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.Posté dans Sodomie
Je pense qu'effectivement  que c'est à la domina de l'imposer "je dirais même que je n'en ai pas toujours envie mais ma Domina sait à chaque fois faire naitre habilement l'envie en moi"
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.Posté dans Sodomie
@OpaleChatoyant Bonjour, Je vais donner mon point de vue d'homme et je précise que je suis 100% hétéro dominant. Malgré ma position, j'aime bien le plaisir anal. aussi pour s'amuser et varier les plaisirs je demande à ma partenaire de me prendre, je ne me sens pas PD, ni même soumis ! Là mon plaisir sera moins physique mais plus psychologique, comme c'est toujours moi qui dois prendre les devants, je vois dans ce plaisir la chance de pouvoir m'abandonner à ma partenaire et de recevoir plus que de donner pour une fois. C'est donc purement un plaisir . Je sais que vous vouliez surtout des réponses de soumis, mais je trouve ça pertinent de donner mon avis, pour te rappeller que tout existe, comme les messages précédents que ce plaisir varie tellement d'un homme et d'une relation à l'autre que finalement il n'y a rien de vraiment défini dans ce plaisir comme dans un autre d'ailleurs. Étant switcher, à mon avis, il y a quand même soumission si une femme vous sodomise avec un gode ceinture.
OpaleChatoyant
.Posté dans Sodomie
Bonjour, Je vais donner mon point de vue d'homme et je précise que je suis 100% hétéro dominant. Malgré ma position, j'aime bien le plaisir anal. Alors de mon côté c'est principalement moi qui vais m'imposer un plug par exemple, le plaisir est mécanique, c'est à la fois la stimulation de la prostate mais aussi la sensation d'avoir le cul rempli (j'ai l'impression que la tension du rapport augmente) qui me procure du plaisir. Pour moi l'acte sexuel peut être fait via la relation dom/soum, avec une femme et que je la prend j'aime être dominant. Mais avant tout je vois la chose comme un acte d'amour, aussi pour s'amuser et varier les plaisirs je demande à ma partenaire de me prendre, je ne me sens pas PD, ni même soumis ! Là mon plaisir sera moins physique mais plus psychologique, comme c'est toujours moi qui dois prendre les devants, je vois dans ce plaisir la chance de pouvoir m'abandonner à ma partenaire et de recevoir plus que de donner pour une fois. C'est donc purement un plaisir qui provient de la confiance, du fort lien tissé de notre relation ! Je sais que vous vouliez surtout des réponses de soumis, mais je trouve ça pertinent de donner mon avis, pour te rappeller que tout existe, comme les messages précédents que ce plaisir varie tellement d'un homme et d'une relation à l'autre que finalement il n'y a rien de vraiment défini dans ce plaisir comme dans un autre d'ailleurs. Bonne journée
christapple
.Posté dans Sodomie
Bonjour Madame, peu de plaisir physiquement, car pour ce ressenti, il faut avoir une partenaire attentive et motivée par la pratique de cet art. Ma principale satisfaction prendrait davantage place dans la domination et donc la soumission vécue dans cet acte. Savoir être "pris" de la sorte par une Dame et sentir sa satisfaction et son plaisir sera à mon sens l'accomplissement de l'offrande au travers de cette inversion des rôles. J'aime me sentir "femelle" en étant culbuté de la sorte... Mais vaste sujet qui mérite d'être approfondi en parfaite intelligence avec une partenaire adepte du pegging !   Ch.
Neilerio
.Posté dans Sodomie
Va falloir deconstruire l'idée homme = mécanique femme = cérébrale je pense...  
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.Posté dans Sodomie
Tout à fait, j'ai ma vision des choses lorsque je pratique, et effectivement, si j'en arrive à poser ce sujet ici, c'est parce-que j'ai eu des expériences où un mec ne pouvait concevoir la sodomie uniquement dans le châtiement, une punition, ce qui m'a interpellé. Donc je voudrais savoir s'il y a beaucoup de mecs qui concoient la sodomie dans ce contexte-là ?? Je pense que pour moi c'est effectivement une punition surtout quand le gode est un peu gros et long car cela me fait mal au cul, que je demande à ma maîtresse d'arrêter et quelle continue, "je veux tu aimes te faire enculer, car je veux faire de toi une vraie lopette". Ce qui ajoute une soumission psychologique.
