolé des autres habitations de plusieurs centaines de mètres. J'entends le clocher du village sonner les heures, 10 puis 11 et maintenant midi j'ai l'impression d'être prisonnier depuis longtemps, et ce n'est pas fini. Un bruit me fait sursauter, la clé dans la serrure, quelqu'un rentre dans la maison, les filles ont sans doute décidé d'écourter leur promenade. Ce qui me paraît bizarre, c'est qu'elles ne font aucun bruit, pensent-elles que je dors ? Tout à coup, je sens des mains me toucher, mes tétons sont pincés à travers le plastique, puis les mains se portent sur mes fesses et parfois sur mon sexe. Qui-est-ce, Aline ou Mireille, je ne le sais pas, ce qui est sur c'est qu'elle a décidé de me mettre en émoi. Tout à coup, je sens qu'elle découpe le plastique autour de mon ventre, écarte le body, baisse le collant et la culotte, libère ma verge qui est aussitôt prise en main. En quelques secondes, je suis en érection. Les mains abandonnent leur action pour se reporter sur mes tétons et mes fesses, ce qui me maintient en émoi. Puis plus rien, est-elle allé faire quelque chose dans la maison ? Toujours aucun bruit ne me parvient. C'est à ce moment-là que je suis littéralement avalé, la bouche qui m'enveloppe est active et vorace, s'écarte lorsqu'elle sent que je risque de me lâcher. L'expérience va durer un très long moment, jusque à mon éjaculation. Elle reprend son action et me nettoie minutieusement, puis je sens qu'elle découpe le plastique me libérant de celui-ci. Aussitôt, j'entends le rouleau de film plastique et son contact sur moi, elle m'enveloppe à nouveau entièrement, tout en tendant le plastique au maximum, et en posant plusieurs couches, des pieds aux épaules. Me voilà encore plus emballé, puis plus rien, si ce n'est le bruit de la clé qui tourne dans la serrure. Je suis seul à nouveau semble-t-il dans la maison. Qui est venue me traiter de la sorte ? J'avoue que cela m'intrigue, la seule autre personne disposant de la clé est à ma connaissance la femme de ménage. Serait-elle venue en douce ? 17h ont sonné quand j'entends cette fois Aline et Mireille revenir de leur promenade. Sans se préoccuper de moi, elles vont et viennent dans le chalet. Aline fait remarquer qu'elles sont en retard et qu'elles doivent se dépêcher de partir, Mireille est chargée de préparer les affaires et de les mettre dans la voiture, Aline demande à Mireille : - Je ne trouves plus la clé pour défaire les anneaux des chaines, tu l'as prise ? Non réponds Mireille. Aline reprends : - Mais elle était sur la table dans le plastique. C'est à ce moment que Mireille dit: - Le plastique, mais il y avait des saletés, je l'ai jeté avec le reste des ordures dans le container métallique. Aline dit alors: - Il est impossible de récupérer le sac, on ne peut pas ouvrir la trappe du container, et il n'y a pas d'outils ici, il ne nous reste plus qu'à le ramener attaché, on le libèrera à la maison. Viens m'aider à le mettre dans la voiture. Elles viennent près de moi, me mettent le dictionnaire sous les pieds et détachent les chaines qui me suspendent, puis me soutenant chacune d'un coté, elles me font sautiller et lentement je suis conduit à la voiture au garage, et installé sur le siège arrière. Elles me mettent la ceinture qui me maintient droit sur le siège. Aline dit : - Eh bien, tu vas être satisfait, tu es attaché encore pour un certain temps. Elles s'affairent encore un moment et nous voilà partis pour rejoindre la maison. Le trajet de retour se passe sans problème. Enfin la voiture s'arrête, je ne sais pas ou nous somme, Aline se manifeste alors. - Il est tard, on va te faire rentrer chez toi, on verra pour la suite. Je n'en sais pas plus, Aline et Mireille comme au chalet, me font sautiller pour entrer dans la maison, elles me guident chacune d'un coté et me font coucher sur le canapé. C'est à ce moment la que le portable d'Aline sonne, elle est dans la cuisine vraisemblablement. Elle parle quelques secondes, puis revient dans le séjour en disant. - Je dois partir, on m'attend, Mireille, tu viens avec moi, Marc ne risque rien, on va le laisser, on reviendra le détacher plus tard. Je les entends encore quelques instants et la porte se ferme, elles m'ont laissé sans rien me dire de plus que ce que j'ai entendu. Le temps passe, rien ne se passe et je finis par m'endormir ainsi sur le canapé. Je me réveille enfin, quelle heure peut-il être ? Je n'en ai aucune idée, je suis toujours aveuglé et rien ne filtre à travers le bandeau. Tout à coup le téléphone sonne, bascule sur le répondeur, je reconnais aussitôt la voix d'Aline : Lundi matin... Bonjour Marc, tu as bien dormi, il est neuf heures, on n'a pas eu le courage de revenir hier au soir, nous sommes au travail et avons de nombreux rendez-vous, aussi j'ai demandé à Anna de venir te libérer, elle m'a dit qu'elle viendrai dès que possible. Ne t'impatientes pas trop ! Je t'embrasse.
