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Hector
.Posté dans DESIR de PERVERSION ?
Les Françaises de plus en plus délurées au litLes femmes n'hésitent plus à pimenter leur vie sexuelle, selon un sondage Ifop pour Femme actuelle .Les Françaises auraient-elles un faible pour les pratiques de domination et de soumission qui font le succès du roman 50 Nuances de Grey, dont le second tome 50 Nuances plus sombres vient de paraître chez Jean-Claude Lattès? C'est ce que semblent indiquer les résultats d'un sondage Ifop publié ce lundi par l'hebdomadaire Femme actuelle. Une Française sur quatre a par exemple déjà reçu une fessée érotique et une sur trois a déjà fait l'amour en étant dominée par son partenaire. Une femme sur quatre ayant testé la fessée érotique, c'est trois fois plus qu'en 1985! La pratique est encore plus répandue dans les jeunes générations, puisqu'avant l'âge de 35 ans près de la moitié a déjà essayé, et 8% ne l'ont pas fait mais aimeraient essayer.Rien de surprenant si l'on en croit le psychanalyste Stoller, auteur de L'imagination érotique telle qu'on l'observe, pour qui l'excitation a besoin d'une pointe d'agressivité pour se développer. Pour Sabrina Nadjar, rédactrice en chef adjointe de Femme actuelle, cette enquête confirme une tendance perçue dans le courrier des lectrices du magazine: «Les femmes sont plus ouvertes aux jeux érotiques, beaucoup plus décomplexées dans leur sexualité et par rapport à ce qui pouvait apparaître de l'ordre de la volonté de l'homme.» Dans son livre L'Intelligence érotique (Robert Laffont, 2007), la sexologue Esther Perel affirme quant à elle que «si on érotise les dynamiques de pouvoir et d'autorité qui sont à l'œuvre dans une relation affective, elles peuvent devenir très excitantes».«Le jeu a investi la sexualité des femmes»Certaines Françaises sont aussi attirées par les pratiques de restriction sensorielle. Ainsi, 16% des femmes ont déjà fait l'amour les yeux bandés et 24% aimeraient bien essayer. Si l'on y ajoute les 25% qui seraient prêtes à essayer si leur partenaire le leur demandait, cela signifie que deux femmes sur trois sont ouvertes à l'expérience. Une attirance encore plus forte chez les moins de 35 ans: 23% l'ont déjà fait, 41% aimeraient le faire et 21% seraient d'accord pour essayer. «Ce que nous montre ce sondage, c'est que le jeu a véritablement investi la sexualité des femmes», explique Sabrina Nadjar. Et même des jeux très pimentés puisque deux tiers des moins de 35 ans et un tiers des autres femmes ont déjà fait l'amour (ou serait d'accord pour le faire) en étant ligoté ou menotté. Là aussi, les plus jeunes sont les plus attirées puisqu'avant 35 ans, 25% des femmes l'ont déjà fait, 23% aimeraient le faire et 21% seraient d'accord pour essayer. La réciprocité est encore parfaite puisque les mêmes taux de réponse apparaissent quand on demande aux femmes si elles ont déjà attaché leur partenaire ou aimeraient le faire. Les psychanalystes vont devoir revoir leurs théories, élaborées au début du XXe siècle, sur «le masochisme féminin».Curieusement, lorsque l'on interroge plus généralement les femmes sur les jeux érotiques de domination-soumission, elles ne sont plus que 5% à dire en avoir déjà fait, 7% à avoir envie d'en réaliser et 12% à être prêtes à le faire si leur partenaire le demandait. Les chiffres étant deux fois plus élevés chez les moins de 35 ans (respectivement 8%, 11% et 19%) que chez les plus de 35 ans (4%, 5% et 10%). En revanche, l'utilisation