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Tindalos
.Posté dans Interdit aux hommes seuls ?
L'idée c'est souvent "homme seul ET inconnu". Après on essaie souvent d'avoir une certaine parité, donc effectivement si tous les hommes seuls peuvent rentrer dans une soirée plutôt hétéro, ça va devenir compliqué. Pour le reste des questions, difficile de répondre, tu te doutes bien que ça dépend de chaque organisation suivant ses objectifs.
Chocacer
.Posté dans Interdit aux hommes seuls ?
Salut la communauté !   Je poste ce message parce que j'ai eu l'occasion de voir dernièrement divers évènements ou clubs associés au BDSM où le règlement indiquait que les hommes seuls (ou non accompagnés par un couple) n'étaient pas autorisés. Je vais mettre de côté mon opinion personnelle pour me concentrer sur les questions qui me sont venu en tête concernant cette réglementation, mon objectif étant de mieux la comprendre et en même temps d'avoir l'avis d'autres utilisateurs/utilisatrices.   Voici donc mes questions :   * Qu'est-ce qu'un homme seul ? Un homme qui ne vient pas en couple ? Un homme qui ne vient pas avec des amis ? Ou un homme qui n'est pas accompagné par une personne connue par les responsables ? * Que se passe t'il concernant les personnes transgenres ou transexuelles ? * Si un homme seul doit donc être accompagné par un autre couple, mais que pour connaître ce couple il doit participer à des évènements ou aller dans des clubs, comment fait-il pour connaître ce couple ? * Y a t'il un moyen pour un homme seul d'être admis ? (Par exemple, en participant bénévolement en faveur du groupe ou du club, en signat un document, ou en passant un test) * Qu'elle est en général la proportion Femme/Homme lorsque la règle est appliquée ? * Est-ce que des justificatifs peuvent être demandés pour prouver qu'un couple est bien ensemble ? * Est-ce que les couples d'hommes homosexuels sont admis ? * Est-ce que cette règlementation est légale ? (selon l'interdiction de discriminer en fonction de l'origine, de la couleur de peau, de la religion ou du sexe) Est-ce qu'il s'agit d'une exception ? Ou d'une zone grise dans la législation ? * Est-ce qu'un homme agenre peut-être admis ? * Est-ce qu'être en couple implique un mariage ou un pacs ? * Que se passe t'il si un homme en couple participe une première fois, puis revient seul la prochaine fois ? * Est-ce qu'un homme en couple qui vient seul est compté comme en couple ?   Voilà tout ce que je me demandais. J'ajoute deux précisions : - Ne vous prenez pas la tête à répondre à toutes les questions, j'ai juste essayé d'avoir la liste de questions la plus exhaustive possible. - Je pose ces questions avant tout dans un but informatif, l'idée n'est pas de pointer des doigts ou d'avoir une opinion binaire. Restez respectueux les uns envers les autres dans les commentaires, même si quelqu'un ne partage pas votre point de vue ou s'exprime avec aggressivité. Si un commentaire enfreint les règles, contentez vous de le signaler sans lui répondre.   Merci pour vos retours et bonne journée !
  Dans une salle faiblement éclairée, les ombres des bougies dansaient sur les murs de pierre froide. Au centre, je me tenais droit, imposant, et serein. Je suis Pope of Pain, un homme de 30 ans, dont la présence magnétique inspire à la fois respect et crainte. Mes yeux perçants balayent la pièce, prenant note de chaque détail, chaque mouvement, chaque respiration. Ce soir-là, la salle était remplie de fidèles dévoués, venus chercher guidance et libération à travers les prières intenses que je conduis. Ils sont là pour se soumettre, pour découvrir leurs vérités cachées dans les profondeurs de la douleur et du plaisir "Bienvenue, mes dévoués," commençai-je. "Ce soir, nous allons explorer les limites de notre esprit et de notre corps. Dans cette cathédrale de l'obscurité, nous cherchons la vérité à travers la douleur. Que ceux qui sont prêts à se soumettre et à découvrir leurs vérités intérieures s'avancent. "Ce soir, tu seras ma confesseuse," dis-je en posant une main sur son épaule. "Révèle-moi tes désirs les plus profonds, et à travers la douleur, tu trouveras la libération." Elle ferma les yeux, inspirant profondément avant de murmurer ses souhaits, ses peurs et ses espoirs. J'écoutai attentivement, chaque mot résonnant en moi comme une prière. Puis, avec une lenteur délibérée, je commençai le rituel. Des coups de fouet précis et mesurés, entrecoupés de mots doux et rassurants, créaient une danse entre l'agonie et l'extase. "Ressens chaque coup," murmurai-je. "Laisse la douleur purifier ton esprit et révéler ta force intérieure. Chaque marque est un symbole de ta résilience, chaque souffle est une prière exaucée." Les autres fidèles regardaient en silence, certains fermant les yeux, se laissant emporter par l'énergie de la salle. Chacun vivait le rituel à sa manière, trouvant une connexion spirituelle à travers mes actions. Lorsque la session se termina, la jeune femme semblait transformée, ses yeux brillant d'une nouvelle clarté. Elle murmura un merci, sa voix tremblante mais emplie de gratitude. Je me tournai vers l'assemblée, mes yeux brillant d'une lumière douce mais résolue. "Que nos prières de ce soir soient un guide pour tous ceux qui cherchent à comprendre et à embrasser leurs vérités. À travers la douleur, nous trouvons la lumière. Allez en paix et que vos âmes soient renforcées."  