Déesse Sonia
Avant d'entrer dans le vif du sujet, je me présente, David, 1m80, assez mince, le physique d'un coureur de fond, châtain aux yeux marron. Ma compagne se prénomme Marjorie, 1m70, mince mais à la poitrine et au fessier généreux. Sa chevelure rousse flamboyante la distingue entre toutes dans la foule. Ses yeux vert clair contrastent subtilement avec la teinte de sa chevelure. Marjorie et moi sommes en couple depuis 2 ans. Nous nous sommes rencontrés lors d'une soirée chez des amis et le courant est passé de suite entre nous. Nous avons gardé le contact et nous nous sommes revus régulièrement. Rapidement, elle a emménagé chez moi dans une maison de campagne au calme dans un écrin de verdure. Elle avait gardé son appartement au centre de la ville voisine. Cela avait l'avantage de la rassurer dans les premiers temps de notre relation. L'inconvénient de cette situation était la difficulté à se projeter à deux dans un logement, cet appartement pouvant servir de refuge à la moindre crise entre nous. C'est pourquoi nous avons commencé des travaux dans la maison pour y apporter la touche personnelle de Marjorie et qu'elle s'y sente ainsi chez elle. La salle de bain était le premier chantier qui touchait à sa fin. J'avais aussi décidé d'aménager les combles pour lui créer un espace à elle, notamment pour le télétravail. Le gros œuvre était réalisé et il ne restait qu'à choisir les peintures et le revêtement de sol. Un soir en rentrant du travail, je trouve sa valise et quelques cartons dans l'entrée. Je comprends aussitôt qu'un malheur est proche. Marjorie m'attend dans le salon, le visage fermé, assez distante. Elle m'annonce alors qu'elle a rencontré quelqu'un et qu'elle retourne vivre dans son appartement. Elle passera récupérer le reste de ses affaires dans les jours à venir car tout ne tient pas dans sa voiture. Je suis abasourdi et je reste planté au milieu du salon, la voyant faire des allers-retours pour charger sa voiture. Les jours qui suivent, je ne suis que l'ombre de moi-même. Ma meilleure amie Nina prend régulièrement de mes nouvelles, ce qui est réconfortant. Nous nous connaissons depuis longtemps et elle sait me remonter le moral de par notre complicité. Nos anniversaires étant proches, elle me propose d'organiser une soirée commune pour fêter les deux évènements avec nos amis. Mon avis sur cette proposition demeure mitigé : ce serait la première soirée avec nos amis sans Marjorie mais d'un autre côté, revoir tous nos proches serait l'occasion d'avancer et de me remonter le moral. Rendez-vous est pris le dimanche après-midi pour lancer l'organisation de cette fête et envoyer les invitations. Nina arrive le dimanche vers 14h00 comme prévu. Elle porte une petite robe bleue à fleurs pour profiter de ces premiers jours ensoleillés du mois de mai. Nina est très sportive et cette robe met en valeur sa fine silhouette et ses jambes élancées. Le blond de ses cheveux raides coupés au carré contraste merveilleusement avec le bleu marine de sa robe. Ses yeux bleu azur m'ont toujours subjugué par leur transparence. Je me rends compte que c'est l'une des rares fois où je la vois aussi féminine, elle qui a parfois une attitude de garçon manqué, un brin geek sur les bords. Son décolleté laisse apparaître ses jolis seins en forme de poires. Mon regard s'y perd un instant et j'espère qu'elle ne l'a pas remarqué. Je lui fais la bise et je sens alors son parfum léger et floral. Juste avant son arrivée, j'étais en train de finir de réparer une fuite sur le robinet de douche de la salle de bain. Je lui demande de surveiller si la réparation est correcte pendant que je rouvre l'arrivée d'eau principale de la maison. Une fois descendu dans la trappe du compteur d'eau, au moment où j'ouvre la vanne, j'entends Nina pousser un cri. J'accoure jusqu'à la salle de bain et je la trouve dans la douche complètement mouillée. Je n'ai pas pensé à refermer le robinet après avoir changé le joint et la douchette l'a arrosée de la tête aux pieds. Elle me regarde en souriant et je constate ma chance d'avoir une amie aussi bienveillante à l'égard de mes bêtises. Je lui propose d'aller chercher dans les affaires que Marjorie n'a pas encore récupérées si elle trouve quelque chose à sa taille, le temps que sa robe sèche. Marjorie est plus grande et possède des formes plus généreuses que Nina mais cela devrait aller pour une après-midi entre amis dans le jardin. Je l'attends sur la terrasse pendant qu'elle se change dans ma chambre. Je commence à dresser la liste des invités lorsqu'elle arrive en petite jupe bleu jean et portant un haut blanc ample. Je lui demande si tout s'est bien passé et elle me répond par un petit oui, comme perdue dans ses pensées. Les préparatifs de la soirée d'anniversaire avancent bien et elle me propose soudain : - Qu'est-ce que tu dirais d'une soirée à thème ? - Pourquoi pas, ça peut être amusant. Tu as déjà une idée en tête ? lui demandai-je. - Une soirée sur le thème des super-héros ? - Je reconnais bien ton côté un peu geek ! lui lançai-je volontairement provocateur. - C'est l'hôpital qui se fout de la charité ! - Je te l'accorde, un point partout... Quelle super-héroïne tu voudrais incarner ? - Ce serait bien qu'on forme un duo célèbre, pour qu'on soit connecté le temps de la soirée. - Par exemple ? - Je ne sais pas, laisse-moi réfléchir... Genre Batman et Catwoman ? - Je suis persuadé que ce rôle t'irait très bien, tu es fine, sportive et élancée. Mais pour moi, j'ai un petit doute... Je suis assez mince alors il va me manquer un peu de muscle pour jouer ce rôle... - On s'en fout, c'est juste pour la soirée. Fais pas ton rabat joie... - Ok, ok, allons-y pour ces rôles si ça te plait. - Donc il nous faudrait les tenues adéquates pour la soirée. Tu as quelque chose qui pourrait faire l'affaire ? - Pas sûr d'avoir ce qu'il faut, mais on peut louer un déguisement. - Tu n'as pas un haut moulant et un legging noirs ? - Non, non... J'ai beau réfléchir, je n'ai pas ça en stock. - Ou une combinaison en latex noir, sait-on jamais... me dit-elle en rigolant et en me faisant un clin d'œil. Je garde le silence un instant, me demandant si elle plaisante ou si elle a vu la fameuse combinaison dont elle parle dans ma penderie tout à l'heure. Je tente d'en savoir plus en bluffant : - Tu penses