des sextoys (jouets sexuels) n'est pas l'apanage des plus jeunes. Il concerne 45% des femmes de moins de 35 ans et 35% des autres. Dans les deux cas, plus de la moitié des femmes utilisaient leur sextoy avec leur partenaire et une sur trois exclusivement en solo. «Le couple est un endroit de jeu et de complicité, remarque Sabrina Nadjar. Les femmes ont envie de vivre un temps érotique dans le cadre de la conjugalité. Les hommes aussi ont accepté l'arrivée des sextoys comme un plus.»Le stéréotype de l'homme dominant mis à malÀ noter que la moitié des femmes de moins de 35 ans et un quart des autres n'ont pas hésité à «inverser les rôles traditionnels» et ont aussi fait l'amour en dominant leur partenaire, ce qui montre que les scripts sexuels sont moins figés dans le stéréotype du «mâle dominant» qu'on ne le croit parfois. Une réciprocité des pratiques que l'on retrouvait d'ailleurs concernant la sexualité orale dans la dernière grande enquête sur la sexualité des Français menée en 2006, sous la direction des sociologues Nathalie Bajos et Michel Bozon (La Découverte, 2008). Des données qui confortent aussi les travaux récents de chercheurs de l'université du Texas et de l'Indiana sur le fantasme de viol. On ne parle évidemment pas de la réalité mais bien de l'imagination d'un rapport forcé. Les sexologues se sont longtemps demandés si ce fantasme, jugé excitant par une à deux femmes sur trois selon les études, ne traduisait pas une façon de se dédouaner de pulsions sexuelles encore souvent mal vues lorsqu'elles sont affichées par des femmes. Les nouvelles études montrent qu'ils se manifestent surtout chez les femmes les plus réceptives, ayant l'attitude la plus ouverte et dénuée de culpabilité vis-à-vis de la sexualité.Quid des expériences franchement sadomasochistes? 5% des Françaises ont déjà essayé, 7% en ont envie et 12% seraient prêtes à essayer. Soit une femme sur quatre ouverte aux expériences SM. Pour la sexblogeuse Maïa Mazaurette, auteure de La Coureuse (Kero), «la douleur est un plat qui se mange (très) chaud. À un certain niveau d'excitation, tout peut devenir aphrodisiaque, comme quand on met du poivre sur une belle tranche de melon».Par damien Mascret - le 07/01/2013
Olivier
.Posté dans DESIR de PERVERSION ?
Hector a dit...Les Françaises de plus en plus délurées au litLes femmes n'hésitent plus à pimenter leur vie sexuelle, selon un sondage Ifop pour Femme actuelle .Les Françaises auraient-elles un faible pour les pratiques de domination et de soumission qui font le succès du roman 50 Nuances de Grey, dont le second tome 50 Nuances plus sombres vient de paraître chez Jean-Claude Lattès? C'est ce que semblent indiquer les résultats d'un sondage Ifop publié ce lundi par l'hebdomadaire Femme actuelle. Une Française sur quatre a par exemple déjà reçu une fessée érotique et une sur trois a déjà fait l'amour en étant dominée par son partenaire. Une femme sur quatre ayant testé la fessée érotique, c'est trois fois plus qu'en 1985! La pratique est encore plus répandue dans les jeunes générations, puisqu'avant l'âge de 35 ans près de la moitié a déjà essayé, et 8% ne l'ont pas fait mais aimeraient essayer.Rien de surprenant si l'on en croit le psychanalyste Stoller, auteur de L'imagination érotique telle qu'on l'observe, pour qui l'excitation a besoin d'une pointe d'agressivité pour se développer. Pour Sabrina Nadjar, rédactrice en chef adjointe de Femme actuelle, cette enquête confirme une tendance perçue dans le courrier des lectrices du magazine: «Les femmes sont plus ouvertes aux jeux érotiques, beaucoup plus décomplexées dans leur sexualité et par rapport à ce qui pouvait apparaître de l'ordre de la volonté de l'homme.» Dans son livre L'Intelligence érotique (Robert Laffont, 2007), la sexologue Esther Perel affirme quant à elle que «si on érotise les dynamiques de pouvoir et d'autorité qui sont à l'œuvre dans une relation affective, elles peuvent devenir très excitantes».