Heartbeat a dit...Est ce que le désir de perversion peut être assimilé à celui de dépravation ?Non, non !Il s'agit d'un mécanisme de défense du pervers qui vient de perturbations graves de sa toute petite enfance.Le pervers tente tout le temps, pour se désangoisser, d'éviter une souffrance interne.Pour faire ça, l'autre devient un objet, un instrument ou un support permettant d'extérioriser ce qui est considéré comme insoutenable ou déstructurant pour l'individu qui utilise un fonctionnement pervers afin de s'en prémunir.L'origine de cette utilisation destructrice de l'autre est théorisée comme un phénomène de projection des contradictions internes et des douleurs que l'individu refuse de ressentir.Je résume : le pervers souffre. En cherchant à détruire l'autre il soulage momentanément ses tensions psychologiques personnelles.Dès que l'autre est détruit (ou ne joue plus son jeu), il cherche un autre support de "désangoissement".Exemple : un enfant qui vient chercher de l'amour chez ses parents et qui est rejeté (physiquement ou par des mots) par eux, va se structurer dans une absence d'amour. Devenu grand, il va rejeter aussi les autres (surtout ceux qui l'aiment ou l'estime) en lisant dans leurs yeux la perturbation de ce rejet, le désarroi. Momentanément, ce désarroi chez l'autre le calme. Pour peu de temps, hélas.Voilà le pervers détruit donc tout le temps, par exemple par la manipulation.il n'existe pas beaucoup de techniques thérapeutiques, et celles qui existent sont trsè lentes et sujettes à récidive.Le pervers, hélas, craint les sanctions. Lui expliquer et tenter de le convaincre est quasi inefficace.Des gens à fuir impérativement, pour cause de survie physique et/ou mentale.GC
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arnobeslave a dit...D'accord, je connaissais cette définition , très bien expliqué d'ailleurs, mais je le comprend plus dans le sens de la pervertion narcissique. Bien que je m'interesse au sujet, j'ai été voir la définition du mot pervertion, il se peut que je me trompe, mais elle indique que ce terme recouvre plusieurs champs sémantiques, et plusieurs définitions. Bon après j'avoue n'avoir pas chercher très loin sur le sujet, je me suis contenté de lire Wikipedia et il est possible que ce site est de fausse information. Moi quand je parlai de perversion, je faisait référence au sens général du terme, c'est à dire:"l'inclination à des conduites considéré comme déviantes par rapport aux règles et croyances morales d'une société.Source Wiki.Ca c'est la dénifinition de la psychiatrie qui vise le but de la cohésion sociale.Mais la vraie cause se situe dans les perturbation de la toute petite enfance.GC
arnobeslave a dit...houla je me suis lu, pleins de fautes, j'ai honte.pas grave : l'important c'est le fond.Dans le monde scientifique, on envoie des mails interpersonnels plein de fautes de frappe et d'orthobraphe. on fait vite car seul le fond compte. Et puis tou le monde ne parle pas anglais trsè bienGC
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Vous le revoyez ce copain ?
Adolescent , j'ai attaché un copain en forêt, à un arbre incliné. La branche état quasi horizontale.
J'avais repéré les lieux auparavant et l'horizontalité de cette branche permettait d'attacher mon copain comme à une chaîne du plafond.
J'avais prévu les cordes autour de ma taille et une paire de gants pour tenir les orties.
C'était loin des habitations – on était en lisière de forêt
Quand il fut attaché, je lui ai enlevé short et slip et je l'ai cravaché avec des orties (il y en avait des multitudes autour de nous).
Il a commencé par crier un peu (ça piquait - lol), et puis à sauter sur une jambe et puis l'autre.
J'avais une érection terrible.Plus il criait et plus je frappais et changeais d'orties.
A un moment il criait tant que je lui ai fourré un chiffon en bouche et que je l'ai tenu par un foulard.
Et j'ai fouetté encore et encore - il dansait bien et au rythme que je donnais.
Fesses, jambes, mollets, cuisses, hanches, devant derrière, etc.
Je me suis amusé bien durant 20 à 30 minutes, en veillant à renouveler les orties usagées.
A un moment tout était rouge et gonflé et j'ai arrêté.
Je l'ai détaché et ses poignets étaient rouge d'avoir tiré sur les cordes.
J'ai alors pris conscience de la suite.
J'étais persuadé qu'il allait tout raconter à ses parents.
Mais rien de rien du tout – il a tout caché
J'était partagé entre bonheur et honte.
J'ai rêvé de recommencer, mais on n'a plus eu l'occasion.
C'était donc le début de « mon SM ». Depuis il ne m'a plus quitté.
J'ai parfois envie d'en parler autour de moi quand je sens la tendance, mais j'ai toujours résisté. On risque sa réputation et même son emploi parfois.
Je suis persuadé que le risque est énorme professionnellement et socialement.
ol'
BONJOUR LISEZ MON ARTICLE
https://www.bdsm.fr/blog/6900/L%E2%80%99URTICATION-une-petite-flagellation-pour-vous-mettre-en-jambes/
Il va apprendre à aimer , cher Monsieur Samuel Crespo , vous verrez