Je viens de découvrir le sujet bien que, visiblement il date...
Malheureusement, il n'y a pas de "recette miracle"...
Pourtant, il y a bien quelques signes...
-1) un profil complêtement vide.
Bien lire les profils, les écrits, ect....
Cependant, on pourra alors me répliquer, et, à juste titre mais il se peut qu'il vient juste de s'inscrire....
Ce qui m'amène au point 2
-2) le pseudo...
Dès que celui-ci, par une grande originalité commence par "maître" style MaîtreMachin ou x et encore plus original Stephen...
D'abord, on ne s'intitule pas Maître.
Un homme sans soumise, sans esclave n'est qu'un homme, et, ce n'est pas en s'auto-proclamant su titre qu'on l'est....
-3) Sa façon d'approcher...
Sur ce site, par exemple, une demande d'ami sans message d'accompagnement, sans avoir lu le profil completement.... comment alors croire en sa sincérité?
Et si, dès le premier message il commence par "salope", "chienne" ou autre mots doux sans avoir un minimum converser, n'est ce pas là en soi de grands signes????
Messages
Parfois, les fantasmes ont meilleurs temps de rester pour ce qu'ils sont; des petits scénarii nous aidant à grimper aux rideaux.
Mais derrière le message j'y vois surtout une chose le rôle du dominant et sa manière de se situer dans sa situation (même fantasmer)
- être un sadique juste pour le plaisirs de détruire, y compris sa compagne, juste pour son propre plaisir et au détriment de celle-ci, ce que nous pourrions parler de "sadiens" ou juste prendre son plaisirs à imposer et dégrader sa soumise..car celle-ci y prend du plaisir, ce que nous pourrions appeller des dominateurs "masochiens"...
Les deux existent.
Il faut être avant tout clair sur cette partie. Savoir où l'on se situe.
Mais, bien que le premier cas pourras toujours trouver des partenaires volontaires, le "sadiens" pourras toujours passer outre le consentement de sa partenaire, partenaire souvent non volontaire et subissant... Mais gare alors aux conséquences, ne serait-ce juridique...
Quant aux "masochiens", l'un n'empêche pas l'autre.... les deux y prenant plaisirs, ce qui n'empêche les câlins....
Je ne peux parler que de là où je suis. Je suis Primal. Ce qui implique brutalité, humiliation. Et pourtant ma pute est aussi mon amoureuse. Que je prends tendrement dans mes bras aussi, même après l'avoir brutalisé.
En revanche, il n'y a absolument aucun mépris.
Il est évident que les perversités et pulsions de l'un doit rencontrer les envies et les fantasmes de l'autre pour que cela "fonctionne".
Ni règles codifiées (par qui ?) ni "ligne directrice" (vers quoi?). Que ces choses existent dans certaines relations parce que c'est la dynamique de ces relations, rien a redire. Mais en faire une loi générale ? Toujours pas, non.
Je n'ai pas donné suffisamment de détails... Je l'ai écrit suite à de mauvaises rencontres, comme avec des PN (pervers narcissique, et je n'aime pas employer ce terme qui est à la mode, donc qu'on utilise un peu pour tout !), ou un faux profil avec qui j'ai échangé plusieurs mois... (rencontré sur un groupe facebook sur le DDLG)
Je visais les personnes qui utilisent le BDSM à mauvais escient pour manipuler et servir en réalité seulement leur propre intérêt.
Sinon je suis totalement d'accord, on commence souvent par le fantasme D/s avant de passer à la pratique, même si pour certains c'est l'inverse.