«Le jeu a investi la sexualité des femmes»Certaines Françaises sont aussi attirées par les pratiques de restriction sensorielle. Ainsi, 16% des femmes ont déjà fait l'amour les yeux bandés et 24% aimeraient bien essayer. Si l'on y ajoute les 25% qui seraient prêtes à essayer si leur partenaire le leur demandait, cela signifie que deux femmes sur trois sont ouvertes à l'expérience. Une attirance encore plus forte chez les moins de 35 ans: 23% l'ont déjà fait, 41% aimeraient le faire et 21% seraient d'accord pour essayer. «Ce que nous montre ce sondage, c'est que le jeu a véritablement investi la sexualité des femmes», explique Sabrina Nadjar. Et même des jeux très pimentés puisque deux tiers des moins de 35 ans et un tiers des autres femmes ont déjà fait l'amour (ou serait d'accord pour le faire) en étant ligoté ou menotté. Là aussi, les plus jeunes sont les plus attirées puisqu'avant 35 ans, 25% des femmes l'ont déjà fait, 23% aimeraient le faire et 21% seraient d'accord pour essayer. La réciprocité est encore parfaite puisque les mêmes taux de réponse apparaissent quand on demande aux femmes si elles ont déjà attaché leur partenaire ou aimeraient le faire. Les psychanalystes vont devoir revoir leurs théories, élaborées au début du XXe siècle, sur «le masochisme féminin».Curieusement, lorsque l'on interroge plus généralement les femmes sur les jeux érotiques de domination-soumission, elles ne sont plus que 5% à dire en avoir déjà fait, 7% à avoir envie d'en réaliser et 12% à être prêtes à le faire si leur partenaire le demandait. Les chiffres étant deux fois plus élevés chez les moins de 35 ans (respectivement 8%, 11% et 19%) que chez les plus de 35 ans (4%, 5% et 10%). En revanche, l'utilisation des sextoys (jouets sexuels) n'est pas l'apanage des plus jeunes. Il concerne 45% des femmes de moins de 35 ans et 35% des autres. Dans les deux cas, plus de la moitié des femmes utilisaient leur sextoy avec leur partenaire et une sur trois exclusivement en solo. «Le couple est un endroit de jeu et de complicité, remarque Sabrina Nadjar. Les femmes ont envie de vivre un temps érotique dans le cadre de la conjugalité. Les hommes aussi ont accepté l'arrivée des sextoys comme un plus.»Le stéréotype de l'homme dominant mis à malÀ noter que la moitié des femmes de moins de 35 ans et un quart des autres n'ont pas hésité à «inverser les rôles traditionnels» et ont aussi fait l'amour en dominant leur partenaire, ce qui montre que les scripts sexuels sont moins figés dans le stéréotype du «mâle dominant» qu'on ne le croit parfois. Une réciprocité des pratiques que l'on retrouvait d'ailleurs concernant la sexualité orale dans la dernière grande enquête sur la sexualité des Français menée en 2006, sous la direction des sociologues Nathalie Bajos et Michel Bozon (La Découverte, 2008). Des données qui confortent aussi les travaux récents de chercheurs de l'université du Texas et de l'Indiana sur le fantasme de viol. On ne parle évidemment pas de la réalité mais bien de l'imagination d'un rapport forcé. Les sexologues se sont longtemps demandés si ce fantasme, jugé excitant par une à deux femmes sur trois selon les études, ne traduisait pas une façon de se dédouaner de pulsions sexuelles encore souvent mal vues lorsqu'elles sont affichées par des femmes. Les nouvelles études montrent qu'ils se manifestent surtout chez les femmes les plus réceptives, ayant l'attitude la plus ouverte et dénuée de culpabilité vis-à-vis de la sexualité.Quid des expériences franchement sadomasochistes? 