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Neilerio
#21
Bonjour,
Ce n'est pas un problème d'éthique, mais de ce que le "binome" décide de faire ou pas.
La plupart des relations ici présentent sont ce que j'appelle Dom/soum. Ce ne sont que des pratiques liant 2 personnes, avec ou sans sexualité. C'est quelque part du multi scéances suivies. Les limites sont posées et acceptées, le plaisir S/M est partagé. Il n'y a donc pas réellement de soumission. Le lacher-prise de soum et le contrôle de D se répondent.
Là où cela change c'est dans une relation D/s. La domination va alors vers le CNC : la soumission est donc imposée par la domination. La relation devient donc vraiment asymetrique.
La recherche du lacher-prise devient uniquement la problématique de s, D imposant sa volonté et son sadisme.
En allant au bout de cette logique, on arrive à une relation M/e.
Mais un autre "problème" peut alors intervenir : les sentiments. Ceux-ci induisent une tendresse, une compréhension de l'autre, un élan vers l'autre.
Et la question devient alors : "est ce que les sentiments sont compatiblent avec le D/s afin de construire une relation vraiment durable ?? Ou doit on juste s'arreter alors à des pratiques Dom/soum ??
Je n'ai pas cette réponse, je m'interroge encore sur cela ......
 
Si on connait l'existence des émotions dimorphes et qu'on en a, les sentiments ne sont pas incompatible avec le BDSM. Une émotion dimorphe c'est pleurer de joie plutot que de sauter de joie, mordre une personne qu'on aime plutot que de lui faire des bisous. Mon sadisme est l'expression de mon amour ma primalité est l'expression de mon amour ce n'est pas la haine le moteur de tout ça, s'est l'amour une forme brute, hors des conventions.
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