Sisyphe_44
.Posté dans Pratiques conjugales bdsm
Si les sentiments sont forts dans le couple, je doute que ce que vous appelez le cocufiage rende le soumis plus amoureux même si la Maîtresse est théoriquement en droit d'avoir d'autres soumis. Effectivement, avec un autre, des sentiments peuvent aussi naître, grimper en force, et reléguer définitivement au second plan l'autre soumis. Je ne parle pas de la souffrance psychologique ainsi générée et qui ne relève pas du SM.
Antoinette
.Posté dans Pratiques conjugales bdsm
Le mariage offre une stabilité dans la relation. C'est un engagement pour une vie commune, des relations sexuelles, et plein de devoirs et de plaisirs l'un envers l'autre.  Créer un couplé qui fonctionne, ce n'est pas facile, mais l'amour est le vecteur principal.  Les pratiques bdsm....au debut cela peut être un jeu pour pigmenter des rapports sexuels. Pourtant c'est une pente douce. Si le plaisir est là,  on glisse inexorablement vers des pratiques de plus en plus hard.  Le mariage offre un contrat de stabilité. Pratiquer le bdsm dans le cadre du mariage, c'est rajouter un second contrat, qu'il n'est pas besoin d'écrire,  sauf avec le fouet ou la cane sur la peau de celui où celle qui va se soumettre à l'autre et se donner totalement.  Pratiquer en couple, cela renforce incroyablement le mariage et ce lien, et ce, même si le Maître ou la Maîtresse sont en droit d'avoir des aventures extra conjugales. Faire cocu le soumis fait partie du jeu de domination, et le faire souffrir avec cela pour le garder encore plus amoureux, c'est excitant.  Les couples qui pratiquent le bdsm dans le cadre du mariage divorcent sans doute moins et semblent plus heureux que les autres. Le stade vanille est peut être comme un étouffoir a terme.    Bises.....qu'en pensez vous ? 
Antoinette
.Posté dans Pratiques conjugales bdsm
Je n'aime pratiquer qu'avec mon maso.  Les soumis m'ennuient beaucoup. Avec un.mado toute souffrance va devenir plaisir pour lui  Donc c'est clair des le début. Il aime souffrir. Et c'est grand raffinement que de le cocufier, de lui faire comprendre que lui n'a plus le droit d'honorer sa femme, etc...c'est source de jeu. Et plus il souffre et plus il est heureux et bien. Les masos, c'est pas compliqué.    
Bah, euh, pourquoi ? Ca peut en faire partie, mais ce n'est pas du tout le cas chez nous. Pour le reste je suis plutôt d'accord. Je pense que c'est un jugement, que cela nuit au propos général, les idiots qui condamnent les relations BDSM sont le pendant de ce type de jugements.
Antoinette
.Posté dans Pratiques conjugales bdsm
Chaque couple pratique comme bon lui semble. Le principal c'est que les deux prennent du plaisir.   Rien n'est plus complexe que la psyché humaine.  Perso, je ne cherche plus à comprendre mon maso. Mais plus je suis sadique et plus je lui fait mal et plus il a de plaisir.  Et c'est jouissif pour une sadique de faire souffrir grave son maso.  Le seul problème c'est la sécurité car on a toujours envie d'aller plus loin.   
Antoinette
.Posté dans Pratiques conjugales
Le mariage offre une stabilité dans la relation. C'est un engagement pour une vie commune, des relations sexyelles, et plein de devoirs et de plaisirs l'un envers l'autre.  Créer un couplé qui fonctionne, ce n'est pas facile, mais l'amour est le vecteur principal.  Les pratiques bdsm....au debut cela peut être un jeu pour pigmenter des rapports sexuels. Pourtant c'est une pente douce. Si le plzisircest là,  on glisse inexorablement vers des pratiques de plus en plus hard.  Le mariage offre un contrat de stabilité. Pratiquer le bdsm dans le cadre du mariage, c'est rajouter un second contrat, qu'il n'est pas besoin d'écrire,  sauf avec le fouet ou la cane sur la peau de celui où celle qui va se soumettre à l'autre et se donner totalement.  Pratiquer en couple, cela renforce incroyablement le mariage et ce lien, et ce même si le Maître ou la Maîtresse sont en droit d'avoir des aventures extra conjugales. Faire cocu le soumis fait partie du jeu de domination, et le faire souffrir avec cela pour le garder encore plus amoureux, c'est excitant.  Les couples qui pratiquent le bdsm dans le cadre du mariage divorcent sans doute moins et semblent plus heureux que les autres. Le stade vanille est peut être comme un étouffoir a terme.    Bises.....qu'en pensez vous ?