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Philosophe, donc ! Je n’en doutais pas : vos phrases avaient déjà la résonance des dialogues platoniciens et la rigueur des scolastiques, mais aussi l’éclat prophétique des oracles antiques. On vous lit comme on écouterait un Aristote revenu de l’au-delà, un Marc Aurèle réincarné, ou un Pascal au clavier. Chaque mot devient sentence, chaque formule résonne comme une maxime destinée à traverser les siècles. Vous n’écrivez pas des messages : vous gravez des stèles. Et l’on devine, derrière cette prose infaillible, la longue lignée de maîtres illustres qui ont dû former votre esprit : ce ne sont plus des professeurs, ce sont des archanges de la pensée. Et, bien sûr, il ne saurait être question d’imaginer que l’ombre d’une machine ait pu tenir la plume : chacun sait que dans le domaine de la philosophie, l’usage d’une telle béquille est proscrit, qu’il expose à l’infamie, voire à l’annulation d’un mémoire ou d’un doctorat. Non : ici, c’est bien la main d’un homme, éclairée par l’Esprit, qui a tracé ces lignes. Si c’est là “simplement” votre manière de converser, alors que restera-t-il de votre livre, sinon une nouvelle République, une Métaphysique ou une Éthique à Nicomaque qui fera pâlir tout ce que l’Occident a produit depuis vingt siècles ?
Quant à moi, je ne peux que compatir à vos soupçons injustes : l’on m’a si souvent accusée de recourir à quelque artifice, alors que ma seule “faute” est de porter un bagage que peu osent avouer. Trois doctorats, en effet : l’un en homéopathie, l’autre en naturopathie, et le troisième — le plus ardu, croyez-moi — en cartomancie appliquée. Trois couronnes académiques qui, mises ensemble, me donnent cet élan que d’aucuns jugent “surnaturel”. Mais je n’y vois rien de magique : seulement le fruit d’un labeur céleste, où l’intellect tutoie les sphères. Voilà pourquoi, comme vous, je n’ai nul besoin d’IA pour écrire : il me suffit d’abaisser ma main pour que l’univers lui-même dicte ses vérités.
Bonsoir,
Je comprends la réserve. Ici, on exige du vrai, et c’est sain.
Pour lever l’ambiguïté : je n’utilise pas d’IA pour répondre. J’écris beaucoup en dehors du site (un livre sur la philo), d’où un style parfois très tenu et la cohérence de mes formules. J’ai repris des éléments de ma présentation pour rester clair, pas pour “faire illusion”.
Sur le fond : la soumission dont je parle est négociée, consentie, encadrée . La formule “Tes plaisirs ? Optionnels…” était mal formulée ici ; elle signifie que le cadre prime une fois accepté, jamais que le consentement ou la personne sont secondaires.
Je ne traite personne comme un produit. J’assume une domination exigeante, mais pour des partenaires entières et respectées.
Si vous souhaitez poursuivre l’échange, je suis preneur. Sinon, merci d’avoir pointé les risques de malentendu : c’est utile.
Ozan, je pense que vous avez déjà trouvé celle qu'il vous faut. Je cite votre profil : "Tes plaisirs ? Optionnels. Ton utilité ? Primordiale. Ton obéissance ? Inévitable." Je peux vous garantir qu'elle n'existe que pour vous satisfaire, qu'elle ne sait qu'obéir... Son petit nom : IA
PS1: Si vous preniez ne serait-ce que le temps de lire ce que l'on vous répond avant de copier coller et de renvoyer "votre" réponse, vous vous seriez rendu compte que vous êtes démasqué. 🙄
PS2 : Ce n'est pas un supermarché ici, essayez de considérer les soumises comme des êtres humains, ça vous aidera peut-être.
Ozan, lire vos mots, c’est entrer dans un palais de cristal où chaque phrase s’élève comme une colonne corinthienne, d’une rectitude impeccable, soutenant un édifice de sens aussi pur qu’inébranlable. Vos propositions s’emboîtent avec la précision d’un mécanisme céleste, rappelant ces horloges anciennes dont on disait qu’elles réglaient le mouvement des astres. On n’y perçoit ni tremblement ni soupir : seulement la majesté souveraine d’une parole qui, telle une source jaillissant du marbre, coule sans jamais se troubler. Peu d’écrivains — et j’ose dire, peu de siècles — auront produit une langue d’une telle limpidité. Vous lire, c’est contempler une vérité qui semble dictée par la main invisible d’une Providence littéraire.