vraiment que j'ai ce genre de vêtements ? lui répondis-je tout en levant les yeux au ciel - Hum, bah comment dire... oui... En allant me changer dans le dressing de ta chambre, je cherchais des vêtements à ma taille dans les affaires de Marjorie. Je passais au crible les affaires sur les cintres de la penderie et au fond du dressing, j'ai commencé à voir des tenues un peu...sexy. Tu vois de quoi je parle ? - Oui... Je vois bien... murmurai-je un peu gêné. - J'ai d'abord remarqué les deux robes en vinyle, puis la robe de soubrette en latex et enfin la combinaison intégrale en latex noir avec la paire de cuissardes posée en-dessous. Très... chaud comme tenue ! Je suis désolée, je ne voulais pas m'immiscer dans votre vie privée, me répond-elle, le regard fuyant. - Non, ce n'est pas de ta faute, j'aurais dû y penser avant de t'envoyer dans le dressing. De toute façon, j'aurais aussi dû ranger les affaires de Marjorie dans des cartons depuis plusieurs semaines maintenant. - J'ai vu un peu plus que les affaires de Marjorie... poursuit-elle tout bas. - Tu as aussi vu mes tenues. Du moins, c'est ce que j'en déduis d'après ta remarque sur le déguisement de Batman. C'est bien ça ? - Oui, à la taille, j'ai compris que la deuxième combinaison en latex noir était la tienne et j'ai aussi vu les différents harnais en cuir. - C'est pas bien grave, tu viens de découvrir une face cachée de ma personnalité, que personne à part Marjorie ne connaît. Si tu peux le garder pour toi, ça m'arrangerait hein ! Ajoutai-je en lui faisant un clin d'œil. - Oui, oui, bien sûr... Répondit-elle aussitôt, le regard toujours tourné pour ne pas me faire face. - Tu veux qu'on en parle ? Pour "désamorcer" la situation ? Je te sens gênée... - Je veux bien oui, et j'avoue que ça m'intrigue aussi... Donc tu es... fétichiste, c'est bien ça ? - Oui, on peut dire ça comme ça. A la base, c'est Marjorie qui portait des tenues en vinyle, en cuir ou en latex, et ça m'a beaucoup plu. De fil en aiguille, on a fini par s'acheter des tenues plus élaborées pour nous deux. C'est ce que tu as vu dans le dressing. - Et vous faisiez l'amour comme ça à chaque fois ? - Non, non, pas à chaque fois, c'était juste pour pimenter notre vie de couple. - D'accord... Et vous étiez aussi dans... le SM ? demanda-t-elle sur un ton hésitant - Oui, ça arrivait également. - Je dois t'avouer qu'en cherchant des vêtements secs dans les tiroirs, je suis tombée sur vos jouets... - Donc en fait, tu sais déjà tout ! lui répondis-je en souriant - En partie oui... Vous avez une belle collection d'accessoires... - On se faisait régulièrement des surprises avec de nouveaux jouets, donc on a rapidement eu un large éventail d'objets. - Et tu dominais Marjorie ou vous alterniez ? - En fait, dans ma sexualité, je ne me sens pas à l'aise en tant que dominant, ou plutôt je ne trouve pas mon plaisir dans ce rôle. En revanche, Marjorie adorait me dominer, ça l'excitait au plus haut point. Son excitation alimentait la mienne en retour et cela m'a amené à aimer être son soumis. - Je comprends, je comprends... Je dois t'avouer que je t'imaginais plutôt dominant au lit, ça me fait tout drôle d'apprendre ça. - Dans les relations humaines, et surtout la sexualité, ce qui plaît à chacun est parfois un peu imprévisible... De la même façon que tu n'imagines pas cela de moi, je serais bien incapable de dire ce qui t'attire dans la sexualité. Je me rends compte qu'on est amis depuis plus de dix ans et qu'on n'a jamais partagé nos petits jardins secrets. - Oui, c'est la conclusion à laquelle j'arrive également. Mais tu sais, mon côté un peu geek m'amène souvent à des relations avec des hommes éduqués au sexe davantage par les pornos sur le net que par l'expérience, alors ce n'est pas forcément épanouissant... Dès que tu t'écartes de la femme-objet du porno, ils sont tout perdus et cela leur déplait. - Tu ne m'avais jamais dit tout ça auparavant. J'avais bien rencontré quelques petits copains que tu m'avais présentés, mais c'est vrai que ça n'a jamais vraiment duré longtemps. - Exactement... Si tu as le malheur de leur mettre une petite fessée, c'est fini, on arrête tout. Ils partent en courant ! - Une fessée ??? Mais c'est que tu me caches aussi des choses, lui dis-je en rigolant. - Ah, ah... démasquée à mon tour... me répondit-elle en souriant aussi. Je dois avouer que la tenue de Catwoman que j'ai proposée tout à l'heure, c'est aussi parce que c'est l'un de mes gros fantasmes... - Ça va comme fantasme, ce n'est pas trop extrême non plus ! - Oui... Et non... Avec la tenue, j'ai aussi envie de dominer un homme, parfois avec des désirs un peu particuliers, plus SM, on va dire... - Il y a plein d'hommes qui aiment les femmes dominatrices, aucun mal à cela. - C'est vrai, mais difficile d'avoir la confiance suffisante lorsqu'on débute... - C'est valable pour tout le monde tu sais, il faut bien commencer un jour ! - Oui, je sais bien, mais c'est juste que je n'ai pas osé franchir le pas. Certains objets dans ton dressing, je ne connais même pas leur utilité... alors je me vois mal dominer quelqu'un et lui demander comment faire, me confesse-t-elle - Je vois... Tu veux que je te montre mes jouets et que je réponde à tes interrogations ? Juste la théorie hein ! - Sérieux ? - Oui, oui, si ça peut t'aider à franchir le cap. - Génial ! On y va ? Nous voilà partis pour le dressing où je commence à ouvrir les fameux tiroirs un par un, lui montrant les différents objets et leur utilisation si elle a des questions à leur sujet. Son ingénuité m'apparaît rapidement comme une façade et je comprends bien qu'elle a déjà écumé de nombreux sites spécialisés pour se documenter. La petite coquine ! Le premier tiroir contient les éléments pour immobiliser et attacher : des menottes en cuir, des barres d'écartement et un collier avec une laisse en cuir. Les explications sont brèves, leur utilisation est évidente. Le deuxième tiroir renferme une cagoule et différents modèles de baillons : avec un anneau pour maintenir la bouche grande ouverte, ou au contraire avec une boule, un autre avec un petit pénis à mettre dans la bouche, ou encore un dernier avec un double pénis pour mettre dans la bouche d'un côté et donner du plaisir à sa partenaire de l'autre. Je sens alors un intérêt particulier de Nina pour ces derniers. Le