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.Posté dans Sodomie
@Dany Bonjour, je découvre cette question posée qui date... Ce que je ressens lors d'une sodomie est différent si elle est pratiquée par une femme ou un homme. Par un homme, c'est presque à contrecoeur pour mes envies personnelles mais avec le plaisir aussi que ce soit par un"vrai" sexe et non par un accessoire. Par une femme, c'est le fait d'appartenir à celle-ci qui est appréciable, s'offrir à elle, ses envies (si elle aime faire cet acte), ce sentiment d'humiliation, renverser la situation pour devenir "femelle"... Ceci, juste pour résumer...  par un homme, je n'ai jamais essayé, mais j'aimerais qu'une domina me l'impose après m'avoir sodomisé avec un gode ceinture.
skella
.Posté dans Sodomie
Plaisir "mécanique" je ne sais pas, mais dans tous les cas c'est une zone érogène grâce aux multiples terminaisons nerveuses dont elle regorge, donc tout comme les femmes peuvent trouver du plaisir en étant pénétrées, les hommes peuvent le trouver également.  Et puis être stimulé de diverses façons (caresses avec la langue, les doigts, etc.), ça a du bon pour ce qui suit après :wink:
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.Posté dans Sodomie
Dans la sodomie en ce qui me concerne je me sens toujours très femelle, mais cela va au-delà de l’acte lui-même. J’ai de toute façon une certaine « féminité » intérieure et j’aime me sentir mentalement la femme soumise d’une Femme Dominante. Comme vous le dites c’est un acte d’amour qui peut être subtil et profond, quelque chose à la fois émotionnel, cérébral, physique. L’excitation dans cette zone a des résonances dans d’autres parties du corps…l’orgasme est très intense, profond et global, comme si ça touchait tout mon corps. Je suis très sensible physiquement mais c’est aussi mental, je ne peux pas séparer les deux, si une femme me pénètre ce n’est pas seulement son phallus qui entre en moi, c’est son autorité et sa puissance de femme. C’est aussi un peu comme si sa Féminité entrait en moi et me remplissait, je me sens fécondée mentalement. C’est une connivence très intime : être attentive à son regard, ses gestes, ses intentions, et quand je vois dans ses yeux son plaisir et son autorité c’est très intense.
Dany
.Posté dans Sodomie
Bonjour, je découvre cette question posée qui date... Ce que je ressens lors d'une sodomie est différent si elle est pratiquée par une femme ou un homme. Par un homme, c'est presque à contrecoeur pour mes envies personnelles mais avec le plaisir aussi que ce soit par un"vrai" sexe et non par un accessoire. Par un femme, c'est le fait d'appartenir à celle-ci qui est appréciable, s'offrir à elle, ses envies (si elle aime faire cet acte), ce sentiment d'humiliation, renverser la situation pour devenir "femelle"... Ceci, juste pour résumer... 
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.Posté dans Sodomie
Bonsoir ou Bonjour; derrière notre pseudo un couple (domina/esclave) ce soir c'est l'esclave qui prend le clavier pour répondre à votre interrogation 1° J'aime le plaisir de savoir mon anus visible ce qui n'est pas naturel. 2° Avec un gode, un plug, ou un gode ceinture écartelant mon anus, le mythe de l'homme macho en prend un bon coup; c'est agréable pour  moi qui ne m'imagine qu'esclave pour les dames... 3° La longue préparation nécessaire à une sodomie "un peu hard" est aussi un rappel de mon statut d'esclave par la proximité obligée avec mes excrèments lors des lavements prééparatoires. Et me savoir esclave est plus que plaisant. 4° L'entrée de l'engin est un peu douloureuse même avec beuacoup ( beaucoup) de lubrifiant, puis un aller retour permet l'entrée profonde la douleur peut-être intense ou non , mais se sentir ouvert est exaltant, merveilleux. 5° Vient l'attente et l'instant ou madame décide; soit d'une chevauchée pour me faire plonger dans un esclavage profond, de rendre mon anus béant et distendu  , ou de chercher mon plaisir par des mouvements bien moins brutaux qui eux aussi me conduiront à la jouissance.     .   .  
