Dans une salle faiblement éclairée, les ombres des bougies dansaient sur les murs de pierre froide. Au centre, je me tenais droit, imposant, et serein. Je suis Pope of Pain, un homme de 30 ans, dont la présence magnétique inspire à la fois respect et crainte. Mes yeux perçants balayent la pièce, prenant note de chaque détail, chaque mouvement, chaque respiration.
Ce soir-là, la salle était remplie de fidèles dévoués, venus chercher guidance et libération à travers les prières intenses que je conduis. Ils sont là pour se soumettre, pour découvrir leurs vérités cachées dans les profondeurs de la douleur et du plaisir
"Bienvenue, mes dévoués," commençai-je. "Ce soir, nous allons explorer les limites de notre esprit et de notre corps. Dans cette cathédrale de l'obscurité, nous cherchons la vérité à travers la douleur. Que ceux qui sont prêts à se soumettre et à découvrir leurs vérités intérieures s'avancent.
"Ce soir, tu seras ma confesseuse," dis-je en posant une main sur son épaule. "Révèle-moi tes désirs les plus profonds, et à travers la douleur, tu trouveras la libération."
Elle ferma les yeux, inspirant profondément avant de murmurer ses souhaits, ses peurs et ses espoirs. J'écoutai attentivement, chaque mot résonnant en moi comme une prière. Puis, avec une lenteur délibérée, je commençai le rituel. Des coups de fouet précis et mesurés, entrecoupés de mots doux et rassurants, créaient une danse entre l'agonie et l'extase.
"Ressens chaque coup," murmurai-je. "Laisse la douleur purifier ton esprit et révéler ta force intérieure. Chaque marque est un symbole de ta résilience, chaque souffle est une prière exaucée."
Les autres fidèles regardaient en silence, certains fermant les yeux, se laissant emporter par l'énergie de la salle. Chacun vivait le rituel à sa manière, trouvant une connexion spirituelle à travers mes actions.
Lorsque la session se termina, la jeune femme semblait transformée, ses yeux brillant d'une nouvelle clarté. Elle murmura un merci, sa voix tremblante mais emplie de gratitude.
Je me tournai vers l'assemblée, mes yeux brillant d'une lumière douce mais résolue.
"Que nos prières de ce soir soient un guide pour tous ceux qui cherchent à comprendre et à embrasser leurs vérités. À travers la douleur, nous trouvons la lumière. Allez en paix et que vos âmes soient renforcées."
Messages
Après relecture ! Ça fait quand même vachement égocentrique et narcissique....
Et si la domination masculine se résumait à pouvoir dire :
" à genoux salope, et suce moi la bite avant que je t'encule ...? "
(photo du net)
C'est vrai que la domination masculine passe volontiers par le sexe (et, peut être, la domination féminine par ... l'abscence de sexe).
Mais quand même.
Ca serait réducteur.
A la limite de l'abus.
Disons que si une soumise souscrivait (sait on jamais ... sur un malentendu ...) ... Elle finirait par s'emmerder grave.
Non ?
Je vous souhaite un BDSM inventif.
Derniers posts du forum
Je recommande le visionnage du film "My Wonder Women" , aussi appelé "Professeur Marston et la Wonder Woman"
Ca parle de l'histoire (vraie) de William Moulton Marston et d'Elizabeth Holloway, qui ont fait de la place dans leur couple pour une troisième larronne. C'est sans doute passablement romancé, mais c'est très mignon et inspirant, avec même un tant soit peu de bondage dedans. Ca reste un film américain assez "mainstream", hein.
Bon, c'est juste pour dire que des histoires de trouple qui finissent bien, ça existe! Même si elles sont probablement, en effet, assez minoritaires...
Ca c’était avant, lorsque la perf ne posait problème. Avec l’expérience ( non, je n’ai pas dit l’age! 😉) le cérébral prend une part plus large
Si ça dépend de l'homme, Tendre_coeur, y en a qui ont des gros sabots, y en a qui ont des gants, certains tissent de la dentelle, mais au final, tous les chemins mènent à Rome alors....
Comme ca, je drais que la domination masculine dépend ... de l'homme (oui oui c'est fou ca !) Donc j'ai envie de dire aux soumises : Choisissez l'homme judicieusement et vous ne serez pas décues.