5% des Françaises ont déjà essayé, 7% en ont envie et 12% seraient prêtes à essayer. Soit une femme sur quatre ouverte aux expériences SM. Pour la sexblogeuse Maïa Mazaurette, auteure de La Coureuse (Kero), «la douleur est un plat qui se mange (très) chaud. À un certain niveau d'excitation, tout peut devenir aphrodisiaque, comme quand on met du poivre sur une belle tranche de melon».Par damien Mascret - le 07/01/2013Texte très intéressant - merci beaucoup.Mon interprétation est que la chappe de plomb de l'Eglise commence à se réduire. Même si un minimum de répère et d'interdits est indispensables en société (et pour sa structuration personnelle aussis d'ailleurs).J'en reviens à mon expérience en life.Trois réflexions :1, des dames et des messieurs (de 18 à 60 ans environ) viennent pour du SM car leur partenaire ne veut pas ou n'ose pas le pratiquer. Un comble : moi je pratique le SM sur des étrangers (car ma compagne ne suit pas) sur des gens donc le (la) compagnon (amie) n'aime pas non plus, mais vu par l'autre côté.2, parfois des soumis(e)s viennent une seule fois pour trouver des idées dans leur couple (ça c'est une démarche vraiement sympa pour le couple, je trouve),3, des couples (homo ou hétérosexuels) viennent pour voir leur partenaire (homme ou femme) être soumis(e)s à mes plaisirs "S", parce qu'ils n'osent pas le faire eux-même mais me regardent faire (cfr mon article "Monsieur et sa maîtresse" sur yanncom.canalblog.com) et même parfois me demandent d'être encore plus dur que je ne le suis à ce momment, avec le (la) partenaire attaché(e). A un niveau parfois tel que je refuse de faire plus hard encore (alors que mon niveau n'est tout de même pas tendre).Conclusion : il y a un libéralisation des moeurs mais l'éducation pèse encore souvent.Merci d'avoir levé la réflexion.
Olivier
.Posté dans DESIR de PERVERSION ?
Voodoo-Katzoo a dit...http://www.cnrtl.fr/definition/perversLe mal a tout l'air consubstantiel à la perversité..Et quel ostracisme ce serait de changer le sens des mots au seul sein d'une communauté.. N'est ce pas tout simplement pour cette raison qu'a été formé le mot "paraphilie", au lieu de vouloir changer le sens d'un mot déjà existant et essentiel pour exprimer d'autres idées ?Voodoo,Merci pour ta recherche, mais les définitions du CNRTL sont à mon avis en retard sur les récentes connaissances. J'en tiens pour preuve que le pervers n'est pas nécessairement sexuel et que le pervers n'est pas nécessairement volontairement méchant bien que la conséquence de nuisance le soit.Mais l'intérêt majeur de ton interention était de vouloir remettre la norme du vocable à sa place, et de ne pas laisser un milieu minoritaire installer SA norme partout.Merci beaucoup à toiGC
Olivier
.Posté dans DESIR de PERVERSION ?
Zénon a dit...La perversion ?...un chemin détourné pour atteindre un but...> rester dans le Désir...tout simplement, non? En tout cas ta vision est un souffle vrais de romantisme.GC.
Olivier
.Posté dans DESIR de PERVERSION ?
