Merci pour ton message, Olivier, je le trouve vraiment pertinent.
C’est vrai que le BDSM virtuel peut activer des mécanismes similaires à ceux qu’on observe dans d’autres formes de plaisir intense : le cerveau libère de la dopamine, ce qui crée une forme de renforcement. Ce n’est pas toujours une addiction au sens pathologique, mais ça peut devenir une habitude difficile à réguler, surtout quand on y trouve un échappatoire émotionnel.
Quand ça reste secret dans un couple, ou qu’on y investit beaucoup d’énergie affective, ça peut créer un déséquilibre. Le partenaire peut ressentir un changement sans savoir d’où il vient, et ça fragilise la relation.
Cela dit, je pense aussi que tout dépend de la manière dont c’est vécu. Si on garde une certaine conscience de ce qu’on fait, de pourquoi on le fait, et qu’on pose des limites claires, ça peut rester une exploration saine et même enrichissante.
Bref, tu as raison d’alerter sur ces risques. Le virtuel n’est pas sans conséquences, même s’il peut sembler "inoffensif" au premier abord.
C’est vrai que le BDSM virtuel peut activer des mécanismes similaires à ceux qu’on observe dans d’autres formes de plaisir intense : le cerveau libère de la dopamine, ce qui crée une forme de renforcement. Ce n’est pas toujours une addiction au sens pathologique, mais ça peut devenir une habitude difficile à réguler, surtout quand on y trouve un échappatoire émotionnel.
Quand ça reste secret dans un couple, ou qu’on y investit beaucoup d’énergie affective, ça peut créer un déséquilibre. Le partenaire peut ressentir un changement sans savoir d’où il vient, et ça fragilise la relation.
Cela dit, je pense aussi que tout dépend de la manière dont c’est vécu. Si on garde une certaine conscience de ce qu’on fait, de pourquoi on le fait, et qu’on pose des limites claires, ça peut rester une exploration saine et même enrichissante.
Bref, tu as raison d’alerter sur ces risques. Le virtuel n’est pas sans conséquences, même s’il peut sembler "inoffensif" au premier abord.
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