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@M81 tout à fait... Ne jamais oublier que la douleur est un signal que nous envoie notre corps pour nous signaler un probleme, ou nous contraindre à l'autro-preservation, par mouvement reflexe. On ouvre  la bouche quand on se mord la langue (ROG), ou on retire la main quand on saisit un objet trop chaud. Ces deux reflexes minimisent la source de ce qui pourrait generer un dommage (brulure intense ou section de la langue) sans demander d'analyse consciente. Par contre, si vous augmentez la temperature de l'eau de votre bain, vous allez consciemment analyser l'inconfort pour decider, de la limite acceptable. Resister à la douleur, c'est consciemment rehausser le niveau de ce que notre corps considere comme une alarme conservative. Mais que savez vous de ce que votre corps peut supporter sans dommage ? Vous voulez endormir un signal. Avec un anesthesique,probablement  pourrez vous, plus , vous perforer l'intestin vous provoquer une dechirure du rectum. sans rien sentir... Couper les fils de l'alarme, ne retire rien du danger qu'elle signale.  accessoirement, supprimer la douleur, me parait etre en complete opposition, avec la base du BDSM qui consiste à tester la douleur physique ou l'inconfort psychologique jusqu'à une limite sans jamais porter atteinte a son l'integrité physique ni psychique
Très honnetement, ,je deconseille ces produits anesthésiants pour la simple raison, avec l'absence d'insensibité, risquez les accidents, notamment uretre..., sonde dans la verge .. , par contre ca peut rester "ludique" pour la sodomie, si on ne joue pas avec des calibres hors normes ! Rappel : supprimer la douleur lors de pratiques internes, vous perdez le controle du danger potentiel !
Merci pour votre retour qui m'a incité à mieux expliquer le sens de cette démarche, dans le message initial édité pour l'occasion.  Cela n'a en tout cas aucun rapport à la douleur, dimension que nous pratiquons par ailleurs.
@Sensuel : Vous avez raison : la prostate est une source importante de plaisir lors de la sodomie masculine, mais pas la seule non plus. Justement, l'une des interrogations est de savoir quel ressenti cela autorise encore. Il ne s'agit pas de crème pour le fist, mais bien d'une crème anesthésiante médicale. Quant à repousser des limites en matière de calibre, cela n'est pas l'objet : il s’agit bien, Sambotte,, en me privant de sensation, de me faire sentir que les sensations dépendent du bon vouloir de ma Maîtresse.