Zénon a dit...Certes! La perversion ne serait ni bien ni mal... je n'en suis si sûr?Il semblerait qu'au final vous trouviez que c'est un bien?J’imagine que vous avez aussi beaucoup lu, sur ces sujets, de nombreux auteurs qui en sont en quelque sorte vos références, je ne les citerai pas, ils sont légion.Ces auteurs «grands classiques» du genre sont un peu l'autorité supérieure à laquelle vous obéissez, une autorité que l'on juge légitime, car rien ne vous est inné j'espère ? ... et c'est là où je veux en venir, tout comme les enfants abusés obéissent à leurs parents...sans aucune notions du «bien et du «mal».Les terroristes des World Trade Center (aux QI supérieurs) obéissaient eux aussi à une autorité supérieure et je ne vous parlerai pas des directeurs des camps de la mort...Voire aussi l'expérience de Milgram..Le fait de s'adonner au jeux interdits de torture, viol, séquestration, etc consensuellement sous une quelconque autorité, cela nous dédouane-t-il de cette «petite réflexion» dominicale ?Et pourquoi donc croyez vous qu'aucun rescapé de véritable torture ne s'adonne à ses jeux? S'il existe quelque part un démiurge, je pense qu'il est largement dépassé...Bon Dimanche avec ou sans conscience...Oui, Zénon, la perversion et les pervers, c'est l'enfer. Ceux qui sont passés dans leurs pattes (physiquement ou intellectuellement) n'en reviennent jamais indemnes, c'est vrai.merci à toiGC
Olivier
.Posté dans DESIR de PERVERSION ?
arnobeslave a dit...La dessus jez suis yout à fait d'accord, c'est exactement sa,la perversion vien du fait qu'on a pa tous les mêmes croyances, on a des sociétés différentes, tous comme les cultures, les religions... Donc bon a ce moment la, si on suit cette définition, on serai tous dans une perversion par rapport aux différentes sociétés. A ce moment la, je n'ai pas envie de parler de perversion, car ce therme est utilisé à tord et à travers et c'est souvent mal interpreté.Non, la perversion, ce n'est pas cela.La psychiatrie est très claire et la définition est universelle.On ne peut pas avoir une définitin du forum bdsm.fr différente du reste du monde.bien cordialementGC
Olivier
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Heartbeat a dit...Est ce que le désir de perversion peut être assimilé à celui de dépravation ?Non, non !Il s'agit d'un mécanisme de défense du pervers qui vient de perturbations graves de sa toute petite enfance.Le pervers tente tout le temps, pour se désangoisser, d'éviter une souffrance interne.Pour faire ça, l'autre devient un objet, un instrument ou un support permettant d'extérioriser ce qui est considéré comme insoutenable ou déstructurant pour l'individu qui utilise un fonctionnement pervers afin de s'en prémunir.L'origine de cette utilisation destructrice de l'autre est théorisée comme un phénomène de projection des contradictions internes et des douleurs que l'individu refuse de ressentir.Je résume : le pervers souffre. En cherchant à détruire l'autre il soulage momentanément ses tensions psychologiques personnelles.Dès que l'autre est détruit (ou ne joue plus son jeu), il cherche un autre support de "désangoissement".Exemple : un enfant qui vient chercher de l'amour chez ses parents et qui est rejeté (physiquement ou par des mots) par eux, va se structurer dans une absence d'amour. Devenu grand, il va rejeter aussi les autres (surtout ceux qui l'aiment ou l'estime) en lisant dans leurs yeux la perturbation de ce rejet, le désarroi. Momentanément, ce désarroi chez l'autre le calme. Pour peu de temps, hélas.Voilà le pervers détruit donc tout le temps, par exemple par la manipulation.il n'existe pas beaucoup de techniques thérapeutiques, et celles qui existent sont trsè lentes et sujettes à récidive.Le pervers, hélas, craint les sanctions. Lui expliquer et tenter de le convaincre est quasi inefficace.Des gens à fuir impérativement, pour cause de survie physique et/ou mentale.GC
Olivier
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arnobeslave a dit...D'accord, je connaissais cette définition , très bien expliqué d'ailleurs, mais je le comprend plus dans le sens de la pervertion narcissique. Bien que je m'interesse au sujet, j'ai été voir la définition du mot pervertion, il se peut que je me trompe, mais elle indique que ce terme recouvre plusieurs champs sémantiques, et plusieurs définitions. Bon après j'avoue n'avoir pas chercher très loin sur le sujet, je me suis contenté de lire Wikipedia et il est possible que ce site est de fausse information. Moi quand je parlai de perversion, je faisait référence au sens général du terme, c'est à dire:"l'inclination à des conduites considéré comme déviantes par rapport aux règles et croyances morales d'une société.Source Wiki.Ca c'est la dénifinition de la psychiatrie qui vise le but de la cohésion sociale.Mais la vraie cause se situe dans les perturbation de la toute petite enfance.GC
Olivier
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arnobeslave a dit...houla je me suis lu, pleins de fautes, j'ai honte.pas grave : l'important c'est le fond.Dans le monde scientifique, on envoie des mails interpersonnels plein de fautes de frappe et d'orthobraphe. on fait vite car seul le fond compte. Et puis tou le monde ne parle pas anglais trsè bienGC
Olivier
.Posté dans DESIR de PERVERSION ?