troisième tiroir cache les jouets davantage typés SM : des pinces métalliques pour les seins, un martinet, un ballstretcher en cuir qui sépare aussi les testicules par une lanière en cuir. Enfin, un petit fouet en cuir noir et rouge enroulé sur lui-même complète l'équipement. Elle se précipite dessus en le voyant comme une enfant dans un magasin de jouets : - J'adore ! Dis, je peux l'essayer ? - Oui, si tu veux. Tu peux prendre un oreiller sur le lit pour t'entraîner à viser. Mais il faut faire attention au retour du cracker, ça peut faire très mal. Je te montre un petit peu avant ? - Oui, vas-y, montre-moi comment le manier ! Après quelques coups, elle me prend littéralement le fouet des mains pour l'essayer à son tour. Sa dextérité me laisse perplexe sur le fait qu'elle n'a jamais essayé auparavant tellement elle progresse vite. Au bout d'un moment, elle semble rassasiée et nous reprenons l'exploration des jouets avec le dernier tiroir plus "phallique" celui-ci. Les godes qu'il contient sont variés : réalistes ou lisses, avec ou sans couilles, allant du plus petit, vibrant et de la taille d'un doigt, jusqu'au plus gros, réaliste avec des couilles, d'une taille proche de 25 cm et de 5 cm de diamètre. Nina a les yeux écarquillés en voyant cette collection de godes. - Marjorie jouait avec tout ça ? - Euh oui, certains lui plaisaient plus que d'autres. Au fur et à mesure des achats, on a fini par avoir nos préférés. - "On" ??? Tu veux dire que toi aussi tu... ? - Bah... Comment dire... Euh... Marjorie me prenait avec son gode-ceinture si c'est ta question... - Oui, c'était bien ma question... Elle avait un harnais ? - Oui, c'est le harnais en cuir noir qui est là. Il se noue autour du bassin et les deux autres petites sangles passent entre les jambes pour maintenir le harnais bien serré contre toi. Sur le devant, tu peux choisir entre différents anneaux en métal selon la taille du gode que tu veux utiliser. - Hmm, j'adore aussi ce harnais... Tu as de beaux joujoux dis donc ! Et... tu as déjà essayé lesquels... ? - Tu veux dire quels godes ? - Oui... - En fait, tous... Nina me regarde surprise : - Même le gros là ? - Surtout le gros... C'était le préféré de Marjorie. Plus c'était gros, plus ça lui plaisait et on va dire qu'elle "m'entraînait" à recevoir plus gros à chaque fois. - Je ne pensais pas que tu pouvais te prendre ça dans le cul. Pardonne-moi, je commence à parler crûment devant tant de godes ! - C'est pas grave, au moins je vois que tu es passionnée par le sujet, ajoutais-je en souriant. Je crois que tu as tout vu au niveau des jouets. Tu as d'autres questions ? - Et au niveau des tenues ? reprit-elle toujours intriguée. - Je pensais que tu les avais déjà regardées tout à l'heure, mais on peut y revenir si tu veux. - Oui, j'aimerais bien les voir de plus près. Je les ai juste aperçues, je n'ai pas fouillé. Je sors alors les robes en vinyle de Marjorie pour les montrer à Nina, puis je lui présente mes harnais en cuir pour le corps et pour le torse. A mon étonnement, peu de réactions de la part de Nina qui reste à fixer le fond de la penderie. Je décroche alors les deux combinaisons en latex, véritables objets de sa convoitise. Son regard s'illumine et sa réaction est immédiate : - J'adore l'odeur du latex, c'est enivrant... Je peux toucher ? - Bien sûr, c'est pour ça que je te les tends. - C'est si doux, ça conforte mon fantasme... J'aimerais trop en avoir une à moi mais c'est pas donné ! - C'est vrai que ça coûte un peu cher, mais je dois dire que je n'ai jamais regretté mon achat. Je t'aurais bien fait essayer mais Marjorie porte des vêtements plus larges que les tiens alors tu risques de nager dedans. - Oui, oui, t'inquiète, et puis je n'aurais pas osé la porter, ce n'est pas la mienne. - Je comprends, je comprends. Et Marjorie avait aussi des cuissardes qu'elle mettait avec la combinaison. Elles sont là, sous la penderie. - Oui, la panoplie complète de la dominatrice quand elle enfilait tout ça ! - Oh oui, je confirme, combinaison et cuissardes, un vrai duo gagnant ! - Dis-donc, tu fantasmerais pas un peu sur Catwoman aussi par hasard ? Me lance-t-elle en riant - Eh eh, tu as raison, je dois l'avouer. Quand on me parle de femme dominatrice, c'est un peu l'image qui me vient immédiatement à l'esprit. - On est bien d'accord sur ce point ! Son regard repart vers la penderie où il reste la robe de soubrette en latex. - Je croyais que tu n'aimais pas dominer Marjorie ? me demande-t-elle - Oui, c'est bien le cas. Pourquoi ? - Bah cette robe, ça fait plutôt soumise ? Je marque un temps d'arrêt. Elle me fixe avant d'ajouter : - Ou alors... ça serait la tienne ? conclut-elle perplexe. - Hum, oui, dis-je un peu gêné. Dans certains jeux, elle aimait me féminiser et que je la serve dans cette robe. - Ah oui... Je ne t'imaginais pas féminisé. - Oui, bah, pourtant ça arrive parfois... répondis-je embarrassé. - Ne le prends pas mal, au contraire, tu dois aussi être sexy là-dedans. Je sens que je rougis et c'est le signal qu'il faut commencer à ranger. Nous retournons dans le jardin pour continuer les préparatifs de la fête et nous décidons d'abandonner le thème de la soirée. Trop d'excitation en perspective avec ce duo en latex ! Le week-end qui suit, Marjorie vient reprendre le reste de ses affaires. La soirée d'anniversaire commence le soir-même et cela me mine un peu le moral de l'avoir revue. Nina arrive peu après et prend en main les opérations afin que la fête commence à l'heure. Tous nos amis arrivent progressivement, la fête bat son plein et cela m'aide à recharger mes batteries. La soirée d'anniversaire prend fin tardivement et les invités repartent les uns après les autres. Comme convenu, Nina reste pour m'aider à ranger le lendemain. Elle part se coucher la première dans la chambre d'amis et je finalise le rangement du salon avant d'aller me coucher à mon tour. Le lendemain, je me lève le premier et j'attaque le ménage sans faire de bruit pour ne pas réveiller Nina. J'ai presque terminé lorsqu'elle arrive dans le salon, un grand sourire narquois aux lèvres. Je sens qu'elle prépare une vanne à mon encontre. - Je pensais te trouver en tenue de soubrette pour faire le ménage, me lance-t-elle en me faisant un clin d'œil. Ça n'a pas tardé à venir comme je l'avais pressenti : - Tu