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C'est pour ça que ça ne se pratique pas n'importe comment ni avec n'importe qui
Concernant le Breathplay, tout le monde peut retenir sa respiraiton pendant un temps plus ou moins long allant de quelques dizaines de secondes à plusieurs minutes selon les individus et selon ses capacités pulmonaires et son entrainement. Celà ne pose aucun problème.
Le problème n'est pas de se pincer le nez et de se retenir sa rspiration pendant 50 secondes. Le problème est de se retrouver restreint et qu'une autre personne t'étrangle ou te coupe la respiration avec un dispositif. Si il n'y a pas une grande maîtreise de la pratique, si la limite n'est pas parfaitement identifiée, si tu n'est pas capable de manifester clairement ta limite physique ou si tu panique, à ce moment là celà peut vite devenir dangereux et la situation peut devenir critique en qelques secondes. Une fois que tu perds conaissance, c'est vachement plus chaud.
Pour la prise au cou, il y a le flux sanguin ou l'appareil respiratoire (qui est relativement fragile), il est possible de faire du breathplay par étranglement en épargnant le flux sanguin. Comme toute pratique, ça demande de la préparation, du tact, de la modération, de l'observation, des précautions, des connaissances, etc.
En dehors de l'étouffement contrôlé ou de l'étranglement, aucune pratique n'est sans risques.
Hello, Sans être spécialiste, il me semble qu’il y a une différence importante entre le fait de retenir sa respiration (de son plein gré ou parce qu’une autre personne le provoque, par un masque, une main, etc.), et le fait de bloquer la circulation sanguine vers le cerveau —(le choking “vasculaire”). Dans le premier cas, l’oxygène continue à circuler dans le sang, même si on n’en apporte plus de nouveau par la respiration. Tant que ça reste bref, le corps gère relativement bien. C’est désagréable, ça peut être stressant ou excitant selon le contexte, mais il n’y a pas forcément de perte de conscience, ni de danger immédiat si c’est bien encadré. En revanche, quand il y a compression des carotides ou des veines jugulaires, ce n’est plus une question d’air mais de circulation sanguine vers le cerveau. Et là, les effets semblent tout autres : la perte de connaissance peut survenir en quelques secondes, parfois sans signes précurseurs. Et les risques reportés plus élevés : lésions neurologiques, séquelles durables, voire arrêt cardiaque si on cumule avec certaines substances ou fragilités.