Ouuuuh voilà qui promet de la bonne lecture et des échanges piquants!
J'pose ma place hein 🍿🍿🍿🍿 et j'reviens plus tard aussi (je ne suis pas une creature multitache)
Messages
Good_girl
moi qui croyais les femmes multitâches, quelle déception :yum:
Comme ca, je drais que la domination masculine dépend ... de l'homme (oui oui c'est fou ca !) Donc j'ai envie de dire aux soumises : Choisissez l'homme judicieusement et vous ne serez pas décues.
Si ça dépend de l'homme, Tendre_coeur, y en a qui ont des gros sabots, y en a qui ont des gants, certains tissent de la dentelle, mais au final, tous les chemins mènent à Rome alors....
Ca c’était avant, lorsque la perf ne posait problème. Avec l’expérience ( non, je n’ai pas dit l’age! 😉) le cérébral prend une part plus large
C'est marrant de lire un tel sujet aussi réducteur de la part d'un pseudo qui s'appelle mental...
😂
Excusez-moi de me moquer un peu, mais l'un ne va vraiment pas avec l'autre pour moi.
Voilà voilà.
Effectivement ! Je choisirai un homme cérébral et qui pense aussi au plaisir de sa soumise.
Chère Dame_Kyria,
fine psychologue, vous avez bien sûr deviné qu'il s'agit d'une phrase choc destinée à provoquer d'autres pensées et réactions en affirmant un paradoxe de façon péremptoire !
Merci pour votre participation.:stuck_out_tongue_winking_eye:
Ca se résume pas à ça c'est pas pour autant qu'il faut se priver de mots crus et injurieux.
"Et si la domination masculine se résumait à pouvoir dire :
" à genoux salope, et suce moi la bite avant que je t'encule ...? " "
Vu les "dominants" qui me contactent, vous avez oublié "enlève ta culotte salope soumise, et suce ma GROSSE bite, avant que je t'encule"
Bonjour Aubade j'ai préféré être bref et concis, merci pour ces précisions:grin:
Alors la soumission de résumerait à : "donne-moi vite ta bite que la suce vite et que tu m'encule vite pour ejaculer vite" 😂 bah oui hein si j'ai bien compris l'idée de la question c'est : et si la domination masculine consistait à se vider les couilles dans un corps féminin ?
Ça me donne envie de partager une réflexion que je me suis faite récemment... Si les garçons étaient élevés dans une société où le pouvoir sexuel féminin (celui de donner un amour qui mène à l'extase - et à la vie semble-t-il puisque nous la portons en ce lieu même que certains nomment le Yoni) était reconnu comme sacré, ils seraient dans une position d'humilité face à ce que nous leur concédons et ils accèderaient non pas à des actes sexuels (tu me suces / je t'encule en l'occurrence) mais a des actes charnels transcendants : tu libères ta créativité avec ta bouche sur mon sexe et ce qui s'y relie, puis tu m'offres ton anus pour je j'y libère la tension que tu as faite monter en moi. Femme je te remercie de m'avoir accepté dans ton espace intime. Ainsi l'homme aurait la notion de mérite qui le rendrait à la fois plus séduisant et donc plus puissant. Dominez-vous et nous nous offrirons :)
Bonjour Calamity
Merci d'apporter sur ce sujet de la spiritualité et de la transcendance (donner du sens) !
Retrouver la Roche Mère...
Derniers posts du forum
Je fais partie des non adeptes des rites, je dirai presque anti-rite au sens d'une figure de style obligatoire pré-établie à la relation.
J'ai beaucoup épuré au fil du temps et de la vie ma conception d'une relation BDSM, j'ai affiné, concentré, recentré. Reste des bases de spontanéité primale, reste la domination de l'autre dans ce qu'elle a de plus brut et de moins policé. Dans ce cadre là, il est difficile pour moi de m'épanouir dans des rites/rituels, dans le sens où ils s'opposent pour moi à l'instinct, à l'envie du moment. Certainement parce que je fuis le répétitif, que j'aime être surprise, que j'ai plaisir à obéir/me soumettre à l'inattendu, que j'aime justement exploser les codes, ou plus précisément j'aime que mon autre soit de cet état d'esprit là. Le cadre me brime, m'étouffe et finit par m'ennuyer.
J'ai aussi une configuration d'esprit peu sensible aux symboles en bdsm, une habitude à considérer tout acte d'un point de vue factuel, et non à l'envisager selon une portée symbolique que je ne partage souvent pas, parce que ça ne me "parle" pas.
Et puis enfin, c'est certainement parce que ma relation n'est pas D/S, mais SM. Pourtant je le suis, avec un immense plaisir, là où il décide de m'emmener...
Bonsoir Silla.
Je ne crois pas que vous devriez regretter quoi que ce soit.. On ne peut pas en vouloir aux autres de tenir compte de ce que l'on exprime..
Et quand bien même il existait une ambiguïté entre ses dires et sa volonté, vous n'auriez pu l'aider si ce n'était pas sa réelle envie. On aide personne contre sa volonté..!
J'ai lu avec grand intérêt et beaucoup d'emotion votre témoignage poignant Louvia. Il est intéressant aussi de constater que la dépression est complètement différente d'une personne à une autre. Une de mes amies a eu une dépression il y a quelques années et s'est refermée sur elle-même. Elle s'en est sortie au bout de plusieurs mois mais ce n'est qu'un ou deux ans après qu'elle m'a confié avoir souffert de se sentir délaissée. Même si elle repoussait tout le monde, ne voulait voir personne, parler à personne, elle aurait voulu que quelqu'un vienne l'arracher à cette spirale. Et ose se faire rembarrer, se faire parler de manière très agressive, mais la prenne par la main jusqu'à faire éclater tout ca. Je regrette de ne pas avoir agit personnellement.
En général, je suis adepte du fait d'essayer quand j'ai un doute. Tu pars de la bienveillance, tu es dans ton droit. Essayer quelque chose me paraît acceptable. Si cela tombe a plat, tu réajusteras. Le meilleur contre a la dépression en général ne sont pas les mots, mais l'oxygenation du cerveau et le mouvement. Mouvement qui est difficile en autonomie propre, mais via un ordre, cela peut décharger un peu la soumise du poids de l'immobilisme.