voir le topic de Kires sur DoctiSM : "ces mots qui ne veulent rien dire..." http://forum.doctissimo.fr/doctissimo/sado-masochisme/veulent-rien-dire-sujet_12825_1.htm
Messages
Heartbeat sauve moi !!!!!! Vlan01, ton post est trop généraliste pour moi. Je ne vois pas où tu veux en venir , c est à dire quel est ton but, qu est ce que tu cherches à comprendre Je n ai pas l impression que tu cherches à comprendre ce que j ai dit. Ce qui me donne cette impression est que tu me questionnes sur la punition alors que j ai plusieurs fois écrit que ça ne me parle pas . Donc je me dis que tu ne cherches pas à comprendre ce que JE vis mais à répondre à une question personnelle . Deux suggestions : soit tu poses clairement ta question à toi singulière, assumée comme vraiment personnelle et en lien avec tes besoins Soit tu la poses en mp à des interlocuteurs qui te conviennent .Si ta question est y à t il d abord la poule ou l'œuf ? Je la respecte mais ça ne m intéresse pas.
Salomé merci pour ce partage.Il est très rare que des pratiquants de D/s parlent de leurs plaisirs D/s et des rouages .Votre post correspond à ce que je cherche sur ce site. Des partages d expériences où sont expliquées les liens entre émotions/pensées-actions/excitation sexuelle . Cela me permet dans la construction de ma D/s de penser parfois en écho , parfois en divergence mes propres mouvements .Quant à "la masturbation intellectuelle " certains membres me renvoient aussi cela.J ai besoin de penser ce que je vis quand les émotions ou pensées qui me traverse sont négatives : auto-jugement négatif , émotions jugées indicatrices de Mal (honte, peur , haine , angoisse).Et là où j en suis je tourne autour du pot pendant des tas de discussions avec mon partenaire et des tas de posts ici, jusqu à ce que j ai un déclic qui me permet de retrouver un accord , une harmonie entre ce qui m excite et ce que je pense .
Derniers posts du forum
Bon courage Nina, merci pour votre témoignage qui résonne.
La question est tendancieuse et elle est pile entre la limite éthique, limite psychologique et limite de pouvoir (cadre BDSM). Dois-je utiliser "ce pouvoir" qu'elle m'a offert sur elle pour l'aider de force (pas de manière physique et violente, mais juste de ma présence et passer par des "ordres") ? Mais cela n'est pas très éthique et peut aussi créer l'effet inverse ?
Bonsoir,
Je souffre de dépression profonde, et je commence tout juste à sortir d'un épisode particulièrement sombre. Si je peux me permettre, je vous expose ici mon ressenti et ma propre vision, ne connaissant ni votre vie ni votre soumise.
Lorsqu'on tombe, on chute, et on en oublie ce qui nous entoure. On aimerait de l'aide sans la demander, aller mieux sans avoir à faire d'effort... Car le simple fait de respirer nous demande déjà toute l'énergie dont on dispose (je parle en "on", cela me permet de diminuer l'anxiété créé par le "je"). On a du mal à réaliser des rituels simples, manger, dormir, se laver...
Pour ma part, me retirer le fardeau du repas m'a permis de rediriger mon énergie. Mais je finissais par manger à heures plus ou moins fixes...
Mais ... Cela s'est fait par aide thérapeutique : Psy et traitement qu'il a fallu réévaluer régulièrement, et j'en ai changé plusieurs fois. J'arrive à stabilité, et je retrouve doucement de l'énergie pour combattre mes démons.
La relation D/s est un socle sur lequel la soumise s'appuie pour avancer, lorsque le lien est construit, il y a d'autant plus de choses qui se passent entre les deux personnes.
Je ne pense pas que la forcer soit qqch de positif. Elle le dit elle même, elle n'en a pas l'envie. Il y a deux visions à mon sens :
- Forcer des petits riens, des petites attentions, des petits rituels : prendre un petit déjeuner complet, prendre un bain, lire "x" pages d'un livre et le raconter. Cela demande déjà de l'énergie, mais permet de trouver un rythme. Cela je pense peut rentrer dans un rituel D/S, car il s'agit de faire retrouver à sa soumise un cadre apaisant et rassurant.
- Forcer par des rituels construits et complets... A mon sens, cela ne sert à rien, cela sera fait sans plaisir, et peut aller jusqu'à dénaturer la relation elle même.
Je pense personnellement qu'une aide médicale/thérapeutique est nécessaire pour traverser des épisodes douloureux. Quand j'ai sombré, mon Maitre d'alors n'a rien suivi, il m'a accueilli dans ma douleur, mais m'a soutenu dans la décision de suivre une thérapie, de parler, il posait des questions, parfois notre langage était le silence, des jorus meilleurs qu'il saluait, des jours moins bons qu'il supportait avec moi.
Je pense que le conjoint/Maitre ou autre souffre autant que la personne elle même, mais différemment. Il a des prises de conscience différentes et à des degrès différents. Le tout, c'est de trouver un équilibre, une porte d'entrée.
Quand on souffre d'anhédonie, le manque de plaisir et d'envie, c'est terrible, car plus rien ne nous fait du bien, et on doit tout réapprendre doucement.
C'est délicat, j'en conviens, mais j'espère que mon témoignage et mon expérience ont pu vous amener à des pistes sur lesquelles vous allez pouvoir vous appuyer pour vous même et votre soumise.
Bon courage.
Nina
Mon médecin de famille reste persuadé que le conjoint, le partenaire de vie souffre plus que la personne atteinte de dépression.
Bonjour à tous, après avoir réussi a l'avoir au téléphone bien plus tard que prévue, j'ai réussi a la convaincre de me laisser venir la voir. Sauf que 24 h plus tard je reçois un magnifique gigantesque message, disant qu'elle ne veut pas être sauvé. Qu'elle ce battra pour pas que je l'aide, qu'elle veut glisser dans ses ténèbres sans être sur de s'en sortir. Qu'elle m'aime mais qu'une fois renfermer dans ses sentiements elle sera égoiste et qu'elle s'en foutra car elle est comme ça. qu'elle ne veut plus faire d'effort de ce battre (attention pas dans le sens sucuidaire non plus). Et a décidé de ne plus être mienne et elle a couper tout contact.
Bonne fin de week-end à vous! Résultat bien que vous le savez déjà :prennez soin de ceux qui sont proche et profiter du moment présent de vous rien n'est éternelle !