Bonjour, je rajouterais que certaines dominas recherchent le fait que le penis de leur soumis devienne totalement inutilisable, grâce au port, permanent, d'une cage. Le principal étant que le soumis le sache et l'accepte.
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Je fais partie des non adeptes des rites, je dirai presque anti-rite au sens d'une figure de style obligatoire pré-établie à la relation.
J'ai beaucoup épuré au fil du temps et de la vie ma conception d'une relation BDSM, j'ai affiné, concentré, recentré. Reste des bases de spontanéité primale, reste la domination de l'autre dans ce qu'elle a de plus brut et de moins policé. Dans ce cadre là, il est difficile pour moi de m'épanouir dans des rites/rituels, dans le sens où ils s'opposent pour moi à l'instinct, à l'envie du moment. Certainement parce que je fuis le répétitif, que j'aime être surprise, que j'ai plaisir à obéir/me soumettre à l'inattendu, que j'aime justement exploser les codes, ou plus précisément j'aime que mon autre soit de cet état d'esprit là. Le cadre me brime, m'étouffe et finit par m'ennuyer.
J'ai aussi une configuration d'esprit peu sensible aux symboles en bdsm, une habitude à considérer tout acte d'un point de vue factuel, et non à l'envisager selon une portée symbolique que je ne partage souvent pas, parce que ça ne me "parle" pas.
Et puis enfin, c'est certainement parce que ma relation n'est pas D/S, mais SM. Pourtant je le suis, avec un immense plaisir, là où il décide de m'emmener...
Bonjour, je ne suis pas une experte, mais l'été dernier j'ai été mise à contribution pour faire éjaculer un soumis en cage de chasteté qui n'a droit qu'à 2 orgasmes par an. Quand sa Maîtresse l'a libéré de la cage, il portait les traces de celle-ci imprimées dans sa peau. nous nous sommes mis en 69 sur le sol, moi au dessus. Il devait s'efforcer de me donner du plaisir alors que j'en avais reçu l'interdiction, je n'avais même pas le droit d'émettre le moindre gémissement.
Pour ma part, j'avais pour mission de lui faire une fellation pour ne le laisser jouir que le plus tard possible.
Il n'a eu aucun problème pour avoir une belle érection, et les spasmes n'ont pas tardé à venir. Je me suis retirée et ai recommencé une minute ou deux après jusqu'à de nouveaux spasmes au bout de deux ou trois minutes. Au bout de 4 ou 5 séances de ce type, j'ai pu le faire jouir en avalant sa semence. il y en avait beaucoup.
Voici le secret de son épouse. Toutes les semaines, elle le libère pour sa toilette et une longue séance d'excitation mais ne le laisse pas jouir. Et tous les deux voire trois mois, elle lui fait un massage de la prostate qui, parait-il ne lui procure pas d'orgasme.
Voici donc mes constatations en tant que femme qui a expérimenté la chasteté masculine: le Monsieur n'a eu aucun mal à avoir une belle érection, et a eu une belle éjaculation quoique un peu prématurée; tout au plus il a réussi à tenir 2 ou 3 minutes.
Je suis une passionnée par la chasteté féminine comme masculine et ai lu dans beaucoup de posts que les problèmes liés à la chasteté, l'impuissance etc... ont été écrits par des hommes à qui la chasteté fait peur.
Bien respectueusement, laura, une petite esclave qui décrivait juste une expérience personnelle.
Bonjour bienvenue !
Soyez prudente car une jeune femme soumise de 19 ans est une proie de choix pour certains messieurs qui pourraient être votre papa et vous dérouleront le discours du dom parfait. Mais à part ca, bonne découverte 😉
