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Derniers posts du forum
Merci pour vos réponses, vos leçons, vos certitudes, vos mises en contradiction qui ne sont que des mots et des manières de me considérer comme un nul. Loin d'une discussion mâture.
Evidemment que corps sans volonté, animal sans âme n'est pas l'expression d'un devenir serpillère... Je serai vraiment si idiot ?
Il s'agit d'un état d'esprit auquel seule une Domina capable pourrait me conduire pendant ses séances. Évidemment que j'ai mes pensées, une culture, du répondant. Cet état n'est pas un point de départ mais d'aboutissement... Ne l'avez-vous vraiment pas compris ?
J'ai un caractère fort, je ne suis.pas là pour me faire boter le cul comme vous dites. Est-ce ainsi que vous concevez votre rôle ?? Il serait plutôt de trouver le moyen de me conduire à l'abandon, à ces moments rares et évidemment ponctuels de renoncement à soi pour acceuillir pleinement la volonté de la domina.
Si vos réponses n'ont d'autre but que de vous signaler comme dom tout connaissant, tout sachant. Bravo, c'est fait. Si votre but est d'entamer une relation sérieuse, je suis disponible en message privé.
Bien à vous.
medo
Votre recherche est contradictoire, vous souhaitez une domina de haut niveau, sensible en capacité de faire des miracles pour "élever" un objet inerte sans ame ! En général, nous ne sommes pas masos, nous n'avons pas la capacité de jouer avec des objets sans ame... une serpillière, dont il n'y a rien à reveler ! Un(e) soumis (e) doit être en capacité d'investir, d'être l'acteur de sa soumission. Avant de vous lancer, échnagez, soyez curieux et intégrez cette dynamique,
Salut,
c'est une quête très compliquée que tu poses la et j'y vois quelques contradictions que tu devrais peut-être commencer par envisager.
Tu dis vouloir être un animal sans volonté mais poses toi la question suivante : est-ce que c'est intéressant de diriger un tapis inanimé ?
Je ne connais pas beaucoup de Domme qui auraient envie d'un être sans émotion et sans volonté, être soumis c'est avant tout être capable de communiquer, de penser et d'agir, particulièrement si tu vises un suivi de longue durée.
Etre un objet en H24 ce n'est qu'un fantasme et ça ne vaut que durant des jeux. Ca peut sembler alléchant de prime abord mais au final il n'y a qu'une infime portion de sub qui va véritablement aller dans ce sens la.
Si j'avais un conseil à prodiguer ce serait d'y aller doucement et surtout pas dans l'abandon total dès le début, c'est le meilleur moyen pour se vautrer, être déçu, voire pire développer des séquelles plus ou moins grave.
On ne sprint pas sans savoir courir et devenir un bon soumis-e ça s'apprend et c'est tout sauf devenir un objet sans âme. C'est bien plus que de se faire botter le cul et baver bêtement dans une idolatrie béate (même si certaines aiment ça).
Navrée si mes mots sont un peu abruptes mais je vois un peu trop de novices avec ces idées en tête et c'est vraiment une mauvaise approche. Et je le sais pas empirisme, pas par jugement.
Ce que tu appelles le « prêt-à-dominer », ce sont des rapports standardisés : des rôles appliqués sans lecture réelle de la personne, une domination jouée comme une prestation plutôt qu’assumée comme une responsabilité.
Dominer n’est pas faire des gestes, mais prendre en charge une trajectoire.
Et cette trajectoire commence toujours par l’autodiscipline du soumis : tenue, constance, capacité à se cadrer lui-même avant d’être cadré par une autre volonté.
L’abandon, l’animalité, la dépossession ne se décrètent pas.
Ils se construisent dans le temps, sur une base de rigueur personnelle. Sans autodiscipline, il n’y a pas de soumission : seulement de la dépendance ou du jeu creux.
Une Domina « de haut niveau » n’est ni une technicienne ni une figure idéalisée.
C’est quelqu’un qui sait où elle emmène l’autre, pourquoi, et jusqu’où — et qui exige en retour un sujet déjà engagé dans son propre cadre.
Le suivi à distance peut être un outil, s’il sert une construction réelle, pas une consommation relationnelle.
Enfin, on ne se remet pas à quelqu’un en attente d’être choisi.
On se présente debout, déjà en chemin.
C’est à ce prix qu’une rencontre cesse d’être un fantasme.