.Posté dans Sodomie
Perso , je n'aime pas le goche car je trouve que c'est factice et n'éprouve aucun plaisir d'être pris par une femme . Etant bisexuel , très peu membré malgré mon 1m85 , ma Dominatrice adore voir et me faire sodomiser par des hommes hypers bien membrés , une forme de compensatiuon . Elle m'a appris à faire des fellations , à mettre et a prendre en bouche d'énormes sexes comme elle les aime . En ce qui me concerne , lorsque je me mets en position et que le gars enfonce son énorme pénis en moi j'éprouve une sensation incomensurable lorsque je la vois rire et être excitée lorsqu'on me sodomise . Plus je hurle de douleur et de plaisir , plus ma Maîtresse -Femme est ravie , en général c'est ma punition , je dois reçevoir minimum quarante à cinquante coups de rein jusqu'à épuisement. Comme ma Dominatrice est une superbe femme , un canon de beauté , un charme fou , elle a tous les hommes à ses pieds aussi elle me les refile aussi tôt après les avoir consommés , elle est loin d'être fidèle. En début de mois , elle m'a prété à un gars d'1m98 dont le sexe faisait 22 -25 cm , 18 - 20 cm de diamètre . Une horreur !! Elle m'a avoué par la suite qu'elle n'avait jamais vu une bite aussi imposante et Dieu sait si elle en a vu !! Je l'ai suppliée de m'épargner une telle souffrance par rapport à la sodomie mais riien à faire , elle voulait me punir . Ainsi j'ai dû subir les coups de queue devant ma Maîtresse et une de ses belles copines qui étaienbt en transes devant un tel spectacle. Le gars était sans scrupule car il devait obeir s'il voulait entrer dans le cercle des soumis ; Je dois avouer que j'appréhende pour les prochaines fois car elle l'a recruté pour ses performances .
Quatuor
.Posté dans La sodomie ou rien
Qu'en est-il de la sodomie, du côté des hommes, du côté des femmes, du côté des autres ? Au travers de cette question, je voudrais pointer un sujet qui relève des rapports sexuels en rapport avec la jouissance et la procréation. Pour faire simple, la sodomie me paraît être (avec la fellation) le seul type de rapport sexuel déconnecté de la procréation mais aussi libéré de la différentiation sexuelle. Donc relevant de la seule jouissance. De l'autonomie des corps. La sodomie serait à mon sens l'acte sexuel libre par excellence. Une jouissance qui n'aurait pour objet qu'elle même. La sodomie comme exigence de liberté, pour tout dire. J'aimerais vos avis, vos expériences, vos désirs... Quatuor
Abyme
.Posté dans La sodomie ou rien
Particulièrement adepte, je ne suis pourtant pas d'accord avec ton constat, Quatuor, sur le point de la procréation du moins (sur la libération de la différenciation sexuelle à la rigueur).La séduction, l'attirance et le sexe sont certes conçus et prévus au départ par la nature pour nous inciter à procréer, mais comme pour les animaux, il aurait pu se limiter à un acte coïtal quasi-hygiénique. L'humain l'a développé, perfectionné et étalé à tout un ensemble de plaisirs, du plus simple au plus complexe (dont la douleur, l'exhib/voyeurisme, les insertions d'objets, les fétichismes, etc) impliquant tous les sens et même l'imagination, dont la sodomie n'est qu'un élément parmi une multitude. On y attache plus d'importance, avec la fellation, sans doute car c'est une pénétration, mais en terme de "jouissance qui n'aurait pour objet qu'elle-même", ou comme "exigence de liberté", même si les formules sont belles, je n'adhère pas.
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.Posté dans La sodomie ou rien
Le plaisir n'a rien a voir avec la procréation. Le plaisir trouve parfois des formes étranges, la jouissance prend des chemins détournés, même autre que fellation, coït, sodomie ou même masturbation, le cerveau étant une zone érogène devenue importante chez l'humain. Le tantrisme est un autre exemple de jouissance pure, sans pour autant être désincarnée. On peut atteindre un orgasme en se faisant lécher un orteil ou un sein. Pas de procréation ici non plus. Le premier sodomite aurait-il pénétré le mauvais endroit par erreur ou a t il souhaité explorer une autre voie possible ? Le plaisir né aura alors prouvé que plaisir et procréation ne sont pas nécessairement liés.