Jane-B a dit...Très intéressant.Du coup cela n'est plus associé à un type de pratiques, mais au phénomène sous-jacent, la perversité pouvant tout à fait se matérialiser dans tout acte 'banal' finalement...Super ! Et c'est pour cela qu'il y a toutes sortes de pervers : les sexuels, ceux avides de pouvoir, ceux qui détruisent le concurrent économique, ceux qui renvoient leur personnel pour des bêtises, ceux qui détruisent les couples et puis jette leur amant ou maîtresse dont ils ont détruit le couple etc.Et puis il y a les combinaisons "les psychopathes pervers", par exemple.Donc un même comportement peut-être d'origine perverse ou pas. Tout déend, comme tu dis, du sous-jacent.Avec les pervers qu'on débusque, il y a une règle absolue : ne jamais leur dire qu'on les a débusqué car alors ils affinent encore davantage leur perversion pour démentir l'accusation.Je l'ai dit et je le répète : les pervers détruisent de manière souterraine. Ce sont des gens trsè dangereux.j'en connais notamment un : il a déjà détruit trois femmes (une dépression nerveuse très grave, la 2e le suicide, la 3e est en train de mourir).Comme c'est un séducteur, j'imagine qu'il cherche déjà une 4EGC
Olivier
.Posté dans DESIR de PERVERSION ?
GC a dit...Super ! Et c'est pour cela qu'il y a toutes sortes de pervers : les sexuels, ceux avides de pouvoir, ceux qui détruisent le concurrent économique, ceux qui renvoient leur personnel pour des bêtises, ceux qui détruisent les couples et puis jette leur amant ou maîtresse dont ils ont détruit le couple etc.Et puis il y a les combinaisons "les psychopathes pervers", par exemple.Donc un même comportement peut-être d'origine perverse ou pas. Tout déend, comme tu dis, du sous-jacent.Avec les pervers qu'on débusque, il y a une règle absolue : ne jamais leur dire qu'on les a débusqué car alors ils affinent encore davantage leur perversion pour démentir l'accusation.Je l'ai dit et je le répète : les pervers détruisent de manière souterraine. Ce sont des gens trsè dangereux.j'en connais notamment un : il a déjà détruit trois femmes (une dépression nerveuse très grave, la 2e le suicide, la 3e est en train de mourir).Comme c'est un séducteur, j'imagine qu'il cherche déjà une 4EGCJe viens de lire dans une revue de management qu'un patron d'entreprise sur vingt-cinq est un pervers qui joue avec son personnel. Ahurissant, non ?les conséquences sont :- burn out,- dépression,- suicideBen voyons...le pire est que les pervers savent cacher leur jeu quand l'inspection du travail ou la police enquête, car les pervers mettent toute leur intelligence au service de leur perversion (puisque c'est le soulagement de leurs tensions internes - comme un médicament vital).Quand on est victime d'un pervers, une seule solution : fuir au plus vite pour sauver sa vie.GC