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"Besoin de parler de mon fantasme de viol". Pas d'inquiétude, visiblement le besoin était éphémère. Besoin exprimé le 06/10/22, qui ne s'est plus manifesté depuis :innocent: Comme quoi, il ne faut jamais trop se prendre la tête. Désolée d'être un peu sarcastique... Sinon, plus sérieusement, il me semble que ce que l'on met sous ce terme de "viol" quand on est saine d'esprit est le désir de ne rien contrôler, d'être utilisée comme bon lui/leur semble. Mais avec toujours en arrière-plan l'idée qu'il s'agit en fait d'un transfert de pouvoir à destination d'une personne que l'on a choisie et en qui l'on a toute confiance (le Maître). Celui qui bénéficie de ce transfert de pouvoir peut, certes, théoriquement, "violer" ou faire "violer", mais il n'abusera pas de son pouvoir (sinon il ne serait plus digne de la confiance qui lui a été accordée) donc il évalue la situation et il ne le fera pas s'il sait que c'est risqué (psychologiquement, notamment). En conséquence, cela n'a rien à voir avec le viol au sens classique.   Néanmoins, le danger dans ce genre de sujet/discussion est que ce soit mal compris, que le contexte et les présupposés soient oubliés, pour, par un raccourci facile, se dire que finalement une femme, ou tout au moins une soumise, ne rêve que de se faire violer par le premier venu. Donc allons-y! Mon Maître pourrait se permettre beaucoup de choses (même s'il n'abuse pas de son pouvoir), mais ce n'est pas le premier venu. Je lui ai accordé ma confiance. C'est là ce qui fait toute la différence.
Bonjour je me permet de déterré mon poste car j'ai obtenu quelque réponse mais suite au dernier like je vois que certaines filles semble intéressé mais je ne sais pas comment ça peut être perçu par elles . C'est vrai que je suis pas manifester puis quelque temps j'ai trouvé une parternaire avec laquelle j'ai pu un peu expérimenté ça en gros elle c'est allongé sur le dos et je lui est fait sa petite affaire et elle c'est laissé faire si vous voyer ce que je veux dire l'idée je pense que c'est d'avoir une sorte de femme qui fait l'étoile de mer qui m'exite après on a discuter un peu elle m'a dit qu'elle ne voulait pas de sodo j'ai accepté disont que j'avais les commandes. 
Le problème c'est que, comme beaucoup, vous mettez la charrue avant les bœufs. Le fantasme de viol fait partie de mes pratiques, c'est quelque chose que j'ai eu l'occasion d'expérimenter avec plusieurs partenaires. Mais avant de parler de fantasmes, il faut bien aborder le sujet de la connexion, de la confiance mutuelle. Parce que, pour la personne soumise, se mettre dans une situation qui, pour qu'elle soit réaliste, doit se rapprocher au maximum d'un danger potentiel, demande d'être sûre que le partenaire a bien compris et intégré les limites et est en capacité de les respecter. De même, la personne dominante se doit d'être en confiance, de s'assurer que les fantasmes soient en adéquation avec les envies réelles, parce qu'il ne s'agirait pas de se retrouver avec, au mieux, une partenaire traumatisée, et, au pire, une plainte (réelle, cette fois-ci) pour viol. Alors ce n'est pas trois likes sur une question qui vont vous manifester l'intérêt pour la pratique. Et j'ai même envie de dire, que, si vous vous retrouvez avec une personne prête à se lancer sans plus d'interaction, vous avez plutôt intérêt à prendre vos jambes à votre cou. Vous pouvez risquer gros en vous lançant dans cette pratique avec une personne manquant de stabilité. Renseignez-vous sur le cadre CNC (Consented Non-Consent, "Non-Consentement Consenti") qui recouvre ces pratiques (bien sûr, tout le monde peut jouer au vilain cambrioleur surprenant la gentille ménagère, mais c'est une mise en scène). Le viol simulé, celui qui laisse la "victime" en pleurs, demande de garder d'autant plus le contrôle qu'on se rapproche de la limite. Enfin, ne négligez l'intention derrière vos actions (pour les deux participants), pourquoi vous êtes attiré par cette pratique (et non pas un simple "ça me fait bander"), c'est ce qui vous permet de structurer vos envies, et donc d'être capable de naviguer dans cette boucle relationnelle très différente.