Messages
@Sensuel : Vous avez raison : la prostate est une source importante de plaisir lors de la sodomie masculine, mais pas la seule non plus. Justement, l'une des interrogations est de savoir quel ressenti cela autorise encore. Il ne s'agit pas de crème pour le fist, mais bien d'une crème anesthésiante médicale. Quant à repousser des limites en matière de calibre, cela n'est pas l'objet : il s’agit bien, Sambotte,, en me privant de sensation, de me faire sentir que les sensations dépendent du bon vouloir de ma Maîtresse.
Tout à fait, Jnp91, à ce petit bémol près que je ne dirais pas que le pegging procure des orgasmes à ma Maitresse à mes dépends, mais plutôt grace à moi, parce qu'elle m'utilise comme elle le souhaite. J'y trouve une belle source de plaisir aussi : il est vraiment gratifiant de l'entendre s'envoler, avant de se retirer et de se coucher pour profiter de l'aura résiduelle de son orgasme, et ce qu'elle m'invite alors à ses cotés ou qu'elle m'oublie un instant en position. A cela un anesthésiant n'y pourra rien.
Je comprends le genre de domination que vous recherchez : une sodomie insensible pour vous mais le plaisir pour votre Maîtresse soit la seule à prendre du plaisir. D'ailleurs les Maîtresses pratiquant le pegging prennent du plaisir et peuvent avoir des orgasmes à votre dépend.
Merci pour votre retour qui m'a incité à mieux expliquer le sens de cette démarche, dans le message initial édité pour l'occasion.  Cela n'a en tout cas aucun rapport à la douleur, dimension que nous pratiquons par ailleurs.
Merci pour vos contributions et vos mises en garde, tout à fait justifiées : la douleur est un signal important dont il faut tenir compte. La perspective de pratique à l'origine de cette discussion est toutefois à mettre dans un contexte spécifique, comme ma mise en garde en fin du message introductif le précise : une Maitresse et son soumis, qui se connaissent à la fois eux-même et respectivement très bien et qui connaissent également bien leur matériel. Certains godes peuvent se prêter à cette situation, parce que nous savons comment ils sont acceptés et comment ils doivent être manipulés, et d'autres plus exigeants sont à proscrire car pouvoir ressentir le signal de la douleur demeure impératif. De même, il ne s'agit pas de chercher à dépasser la douleur pour accéder à de nouvelles pratiques plus audacieuses, ce qui serait en soi dangereux, mais bien rester dans le spectre de ce qui est dans notre palette courante et maîtrisé. La douleur n'est d'ailleurs pas incontournable en matière de sodomie, ma Maîtresse sachant bien ce qu'il faut faire pour la faire naître ou au contraire l'éviter.