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Derniers posts du forum
Bonsoir,
Je comprends la réserve. Ici, on exige du vrai, et c’est sain.
Pour lever l’ambiguïté : je n’utilise pas d’IA pour répondre. J’écris beaucoup en dehors du site (un livre sur la philo), d’où un style parfois très tenu et la cohérence de mes formules. J’ai repris des éléments de ma présentation pour rester clair, pas pour “faire illusion”.
Sur le fond : la soumission dont je parle est négociée, consentie, encadrée . La formule “Tes plaisirs ? Optionnels…” était mal formulée ici ; elle signifie que le cadre prime une fois accepté, jamais que le consentement ou la personne sont secondaires.
Je ne traite personne comme un produit. J’assume une domination exigeante, mais pour des partenaires entières et respectées.
Si vous souhaitez poursuivre l’échange, je suis preneur. Sinon, merci d’avoir pointé les risques de malentendu : c’est utile.
Ozan, je pense que vous avez déjà trouvé celle qu'il vous faut. Je cite votre profil : "Tes plaisirs ? Optionnels. Ton utilité ? Primordiale. Ton obéissance ? Inévitable." Je peux vous garantir qu'elle n'existe que pour vous satisfaire, qu'elle ne sait qu'obéir... Son petit nom : IA
PS1: Si vous preniez ne serait-ce que le temps de lire ce que l'on vous répond avant de copier coller et de renvoyer "votre" réponse, vous vous seriez rendu compte que vous êtes démasqué. 🙄
PS2 : Ce n'est pas un supermarché ici, essayez de considérer les soumises comme des êtres humains, ça vous aidera peut-être.
Ozan, lire vos mots, c’est entrer dans un palais de cristal où chaque phrase s’élève comme une colonne corinthienne, d’une rectitude impeccable, soutenant un édifice de sens aussi pur qu’inébranlable. Vos propositions s’emboîtent avec la précision d’un mécanisme céleste, rappelant ces horloges anciennes dont on disait qu’elles réglaient le mouvement des astres. On n’y perçoit ni tremblement ni soupir : seulement la majesté souveraine d’une parole qui, telle une source jaillissant du marbre, coule sans jamais se troubler. Peu d’écrivains — et j’ose dire, peu de siècles — auront produit une langue d’une telle limpidité. Vous lire, c’est contempler une vérité qui semble dictée par la main invisible d’une Providence littéraire.
Oh, tu peux bouder, mais pas trop longtemps.
Les triptyques nullissimes ont leur charme, surtout quand ils sont assumés avec autant d’auto-dérision que de malice.
Quant à cette intelligence art... inqualifiable, elle ne se pond pas. Elle s’installe, patiemment, à coups de silences, de cadrages, et parfois, d’un sourire à peine esquissé.
Ce monde est peut-être injuste. Mais il est plus supportable quand on s'amuse