arrives trop tard, je l'ai déjà rangée à la fin du ménage. - Dommage, j'aurais bien fait tomber deux-trois trucs, juste pour voir sous ta robe quand tu te penches. - Je vois que tu es d'humeur taquine. - Oui, oui. Tiens, j'ai un petit cadeau d'anniversaire pour toi ! Elle sort un petit paquet qu'elle cachait derrière elle et vient me le donner. - Merci ! Moi aussi, j'ai un cadeau pour toi ! J'attrape la boîte que j'avais apportée sur la table et je lui tends à mon tour. - Merci à toi aussi ! Pourquoi tu ne me l'as pas donné hier avec les autres cadeaux ? - J'ai l'impression que c'est pour la même raison que toi : pas trop adapté au public ? lui demandai-je avec un petit sourire. Elle acquiesce et j'ouvre mon cadeau en premier. Je découvre alors un masque de Batman en latex moulé : - Wouah, très beau modèle ! - C'est pour compléter ta combinaison et que tu aies la panoplie complète ! Je suis touché par son cadeau et je la remercie en lui faisant la bise. Je sens alors son parfum qui m'enivre l'espace d'un instant. Elle déballe à son tour son cadeau : un long fouet en cuir noir. - C'est pour que tu puisses jouer à Catwoman ! Nina semble euphorique et elle me saute au cou pour me remercier. Sa poitrine est plaquée contre mon torse et je devine ses seins fermes. J'ai un début d'érection, je cherche un prétexte en urgence pour qu'elle me lâche afin d'éviter une situation qui va rapidement être délicate : - J'ai visiblement fait mouche avec ce cadeau. Tu ne veux pas l'essayer dehors ? Elle se dirige vers le jardin et commence immédiatement à faire virevolter le fouet au-dessus de sa tête pour se familiariser avec son nouveau jouet. Sauvé ! Elle semble ravie. Après quelques minutes, elle revient vers moi et me demande : - Tu ferais pas un petit essayage de ton masque, voir si la taille te convient ? - Ah oui, bien sûr, tu me diras si ça me va bien. Je commence alors à entrouvrir le bas du masque de mes mains pour l'enfiler mais Nina m'interrompt : - Je pensais que tu ferais un essai complet... - Tu veux dire avec la combinaison et tout ? - Combinaisons, gants, chaussures, cagoule, la tenue complète de Batman ! me dit-elle avec un sourire mutin - D'accord... répondis-je hésitant. Mais il va me falloir un peu de temps pour me préparer... - Prends tout ton temps, j'ai de quoi m'occuper, insiste-t-elle en soulevant son fouet. Je pars alors en direction de ma chambre, laissant Nina s'exercer sur la terrasse du jardin. Je me déshabille et je commence à enfiler la combinaison que j'ai enduite de silicone au préalable afin qu'elle glisse sur ma peau. Je m'habille entièrement et je me regarde dans le miroir. L'excitation est immédiate à la simple vision de la tenue complète et je me rends compte que je vais devoir patienter quelques minutes avant de rejoindre Nina, mon sexe étant à nouveau dressé dans la combinaison, ce serait maladroit de ma part. Le calme revient tout doucement à mon entrejambe et je retourne alors au jardin. Personne... Je rentre dans le salon et j'entends des bruits de talons qui proviennent du couloir menant aux chambres. J'aperçois alors Nina en tenue de Catwoman : combinaison en latex noir, gants, cuissardes en cuir vernis, masque de chat en latex et son fouet à la main. Tout y est ! Je reste bouche bée. Elle fait un tour sur elle-même et je suis subjugué de découvrir à quel point Nina est sexy. Je ne l'avais pas remarqué après toutes ses années à se cacher dans ses tenues trop larges et qui manquent de féminité. Le latex dévoile les moindres détails de son corps. Ses beaux seins dont on perçoit les tétons qui pointent sous le latex tendu, sa taille de guêpe et ses petites fesses rebondies, ses fines jambes fuselées et gainées dans ses cuissardes, et cerise sur le gâteau, ce petit pli dans le latex à l'entrejambe qui dévoile ses grandes lèvres légèrement ouvertes par la tension de la combinaison. Je tente de rester lucide. Elle me sourit tout en s'approchant de moi : - La tenue de Batman te va bien et le masque est pile à ta taille. - Merci, mais ça ne vaut pas ta tenue, tu pourrais tourner dans le prochain film de Catwoman ! - N'en fais pas trop, je vais rougir. Mais quelque chose me dit que ça te plait vraiment. - Bien sûr, si je te le dis. - Je parlais plutôt de ton sexe qui est dressé dans ta combinaison, commente-t-elle en souriant. Comme quoi c'était préférable de ne pas porter ces tenues hier soir. - Oh oui, tu as bien raison, ça aurait été obscène... Mais où as-tu trouvé cette tenue ? Lui demandais-je pour faire diversion - Je suis allé l'acheter dans un sexshop cette semaine. Je n'ai pas résisté après avoir vu tous tes jouets et tes tenues dimanche dernier. - Alors ça y est, tu réalises ton "gros" fantasme de Catwoman avec cette tenue intégrale en latex ? - Oui, et j'ai déjà fait un essai cette semaine ! J'adore la sensation de seconde peau et la chaleur qu'on ressent à l'intérieur. - C'est aussi ce qui m'a plu immédiatement avec le latex, la sensation d'être enveloppé et bien serré dans un cocon tout chaud. - Et cela provoque d'autres types de bouffées de chaleur, je peux te l'assurer, dit-elle en riant - Visiblement, tu ne regrettes pas... - Mon seul regret, c'est de ne pas être passée à l'acte plus tôt ! - Eh eh, c'est le premier pas vers la réalisation de tes fantasmes. Si tu vas en soirée fétichiste habillée comme ça, je te promets que tu vas trouver des tas d'hommes soumis à tes pieds. - Vraiment ? Tu veux dire que si on se croisait en soirée fétichiste et qu'on ne se connaissait pas, tu te mettrais à mes pieds pour que je te domine ? - Euh... j'hésite à répondre et je finis par lâcher à voix basse : - probablement oui, vu comme tu es sexy et dominatrice dans cette tenue... - Je reformule ma question... Je voulais plutôt dire : est-ce que là, tu te mettrais à mes pieds pour que je te domine ? Surpris, je fixe alors Nina dans les yeux. Son sourire s'est effacé de son visage, elle est devenue très sérieuse d'un coup. J'hésite et elle le remarque. Elle pointe alors son index vers le sol, désignant l'emplacement entre ses pieds pour m'inciter à dépasser mon doute. Je finis par céder et je m'agenouille devant elle. Je reçois soudain une gifle, plus vexante que douloureuse : - Il t'en a fallu du temps pour te mettre à mes pieds. Maintenant lèche mes bottes ! m'ordonne-t-elle