Quatuor
.Posté dans La sodomie ou rien
Je dois être bien dépourvu d'espérance pour ne pas vraiment croire que nous soyons autre chose que ce pourquoi nous sommes faits. En d'autres termes pour reconnaître la puissance de l'injonction à procréer...Pour en revenir au sujet, si j'admets volontiers tous les plaisirs divers et variés que nous nous sommes donnés la peine d'inventer pour gentiment dévier du sujet, j'ai l'intuition que la sodomie jouit d'un statut particulier. Intuition confortée par toutes les condamnations qu'elle a systématiquement subie.La sodomie est une effraction. Et elle a été condamnée pour cette raison.
.Posté dans La sodomie ou rien
je trouve votre sujet très intéressant Quatuor, mais la suite gagnerait à ce que vous précisiez ce que vous offrez comme discussion."La sodomie qu'en est-il du côté des hommes, du côté des femmes"est un sujet qui m'interesse beaucoup.Sexualité et procréation est un autre sujet (qui ne m'interesse pas). Freud puis Lacan avancèrent que l'homme est un être de culture et non de nature, du fait que le langage (impliquant la métaphore) le sépare de l'accès à l'instinct. Et Freud voulu montrer que la perversion est le propre de l'humain et sortir de cette moralité dangereuse quant elle réfère à "la nature". Pour exemple : toute pratique érotique qui n'a pas pour but la procréation serait donc déviante, et Freud nous propose que toute pratique sexuelle humaine est déviante Rouler une pelle, sucer,..De plus avec les contraceptifs, le coït n'est plus un acte de procreation. La jouissance à fumer une clope, prendre de l'heroïne, etc...montre bien que nous ne sommes pas des êtres d'instinct mais de pulsions. Nous tirons jouissance à des choses "inutiles" voire toxiques.D'autre part je ne partage pas votre vision des choses comme quoi la sodomie serait condamnée car du côté de l'effraction. Chez les romains l'homosexualité passive était condamnée à mort, tandis que l'homosexualité active était bien vue. Mon avis est que la sodomie (passive)est vue négativement car c'est une féminisation. Qu'y a t il de plus dégradant et dégradé dans notre société qu'un homosexuel ? une femme.Les insultes pour les hommes renvoient à de la féminisation. Je pense que la sodomie est condamnée en ce qu'elle renvoie en la possibilité d'être pénétré pour un homme. Il y a eut ici un sujet :"un dominant peut-il être pénétré analement ?" N'est-ce pas curieux comme question ?! comme si être pénétré faisait perdre ..la virilité.Les soumis (hommes) sont très mal vue socialement. Chez certains adolescents "soumis !" a remplacé "pédé" ou "enculé" comme insulte suprême.(soyez indulgent si je suis confuse il est 7h :-p)
Heartbeat
.Posté dans La sodomie ou rien
j'adore ça <3 Mais en fait, j'ai beaucoup de mal à faire ça "sentimentalement", avec quelqu'un que j'aime. Ou d'une manière tendre, délicate... Allez savoir pourquoi...
Quatuor
.Posté dans La sodomie ou rien
Heartbeat a dit...j'adore ça <3 Mais en fait, j'ai beaucoup de mal à faire ça "sentimentalement", avec quelqu'un que j'aime. Ou d'une manière tendre, délicate... Allez savoir pourquoi...Merci de votre réponse, Heartbeat.Si je comprends bien, vous aimez la sodomie mais dans un rapport strictement sexuel, sans dimension affective importante et, disons, "rude" ?Quatuor
Quatuor
.Posté dans La sodomie ou rien
paprika a dit...Quator, la sodomie fut dépénalisée en France au début des années 80, aujourd'hui c'est l'homophobie qui devient un délit. Bien sûr il reste des scories de l'ex pensée dominante. Mais la société a malgré tout tant évolué, que l'acte sexuel, quel qu'il soit, se trouve déconnecté de toute idée de procréation. Bien sûr, on peut toujours renouveler en son esprit des interdits afin de jouir de leurs transgressions. Mais la transgression n'est que la dernière étape avant l'autonomie vis à vis de ces morales imposées, et déjà obsolètes.Je vous souhaite de pratiquer la sodomie, active ou/et passive, pour elle même, pour le plaisir, le votre, celui des partenaires, en oubliant les affres du passe.Paprika,Je fais le distinguo entre les lois, les moeurs, les normes, la psychologie, etc. Une loi ne change pas nécessairement tant de choses et toutes les régressions sont possibles, il suffit de comparer ce que l'on entend aujourd'hui à ce qui se disait dans les années 70. Quant au passé, nous en sommes les dépositaires, non ?