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Elle me fait rire. Lou Andreas-Salomé, née Louise von Salomé ou Lioulia von Salomé ou Luíza Gustavovna Salomé (russe ????? ?????????? ??????) le 12 février 1861 à Saint-Pétersbourg et morte le 5 février 1937 à Göttingen, est une femme de lettres allemande d'origine russe et l'une des premières femmes psychanalystes. Elle est aussi connue pour ses relations complexes et souvent passionnées avec Nietzsche et Rilke Elle rencontre alors son premier maître, le pasteur Heinrich Gillot qui veut divorcer pour l'épouser. Choquée, Louise refuse. On ne couche pas avec une dominatrice comme lou, on l'adore! Non mais ! Rires. En Italie, elle fait la rencontre de Friedrich Nietzsche, elle a vingt-et-un ans, lui trente-huit. Avec elle, durant l’année 1882, le philosophe vit sa seule véritable histoire d’amour. Mais c'est une relation à trois, incluant Paul Rée, un riche philosophe allemand qui demande en vain Lou en mariage. Encore un qui veut coucher...non mais. Les hommes qui se mettent entre eux au pied d'une domina, un classique. En 1886, à nouveau en Italie, Lou rencontre l'orientaliste allemand, spécialiste de l'Iran, Friedrich Carl Andreas (de). Ce dernier tombe amoureux d'elle au point de menacer de se suicider si elle refuse de l'épouser. Elle consent à cette union à la condition qu'elle ne soit jamais consommée sexuellement. https://www.youtube.com/watch?v=49LYyaSXjcg
bonsoir excusez moi pkoi domina ???...en la lisant et en analysant n est ce pas plutot le caractere et le temperament singulier dune Soumise ne voulant etre attrape....
bonjour briseiice, oui, pourquoi pas, c'est possible aussi. moi je sens plutôt la domina mystique qui refuse sexe et mariage et finira par faire les deux. Je la trouve amusante, mais c'est surtout le genrre de femme dont il ne faut pas être amoureux sauf si on veut devenir un génie comme Nietzsche. Rires. Ma vie de Lou Andreas-Salomé La communauté dont j'avais rêvé se réalisa alors pleinement dans un cercle de jeunes hommes de lettres, universitaires pour la plupart; l'importance et la composition de ce cercle varièrent au fil des années. Dans cette société, on appelait Paul Rée "la demoiselle d'honneur", et on me disait "son Excellence".
À la douleur (An den Schmerz) Qui peut te fuir une fois saisi par toi, Quand tu le fixes de ton regard ténébreux? Je ne m’enfuirai pas quand tu m’auras saisie. Je ne croirai jamais que tu ne fais que détruire. Je le sais, toute vie est par toi traversée. Rien n’existe ici-bas qu’un jour tu ne le touches. La vie sans toi, certes, elle serait belle, Mais toi aussi, douleur, mérites qu’on te vive. Non, tu n’es pas un fantôme de la nuit, Tu viens rappeler à l’âme qu’elle est forte, C’est le combat qui a rendu grand les plus grands, – Le combat vers un but, par de durs chemins. Si donc, douleur, au lieu de bonheur et de plaisir Tu peux me donner l’Unique, la vraie grandeur, Alors, viens et laisse-nous lutter corps à corps, Oui, viens, notre lutte fût-elle mortelle. Pénètre au plus profond de mon cœur Et creuse au plus profond de ma vie, Ôte-moi le rêve de l’illusion et du bonheur, Ôte-moi tout ce qui ne valait pas les aspirations infinies. Tu ne remportes pas sur l’homme la dernière victoire, Même s’il offre sa poitrine à tes coups, Même s’il tombe mortellement blessé – – Tu es le socle où repose la grandeur de l’esprit. Lou Andreas-Salomé