d'un ton plein d'assurance que je ne lui connaissais pas. Je lui obéis alors, baissant la tête vers la pointe de sa cuissarde. Ma langue commence à lécher le bout de son pied et je remonte progressivement vers la cheville. Je sens la chaleur de sa jambe à travers le cuir de sa botte. Je réitère l'opération à plusieurs reprises le temps d'avoir léché tout son pied. - C'est ça, lèche bien tout mon pied. Et occupe-toi de mon talon aussi... En même temps qu'elle prononce ces mots, elle soulève son pied vers mon visage et me tend son talon. Je prends la pointe du talon en bouche et mes lèvres avancent lentement le long de la tige noire. - Suce bien jusqu'au bout, je sais que tu as déjà sucé plus gros que ça. J'avale tout son talon, jusqu'à ce que ma bouche vienne en butée contre la semelle de sa botte. - Bien ! Passe à l'autre pied maintenant ! Je change de botte et je recommence à lécher lentement le cuir. Tout le pied est méticuleusement parcouru par ma langue, de la pointe jusqu'à la cheville, très lentement. Son pied se soulève et je comprends le message sans même qu'elle ait besoin de me parler. Je suce son talon comme déjà fait quelques minutes plus tôt. Une fois le talon complètement en bouche, je sens sa jambe se soulever et le talon ressort lentement d'entre mes lèvres serrées autour de lui. Elle repose alors le pied au sol provoquant un léger claquement. - Passons aux choses sérieuses à présent... me susurre-t-elle à l'oreille. Tu as titillé ma curiosité en me montrant tous tes accessoires dimanche dernier, j'ai envie de les essayer maintenant. Le sourire est revenu sur son visage, ce qui ne lui enlève en rien son autorité sur moi. - Lève-toi, on va aller dans ta chambre pour avoir accès à tous tes joujoux. Je me relève et je me tiens face à elle. Perchée sur ses hauts talons, elle me dépasse légèrement, me toisant de son regard. - Tourne-toi pour que j'ai accès à la fermeture éclair entre tes jambes. Elle saisit alors le premier curseur de la fermeture éclair et le fait coulisser de mes reins vers mon sexe. Elle s'arrête juste au-dessus de mes couilles ainsi libérées mais elle laisse mon sexe prisonnier dans le latex. Elle enroule alors le bout de son fouet autour de mes couilles et le resserre progressivement. Je sens la pression qui s'intensifie progressivement sur mes bourses à chaque tour supplémentaire qu'elle réalise. De son autre main, elle saisit coulisser le second curseur dans mon dos pour refermer la combinaison de mes reins jusqu'en-dessous de mes couilles. Ces dernières ressortent maintenant du latex, bloquées entre les deux curseurs de la fermeture éclair. Le fouet reste enroulé autour de mes bourses tel une laisse. - Tu vas être un gentil soumis et tu vas me suivre jusqu'à la chambre comme ça. Elle donne une petite impulsion sur le fouet pour me faire avancer. Je la suis et à mesure qu'elle progresse dans le couloir, je sens la traction augmenter le long du fouet qu'elle tire lentement par-dessus son épaule pour que je ressente son autorité. Une fois dans la chambre, elle me fait signe de me mettre sur le lit : - Mets-toi à quatre pattes et attends-moi là sans bouger. Elle se dirige vers le dressing et je l'entends farfouiller dans les tiroirs. A son retour, elle défait le fouet et saisit mes couilles d'une main pour les étirer. Quelle poigne : une main de fer dans un gant de latex. Elle installe alors le ballstretcher en cuir et finit par verrouiller la sangle inférieure qui sépare mes couilles. - L'expression "tenir quelqu'un par les couilles" n'a jamais été aussi appropriée, tu ne trouves pas ? Et ça me plait beaucoup tu sais de te voir ainsi... Je sens alors sa main s'abattre sur ma fesse droite, provoquant immédiatement une chaleur intense sur ma peau. La fessée continue, variant le rythme et l'intensité, d'une main puis de l'autre. Mes fesses brûlent sous les claquements répétés et le silence revient soudain. Je sens un courant d'air frais sur mes fesses. C'est elle qui me souffle sur les fesses pour atténuer la douleur de la fessée. Je lui en suis intérieurement reconnaissant. Elle retourne dans le dressing et revient se placer derrière moi. Je sens la morsure des lanières en cuir du martinet sur mon postérieur. Elle s'affaire sur mes fesses et je lâche quelques râles de douleur. Elle poursuit sans relâche. Un dernier coup de martinet s'abat sur mes couilles emprisonnées dans le cuir. Je m'effondre à plat ventre sur le lit. - Excuse-moi, mais c'était trop tentant, ça m'excitait au plus haut point de te faire mal aux couilles ainsi présentées à moi. Ça va quand-même ? - Oui, oui, ne t'inquiète pas. Je reçois une nouvelle gifle, plus forte que la première. - J'ai mal entendu. A qui parles-tu ? - Oui Maîtresse Nina. - Je préfère ça, dit-elle arborant un large sourire limite carnassier. Comme tu as été sage, tu vas avoir le droit à une récompense ! Remets-toi à quatre pattes. Je m'imagine déjà en train de la prendre sauvagement dans sa tenue en latex. Mon sexe gonfle dans ma combinaison et cela provoque une tension encore plus forte sur mes testicules. Elle revient du dressing avec le bâillon à deux pénis. - Allez, ouvre grand la bouche ! J'obéis et elle enfile le petit gode entre mes lèvres avant de verrouiller fermement la sangle derrière ma tête. - Comme je te l'ai dit, tu as droit à une récompense : le plaisir de me faire jouir. Elle s'assoit alors sur le lit devant moi puis elle entrouvre sa combinaison à l'entrejambe. - Viens me donner du plaisir avec ton bâillon. Je m'approche de son sexe ainsi présenté et je sens déjà l'odeur de sa cyprine qui coule le long de ses grandes lèvres. - Regarde ça, même pas besoin de lubrifiant, ça m'a tellement excitée que je ruisselle déjà. Enfonce le gode maintenant... J'avance la pointe du sexe factice à l'entrée de sa chatte humide et je pousse doucement. En une seule poussée, j'insère tout le gode sans même forcer. Je commence alors des allers-retours qu'elle rythme de sa main sur ma tête. En quelques minutes seulement, je l'entends pousser un long gémissement et je comprends qu'elle est en train de jouir. Elle finit par reprendre ses esprits et repousse ma tête pour sortir le gode. Elle retourne alors dans le dressing et commence à se préparer pour sa nouvelle envie de l'instant. Je la vois apparaître à l'encablure