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Quel style, quelle emphase, c'est avec ce genre de proposition de de termes que ce chercheur ne fera que chercher, il y a ceux et celles qui cherchent, et ceux et celles qui trouvent. J'imagine cette personne avec une toute petite tête, avec un tout petit cerveau dedans, et de toutes petites pensées, et néanmoins un égo surdimensionné  
D'ou le fait que jai rajouté le suivie médical sur l'expérience du soumis qui la porte pendant des années. Après je suis curieux de savoir s'ils précisent la matière et le type de cage porté par les sujets ? C'est peut être un détail pour vous mais pour nous ça signifie beaucoup. Certains modéles de cages ont la forme d'un pénis allongé qui empêche juste la masturbation, étant en métal inoxidable et ahérée il n'y a pas de probléme de transpiration, l'hygiène est possible sans enlever la cage, c'est comme si on ne portais pas de cage en fait. Dans ce genre de cas quel est le danger ? Aprés je suis d'accord que c'est dangereux si tu porte une cage en plastique de contrebande sans ahérations, avec une hygiène douteuse et que la cage est trop courte avec un anneau mal ajusté. Je suis egalement d'accord que mon expérience ne signifie rien, n'ayant pas eu de suivie médical pendant les périodes de chasteté, ainsi qu'une durée relativement courte dans les deux cas. Mais bon je vais t'avouer que je reste mitigé devant ces études car sans contexte cela peut tout et rien dire à la fois. Pour répondre à ma propre question du début, non je n'ai pas lu les études mentionnées plus haut et je ne les lirais pas car je suis conscient qu'il y a des risques, le tout est de pratiquer en étant conscient de ces risques et de s'adapter en fonction (et puis surtout la flemme). Sans compter que presques toutes les pratiques dans le BDSM comportent des risques mais ce n'est aps pour autant que l'on va lire des études faites sur le sujet à chaque fois. Le plus important est surtout de faire preuve de bon sens et d'être conscient dans quoi l'on s'embarque.
Alors, Amandine, je suis désolé, mais l'idée c'est justement de ne pas s'appuyer sur une expérience personnelle, qui n'est que personnelle. C'est comme le classique "je ne porte pas de ceinture, j'ai jamais eu de problème" (de sécurité, la ceinture, canaillous). Les études ne mentent pas, les études ne sont pas biaisées (dans un système parfait, s'entend), plusieurs études ont l'air d'arriver à des conclusions similaires (je précise que je n'ai pas lu, juste les résumés cités par Derek), il y a donc consensus. C'est froid, c'est clinique, c'est impersonnel, c'est la science. Et ton expérience n'y changera rien. Alors, sur tes ressentis, évidemment, ta parole est plus importante, mais pour du médical, non. Je vais t'avouer un truc. Je pensais qu'il n'y avait pas de risques, a priori. J'étais même en  mode "vous nous faites chier avec vos risques pour la chasteté". Et bien, j'ai changé d'avis, et tant que plusieurs études significatives ne prouveront pas le contraire, je n'en démordrais pas.
SweetJulie
.Posté dans Dépression et BDSM
Bonjour MaitreWa, J'ai lu avec attention votre post. Votre bienveillance est vraiment belle à voir. Ma premiere réaction a été ..."Bon, bah la, il est vraiment dans la merde" :-)... Ce n'est pas une phrase qui va vous aider, mais j'espere que mon naturel vous fera sourire 5 mn (car vous aussi, avez besoin de décompresser) Plus sérieusement, c'est difficile d'essayer de vous donner une solution car on ne peut pas aider quelqu'un contre sa volonté, on ne peut pas soigner quelqu'un contre sa volonté. La premiere démarche pour s'en sortir, c'est elle qui doit la faire. Chaque personne a son propre mode de fonctionnement. Ce qui marche pour une personne ne fonctionnera pas forcement pour une autre, et c'est pour cela, qu'elle seule, a la clef.  Alors ca vous laisse quoi comme espace? Pas beaucoup de choix, et certainement beaucoup de moments ou vous aller osciller entre la frustration et la culpabilité. Et ca aussi, vous allez devoir le gérer, car c'est difficile de vivre souvent ou longtemps avec ces deux sentiments présents au quotidien. De mon experience, une personne dépressive, n'est souvent pas juste. Elle veut de l'aide, mais souvent celle que vous fournirez, ne sera pas la bonne... jusqu'à ce qu'elle décide, elle meme, d'enclencher le processus pour s'en sortir. Et là, c'est plus facile de l'accompagner. Dans votre histoire, je vous souhaite de prendre soin de vous, aussi. Car lorsqu'elle sera prete à prendre le chemin pour guérir, elle aura besoin de vous... et pour etre présent, il vous faudra avoir encore assez de forces, d'énergie positive, de bienveillance et d'amour pour l'accompagner.  