de la porte du dressing, harnachée avec le gode-ceinture et sans surprise elle a choisi le plus gros gode avec les couilles. - Tu m'as fait jouir avec ton gode, à mon tour de te faire jouir avec ma bite. Elle commence à branler lentement le gode : - Je comprends ce que vous ressentez, vous les hommes, avec une queue entre les jambes. J'ai une sensation de pouvoir et j'ai envie de prendre tous les trous qui s'offrent à moi. Je vais te prendre ton petit trou et tu vas me remercier pour ça ! Elle se présente derrière moi et ouvre lentement le zip entre mes fesses pour donner accès à mon cul. J'entends la pompe du gel qui s'active et je sens du froid sur ma rosette. Elle force l'entrée progressivement et je comprends que c'est son doigt à la taille de l'objet introduit. Elle commence des va-et-vient puis ajoute un deuxième doigt, suivi de près par un troisième puis un quatrième. - Ma parole, c'est que tu as l'air habitué à jouer avec ton cul, vu comme il s'ouvre facilement. - Oui Maîtresse, je reçois régulièrement des godes. - Et tu as déjà pris une vraie queue ? - Non Maîtresse. - Dommage, ça m'exciterait trop de te voir prendre une queue devant moi. D'avoir deux soumis avec lesquelles jouer comme des poupées, les forcer à se sucer mutuellement, à s'enculer devant moi en guidant moi-même la queue de l'un dans le cul de l'autre... Hummm... mais c'est un autre fantasme, je m'emballe ! Je vais déjà prendre pour la première fois un cul de mec avec ma nouvelle queue et on verra le reste plus tard. Tu es prêt ? Joignant le geste à la parole, je sens le gland de sa queue élargir mon sphincter et entrer lentement mais sûrement en moi. Ses mains se placent alors sur mes hanches et Nina tire sur mon bassin pour faire entrer profondément le gode en moi. Elle commence ainsi à me prendre en levrette, de plus en plus vite, sauvagement même. Les couilles du gode viennent frapper contre les miennes, toujours emprisonnées dans leur extenseur en cuir. Je ressens le frottement du gode sur ma prostate et une chaleur intense commence à m'envahir. Je l'entends gémir à nouveau derrière moi. La situation et l'effet du harnais contre son clitoris semblent efficaces. Elle se retire lentement et je ressens mon cul qui reste grand ouvert. Ma prostate est en feu, je souhaite ardemment jouir après le traitement qu'elle m'a réservé. - Joli spectacle, tu prends de sacrés godes ma coquine ! Je ne t'ai pas entendu me remercier ??? - Merci Maîtresse Nina. - Merci pour quoi ? - Merci Maîtresse Nina de m'avoir enculé. - En voilà un bon soumis ! Pour ma première en tant que Dominatrice, je vais être gentille et je vais te laisser jouir. Mon cerveau est en ébullition, ma queue est gorgée de sang et je sens la délivrance approcher. Nina s'assoit alors sur le lit et me fait signe de venir devant elle. Je m'agenouille par terre face à elle attendant ses instructions. - Je vais te laisser te branler sur mes cuissardes et je vais compter jusqu'à 10. Si tu ne jouis pas avant que j'arrive à 10, tu n'auras pas le droit de jouir. C'est clair ? - Oui Maîtresse Nina. - Qu'est-ce qu'on dit à sa gentille Maîtresse ? - Merci Maîtresse Nina. - Un ! Elle m'a pris par surprise en commençant déjà à compter. J'ouvre la fermeture éclair de ma combinaison pour libérer ma queue. Mon sexe dressé touche presque ses bottes. Je reçois alors un coup de pied dans les couilles qui calme un instant l'excitation sous l'effet de la douleur. - J'ai oublié de te dire, à chaque fois que je dirais un chiffre jusqu'à 10, tu recevras un petit coup de pied dans les couilles. Tu comprends, il faut que ça reste un plaisir pour moi. Un grand sourire illumine alors son visage. -Deux ! Un deuxième coup de pied me fait revenir à moi. J'arrête de fixer son visage et je me dépêche de commencer à me branler. -Trois ! Suivi du fameux coup de pied. La douleur fait à nouveau retomber l'excitation. J'accélère le mouvement pour essayer de compenser. - Quatre ! Le coup vient de l'autre jambe, la douleur se diffuse plus largement dans mes couilles - Cinq ! Retour au premier pied, je sens tout de même l'excitation monter. - Six ! Alternance de pied, mes testicules me font souffrir mais je suis tout proche du but. - Sept ! Mon sexe se raidit, Nina comprend que je suis prêt à jouir. Son coup de pied est plus intense. Très cruel... Elle en rigole. - Huit ! Nouveau coup dans les couilles, une goutte de sperme sort au bout de mon sexe, comme si le coup l'avait éjectée de force. - Neuf ! Je jouis enfin sur les cuissardes de Nina. Un dernier coup de pied s'abat sur mes couilles pendant la longue éjaculation. Je suis en extase, sous le coup des hormones, mélange de douleur et de plaisir, je suis dans un état second. - Dix ! Un dernier coup de pied me prend à nouveau par surprise, je tombe sur le flanc de douleur. L'excitation n'étant plus là pour compenser. Nina me regarde en riant et me dit : - J'avais dit que je comptais jusqu'à 10, tu as l'air surpris ? Il faut bien écouter les consignes... Je hoche alors de la tête, ce qui lui suffit pour cette fois. - Dis-moi, tu as déjà goûté ton sperme ? - Euh, oui Maîtresse Nina, juste une goutte récupérée au bout de ma queue pour goûter. - Tu as aimé ? - Pas vraiment Maitresse Nina, le goût n'est pas... agréable va-t-on dire. - Donc tu n'as jamais avalé toute une éjaculation ? - Non Maîtresse Nina, - Humm, voilà donc une chose que tu n'as encore jamais faite, j’ai fini par en trouver une... et tu vas le faire pour moi aujourd'hui ! J'adore les premières fois ! De son index, elle ramasse du sperme sur sa cuissarde et elle tend son doigt vers mes lèvres. J'ouvre la bouche pour accueillir son doigt ganté couvert de semence blanche. Je reconnais le goût âcre du sperme mais je suce tout de même son doigt. - Maintenant, tu vas lécher le reste sur mes cuissardes, je ne vais quand-même pas me fatiguer pour toi, dit-elle en souriant Je me remets alors à quatre pattes et je commence à lécher ses bottes, faisant progressivement disparaître les restes de mon plaisir avec ma langue. Une fois ma tâche accomplie, Nina m'attrappe dans ses bras et me sert fortement contre elle. Je sens sa chaleur contre moi, si douce et si réconfortante. - Pourquoi est-ce qu'on a attendu si longtemps pour partager notre jardin secret, c'est si bon... - Oui, tu as raison Nina...
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minidoc
bonjour déesse Sonia j en suis trop envieuse de ce domptage un vrai film dans ma tete qui se consume j ai brulé mon seul neurone Merci
J'aime 20/06/25
switch latex
Votre texte est un délice et bien écrit, merci
J'aime 20/06/25
Latexamateur
Une pure merveille, à quand la suite
J'aime 22/06/25
MysticRiveria
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Pas grand chose, mais j'adore cette robe...
12 personnes aiment ça.
celitrave33
Jolie robe sur joli modèle !
J'aime 30/04/25
MysticRiveria
Le modèle est moi même, avec un peu d'ia pour changer le visage 1f609.png
J'aime 30/04/25
Lilou
a partagé quelques photos
Bonsoir, je viens d'arriver sur ce groupe aimant et adorant le latex. Vous ne parlez que de vêtements, mais il y a aussi des accessoires en latex, tel que les vaccum bed ou cube, moyen d'immobiliser une personne dans une enveloppe de latex sous vide. Le sensation est délicieuse et vous laisse à la merci du dominant ou dominante. J'adore être dans mon vaccum bed, la caresse du latex qui se referme sur votre corps est géniale et petit à petit vous êtes complètement enveloppée et immobilisée. Je ne sais pas si certains d'entre vous ont déjà essayé ? Bonne nuit à vous
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Fetish74
Bonjour, j'ai toujours été intrigué par l'immobilisation dans du latex , étant fétichiste je suis sur d'aimer le contacte , quand je vois le plaisir que j'ai à porté des gants le corps tout entier alors...
J'aime 24/04/25
Quelle délicieuse sensation en effet. Mais ce n'est pas à la portée de tout le monde (phobies)
J'aime 24/04/25
Orgarioss
a partagé quelques photos
5 personnes aiment ça.
Fetish74
Toute ces magnifiques couleurs 🥰
J'aime 24/04/25
Enzo
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En couple ??
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Olivier
Beaux et .... so exciting.
J'aime 10/11/20
Bisoumis70
Bonjour, vous êtes un très beau couple, très excitantes vos tenues
J'aime 11/11/20
Orgarioss
Magnifique, jadore
J'aime 18/02/25
soumistomas
Bonjour à tous je voudrai savoir où trouvée un pantalon en latex qui souffre au cul et cagoule en latex merci
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highheelesteb
tu peux regarder sur libidex mais je suis pas sûr
J'aime 08/02/25
Gui-Wolf
Libidex, Regulation.co.uk, BlackStyle.de
J'aime 08/02/25
Bonjour, jeune homme portant du latex à l’heure actuelle, de la tête au pieds, cherche une partenaire qui aimerais jouer avec moi, bdsm, soumission, je suis novice dans le domaine et aimerais une femme prête à assouvir nos désires de seconde peau, je ne suis pas non plus contre du jeu à égale. De nature dom. Rencontres au restaurant ou ailleurs et + si affinités Si j’ai piqué ta curiosité n’hésite pas à venir m’envoyer un message. (Je recherche une partenaire féminine) Secteur grand est, je peux me déplacer uniquement les week-ends.
Obsidian Master
Bonsoir, Nouveau sur le groupe, je me suis découvert depuis quelques temps une fascination pour le latex. Je trouve cette matière fascinante, le brillant, l'effet que l'on ressent de porter ce type de lingerie. J'adorerai trouver une complice pour partager cette nouvelle passion.
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Birdlocked
Le plastic c'est fantastique...
J'aime 13/07/24
moi aussi j'ai une fascination pour le latex je veut bien être complice
J'aime 13/07/24
Obsidian Master
Merci mais je recherche une femme même si la proposition est intéressante
J'aime 14/07/24
soumistomas
Bonsoir nouveau ici
kevin118
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J'adore ! Nous agrandissant la collection 😊
Collin35
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bon dimanche
3 personnes aiment ça.
Belle tenue que j'apprécie comme le vinyl
J'aime 24/03/24
Collin35
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quand le latex est bien porter ! c'est beau
Collin35
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bon Lundi en Latex
Collin35
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Bon Lundi 5 Février en Latex
T-shirt effort pour hommes / pour femmes / pour enfants. 100 % polyester. Marque : AWDisCool
Commander
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Collin35
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le bonheur en latex
6 personnes aiment ça.
combinaison
tu a raison
J'aime 27/01/24
récemment installée à st-gilles, je suis en quête d'un esclave, ainsi qu'un ou deux larbins .:.
Collin35
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ma vie en latex
Collin35
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sexy en latex
Collin35
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J aime aussi le latex surtout si il m est impose par un Maitre domi ( photo du net ) et de ma collection
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