J'avoue que le débat est assez lunaire. J'aurais une question pour les personnes qui balance du chat gpt à tout vas et des soit disantes études en blablabli blablabla. Messieurs avez vous déjà porté une cage ? Avez vous déjà expériementé les sensations et les effets ? Quel est le type de la cage que portais les personnes dans vos supers études (car suivant le modéle tous vos arguments sont nuls et non avenues) ? Et point le plus important est ce que les textes sur lesquels se basent vos IA ont été approuvé par un commité de lecture scientifique sérieux (scientifiques dont les antécédants peuvent être vérifié et leurs articles vérifiés) ? Car à ce rythme la je vous sort des textes sur le fait que le tabac est sans danger pour la santé, que le réchauffement climatique n'existe pas et que la terre est creuse en me basant sur les écrits de l'association des conspirologues et fait par des "scientifiques" du milieu. Certes la pratique de la chasteté sur le long terme peut avoir des effets secondaires indérisables, tout comme n'importe quelle pratique. La cravache fait aux mauvais endroits peut provoquer un décollement des poumons, le shibari des séquelles quand à la circulation sanguine, les jeux d'aiguilles une inféction etc... Le plus important pour pratiquer quelque chose c'est de se renseigner et je doute qu'un article fait par deux random sur un coin d'un forum sur un site basé sur l'échange soit le meilleur endroit pour se renseigner. Pour démystifier certaines choses, la prostate est stimulée car le soumis en cage va "mouiller" abondament que ce soit inconsciemment ou en étant excité. Ensuite il y a quelque chose qui s'appel l'hygiène corporelle, hors il faut enlever la cage pour se laver et donc à ce moment le soumis bande comme un cochon (ce qui est une période assez difficile car l'envie de se masturber est assez grande). Les seules cages qui permettent une bonne hygiène sans être enlever permettent aussi une érection. Pour ce qui est de la réduction de la taille du pénis ce que vous oubliez de préciser c'est que cela ne se fait pas en 15 jours et surtout pour que cela arrive il faut réduire progressivement la taille de la cage. Donc si le soumis change de cage à chaque fois pour une plus petite c'est qu'il est conscient que cela va impacter la taille de son membre et donc qu'il est d'accord avec cela. Ensuite point qui je doute n'est pas abordé dans vos études c'est le cadre dans lequel la chasteté permanente est appliqué, est ce que le soumis est un cuckold ? Est il une sissy ? Ou simplement un soumis portant une cage ? Car hormis le cas du cuckold la chasteté permamente s'accompagne ùajoritairement de la pratique du pegging et ce qui fait que le soumis deviens impuissant c'est plus psychologique que physique. Son sexe devient son anus et non plus sa verge et donc il éprouve du plaisir à se faire pénétrer et non plus à pénétrer. Dernier point il est tout à fait possible de jouir tout en portant une cage de chasteté et quand je parle de jouir de ne parle pas de précum mais bien de sperme, exactement comme une éjaculation après une masturbation ou une pénétration. Pour avoir effectué un locktober et une autre fois 49 jours de chasteté quotidienne (avec port de cage H24), le seul élément que j'ai constaté après les 49 jours (le locktober c'est passé sans encombre), c'est une perte de 1 à 2 cm de la taille de ma verge, probléme qui s'est résolut tout seul après trois jours. Donc bon votre tentative maladroite d'alerter sur les dangers de la chasteté est louable mais appuyez vous plutôt sur les écrits d'un soumis qui porte la cage depuis plusieurs années (et qui à ét suivi par un médecin durant cette période), cela sera bien plus crédible que des articles sortit de l'on ne sait ou sans réelles preuves scientifiques. Parce-que à ce rythme la, cela fait 15 ans que je suis dans le BDSM avec 95% de cette période en tant que soumis, donc je peux me proclamer "expert" avec un double doctorat en soumission masculine et sissyfication vu mon expérience et les témoignages que j'ai récolté au cour de cette période et pourtant que j'ai aucune compétences scientifique dans le domaine de la sexologie ou de la psychologie, ce qui fait que mes deux "doctorat" n'ont pas de valeur (même si sur une signature ça fait super classe). Allez messieurs sur ce bonne lecture à vous. Amandine, "doctorant" en soumission et sissyfication. (je vous avais dit que ça faisait classe =) )
Athéna 32
.Posté dans Dépression et BDSM
Après avoir lu attentivement les réponses ici apportées, je ne peut qu'aquiescer à ce que dit Louvia et Tindalos, certes de manières très différentes dans leurs propos mais l'essentiel y est. Elle demande le silence, donnez lui. Aucun ordre ne la fera sortir de sa léthargie si le processus de guérison n'est pas entamé. Je dirais même attention à l'effet rebond. Je vous souhaite beaucoup de courage Monsieur, et beaucoup de Paix à votre partenaire qui en a tant besoin. Savoir que vous êtes présent est suffisant. Enfin, @Tindalos je vous rejoins complétement le BDSM n'est pas une thérapie.
Tindalos
.Posté dans Dépression et BDSM
Pour avoir pratiqué le trouble psy en relation D/s, la réponse est non. "L'autorité" D/s c'est de la poudre aux yeux face à la maladie, c'est le meilleur moyen de troubler d'avantage les choses et d'augmenter la confusion. Voir de créer des conditionnements dangereux. Le BDSM n'est pas plus une thérapie qu'une séance de footing. Seul un professionnel pourra l'aider. Je n'ai pas tout lu, mais j'ai cru comprendre qu'elle n'était pas prête. À vous de la soutenir, mais en tant que compagnon, plus qu'en temps que dom. Et pensez à vous. Courage.